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Avec Marijo TARN-et. GARONNE -3 -

Le Tarn-et-Garonne est un département français appartenant à l’Occitanie, nom de cette région depuis la fusion du Midi. Pyrénées avec le Languedoc-Roussillon. Il tire son nom du fleuve Garonne et de son affluent le Tarn. Ce département a été créé sur décret impérial de Napoléon Ier en novembre 1802. Après la création des départements, en 1790, Montauban n'était plus qu'une sous-préfecture du Lot, et Castelsarrasin un chef-lieu de district de la Haute-Garonne. Cette situation déplaisait fort aux notables montalbanais ; l’empereur fut donc sollicité par les gouverneurs de cette ville. Il fut alors décidé de créer, autour de celle-ci, le Tarn-et-Garonne, en annexant des territoires départements voisins. Sa préfecture est Montauban et son unique sous-préfecture, Castelsarrasin.

Lauzerte et Auvillar que nous allons découvrir sont deux cités du Tarn-et-Garonne, non loin de Moissac visité préalablement.

Dominant les champs, au loin, Lauzerte…

LAUZERTE « A l’origine, la colline de Lauzerte était un oppidum gaulois. Son nom actuel date des environs de l’an Mil. Tiré du latin “lucerna”, lampe, il désigne une e siècle, le position idéale, visible de loin comme une lumière. A la fin du XII comte de Toulouse reçut la colline en don afin d’y bâtir un castelnau, une cité protégée par un château. La fondation, d’un intérêt stratégique et économique, connut un succès immédiat. Deux cents lots à bâtir furent distribués aux colons, attirés par les libertés consenties. Lauzerte, vers 1200, s’étirait le long d’une unique rue, au nord, tandis qu’un chemin contournait le plateau au sud. Entre les deux, l’espace fut rapidement occupé et la place créée sur le modèle de Montauban. Des faubourgs achevèrent plus tard l’urbanisation du site fortifié. Etape des pèlerins de Compostelle, cité commerçante, peuplée et riche, comme en témoignent ses maisons médiévales, Lauzerte reste aujourd’hui l’un des plus beaux et des plus exemplaires castelnaux de hauteur fondés dans le Midi. »

La bastide domine la colline mais les habitations se sont développées tout autour. « Parti: au 1 er de gueules à la croix tréflée d'argent; au 2 e de gueules au château à trois tours couvertes en dôme d'argent, croisées et maçonnées de sable, jointes ensemble par un entre-mur d'argent, le tout sur une terrasse d'argent chargée d'un lézard de sinople; le tout sommé d'un chef d'azur

Autour de l’ancienne bastide, subsistent des vestiges de remparts avec tours mais aussi, quelques maisons de l’époque Renaissance.

Vue aérienn e récupér ée sur une affiche.

Les petites rues convergen t vers la place principale, place des Cornières.

Cette place des Cornières constitue le centre névralgique de la bastide de Lauzerte. Bordée d’arcades sur deux côtés, elle donne également accès à l’église Saint. Barthélemy qui la domine de son clocher carré massif.

Un coin de la place a été « relevé » par Jacques Buchholtz, célèbre céramiste contemporain, très attaché à Lauzerte et disparu en 1998.

Avant notre visite, sur la place, un petit restaurant, bien calme avec la pandémie, nous accueille pour une légère restauration.

Peu après la fondation de Lauzerte, en 1241, une église fut élevée près de la halle. Elle correspondait seulement à la première travée de l'église actuelle et devint paroissiale après la destruction de Notre-Dame-des-Vaux au XVI e siècle. Elle fut agrandie à partir de 1591. Les travaux durèrent jusqu'en 1654. L'édifice devint alors perpendiculaire à l'orientation primitive. La façade fut construite en 1815. Plusieurs sections de voûtes, dont celles de la nef, furent exécutées à la fin du XIX e siècle. Le plan de l'église est à nef unique, de trois travées, plus large que le chœur fermé par une abside à cinq pans. La nef est flanquée de six chapelles latérales. Avec le chœur, elle est voûtée d'ogives polygonales dont la retombée se fait sur des colonnettes engagées, couronnées de chapiteaux à feuillage. Le clocher est rectangulaire. La partie supérieure fut refaite au XVIIe siècle. Un portail latéral, à voussures et sans tympan, subsiste sur la première travée.

