Lorientation en Europe Des approches diffrentes pour une
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L’orientation en Europe Des approches différentes pour une question commune Vendredi 2 avril 2004 Rencontres de la DESCO Notes et commentaires de Bernard Desclaux
Objectifs Rapporter les conférences et interventions n Proposer quelques commentaires au fur et à mesure n Poursuivre l’interrogation sur quelques thèmes : n n n Une conceptualisation difficile Une évaluation problématique
Introduction En l’absence de M. De Gaudemard, mais sans doute l’introduction qu’il avait prévue
Nous avons tous un certain nombre de problèmes : n n n Réduire le nombre de personnes quittent le système en difficulté Réduire le nombre de personnes sortant sans qualification Développer de façon équilibrer S’efforcer de faire atteindre des niveaux de compétences Développer l’autonomie et la formation tout au long de la vie Scolariser, mais dans la réussite
Difficultés actuelles nationales Il nous faut diversifier les modes d’apprentissages et les parcours au collège. Développer l’alternance entre autre. n Recher une orientation plus positive vers la voie professionnelle n Il y a une nécessité de rééquilibrer les filières au sein du lycée n Il nous faut répondre de manière plus individualisée à des besoins particuliers Sur tous ces points, l’orientation est un levier n
Quelques grandes questions sur l’orientation n n Comment accompagner les jeunes et les adultes ? Quels moyens apporter aux familles ? Comment tenir compte des évolutions du contexte ? Quel contenu pour l’éducation à l’orientation ? n n Quels rôles des acteurs ? Quelle organisation, et quel partenariat ?
Dans un contexte où Il existe une demande sociale d’accompagnement n Ainsi qu’une forte attente des services n
Trois intervenants Jacques Sénécat, ancien IGEN, France n Anders Lovën, professeur et responsable de la formation de conseiller d’orientation, Suède n John Mac Carthy, Commission européenne n
Jacques Sénécat n Se centre sur l’orientation scolaire, alors qu’il existe deux orientations, celle dans l’initiale et l’autre, qui sont largement marquées, l’une par la contrainte et l’autre par le libéral. n Il propose quatre étapes pour répondre à la question « qui décide ? »
Première période entre les deux guerres mondiales n La France est marquée par deux problèmes, n n n la guerre a provoqué des difficultés économiques, et il y a un problème de formation professionnelle Trois loi, 1919, 1922, 1938
Caractéristique importante, le rôle de l’Etat n n Création d’un avis d’orientation (indication de contre-indication), qui laisse libres les acteurs. Création d’un centre d’OP par département à la charge du département Une mission, celle de révéler les aptitudes Il y a l’idée humaniste, de relier l’individu et la société, en s’appuyant sur une base scientifique. Cette science naissante, c’est la psychologie et en particulier la psychophysiologie (en France).
L’état n n Laisse libre Il invite l’initiative locale (des centres sont créés par d’autres organismes) Les personnels sont laissés très autonomes. N’ayant pas vraiment de « moyens » (financiers ou réglementaires), ils sont obligés de convaincre des partenaires. Et pour le contrôle, l’incitation et le soutien, un Secrétaire départemental est créé.
Trois constats n Ainsi se développe une culture du pionnier. Les textes suivront souvent après les innovations du terrain n On est dans une psychologie essentialiste (une idéologie essentialiste), les catégories utilisées (aptitudes, métiers. . . ) sont stables. n Les conseillers sont des experts sans pouvoir, il donnent un avis.
Remarques personnelles* n Un accord idéologique sur la définition de l’OP n Confusion sur les objectifs, absence de pilotage et opportunités de développement * Par Bernard Desclaux
Quelques définitions de l’orientation en France du début du XXème siècle
M. QUILLARD n n « L’orientation professionnelle est l’ensemble des moyens qui tend à satisfaire l’aspiration commune à tous les nobles esprits vers un ordre social rationnel par la mise en valeur, à leur juste place, de toutes les personnalités humaines » Inspecteur régional de I'enseignement technique - Congrès des classes moyennes GAND- 6 août 1923
E. HERRIOT n « L’ensemble des méthodes rationnelles capables de réaliser l'harmonie de l'homme du métier en donnant à chacun la tâche qui lui convient le mieux physiquement, intellectuellement, moralement et économiquement » Homme politique
Alfred BINET 1908 n « Nous pensons que dans ce domaine, on peut faire beaucoup pour améliorer les rapports des ouvriers et des patrons et pour aider à la solution de la question ouvrière, en avertissant les enfants, dès l'école, des professions pour lesquelles ils sont les plus aptes et en diminuant ainsi, par cette prophylaxie professionnelle le nombre des sujets mal adaptés qui deviennent nécessairement des déclassés, des malheureux ou des insurgés »
J. Fontègne 1920 n « Donnons à l’adolescent toutes indications et directions utiles pour qu’il puisse exercer la profession qui doit le faire vivre, doit faire vivre, plus tard, les siens, doit faire progresser la collectivité à laquelle il appartient, tout en supprimant cette haine des ratés, des mécontents sociaux pour leur entourage, leur employeur, la société et aussi l’ordre social. »
J. Fontègne 1920 n « la démocratie, plus qu’aucune autre forme d’organisation politique, a besoin d’une élite, ne serait-ce que comme antidote au mal qui la guette, et qui est pour elle comme une affection spécifique : la médiocrité. »
Contexte d’activités des conseillers n La nature de l’avis d’orientation n Pionniers, auto-définition, partenariat et réseaux
La deuxième période est l’expression d’une politique volontariste n n C’est la planification scolaire, qui participe au redressement du pays. Les conseillers pénètrent l’école, en particulier en fin d’étude, pour voir les élèves avant qu’ils ne décident d’un apprentissage. Il y a également une adhésion forte à la démocratisation scolaire. Au fur et à mesure les conseillers montent dans le système, et participent au fonctionnement des paliers d’orientation. D’où l’idée petit à petit d’une psychopédagogie.
