quelles conditions les TICE peuventelles tre utiles Quelques

À quelles conditions les TICE peuvent-elles être utiles ? Quelques apports de la recherche André Tricot IUFM de Midi Pyrénées & Laboratoire Cognition, Langues, Langage, Ergonomie UMR 5263 CNRS, EPHE & Université Toulouse 2 1

Plan 1. Introduction 2. L’entrée par les technologies éducatives : lesquelles sont utiles ? pour quoi ? dans quelles conditions ? 3. L’entrée par les apprentissages visés : lesquels bénéficient d'un apport des TICE ? 4. L’entrée par l'utilisabilité des applications 5. L’entrée par la compatibilité avec les pratiques des enseignants 6. Conclusion 2

Plan 1. Introduction 2. L’entrée par les technologies éducatives : lesquelles sont utiles ? pour quoi ? dans quelles conditions ? 3. L’entrée par les apprentissages visés : lesquels bénéficient d'un apport des TICE ? 4. L’entrée par l'utilisabilité des applications 5. L’entrée par la compatibilité avec les pratiques des enseignants 6. Conclusion 3

Langues écrites - 6 000 - 3 300 + 1 500 Internet Orthographe Grammaire Imprimerie Écrits financiers - 200 000 Dessins Langues orales Communication Non verbale Les TIC : un peu d’histoire + 2 000 4

Les TIC : apprentissages Apprentissages implicites 0 Grammaire Orthographe Écriture Lecture Dessins Gribouillages Langue orale Communication Non verbale Apprentissages explicites 1, 5………………… 8 5

Qu’est-ce qu’apprendre ? ü Capacité des organismes vivants à s’adapter à leur(s) environnement(s) au cours de leur propre vie. ü Capacité de réutiliser une trace d’un environnement dans le même ou un autre environnement, ultérieurement. – sensations, émotions, souvenirs, interprétations, concepts, savoir-faire, méthodes, etc. 6

Apprentissages implicites et explicites ü Apprentissages implicites = apprentissages adaptatifs de connaissances primaires – Apprendre sa langue maternelle, à reconnaître des visages, à avoir des relations sociales, à se sortir de situations problèmes, à interagir physiquement avec son environnement par le mouvement ü Apprentissages explicites = apprentissages non immédiatement adaptatifs de connaissances secondaires – Apprendre à lire, à écrire, une langue étrangère, à résoudre une équation – Requièrent des efforts, du temps, de la motivation et des stratégies 7

Connaissances et comportements réflexes connaissances implicites connaissances explicites Évolution de l’espèce Par détection de régularités dans Par exploration Par imitation - découverte l’environnement Implicites Par enseignement Explicites Apprentissages inné acquis 8

En résumé ü Les NTIC à l’heure actuelle sont plutôt conçues comme des ressources pour des situations d’enseignement, c’est-à-dire une situation d’apprentissage explicite, dans lesquelles se trouvent des élèves, un enseignant et des contenus. ü On se demande si : – elles constituent des ressources plus efficaces que d’autres, plus anciennes – elles sont compatibles avec les situations d’enseignement, c’est-à-dire les pratiques des enseignants et des élèves – elles ne posent pas de nouveaux problèmes 9

Plan 1. Introduction 2. L’entrée par les technologies éducatives : lesquelles sont utiles ? pour quoi ? dans quelles conditions ? 3. L’entrée par les apprentissages visés : lesquels bénéficient d'un apport des TICE ? 4. L’entrée par l'utilisabilité des applications 5. L’entrée par la compatibilité avec les pratiques des enseignants 6. Conclusion 10

Rappel : innovation technologique et enseignement ü Technologies éducatives (faire plus, mieux, plus vite) ü Adaptation au monde (qui change), acquisition de nouvelles compétences ü Amélioration des apprentissages (qualitativement, quantitativement) ü Nouvelles façons de travailler ü Effets de mode (refaire de l’ancien avec un nouvel habillage. . . en séduisant plus les élèves) 11

