AVEC MARIJO CARPENTRAS on m ma e est

  • Slides: 55
Download presentation
AVEC MARIJO

AVEC MARIJO

CARPENTRAS

CARPENTRAS

on m à ma e est a r o ill iap v d a

on m à ma e est a r o ill iap v d a l e nt ec i o d n d é , Je d Arlette elle-ci, e t le c amie ée avec pour tou rte l o t jume ciemen e m’app l la : er rem rt qu’el nt dans oramas e o l e supp uellem mes diap hes sur in rc cont ation de e reche s réali e et mêm r lectu … Web

Carpentras, capitale du Comtat Venaissin, est une sous-préfecture du Vaucluse, au sud du Mont

Carpentras, capitale du Comtat Venaissin, est une sous-préfecture du Vaucluse, au sud du Mont Ventoux. Elle compte un peu plus de 30 000 habitants. « De gueules, à un mors antique de cheval d'argent, dont le milieu est forgé d'un des clous de la passion de Notre. Seigneur Jésus-Christ » Hélène, la mère de l’empereur Constantin, aurait forger un mors pour le cheval de son fils dans un clou provenant de la croix du Christ. Cette relique disparut lors du pillage par les croisés, en 1204, et reparut à Carpentras, en 1260. D’où l’origine de l’emblème de la ville…

Carpentras fut la capitale des Méminiens, tribu gauloise, et elle jouait déjà un grand

Carpentras fut la capitale des Méminiens, tribu gauloise, et elle jouait déjà un grand rôle de marché régional. Son importance fut renforcée sous les Romains, obtenant le droit latin de « colonia » . Elle continua à rayonner et devint évêché au IVe siècle. En 1313, le pape Clément V y établit sa curie mais, à sa mort, un an plus tard, son successeur préféra Avignon. Cependant, la ville, capitale du Comtat Venaissin en 1320, jouissant de la munificence pontificale, s’étendit et bâtit des fortifications dont il ne reste que la porte d’Orange. Après le transfert de la papauté à Rome, la ville resta sous l’autorité d’un vice-légat. En 1790, dans la foulée de la Révolution, alors qu’Avignon demandait son rattachement à la France, Carpentras tentait d’obtenir son indépendance en formant un gouvernement sous l’autorité constitutionnelle du pape. Toutefois, elle fut rattachée à la France en 1791, en même temps que tout le Comtat-Venaissin.

Arrivée à l’heure de midi, impossible d’aller à l’Office du Tourisme pour me procurer

Arrivée à l’heure de midi, impossible d’aller à l’Office du Tourisme pour me procurer de l’information qui guiderait ma visite… Alors je décide de me rendre au bout d’une très grande promenade qui offre aussi un vaste stationnement, gratuit qui plus est! Il est bien pratique pour le visiteur… Je commence par jeter un coup d’œil au monument aux morts qui trône à son extrémité puis décide une première incursion dans la vieille ville…

C’est en traversant la petite place des Maréchaux que je pénètre dans l’espace ancien.

C’est en traversant la petite place des Maréchaux que je pénètre dans l’espace ancien. Ces plaques sont apposées sur un très vieux mur.

C’est le mur de la tour, de trois étages, de la Vieille Charité. Par

C’est le mur de la tour, de trois étages, de la Vieille Charité. Par des legs (Jean Bernard en 1669 et chanoine Nepton en 1672), la ville acquit une grande maison bourgeoise pour en faire une Charité. Elle l’utilisa pour enfermer, entretenir et éduquer les défavorisés : enfants abandonnés, vieillards impotents, infirmes inaptes au travail. La Charité fut placée sous le vocable de saint Jean-de-Dieu. En 1798, les adultes furent transférés à l’Hôtel-Dieu mais l’orphelinat subsista jusqu’à la fin du XIX siècle puis fut remplacé par une école supérieure de jeunes filles jusqu’en 1924. En 1975, des travaux de restauration furent entrepris. La Charité abrite désormais un centre culturel et un conservatoire de musique.