Des barricades protégeant un espace de travaux, dénaturent un peu l’abord de l’église…

L’église Saint. Barthélemy sans les barrières… Ce coin apparaît particulièreme nt agréable.

La sobriété qui prévaut invite au recueillement. L’église a été voûtée d'ogives lors de sa restauration de 1591 à 1654.

Ce retable en bois doré et sculpté, consacré à la gloire de la Vierge, date du XVIII e siècle. Il fut réalisé dans le contexte de la Contre. Réforme. Ses panneaux illustrent l’Annonciation, la Visitation, la Nativité de la Vierge et la Présentation.

Bénitier naïvement décoré, petit passage irrégulier, inscription ancienne gravée dans la pierre, des éléments qui donnent beaucoup de charme à

Dans la chapelle Saint-Antoine, une série de peintures sur bois, en camaïeu de bleu, date du XVIII e siècle. Ces œuvres sont attribuées à Joseph Ingres, père du célèbre peintre montalbanais. Il venait à Lauzerte avec ses élèves.

Ces lambris représentent divers monuments, ruines ou paysages.

Le confessionnal en noyer, du XVIIIe siècle, de forme galbée avec corniche, possède une porte moulurée ajourée de motifs : fleurs de lys, trèfles et cœurs.

On peut voir, dans la vieille ville, des maisons du XIII e siècle, à façades de bois et fenêtres géminées, d'autres de la Renaissance avec fenêtres à meneaux, colombages et pierres blanches

Cette rue, rejoignant la porte de la Grandillone, permet d’atteindre une terrasse bien aménagée dominant la plaine environnante.

« En 1285, les Anglais occupaient une grande partie du pays. Ils étaient rentrés dans Saint-Amans et y avaient établi une garnison au château de Lagarde. Ils reçurent un jour l'ordre de faire mutation avec ceux cantonnés dans le château de Lauzerte. Il était difficile à ces troupes de se déplacer en plein jour. Il suffisait d'un consul énergique pour fermer les portes de la ville. Les Anglais quittèrent donc Lauzerte, tel est le récit de M. Dumas de Rauly. Certains de prétendre qu'en vrais ribauds, ils se rendaient à Miramont pour y boire du petit vin blanc de Touffailles, ou à Sauveterre où on dansait ferme à l'occasion de la grande foire aux escargots. Les Anglais partaient donc. Une pauvre veuve qui logeait entre les deux portes de la Barbacane eut l'idée de compter, au moyen de marrons qu'elle avait auprès d'elle, le nombre de guerriers. Et lorsqu'elle comprit qu'il ne restait plus en ville de ces hôtes maudits, en hâte elle se rendit chez le premier consul. «Les Anglais sont tous dehors lui dit-elle, il en est sorti autant que j'ai des marrons dans mon tablier et bénissez Dieu si nous avons le temps de fermer les portes avant qu'ils ne reviennent» . La population se leva à la voix de son consul. » (La dépêche – Mars 2010)

Terrasse de la Barbacane Cet ensemble militaire défensif protégeait la porte d’Auriac. Il a laissé place à une terrasse poétique. En-dessous, de jolis jardins sont aménagés.

Vues sur la plaine environnante

Lauzerte comporte une quinzaine d’enseignes en fer forgé façonnées par Sylvain Soligon, ferronnier d’art. Elles ajoutent au charme de la cité.

Croix de fer forgé arborant les divers symboles du calvaire et retour vers le centre…

Des habitations se sont développées à même les remparts.

