LES COMPLICATIONS Complications aigues Complications chroniques I LES

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LES COMPLICATIONS Complications aigues Complications chroniques

LES COMPLICATIONS Complications aigues Complications chroniques

I. LES COMPLICATIONS AIGUES L’hyperglycémie L’acido-cétose Le coma hyperosmolaire L’ hypoglycémie

I. LES COMPLICATIONS AIGUES L’hyperglycémie L’acido-cétose Le coma hyperosmolaire L’ hypoglycémie

1. 1. L’hyperglycémie Définition : Glycémie 2, 5 g/l Chercher la cause sans gravité

1. 1. L’hyperglycémie Définition : Glycémie 2, 5 g/l Chercher la cause sans gravité : écarts alimentaires, TTT insuffisant ? avec signes de gravité : maladie intercurrentes. . ? Recher l’acétone (sang et/ou urines) Objectifs : Évaluer l’importance du déséquilibre de diabète Éviter l’acido- cétose (DT 1) Sélectionner les patients à risque

Situations à risque pathologies variées = infections, IDM, pancréatite aigûe …… stress TTT par

Situations à risque pathologies variées = infections, IDM, pancréatite aigûe …… stress TTT par corticoîdes, ß mimétiques (IV, SC) Découverte de diabète Grossesse c/o la DT 1, surtout si utilisation de ß mimétiques (MAP) utilisateurs de pompes à insuline en sous cutanée ( réserve d’insuline < 1 heure) circonstances exceptionnelles = oubli d’une injection d’insuline, écarts alimentaires…. .

INTERPRETATION DE L’ACETONEMIE A corréler avec l’anamnèse, l’examen clinique, la biologie classique. Cétonémie <

INTERPRETATION DE L’ACETONEMIE A corréler avec l’anamnèse, l’examen clinique, la biologie classique. Cétonémie < à 0, 6 mmol/l 0, 6 < < 1, 5 mmol/l 1, 5 < < 3 mmol/l conseils NORMAL Surveillance glycémique et TTT habituel Contrôler la glycémie et la cétonémie 2 à 4 H après CETOSE Risque de développer une acidocétose AVIS MEDICAL > 3 mmol/l URGENCE HOSPITALISATION PS Cétose + avec certains toxiques, alcool pris à jeun (acidose alcoolique), l’intoxication salicylée, le jeun. .

En pratique Glycosurie > +++, cétonurie > ++, cétonémie > 3 mmol/l URGENCE :

En pratique Glycosurie > +++, cétonurie > ++, cétonémie > 3 mmol/l URGENCE : risque d’acido-cétose Bilan à adapter selon les données cliniques iono, urée, créat, bicarbonate, NFS, TP, TCA, CRP, enzymes hépatiques et pancréatiques, ECG, RP, ECBU, hémoc Insulinothérapie intensive au PSE Réhydratation Glycosurie > ++, cétonurie < +, cétonémie > 1, 5 mmol/l DT 2, DT 1 connu, sans contexte clinique de gravité renforcer la surveillance glycémique journalière majorer le traitement : Augmenter les doses d’insuline, d’ADO voire Passage à l’insuline Rattrapage d’insuline rapide ou analogues rapides Diabète connu ou non et contexte clinique grave URGENCE Hospitalisation Bilan Insulinothérapie intensive

INSULINOTHERAPIE INTENSIVE (1/2) Au PSE : cf protocole indication formelles acido-cétose, coma hyperosmolaire hyperglycémies

INSULINOTHERAPIE INTENSIVE (1/2) Au PSE : cf protocole indication formelles acido-cétose, coma hyperosmolaire hyperglycémies majeures difficiles à gérer par des injections en SC > 2 injections d’insuline / j insuline = Lantus / levemir + analogues rapides avant chaque repas, ou mélanges fixes avant chaque repas doses de la basale Bolus > 0, 5 U/kg, > 6 ui/ repas insuline à la pompe sous cutanée réservée au service de diabéto indications hyperglycémies majeures sans acétone difficiles à gérer par des injections en SC calcul de doses d’insuline

INSULINOTHERAPIE INTENSIVE (2/2) Correction avec (de l’insuline rapide en sous cutané (actrapid, insuman rapid))