Autour de la cour, des galeries sous arcades, en pierre de taille, récupération de

Autour de la cour, des galeries sous arcades, en pierre de taille, récupération de matériaux utilisés pour les constructions du Moyen ge.

Premiers pas dans la vieille ville…

Premiers pas dans la vieille ville…

D’emblée, je suis séduite par ces magnifiques entrées…

D’emblée, je suis séduite par ces magnifiques entrées…

La chapelle du Saint-Crucifix, érigée au XVIIIe siècle, est celle des Pénitents-Noirs, la plus

La chapelle du Saint-Crucifix, érigée au XVIIIe siècle, est celle des Pénitents-Noirs, la plus ancienne des confréries de pénitents, fondée en 1317. Ceuxci acquirent plus d’importance lors de leur affiliation à l’Archiconfraternité du Très-Saint -Crucifix de Rome, en 1593. La chapelle est fortement influencée par le classicisme. Entre deux niches étroites, le portail est surmonté d’un panneau rectangulaire encadré de palmes et coiffé d’un autre panneau cintré.

La confrérie des Pénitents. Blancs, placée sous le vocable de Notre-Dame-de-Pitié, fut créée en

La confrérie des Pénitents. Blancs, placée sous le vocable de Notre-Dame-de-Pitié, fut créée en 1585. Ils érigèrent leur chapelle au XVIIe siècle et elle fut réaménagée à deux reprises, en 1705 et en 1779. On y pénètre par une porte à fronton triangulaire orné d’une frise à rinceaux et surmonté d’un oculus.

La sous-préfecture et une autre jolie porte voisine…

La sous-préfecture et une autre jolie porte voisine…

Chassés de France par Philippe le Bel, les Juifs se réfugièrent nombreux dans les

Chassés de France par Philippe le Bel, les Juifs se réfugièrent nombreux dans les villes de la terre papale où ils pouvaient pratiquer leur religion en toute sécurité. Carpentras en abrita une importante communauté dans un quartier qui ne devint ghetto qu’au XVIe siècle. La synagogue fut installée à son emplacement actuel, place Maurice Charretier, en 1367, et la salle de prières fut érigée dans les années 1740. Elle conserve son aspect d’origine et se visite, mais elle était fermée lors de mon passage. La façade qui se veut discrète, date de 1909.

L’Office du Tourisme nous dit : « Cette fontaine représente à elle seule toutes

L’Office du Tourisme nous dit : « Cette fontaine représente à elle seule toutes les fontaines de Carpentras et l’attachement de notre ville à l’eau » . La Fontaine de l’Ange fut construite en 1731. Elle mesure 3, 42 m sans compter le génie qui, lui, dépasse le mètre. Elle fut détruite en 1904, au lendemain de la Fête de la Fontaine au cours de laquelle le piédestal s’était effondré. Elle fut reconstruite en 2004 pour le plus grand plaisir des habitants de la ville!

Sur cette place, un certain monsieur Capponi implanta un mont-de-piété. Celui-ci fut remplacé par

Sur cette place, un certain monsieur Capponi implanta un mont-de-piété. Celui-ci fut remplacé par une caisse d’épargne entre 1836 et 1908. Bourse du travail et bains-douches succédèrent. Enfin, entre les deux dernières guerres, la ville y créa une piscine. Ce fut longtemps la seule installation du genre dans le Vaucluse. L’architecte J. Christol employa un matériau contemporain, le béton. Il l’agrémenta d’un décor de cabochons de faïence couleur turquoise. La réhabilitation de 1991 amena l’agrandissement qui s’ouvre par une large baie vitrée sur la place Capponi.

L’Office du Tourisme est installé dans ce vaste édifice, ancien couvent des Dominicains, qui

L’Office du Tourisme est installé dans ce vaste édifice, ancien couvent des Dominicains, qui fut successivement caserne, théâtre puis cinéma. Abandonné dans les années 1960, il a été réhabilité récemment et accueille aussi un théâtre et la Maison régionale.