Qu’est-ce que l’informatique pédagogique ? élève ordinateur + Application : Enseignant Environnement Document contenu 12

Qu’est-ce que l’informatique pédagogique ? élève ordinateur impose interagit recherche Enseignant (EAO) Environnement (EIAO, ENT) Document (hypermédia) contenu 13

Rappel : les catégories d’application ü ü ü ü ü Application ludo-éducative Exerciseur Hypermédia Micromonde Plate forme d'apprentissage collaboratif Documents électroniques, préAO, TBI Simulation Tuteur intelligent Utilisation pédagogique d'applications professionnelles Projet pédagogique impliquant une réalisation TICE 14

Les dimensions de l’analyse ü fonction pédagogique ü tâche de l’élève ü exemple d’activité ü rôle du professeur (tâche, espace, temps, communication) ü apport pour l’élève ü apport pour l’enseignant ü limites 15

Application ludo-éducative ü Fonction pédagogique : captiver l'attention et la motivation de l'élève ü Tâche élève : jouer ü Exemple activité : au domicile, activité de délestage ü Rôle du professeur : aucun… ou presque ü Apport élève : pas d'évaluation positive connue ; semble entraîner une activité mais pas d'apprentissage ü Apport enseignant : tranquillité ü Limites : peu d’intérêt pédagogique (aucun? ) 16

Exerciseur ü ü Fonction pédagogique : dispenser des exercices Tâche élève : faire des exercices Exemple activité : TP, révisions, travail au domicile Rôle du professeur : en apparence très modeste, mais probablement très important : il institue une situation d'apprentissage ü Apport élève : procéduralisation, automatisation ü Apport enseignant : discutable car l'enseignant peut s'ennuyer ü Limites : ne marche par forcément en autonomie ; attention à la qualité des corrections ; ne sert qu'à la procéduralisation et à l'automatisation 17

Hypermédia ü Fonction pédagogique : fournir un espace d'exploration ü Tâche élève : problématiser, explorer ü Exemple activité : recherche thématique, préparation d'un exposé ü Rôle du professeur : définition d'un objectif large ; accompagnement ü Apport élève : découverte, responsable de son activité, de son parcours ü Apport enseignant : diversité des connaissances construites (concepts, méthodes, méta, savoir-faire); interdisciplinarité ü Limites : l'élève peut se perdre; l'apprentissage dépend de l'engagement et de la persistance de l'apprenant 18

Micromonde ü Fonction pédagogique : fournir un environnement pour la découverte de domaines abstraits ü Tâche élève : construire ü Exemple activité : résolution de problèmes « mal définis » ü Rôle du professeur : définir une tâche, assister ü Apport élève : compréhension de certaines notions; apprentissage par induction ü Apport enseignant : permet d'asseoir de futurs enseignements ü Limites : peut sembler abstrait à certains élèves; certains abandonnent 19

Plate forme d'apprentissage collaboratif ü Fonction pédagogique : fournir un espace d'échange entre élèves ü Tâche élève : collaborer, discuter, confronter des hypothèses ü Exemple activité : site groupes PE 2 IUFM Toulouse ü Rôle du professeur : inciter, conseiller ü Apport élève : échanges, comparaisons, mutualisation ü Apport enseignant : possibilité d’enseigner à distance ü Limites : isolement, difficultés d’organisation, absence d’un chat 20

Docs électroniques, préAO, vidéo, TBI, lecteurs MP 3 ü ü ü Fonction pédagogique : présenter de l'information Tâche élève : lire, regarder, écouter (et comprendre !) Exemple activité : cours magistral ou interactif Rôle du professeur : présenter de l'information Apport élève : peut favoriser la compréhension de certaines notions (par rapport à l'oral, à l’écrit seuls) ü Apport enseignant : la distance ; permet de représenter des notions difficiles à représenter autrement ; fil conducteur ; redondance ü Limites : ne sert qu'à la compréhension ; peut sembler ennuyeux 21