INSULINOTHERAPIE INTENSIVE (2/2) Correction avec (de l’insuline rapide en sous cutané (actrapid, insuman rapid)) ou mieux un analogue rapide (humalog, novorapid) 1 U d’insuline fait baisser la glycémie d’environ 0, 3 à 0, 4 g/l algorithmes en fonction de la cétonurie si cétonurie +++ 4 U 6 U 8 U algorithmes en fonction de la cétonémie > 1, 5 mmol/l 6 U

1. 2. L’acidocétose traduit une insulinopénie responsable de la non utilisation des glucides comme

1. 2. L’acidocétose traduit une insulinopénie responsable de la non utilisation des glucides comme substrat énergétique remplacés par le catabolisme protéique et lipidique avec production de corps cétoniques. Circonstances - terrain : DT 1 connu ou le révélant (30 %) - facteurs déclenchants : arrêt insuline volontaire / défaillance technique infections, trauma, IDM… corticothérapie, ß 2 mimétiques (MAP, asthme)

 Manifestations cliniques SPPD, asthénie, déshydratation troubles dig avec nausées, vomissements, douleurs abdo voire

Manifestations cliniques SPPD, asthénie, déshydratation troubles dig avec nausées, vomissements, douleurs abdo voire tableau pseudochirurgical dyspnée de kussmaul odeur pomme reinette Biologie hyperglycémie > 3 g/l acidose p. H < 7, 20 et RA < 12 mmol/l glycosurie massive ++++ et cétonurie > ++ cétonémie > 1, 5 mmol/l (lecteur optium xceed) Na et K variables

 Recher l’étiologie ECG, Rx pulm, hémoc, ECBU, BH. . . URGENCE THERAPEUTIQUE TTT

Recher l’étiologie ECG, Rx pulm, hémoc, ECBU, BH. . . URGENCE THERAPEUTIQUE TTT - réhydratation : sérum physio puis G 5 / G 10 + Nacl et Kcl selon bilan débit = 1 l / H pdt 2 H puis 0, 5 l / 4 H selon bilan - insulinothérapie au PSE : 0. 1 U/Kg/H + bolus initial 0. 1 U/Kg - TTT facteur déclenchant surveillance FC, TA, t°, diurèse dextro et cétonémie / 2 H (labstix à chaque diurèse ou dextro) iono (risque d’hypo. K ++)

 prévention de l’acido-cétose ++++ - connaître les circonstances favorisantes - ne jamais arrêter

prévention de l’acido-cétose ++++ - connaître les circonstances favorisantes - ne jamais arrêter son insuline - recher la cétonémie / cétonurie si dextro > à 2, 50 g/l si glycosurie et acétonurie ++ / cétonémie > 1, 5 mmol/l ---> rajout d’insuline ultrarapide 1 ui ---> contrôle dextro et cétonémie 2 H après et si persistance, renouveler l’insuline ultrarapide appeler votre médecin ---> ne pas interrompre ses apports alimentaires en particulier glucidiques P. S. cétonurie sans glycosurie = cétonurie de jeune

1. 3. Le coma hyperosmolaire peu fréquent mais grave physiopathologie hyperglycémie massive déshydratation majeure

1. 3. Le coma hyperosmolaire peu fréquent mais grave physiopathologie hyperglycémie massive déshydratation majeure par diurèse osmotique peu ou mal compensée chez les personnes âgées circonstances - terrain : DT 2 +/- connu, TTT et surveillé c/o personnes âgées - facteurs favorisants : infection, ITV, AVC, TTT (diurétiques, corticoïdes. . ), canicule

 clinique SPPD déshydratation +++ (perte estimée de 10 l) troubles de la conscience

clinique SPPD déshydratation +++ (perte estimée de 10 l) troubles de la conscience ---> coma biologie hyperglycémie > 6 g/l hyperosmolarité > 320 m. Osm / l glycosurie massive ++++ cétonémie < 1, 5 mmol/l / cétonurie < ++ Na, urée, créatinine

 TTT - réhydratation : 6 à 8 l sur les 12 premières heures,

TTT - réhydratation : 6 à 8 l sur les 12 premières heures, adaptation selon la tolérance hémodynamique (sujets âgées, Icard) serum physio puis G 5% apport K - Insulinothérapie : ramener progressivement la glycémie à la normale, objectif = 2 g/l 0. 1 U/Kg/H au PSE - TTT étiologique - surveillance : FC, TA, diurèse, dextro, iono Evolution mortalité 30 à 50 % (terrain, cpk de décubitus, réhydratation trop rapide avec OAP, oédème cérébral)