L’Hôtel-Dieu est l’œuvre d’un cardinal visionnaire : Monseigneur d’Inguimbert. Il le fit ériger entre

L’Hôtel-Dieu est l’œuvre d’un cardinal visionnaire : Monseigneur d’Inguimbert. Il le fit ériger entre 1750 et 1761. C’est un imposant bâtiment de 10 000 m 2 dont la longue façade est surmontée de pots à feu. Je manquais malheureusement de temps pour en visiter l’intérieur qui conserve un large escalier d’honneur, la Galerie des Donatifs, mémoire des donateurs (281 peintures sur toile), la chapelle baroque et la pharmacie.

J’ai surtout regretté de ne pouvoir visiter l’apothicairerie qui conserve, intacts depuis le XVIIIe

J’ai surtout regretté de ne pouvoir visiter l’apothicairerie qui conserve, intacts depuis le XVIIIe siècle, pots de faïence et de verre, mortiers et mobilier de ses débuts.

Après l’exploration de l’immense esplanade face à l’Hôtel-Dieu, c’est le retour à cette petite

Après l’exploration de l’immense esplanade face à l’Hôtel-Dieu, c’est le retour à cette petite place à proximité de l’Office du tourisme. Là, s’ouvre la rue de la République, l’une des principales artères de la vieille ville.

que i l b u a Rép nt à la l e d e

que i l b u a Rép nt à la l e d e e La ru t directem frein. i if condu ale Saint-S dr cathé

Un petit détour pour découvrir la chapelle du Collège. Elle tient son nom du

Un petit détour pour découvrir la chapelle du Collège. Elle tient son nom du quartier qui fut intellectuel dès le Moyen ge et reçut jusqu’à 300 étudiants. Pétrarque y étudia quatre ans. Les travaux pour la réaliser durèrent plus de cinq décades, les Jésuites ayant eu des problèmes de manque de fonds.

Admirez cette Vierge sculptée dans le bois, installée à l’angle d’un bâtiment, comme si

Admirez cette Vierge sculptée dans le bois, installée à l’angle d’un bâtiment, comme si souvent on les trouve dans les villes de Provence.

A l’origine, la cathédrale Saint. Siffrein était romane, avec une seule nef de cinq

A l’origine, la cathédrale Saint. Siffrein était romane, avec une seule nef de cinq travées. Après deux édifices successifs, la nef de la troisième cathédrale s’effondra en 1399. Il en reste une coupole sur trompes qui était couverte d’une calotte octogonale et d’un clocher plusieurs fois restauré et démoli en 1875. Après l’effondrement, Benoît XIII décida de la reconstruction qui s’étendit jusqu’en 1531. C’est maintenant la plus grande du diocèse. Tourelles octogonales et contreforts à pinacle adoucissent sa façade.

Je commence par en faire le tour. Le clocher actuel fut élevé entre 1899

Je commence par en faire le tour. Le clocher actuel fut élevé entre 1899 et 1902 et s’élève à 58 m.

On peut observer un grand nombre de gargouilles, certaines très originales.

On peut observer un grand nombre de gargouilles, certaines très originales.

Cette porte latérale de style gothique flamboyant, ouverte au XVe siècle, est dite la

Cette porte latérale de style gothique flamboyant, ouverte au XVe siècle, est dite la Porte Juive car c’est par elle qu’entraient les Juifs nouvellement convertis! Elle est constituée d’une baie en arc brisé entre deux contreforts avec pinacles et clochetons. Sur le tympan, la Sainte Trinité date du XVIe siècle. Les baies qui dominent éclairent la salle capitulaire.

Ci-dessous, l’un des imposants tombeaux qui encadrent l’entrée. Le chœur est actuellement en restauration.

Ci-dessous, l’un des imposants tombeaux qui encadrent l’entrée. Le chœur est actuellement en restauration. L’autel majeur en marbre blanc et jaune, réalisé en 1845, se trouve masqué en grande partie par celui de la nouvelle liturgie…

Les travées du fond de la cathédrale et l’orgue.

Les travées du fond de la cathédrale et l’orgue.

Deux des chapelles latérales.

Deux des chapelles latérales.