Chemin historique, légendaire, de spiritualité et de confluence socioculturelle, la Via Podiensis, « Premier Itinéraire Culturel Européen » , inscrite au patrimoine mondial de l’humanité par l'UNESCO, est parcouru par le GR 65, sentier de grande randonnée. Venant du Puy-en-Velay (Haute-Loire). Il traverse le Tarn-et-Garonne sur 53 km. Trois villes et villages, référencés comme « Halte sur le Chemin de St. Jacques-de- Compostelle » , ponctuent l'itinéraire où les pèlerins trouvent un point d'information et une structure d'accueil adaptés à leurs attentes : Lauzerte, Moissac et Auvillar. Enfin, Lauzerte compte depuis avril 1990 parmi les villages classés « Plus Beaux Villages de France » , villages retenus pour la qualité de leur patrimoine, de leur architecture et de leur environnement. L’acquisition du label fait l’objet d’une sélection rigoureuse. Elle n’est jamais définitive, des efforts constants sont exigés pour en conserver le titre.

A la sortie de Lauzerte, ce pigeonnier et une fontaine avec abreuvoir sur le chemin de Saint-

AUVILLAR D'abord connue comme cité gallo-romaine, Auvillar était un oppidum fixé sur un éperon rocheux. Elle fut victime de nombreuses invasions, particulièrement celle des Normands, jusqu’au Xe siècle d’où son aspect fortifié. Au XIIe siècle, la cité devint chef-lieu d’une vicomté puis propriété des comtes d’Armagnac au XV e. Fief des rois de Navarre au XVI e siècle, elle fut rattachée à la couronne de France à l’avènement d’Henri IV. Du XVIIe au XIXe siècle, elle connut la postérité grâce à une faïencerie et à la préparation de plumes d’oies pour la calligraphie. Auvillar est une déformation d'alta villa, la ville haute, au-dessus de l'eau. Cette cité se classe , elle aussi, parmi les “Plus beaux villages de France”. C’est aussi une étape majeure sur le Chemin de Saint-Jacques-de. Compostelle. Dominant la luxuriante vallée de la Garonne, cette cité illustre parfaitement ce que furent les villes-marchés avec leur port fluvial en pays occitan.

L'écrivain Philippe Delerm a passé toutes ses vacances scolaires en Tarn-et. Garonne, dans la maison familiale de Malause. Il déclare : « A Auvillar, il y avait deux choses importantes entre les XVIIe et XIXe siècles : la faïence et les plumes d'oie. Il y a un petit musée de la faïence. Il y aussi dans ce musée, les plumes d'oie que l'on fabriquait à Auvillar pour la calligraphie. C'est vraiment une chose qui me parle bien, d'autant plus que je suis resté assez rétrograde vis-à-vis des technologies modernes concernant l'écriture même si je n'ai pas vraiment une plume d'oie. J'écris toujours avec des stylos à pointe fine dans des carnets. Après,

« De gueules à deux tours ouvertes et ajourées de sable, les créneaux de même, essorées chacune de trois pièces pointues aussi de sable et girouettées, celle du milieu plus haute ; la tour de dextre d’or crénelée de sept pièces et girouettée du même, celle de senestre d’argent

Auvillar possède un Office de tourisme intercommunal installé dans l’ancien couvent et dans sa chapelle attenante. Il abrite, outre un hall d’accueil, deux bureaux et une salle d’exposition.

De l’Office de tourisme et de divers points de la cité, on jouit d’un panorama exceptionnel sur la vallée de la Garonne, s’étendant des portes de l'Aquitaine aux coteaux du Quercy. Notamment, on jouit de cette vue, à proximité de l’Office de tourisme, de la

Après des siècles d’histoire, Auvillar a perdu son château et ses murailles, mais c’est encore aujourd’hui un village très dynamique qui se visite agréablement, avec ses belles ruelles rénovées.