1. 4. L’hypoglycémie Glycémie 0, 60 g/l Médicaments responsables : CAT : insuline sulfamides

1. 4. L’hypoglycémie Glycémie 0, 60 g/l Médicaments responsables : CAT : insuline sulfamides hypoglycémiants glinides resucrage peros ≥ 15 g de glucide (3 sucres, 1 verre de jus de fruit. . ) si coma ou resucrage po impossible IV ≥ 2 amp de 20 ml de G 30% Glucagen (si TTT par insuline, inefficace si ADO) Recontrôler la glycémie 1/2 H après risque de récidive des hypoglycémies sous sulfamides

 Signes d’hypoglycémie Signes adrénergiques : asthénie brutale / fringale brutale / sueurs /

Signes d’hypoglycémie Signes adrénergiques : asthénie brutale / fringale brutale / sueurs / pâleur /tremblement des mains Signes neuroglucopéniques : vue trouble/ céphalée / changement de comportement / obnubilation / performance sportive si pas de resucrage coma / convulsions / $ déficitaire Chaque diabétique a ses symptômes Rôle de l’entourage : détection et resucrage Toujours avoir du “sucre” sur soi Piège : voire absence des symptômes risque de coma si hypo fréquente si neuropathie végétative si TTT β bloquants

Si hypoglycémie sévère sous ADO Sous insuline Hospitalisation à discuter selon contexte Perfusion avec

Si hypoglycémie sévère sous ADO Sous insuline Hospitalisation à discuter selon contexte Perfusion avec du G 10% 2 l/j pendant > 24 H NE JAMAIS ARRETER L’INSULINE Arrêt des sulfamides, glinides si DT 1 Diminuer les doses d’insuline Perfuser avec du G 10% ASG +++

 Recher la cause apport glucidique insuffisant activité physique non anticipée ou mal compensée

Recher la cause apport glucidique insuffisant activité physique non anticipée ou mal compensée (TTT ou/et alimentation) (risque d’hypo pendant, après l’AP, nuit ++) TTT (insuline, ADO) trop fort Erreur de posologie de TTT (insuline, ADO) Interaction médicamenteuse potentialisant l’action des sulfamides = AINS, antifongiques. . Irénale, Ihépatique surdosage TTT (insuline, ADO) Ingestion d’alcool à jeun Lipodystrophies

II. LES COMPLICATIONS CHRONIQUES Microangiopathiques = spécifiques du diabète secondaire à l’hyperglycémie chronique et

II. LES COMPLICATIONS CHRONIQUES Microangiopathiques = spécifiques du diabète secondaire à l’hyperglycémie chronique et fct de 3 facteurs , ancienneté du diabète, qualité de l’équilibre glycémique et une susceptibilité individuelle. Un bon équilibre glycémique permet de les réduire de 40 à 75% Rétinopathie Neuropathie Néphropathie Macroangiopathiques = non spécifiques du diabète due à l’athérosclérose. sa prévention passe par la corrections des FRCV, tabac, HTA et dyslipidémie Atteinte cardio – vasculaire insuffisance coronarienne artériopathie des MI et des TSA (AVC)

Tout événement en relation avec le diabète p<0. 0001 Hazard ratio 5 1 Diminution

Tout événement en relation avec le diabète p<0. 0001 Hazard ratio 5 1 Diminution de 21 % pour toute diminution de 1 % d’Hb. A 1 c 0. 5 0 5 6 7 8 9 Hb. A 1 c moyenne 10 11 UKPDS 35. BMJ 2000; 321: 405 -12

1) Néphropathie c/o 1/3 des diabétiques pas d’ du risque si p de développement

1) Néphropathie c/o 1/3 des diabétiques pas d’ du risque si p de développement après 25 ans de diabète quasiment toujours associée à une rétinopathie c/o le DT 1 et ds 50 % c/o le DT 2 Bilan microalbuminurie des 24 H protéinurie des 24 H créatinémie, calcul de la clairance de la créatinine µalb > 30 mg/j ou 20 mg/l protéinurie < 300 m/j Double signification : néphropathie diabétique débutante incipiens / / insuffisance rénale modérée terminale marqueur d’une glomérulopathie vasculaire non spécifique (DT 2, obése, HTA, dyslipidémie) risque cardiovasculaire Equilibre glycémique parfait ++++ Equilibre TA ++++ 130 / 80 mm. Hg (IEC, ARA 2)