A proximité de la cathédrale, sur la place du Général de Gaulle, on trouve

A proximité de la cathédrale, sur la place du Général de Gaulle, on trouve l’ancien évêché qui abrite le Palais de Justice depuis 1801. Ce bâtiment fut édifié sur les ruines d’un édifice médiéval, en 1646, en s’inspirant des grands palais italiens.

Sur la même place, deux vastes fontaines se font face.

Sur la même place, deux vastes fontaines se font face.

C’est sous le règne d’Auguste que l’Arc romain fut construit pour manifester la puissance

C’est sous le règne d’Auguste que l’Arc romain fut construit pour manifester la puissance de l’Empire. Les bas-reliefs deux faces latérales montrent des captifs enchaînés.

Encore une belle porte voisine! Le musée Sobirats tient son nom du comte qui

Encore une belle porte voisine! Le musée Sobirats tient son nom du comte qui en fit don. Il abrite une importante collection art déco ainsi qu’un mélange remarquable d’œuvres du XVIIIe siècle et provençales.

On croise des murs très anciens. A la diapositive suivante, d’une terrasse verdoyante, une

On croise des murs très anciens. A la diapositive suivante, d’une terrasse verdoyante, une vue sur l’environnement.

Après les réformes catholiques du Concile de Trente, au XVIIe siècle, des communautés féminines

Après les réformes catholiques du Concile de Trente, au XVIIe siècle, des communautés féminines s’installèrent à Carpentras : Carmélites, Ursulines et ici, Visitandines contemplatives. Le couvent fut vendu comme bien national en 1796. La chapelle fut rachetée par les Pénitents-Gris en 1817. Un musée lapidaire y fut installé en 1936 pour y exposer des objets ayant appartenu aux Pénitents : costumes, lanternes, hallebardes, etc.

C’est le dernier vestige des remparts construits au XIVe siècle Ci-dessus, la Porte d’Orange,

C’est le dernier vestige des remparts construits au XIVe siècle Ci-dessus, la Porte d’Orange, côté intérieur de la vieille ville et à droite, telle que vue des boulevards extérieurs.

La ceinture de boulevards, qui entoure la cité ancienne, me fait penser à la

La ceinture de boulevards, qui entoure la cité ancienne, me fait penser à la topographie de Manosque qui a fait l’objet d’un autre diaporama.

Cette chapelle est construite extra muros sur l’un des gués de la rivière Auzon.

Cette chapelle est construite extra muros sur l’un des gués de la rivière Auzon. Elle fut d’abord nommée Notre-Dame du Pont de Serres. Après le recul de la peste, considéré miraculeux, en juillet 1629, elle fut rebaptisée Notre-Dame de Miséricorde puis Notre-Dame de Santé. Le miracle se renouvela en 1720. Il fut décidé de la reconstruire en 1734 mais les travaux furent interrompus et ne reprirent qu’en 1847. Elle fut rouverte en 1848. En 1793, la statue fut transportée à l’église des Observantins. Elle y fut mutilée puis cachée dans une dépendance et un puits. Elle fut rendue au sanctuaire et restaurée en 1797.

L’église Notre-Dame de l’Observance, à la périphérie de la vieille ville, domine les boulevards

L’église Notre-Dame de l’Observance, à la périphérie de la vieille ville, domine les boulevards extérieurs. D’abord d’obédience franciscaine (les Observantins arrivèrent de Monteux en 1562, lors de la guerre entre catholiques et protestants), elle devint paroissiale en 1792 puis convertie en temple décadaire. Elle fut restaurée dans un style néo-gothique, redonnée à la paroisse en 1880. Elle n’est ouverte que durant les messes.

Quel nom poétique! C’est la Place du Marché aux Oiseaux…

Quel nom poétique! C’est la Place du Marché aux Oiseaux…

Nous retrouvons le centre et son hôtel de ville.

Nous retrouvons le centre et son hôtel de ville.

Au cœur de la cité, la rue des Halles.

Au cœur de la cité, la rue des Halles.