Simulation ü Fonction pédagogique : fournir un environnement pour la découverte de lois naturelles ü Tâche élève : manipuler, observer ü Exemple activité : expérimentation ; observation ; « découverte » ü Rôle du professeur : guider le questionnement; instituer la connaissance ü Apport élève : compréhension de phénomènes dynamiques ü Apport enseignant : possibilité de montrer des phénomènes difficiles à montrer autrement ü Limites : grosses difficultés de compréhension; distanciation entre la simulation et la réalité ? 22

Tuteur intelligent ü ü ü Fonction pédagogique : véritablement enseigner Tâche élève : comprendre, résoudre des pbs, etc. Exemple activité : activité en autonomie de type TD Rôle du professeur : aucun (si ce n'est d'instituer) Apport élève : très complet : prise de conscience des erreurs, compréhension, production d'hypothèses, procéduralisation, etc. ü Apport enseignant : ? ü Limites : n'existe pas vraiment 23

Utilisation pédagogique d'applications professionnelles ü Fonction pédagogique : mettre en situation professionnelle ; détour ü Tâche élève : utiliser un outil informatique ü Exemple activité : dessiner, réaliser le journal de l’école ü Rôle du professeur : faire parcourir les fonctions ü Apport élève : acquisition d’un bagage ü Apport enseignant : détour; mise en situation ü Limites : éducation = préparation à l’entrée dans le monde professionnel ? 24

Projet pédagogique impliquant une réalisation TICE ü Fonction pédagogique : réaliser un traitement de l'information afin de produire un document multimédia ü Tâche élève : produire des textes, images, sons et composer leur découverte ü Exemple activité : réalisation d'un dessin animé par 3 classes de Cycle 2 ü Rôle du professeur : ü tache : guider, induire, faire formuler ü espace : intervention sur petit groupe ü Apport élève : maîtrise de différents langages, anticipation du résultat ü Apport enseignant : gestion de groupes composé de peu d'éléments, favorisant le travail différencié ü Limites : pas facile pour un débutant 25

Plan 1. Introduction 2. L’entrée par les technologies éducatives : lesquelles sont utiles ? pour quoi ? dans quelles conditions ? 3. L’entrée par les apprentissages visés : lesquels bénéficient d'un apport des TICE ? 4. L’entrée par l'utilisabilité des applications 5. L’entrée par la compatibilité avec les pratiques des enseignants 6. Conclusion 26

En apprentissage initial ü L’apprenant a pour tâche d’essayer de comprendre des connaissances nouvelles – Structure hiérarchique et claire – Navigation linéaire ou guidée, allant du simple vers le complexe. – Codes (linguistiques et non-linguistiques) • redondants entre eux • référencement mutuel doit être explicite – Utiliser la multimodalité – Animations pas à pas, suite d’états 27

Apprentissage avancé ü L’apprenant ayant déjà des connaissances dans le domaine ; en train de continuer à apprendre – Les documents peuvent être plus complexes. – Structure peut être moins hiérarchique – Moins de guidage et de redondance – Les animations peuvent être utilisées. – Le rôle du support est maintenant secondaire: accès selon besoin, l’activité est centrale : résolution de problème, réalisation d’un projet, d’exercices, etc. 28

Apprentissage très avancé ü Les individus sont devenus des experts dans le domaine – Les supports ont un rôle encore différent • support d’une mise à jour ponctuelle d’une connaissance • réponse à une question précise – Le support a alors pour principale qualité d’être bien indexé et/ou d’avoir un moteur de recherche performant 29

Processus Eléments favorisants conceptualisation Identification des traits communs. Profondeur d’encodage. Catégorisation. Mise en lien avec d’autres concepts. compréhension Proximité entre ce qui est présenté à l’élève (texte, image, objet, etc. ) et ses connaissances antérieures. Multiplicité de l’encodage. procéduralisation Compréhension. Bon équilibre entre recherche de la solution par l’élève (hypothèses, essais et erreurs) et guidage par l’enseignant. Transfert à d’autres problèmes. Importance du temps. automatisation Fréquence de l’utilisation de la connaissance, répétition, essais et erreurs. Importance du temps. mise en application Eléments saillants, analogie. Qualité de la conceptualisation (niveau de généralité, cohérence). prise de conscience Réflexion, analyse, comparaison - confrontation avec l’activité d’autrui. 30