Etat d’esprit et tentatives n n n Au début ils sont contestés (les tests) Mais ils poussent à la démocratisation, et il y a un besoin de réguler. La Société des agrégés s’oppose à la fois à la démocratisation et aux conseillers. Position reprise par Pompidou. Il y a une méfiance générale vis à vis de gens incontrôlables. On tente de confier l’observation des aptitudes aux enseignants Système de contrainte.
La troisième période est marquée par la contestation Contestation des tests n Contestation des modes de décision n D’où la création des Nouvelles procédures d’orientation. n Elles obligent les acteurs à se mettre d’accord. n Par contre la phase d’affectation reste opaque. n
Autres éléments de cette période n n L’observation proposée aux enseignants ne marche pas. Ce sera l’information qui sera développée [a discuter] On va fondre deux corps, les COSP et le BUS. On laisse de côté la question de l’aide à l’adaptation des élèves. Se rappeler que le collège accueille la diversité, et le lycée opère la différenciation.
Et c’est la crise n n n Crise pétrolière de 73. Une vision plus complexe de l’ajustement, qui pose le problème de comment faire de l’information pertinente. C’est le contexte du développement de l’éducation à l’orientation : Il s’agit de miser sur les individus et sur un accroissement de leur autonomie. n n Viser une autonomie dans une gestion républicaine, c’est correct ! Mais viser une autonomie dans un système libéral c’est autre chose !
L’éducation à l’orientation, quatrième période n n n Nous avons un mode de prise de décision particulier en France. D’après les études européennes, c’est le moins inégalitaire. Ca ne veut pas dire qu’il soit « bon » . Quelle place pour les COP et les CIO ? L’éducation à l’orientation est séduisante dans ses principe. Mais est-elle mise en oeuvre ?
En conclusion n n Il y a une méfiance et une hostilité qui peut entraîner une idée de reprise en main. Cette méfiance développe une culture du bouc émissaire. Les structures vont évoluer vers plus d’ouverture, de modularité. Il y aura intégration du principe de la VAE. Contradiction entre le projet individuel et l’affectation. Les COP ont fait le choix de l’individu, et ils ne sont plus présents, ils ne pèsent plus sur l’ensemble du système.
Anders Lovën n n Professeur et directeur du centre de formation des conseillers en Suède. Ce ne sont pas des enseignants, ce ne sont pas des psychologues. Formation sur trois thèmes : psychologie, pédagogie et sociologie. Il parlera des conseillers qui travaillent dans le système scolaire (appartiennent à la fonction public).
Trois grands constats Il y a un grand écart entre les objectifs et la réalité. n Il y a de vrai décisions à prendre par les personnes. n Les conseillers ne sont pas intégrés dans la scolarisation, pas de tests. Travaillent par entretiens et rencontres. n
Les tendances n n n n Changement d’emploi, publics particuliers Multiculturel Il s’agit de soutenir l’individualisme Les compétences deviennent plus abstraites, flexibilité, créativité. . . La formation tout au long de la vie, il y a à choisir continuellement Le temps s’accélère, risque de burn out Le surplus d’information, comment trier ?
Le conseil, c’est prendre un temps et un espace pour s’arrêter.
Les dilemmes n n n Individu/société, les attentes, les besoins sont différents La puissance acquise, le pilotage personnel Le choix immédiat est difficile, il faut en fait du temps pour choisir, prendre le temps d’une analyse approfondie Confusion entre recrutement et conseil. Les conseiller sont dans l’école, de manière pas suffisamment indépendante. Trop de service/pas assez de service Comment lier l’information à la personne ?