L’une des curiosités de Carpentras est le passage Boyer. Le promoteur de ce projet

L’une des curiosités de Carpentras est le passage Boyer. Le promoteur de ce projet fut un orfèvre de la ville. Il eut l’idée de relier les Halles au marché de pommes de terre… Pour ce faire, il fit démolir une série de maisons pour les remplacer par deux rangées d’immeubles reliés par une verrière sur charpente métallique. Copiant les habitudes parisiennes, des boutiques modernes s’installèrent au rez-de-chaussée.

Le Passage Boyer On y accède par deux grands porches voûtés d’arêtes.

Le Passage Boyer On y accède par deux grands porches voûtés d’arêtes.

Le beffroi est le seul vestige de la maison commune de la ville installée

Le beffroi est le seul vestige de la maison commune de la ville installée au XVe siècle, mais détruite par un incendie en 1713. Le campanile en fer forgé date de 1577.

Avant de me glisser dans ce passage pour quitter les lieux… … je veux

Avant de me glisser dans ce passage pour quitter les lieux… … je veux compléter en parlant des marchés célèbres bien au-delà de Carpentras même si je n’ai pas eu la chance d’en observer un… Le Marché Provençal donne une ambiance de fête à la ville chaque vendredi. Il est complété, durant la belle saison, par le marché du mardi pour les producteurs locaux. Le dimanche, lui, est réservé au Marché aux Puces et à la Brocante sur la grande allée où je me suis garée sous les arbres. Durant l’été se tient le Marché du samedi, consacré à l’artisanat, dans le cadre charmant de la place du Marché aux oiseaux. D’importance, est le Marché aux Truffes qui s’installe chaque vendredi, de novembre à mars, dans la cour de l’Hôtel-Dieu. La région, première productrice du « diamant noir » , détient 75% de la production nationale. Il faut noter également la Fête de l’environnement et son marché du Bio-Bien-être et développement durable, une journée d’avril. Enfin, on doit mentionner la Braderie estivale durant la première quinzaine d’août et la Foire Saint-Siffrein qui allie fête foraine, foire exposition et foire agricole, qui a duré 4 jours en 2012, du 24 au 27 novembre.

Outre la truffe noire, une autre spécialité fait connaître la ville : C’est le

Outre la truffe noire, une autre spécialité fait connaître la ville : C’est le Berlingot de Carpentras, une tradition ancestrale… Une légende raconte, que Clément V, en 1310, a créé le Berlingot de Carpentras On peut douter! En fait, à l'origine, il semble que c'était un produit médicinal vendu par les apothicaires. Le premier qui le commercialisa comme friandise fut François Pascal Long, un pâtissier-confiseur de Carpentras, qui, en 1840, utilisa le sirop de fruits confits pour le fabriquer. En 1851, Gustave Eysséric, lui donna un nouvel essor en industrialisant la fabrication grâce à la « berlingotière Letang » . Il exporta dans le monde entier des berlingots à la menthe poivrée. Le berlingot de Carpentras a pour caractéristique d'être rayé de blanc par des stries qui peuvent atteindre le nombre de quarante. Elles sont le résultat de l'ajout de sucre cuit, longuement battu pour lui donner blancheur et opacité.

Musique : You Tube – Un petit bout de Provence Informations : prises sur

Musique : You Tube – Un petit bout de Provence Informations : prises sur place et dans les publications de l’Office du Tourisme Photos, conception et réalisation: M. -J. Farizy-Chaussé Décembre 2012 marijo 855@gmail. com D’autres diaporamas sur : http: //famille. morhain. net/lapagedemarijo/ et : http: //www. pps-imagesphotos. com/createurs/marijo. html

La Provence est ma terre d’adoption et je l’aime. Si elle vous attire, vous

La Provence est ma terre d’adoption et je l’aime. Si elle vous attire, vous aussi, allez explorer : http: //sitesdeprovence. free. fr/pps. htm Vous y trouverez, outre les diaporamas, de nombreux films qui vous feront mieux connaître cette magnifique région et son art de vivre.

A E R U R I O V

A E R U R I O V