Partant de l’Office de tourisme, en contrebas, Lo Putet était une fontaine romaine. On y trouve un lavoir et un abreuvoir. Les anciennes galeries alimentent le lavoir rénové en 2009. De là, par le chemin du Peyrat, ancienne voie romaine, on peut rejoindre la rive de la Garonne et

« Des origines jusqu’au milieu du XIX e siècle, la Garonne a permis non seulement de multiplier les échanges de marchandises mais aussi et surtout de favoriser le contact entre les hommes. L’origine du port d’Auvellar est sans doute un ancien péage qui existait déjà, à cet endroit, en 1204. En 1789, la commune d’Auvellar comptait encore quarante-neuf familles de matelots. Ces mariniers, véritables professionnels de la batellerie, étaient des hommes pleins d’énergie, d’audace et de sang-froid; ils avaient une connaissance parfaite de la rivière et jouissaient d’une considération dont ils se prévalaient. Leur devise était : « Vilain sur terre, Seigneur sur l’eau je suis » Ils vivaient 12 à 16 heures par jour sur les embarcations et couchaient, le soir venu, dans des auberges de la rive. Auvillar était très renommée pour ses auberges et on s’y arrêtait toujours car le péage était obligatoire. » (La Batellerie)

Le quartier du Port au début du siècle dernier. Colbert est à l’origine de la maîtrise des mers par la France. Il fallait beaucoup d’hommes pour armer ces bateaux. On créa l’inscription maritime, sorte de service militaire maritime. Des Auvillarais ont donc fait la campagne d’Amérique entre 1790 et 1792. Au XVIIIe siècle, les besoins de la marine de guerre étant réduits, les marins se tournèrent vers la marine marchande. Commerçante jusqu'au XIX e siècle, la cité d’Auvillar possédait un port actif de premier ordre sur la Garonne

On peut encore voir les demeures des maîtres de bateaux. Des jardins potagers bordent la Garonne. Il s'agit de parcelles mises, par la commune, à la disposition des villageois.

Les gens de marine, comme s’intitulaient les bateliers, avaient, dans chaque port, leur église particulière. Presque toutes sont dédiées à sainte Catherine, patronne des gens de la rivière et des philosophes. Celle d’Auvillar, Sainte-Catherine-du-Port, date vraisemblablement de l’époque carolingienne. Il est encore possible de voir, au-dessus du porche, à l’extérieur, un monogramme du Christ du IX e siècle. Ce chrisme est un important symbole de l’Eglise primitive.

En remontant vers le centre du village Le charme d’Auvillar réside, entre autres, dans le mariage harmonieux du blanc de la pierre calcaire, du rose de la brique et du grisé des galets roulés de la Garonne.

Partout dans la cité des petites sculptures sont accrochées aux façades. Auvillar est située sur la Via Podiensis, la route vers Saint-Jacques-de. Compostelle venant du Puy-en Velay. Chaque année, le deuxième weekend d'octobre, durant le marché des potiers, de plus en plus réputé, un concours de poterie, sur le thème des pèlerins, est organisé. La sculpture choisie par le jury vient enrichir une des façades du bourg.

Un saint Jacques un peu modernisé !

Nous arrivons sur la place centrale, place triangulaire magnifiquemen t entourée par les vieilles maisons et leurs couverts, les cornières. Comme à Lauzerte et partout, elles servaient à protéger les denrées et objets fragiles que les

Une singularité à Auvillar : toutes les cornières sont différentes par leur hauteur et leur largeur.

Au centre de la place, une magnifique halle circulaire, sur colonnes, a été construite en 1830 sur les restes d’une ancienne halle quadrangulaire.

A l’intérieur, on peut lire le nom de plusieurs céréales ainsi que ceux du méteil, mélange bléseigle, et du champart, mélange orge-blé. Cette halle ronde, monument historique depuis 1946, captive le regard. Elle repose sur des colonnes toscanes, spécimens uniques en Midi-Pyrénées. Elle devient encore plus colorée lors du marché des potiers se déroulant chaque année à l’automne depuis 2002. Les potiers ont fait la richesse d'antan du village : Auvillar était au XVIIIe et XIXe siècles un centre de faïence important et réputé puisqu'en 1830, on comptait encore jusqu'à 13 faïenceries en activité.