L’exemple des apprentissages par compréhension 31

Qu’est ce qu’un document ? discours code argumentation linguistique explication iconique description structure analogique « non-codé » narration non linéaire dialogue linéaire papier En ligne accès Hors ligne visuel électronique auditif magnétique canal support 32

Qu’est-ce que le multimédia ? ü Plusieurs canaux sensoriels : auditif, visuel, etc. ü Plusieurs codes : linguistique, iconique, etc. ü Plusieurs formats de documents : documents écrits, images, vidéo, simulations, etc. ü Plusieurs sources : institutions ou auteurs différents, point de vue différents, divergents, etc. ü Interaction multimodale : gestes (clavier, souris, écrans tactiles), voix (commande vocale), … 33

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Le traitement de la multimodalité discours code linguistique argumentation iconique analogique narration « non-codé » explication papier Hors ligne En ligne non linéaire visuel accès structure électronique auditif magnétique canal description support 35

Les images améliorent la compréhension (/texte seul) Image fournie par Mireille Bétrancourt ; source 36 http: //pedagogie. ac-montpellier. fr/disciplines/svt/litho/Salsigne/images/subduction. jpg

Texte + image > texte seul Ainsi, dans une pompe à simple effet, lorsqu'on pousse la tige de commande, le pis comprime l'air le séparant de la valve de sortie. Cette valve de sortie s'ouvre et l'air expulsé vers l'élément à gonfler. Le vide laissé par le déplacement du piston s'est rempli d'air par l'intermédiaire de la valve d'entrée de l'air situé au pôle opposé de celui de valve de sortie 37 Image fournie par Eric Jamet et Cédric Hidrio

Texte et illustrations intégrés > Texte et illustrations séparés 38 Image fournie par Eric Jamet

Texte et illustrations intégrés > Texte et illustrations séparés 39 Image fournie par Eric Jamet

Présentation adjacente Dans la figure ci-contre, trouvez la valeur de l’angle DBE. Solution : Angle ABC = 180° – Angle BAC – Angle BCA (La somme des angles d’un triangle est égale à 180°) = 180° – 60° – 40 ° = 80 ° Angle DBE = Angle ABC (deux angles opposés par le sommet sont égaux) = 80° 40 Image fournie par John Sweller

Présentation intégrée Dans la figure ci-dessus, trouvez la valeur de l’angle DBE. 41 Image fournie par John Sweller

Image + Texte entendu > Image + Texte lu 42 Image fournie par Richard Mayer

Effet négatif de la redondance : Image + texte écrit + texte oral < Image + texte oral 43

Le traitement de la structure et du type de discours code linguistique argumentation iconique analogique narration « non-codé » explication papier Hors ligne En ligne non linéaire visuel accès structure électronique auditif magnétique canal description support 44

Le traitement de la structure et du type de discours ü L'organisation non-linéaire des données favorise la désorientation de l'utilisateur; ü L'organisation fonctionnelle des contenus (correspondant à la façon dont ils sont mobilisés par des experts) ne favorise pas la mémorisation, ni le repérage ü L’organisation hiérarchique favorise la mémorisation et facilite la navigation. ü L’organisation linéaire entraîne de faibles performances, mais semble bien adaptée à une 1ère utilisation. 45

Le traitement de la structure et du type de discours ü L’organisation combinée (hiérarchique / réseau) semble intéressante mais on manque de résultats. ü Le lecteur-utilisateur interagit avec une structure rhétorique, qui, quand il la connaît, lui permet de localiser les informations recherchées (Dillon, 1991) ü L'effet de la « rhétorique » est répliqué avec les documents multi-sources (Rouet et al. , 1994) 46