Le dilemme du conseiller n n Il y a demande d’aide mais pas d’être dirigé En fait les demandes clients et les valeurs sont entre deux mondes, deux sociétés, et il y a des représentations différentes. n n n Le travail est un endroit pour gagner de l’argent On aime son travail, on aime les relations qui s’y développent C’est les collègues, épanouissement dans la fonction. Les frontières entre travail et non-travail s’estompent.
Plusieurs attitudes du client et plusieurs réponses Collecte Self service Choisir Service limité Poser une question Plein service
Les défis n n n Développer de nouvelles méthodes pour la responsabilité (la situation du conseil est un « piège à aide » ) Créer des organisations dans et hors de l’école Utiliser les TIC Répondre aux besoins différenciés de la société qui évolue. Il y a des clients différents avec des besoins différents.
John Mac Carthy Commission européenne. La guidance en Europe, thème relativement nouveau.
Il y a des questions communes n n n Quels sont les objectifs, les moyens, les attentes, les ressources ? Cela suppose de définir les résultats attendus pour déterminer si les ressources, les moyens sont ou non suffisants. Quels sont les acteurs ? Il y a une implication à la fois des politiques et des acteurs de terrain, mais également des utilisateurs.
Réponses pour la France n n n Manque de cohérence et de coordination Manque de transparence (pour les usager) Pas d’apprentissage de l’orientation tout au long de la vie Les praticiens s’érigent en victimes et veulent défendre leur territoire On ne sait pas en fait combien on investi dans l’orientation, Le rapport coût-efficacité est impossible à établir Pas de contrôle qualité. Il n’y a pas de critères.
Les nécessités n n n Investir dans l’éducation et l’apprentissage. Une meilleure orientation permettrait d’améliorer l’allocation des ressources Répondre au marché La formation tout au long de la vie L’inclusion sociale L’équité sociale Le développement économique
Il y a des accords européens depuis 1999 n n n L’éducation est de la compétence nationale, mais il y a des documents européens L’orientation pour étayer le Lifelong Learning Les compétences seront à gérer individuellement ainsi que sa carrière. Il y a un vide juridique Il manque une formalisation des services apportés aux citoyens.
Absence d’un cadre politique de l’orientation n n n Absence de coordination Méconnaissances sur les données et sur les satisfaction des clients ? Différences entre les formations des différents praticiens. Il y a une absence de bases de données Méconnaissance par le public des accès aux services Il faut différencier les modes de réponses (pas seulement l’entretien)
Ce qui manque également n n Quel est l’investissement ? Pas d’études sur les usagers Dans l’enseignement supérieur, l’orientation est très peu développée (réalisée par n’importe qui) La question de la mobilité. Les syndicats sont silencieux sur le besoin de service dans le domaine de l’orientation.
Développer la qualité des services On a très peu de retour. En fait l’usager est considéré comme passif n Or les services d’orientation sont payés par les gouvernements et les contribuables. n Il nous faut le contre point de l’avis des usagers n
Comment définir les concepts ? Objectif européen. n En fait, difficile, donc établir une liste d’activités n Evaluer la qualité du point de vue de l’usager. n Rédiger un manuel pour les Politiques n Faire des prescriptions pour l’excellence n
Objectifs et interrogations n n n Développer des réseaux (et pour ça il faut former les professionnels) Que faut-il accorder aux citoyens ? Peu de réflexions sur la responsabilité du professionnel (il y a des choses sur l’éthique ou la déontologie). On ne travaille pas avec l’idée de « preuve » [ou du rendre compte, « accountability » ]
Caractéristiques en France n n n Hiérarchie administrative très épaisse Pouvoir du conseil de classe Les conseillers sont des psychologues. Un investissement énorme. La France est unique sur ce point. Alors qu’il y a des besoins d’interventions pour gérer l’acquisitions des compétences, les rôles de soutiens et d’aides aux équipes. Bilan de compétence (en avance) ONISEP, relation entre production d’information et pédagogie. Mais comment cela est en fait réellement utilisé ?
Jean-Paul De Gaudemar, directeur de l’enseignement scolaire Un grand intérêt à prendre du recul, à la fois dans le temps et dans l’espace. Evoque trois interrogations suite à ces exposés
Question à l’école n n Quel est son rapport aujourd’hui au marché du travail ? Pour la génération du « babyboom » , l’accès à l’emploi ne se posait pas. Il y a une déconnexion plus importante entre les modes de certification (notamment de l’école) et le marché du travail. Le diplôme est nécessaire, mais il est de moins en moins suffisant.