De la place, on n’est jamais loin de la périphérie avec ses magnifiques points de vue…

Nous nous dirigeons vers l’église légèrement en contrebas. Elle est située hors des remparts de la ville.

Classée monument historique en 1862, c’est l’une des plus belles églises du diocèse de Montauban. L'église Saint-Pierre est probablement contemporaine des premiers vicomtes d'Auvillar, d'après les travaux du chanoine Pottier. Elle aurait existé déjà en 1186, comme prieuré bénédictin et église paroissiale. Elle dépendit de l'abbaye de Moissac jusqu'au XIIIe siècle. A la date du 20 Novembre 1261, le prieuré fut rattaché à l'abbaye de Mas-Grenier et cela jusqu'à la Révolution. Après avoir été

L’arc triomphal du chœur date du XV e siècle. La nef a été reconstruite au XIVe siècle, des absidioles à la façade occidentale, en même temps que s’implantait un prieuré bénédictin. Les voûtes et les chapiteaux furent également refaits ainsi que le mur du chevet. Au XIVe siècle , elle subit d’importants dégâts pendant les guerres anglaises puis au XVIe , durant les guerres de Religion alors qu’elle fut en grande partie ruinée. Il ne reste plus de l'église romane que l'absidiole nord et quelques portions de l'arc

Classé au titre des monuments historiques, le retable du chœur, en bois, exécuté au XVII e siècle représente en son centre l'Assomption. Il fut réalisé par Bern d'Henny d'après un tableau de Rubens. A gauche,

Ce confessionnal est de forme un peu inusitée. La chaire en bois doré et sculpté fut exécutée au XVII e siècle. Elle est classée aux monuments historiques au titre

Retable du XVIII e siècle encadré par deux bustes représentant saint Clair et saint Augustin. Polyptyque de la Crucifixion du Christ, de la seconde moitié du XVII e siècle

L’absidiole nord, subsistant de l’époque romane.

Crypte devenue chapelle du Trésor.

L’église Saint. Pierre surprend par son architecture atypique où se télescopent les réalisations des divers siècles…

C’est du cimetière que l’on découvre le mieux cet aspect surprenant.

Vestiges subsistant après les destructions du XVIe siècle.

Né à Auvillar, abandonné par sa famille et recueilli par un gentilhomme, Aldric de Vilar fut confié à Cercamon, troubadour, qui l’initia et le forma aux arts de la poésie et de la musique. Il devint jongleur des gestes et des mots. Il connut, vers 1140, la destinée des troubadours de son temps : le nomadisme entre les cours de France et de Castille, semant sérénité et inquiétudes, éloges et satires, pastourelles et railleries acerbes. Son œuvre (43 poèmes) utilise toute la gamme de la prosodie occitane avec le recours à des métaphores savantes où se mêlent l’attention attachante à la destinée des pauvres gens et la violence acerbe contre le genre plébiscité à l’époque de l’amour courtois. Porte Arnaud Othon et tour de l’Horloge

L’élégante tour de l’Horloge, bâtie sous Louis XIV en pierre et brique, surplombe la porte Arnaud Othon, du nom d'un vicomte d'Auvillar. Les portes et les fenêtres sont en plein cintre et chaque étage est agrémenté de moulures fouillées dans la brique. C’est l’un des trois accès au vieil Auvillar et à sa ravissante place triangulaire, par une ruelle, bordée de vieilles maisons des XV e au XVIIIe siècles.

Vaste demeure reconstruite aux XVII e et XVIIIe siècles, la Maison des Consuls, fut maison commune de 1265 à la Révolution. Portail restauré d’époque Louis XV

Trame sonore : Musique instrumentale Renaissance Sources d’informations : panneaux sur place, Office du tourisme, plusieurs sites du web Photos sauf indication contraire, conception et réalisation : Marie-Josèphe Farizy-Chaussé Décembre 2020 marijo 855@gmail. com D’autres diaporamas sur : http: //famille 3. morhain. net/category/marie-jo/ http: //www. pps-images-photos. com/createurs/marijo. html

A R U V E R I O

Photo : Les plus beaux villages de France