Le modèle de Rouet (2001) ü Lecture ü Compréhension ü Maîtrise fonctionnelle de l’écrit ü Identification et exploitation des organisateurs rhétoriques ü Catégorisation des documents, de leur contenu et de leurs exploitations possibles ü Planification, contrôle et régulation de l’activité (de recherche d’information ou de synthèse) ü… 47

Nature de l’information traitée ü Pour un document purement linguistique, l’information traitée est : ü Linguistique ü Rhétorique ü Typo dispositionnelle ü Spatiale 48

Plan 1. Introduction 2. L’entrée par les technologies éducatives : lesquelles sont utiles ? pour quoi ? dans quelles conditions ? 3. L’entrée par les apprentissages visés : lesquels bénéficient d'un apport des TICE ? 4. L’entrée par l'utilisabilité des applications 5. L’entrée par la compatibilité avec les pratiques des enseignants 6. Conclusion 49

Qu’est-ce qui change dans la lecture à l’écran ? ü La qualité visuelle de l’information: luminosité, pas, longueur des lignes, MFM ü La multimodalité ü La structure des textes ü Les tâches réalisées 50

Effet positif de la suppression d'informations non pertinentes ü Illustrations décoratives, ludiques ü Fonds sonores, ludiques ü Textes anecdotiques, périphériques ü Logos, publicités ü Etc. , notamment : modes d’emplois, manuels, etc. 51

De gros problèmes ergonomiques ü Utilité : des systèmes qui permettent aux élèves d’apprendre ce qu’ils ont à apprendre ü Utilisabilité : et qui sont faciles à utiliser ü Acceptabilité : et qui sont compatibles avec les valeurs et les organisations des élèves et de leurs enseignants ü Ce qui requiert un travail de conception extrêmement long, exigeant (en compétences) et coûteux ü … sans doute pollué par l’innovation technologique et la gadgetophilie ü L’exemple des thèses de Romero (2010) et Moguel (2010) 52

Plan 1. Introduction 2. L’entrée par les technologies éducatives : lesquelles sont utiles ? pour quoi ? dans quelles conditions ? 3. L’entrée par les apprentissages visés : lesquels bénéficient d'un apport des TICE ? 4. L’entrée par l'utilisabilité des applications 5. L’entrée par la compatibilité avec les pratiques des enseignants 6. Conclusion 53

Des effets en termes de. . . ü ü ü Motivation, engagement, plaisir Richesse, complexité Interactivité, personnalisation Contenu Mais… – Nous ne savons pas bien répondre aux questions de compatibilité avec les pratiques. Les modèles de type TAM semblent limités. L’exemple de la thèse de Roussel (2008). – Des effets sur le statut des savoirs ? des connaissances ? 54

Plan 1. Introduction 2. L’entrée par les technologies éducatives : lesquelles sont utiles ? pour quoi ? dans quelles conditions ? 3. L’entrée par les apprentissages visés : lesquels bénéficient d'un apport des TICE ? 4. L’entrée par l'utilisabilité des applications 5. L’entrée par la compatibilité avec les pratiques des enseignants 6. Conclusion 55

Quelle(s) plus-value ? ü Répondre au niveau des processus d’apprentissage fins ü Répondre au niveau des situations d’enseignement ü Répondre au niveau des outils, voire même au niveau des grandes catégories d’outils 56

Quelle(s) plus-value ? ü Les apports de la multimodalité et de la simulation à la compréhension ü Les apports de l’interactivité à une individualisation « limitée » ü Des supports pour une pédagogie de détour ü Des médias adaptables à des handicaps sensoriels et physiques ü Les apports du réseau Internet à l’accès et à la communication ü Les apports de l’électronique au stockage 57

Quelle(s) plus-value ? ü Si les TICE favorisent la mise en œuvre des processus (cognitifs, socio-cognitifs, affectifs) impliqués dans la situation d’apprentissage dans laquelle ils s’insèrent (pour laquelle ils ont été conçus) ü Dans cette situation il y a d’autres ressources et d’autres êtres humains ü De l’intérêt des scénarii didactiques externes ou mixtes 58

Merci pour votre attention ! 59

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