Déficit de politique Objectifs, résultats attendus et modes d’évaluation ne sont pas pensés. n Mais il faut bien différencier la question très générale de l’orientation, et celle des services d’orientation n Ne pas oublier que ces services sont au service des objectifs politiques n Attend de l’Europe des indications n
Dualité Combiner une approche à la fois des individus et des objectifs politiques n Aussi il y a une nécessité que des collectifs d’organisation de développent n Et pour réduire les difficultés de la déconnexion, développer un partenariat avec l’environnement économique local n
Comment former des professionnels par rapport à ces trois horizons ? Comprendre et faire comprendre les contextes incertains, évolutifs. n Rôle des collectivités, le conseiller d’établissement n Conseil aux personnes n Aussi il y a besoin d’une évaluation large et pas seulement sur la satisfaction des usagers. n
Quelques interrogations personnelles* n Une conceptualisation difficile de l’orientation n Une évaluation problématique * Bernard Desclaux
Concernant L’orientation
L’orientation européenne C’est le service aux personnes La notion de guidance ne recouvre pas notre notion d’orientation scolaire
OCDE et Commission européenne n n Peter Plant, Université danoise de l’éducation Document établi pour l’examen par l’OCDE des politiques des services d’information, d’orientation et de conseil. Commandité conjointement par la Commission européenne et l’OCDE Novembre 2001
RÉSUMÉ Les problèmes qui se posent à propos de la qualité des services de conseil, d'information et d'orientation professionnelle sont abordés en abordant une série de points de vue différents, fondées sur des critères économiques, éthiques et/ou d'efficacité.
Une manière de définir l’orientation professionnelle C’est d’établir une liste d’activité à la manière de : la SCAGES (Standing Conference of Associations for Guidance in Educational Settings, Royaume-Uni, 1992, puis 2001)
C’est de l’OP pour adultes ou jeunes adultes Informer Gérer Conseiller Innovation/changement systémique. Evaluer Assurer la signalisation Enseigner Dispenser un enseignement personnalisé Faciliter Mettre à l'épreuve les stages d'initiation ou d'observation du travail Représenter Assurer le suivi. la SCAGES (Standing Conference of Associations for Guidance in Educational Settings, Royaume-Uni, 1992, puis 2001)
Concernant L’évaluation Deux sources seront utilisées
Une première source n Peter Plant, Université danoise de l’éducation Document établi pour l’examen par l’OCDE des politiques des services d’information, d’orientation et de conseil. Commandité conjointement par la Commission européenne et l’OCDE Novembre 2001
Une variété de thématiques n ISO n La gestion n Moyens-processus-résultats n Les résultats de l'apprentissage n Les résultats économiques
On mesure la qualité pour diverses raisons (qui ne sont pas sans rapport les unes avec les autres) (Watt, 1998) : n n n Raisons politiques : pour justifier l’existence du service, Raisons financières : pour montrer que le service en vaut la peine, Pour mesurer l'évolution du client : évaluer la réalisation des objectifs prévus, Enregistrer ce qui se passe : assurer le suivi, Planification stratégique : développement organisationnel, Perfectionnement de la théorie et de la pratique, évaluation de la bonne pratique, étalonnage.
1 er élément de conclusion n Il faut bien plus d'un seul partenaire pour établir les lignes directrices transsectorielles qu'exige le domaine morcelé et divers de l'orientation professionnelle et du développement de carrière. Il faut dont une coopération trans-sectorielle.
2ème élément de conclusion n Elle tirerait grand profit de l'inspiration et de l'appui d'organisations transnationales telles que la Commission européenne et l'OCDE, agissant conjointement, et du soutien professionnel d'un forum international et trans-sectoriel de l'orientation professionnelle.
3ème élément de conclusion n Toutefois, le leadership international dans ce domaine doit être solidement enraciné au niveau national : les cultures de l'orientation et de la décision varient d'un pays à l'autre et les normes de qualité doivent donc être définies au niveau national ou régional, à l'intérieur d'un cadre national.
Une deuxième source : Eurydice Direction générale de l’éducation et de la culture Commission européenne n L’évaluation des établissements d’enseignement obligatoire en Europe n Ce document est publié par l’unité européenne d’Eurydice avec le financement de la Commission européenne (Direction générale de l’éducation et de la culture). n
Constat Une très grande diversité des modes d’évaluation n http: //www. eurydice. org/Publication_List /fr/Frame. Set. htm n
Les différentes formes de l’évaluation de l’offre éducative n n n les processus d’enseignement mis en œuvre par les enseignants, les tâches assumées par les établissements scolaires, les activités de gestion et administration des autorités locales, le fonctionnement du système éducatif dans son ensemble ou encore les résultats des élèves qui peuvent être examinés à l’échelon n d’un enseignant, n d’une école, n d’une autorité éducative locale
Un système marqué par la hiérarchie institutionnelle
En conclusion Si on constate une montée de l’exigence de l’évaluation (Commission européenne, OCDE, mais également l’application de la LOLF), n On peut également constater une très grande diversité des objets, des modalités et raisons des évaluations ! n
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