2) Rétinopathie 1ère cause de cécité avant 50 ans ds les pays industrialisés complication

2) Rétinopathie 1ère cause de cécité avant 50 ans ds les pays industrialisés complication la + spécifique du diabète > 40 % si ancienneté du diabète > à 20 ans développement à bas bruit sans manifestation quand AV lésions sévères classification non proliférante minime / modérée / sévère préproliférante minime / modérée / sévère / compliquée maculopathie œdème non cystoîde / cystoîde ischémique Bilan : FO 1 x / an +/- angiographie à la flurorescéine TTT : Equilibre glycémique parfait ++++ en évitant les hypoglycémies (risque d’aggravation) Equilibre TA ++++ 130 / 80 mm. Hg Photocoagulation au laser

3) Neuropathie types - périphérique mono / multinévrite : atteinte du nerf crural, des

3) Neuropathie types - périphérique mono / multinévrite : atteinte du nerf crural, des paires craniennes polynévrite ou polyneuropathie : bilatérale, symétrique, diffuse et distale, touchant les MI , rarement les MS - autonome impuissance, vessie neurologique, gastroparésie, neuropathie autonome cardiaque, hypo. TA orthostatique. . Bilan Ex clinique ++++ ROT / monofilament sensibilité thermoalgique, vibratoire EMG si doute diagnostic TTT : Equilibre glycémique parfait ++++ symptomatique antiépileptique (rivotril, neurontin), antidépresseurs tricycliques

4) L’artériopathie des membres inférieurs 5) Atteint les 2 sexes de façon égale 6)

4) L’artériopathie des membres inférieurs 5) Atteint les 2 sexes de façon égale 6) Indicateur de risque CV 7) Caractéristiques 8) lésions distales sous poplitées médiacalcose 9) Symptômes 10) claudication intermittente découverte à l’ex : abolition des pouls 11) Bilan 12) 13) 14) coronariens - clinique : pouls, chaleur cutanée, trophicité - échodoppler des MI avec calcul de l’IPS - artériographie des MI ou angio. IRM - explorations des axes carotidiens et 15) TTT préventif FRCV 16) 17) médical (vasodilateurs) 18) Xical équilibrer le diabète, correction des marche régulièrement antiaggrégants plaquettaires pontage, angioplastie +/- stent

5) L’ischémie coronarienne 6) Principale cause de morbimortalité des diabétiques 7) maladies CV =

5) L’ischémie coronarienne 6) Principale cause de morbimortalité des diabétiques 7) maladies CV = 60 % des décès 8) DT 2 +++ 9) Clinique : souvent asymptomatique, atypique ou silencieuse 10) Dépistage : 11) ECG 1 x/an 12) EE 13) échographie cardiaque de stress 14) scintigraphie myocardique d’effort au thallium 15) coronarographie 16) TTT 17) médical xical pontage / angioplastis +/- stent 6) Les accidents vasculaires cérébraux 7) 8) AVC ischémiques > AVC hémorragique

7) Le pied diabétique EPIDEMIOLOGIE 1 amputation de jambe dans le monde toutes les

7) Le pied diabétique EPIDEMIOLOGIE 1 amputation de jambe dans le monde toutes les 30 secondes Diabète = 1ère cause d’amputation non traumatique > 5% des diabétiques ont un problème de pied La plupart des amputations commence par une ulcération de pied > 50% des patients décèdent 3 à 5 ans après amputation Les amputations et les ulcérations pourraient être évitées grâce à une prise en charge multidisciplinaire associant prévention et soins, chez les sujets à risque

Û Atteinte neurologique et/ou vasculaire neuropathie des MI : suppression de la perception douloureuse

Û Atteinte neurologique et/ou vasculaire neuropathie des MI : suppression de la perception douloureuse Déformations et troubles statiques d’où appuis anormaux « pied de Charcot » Lésions : hyperkératose Ulcération mal perforant plantaire (MPP) Bilan ostéite, arthrite radio prélevement bilan vasculaire (écho doppler, Tc. PO 2)

Formation d’un MPP

Formation d’un MPP

Dépistage du risque systématique au moins 1 x/an 4 Questions : ATCD de plaie

Dépistage du risque systématique au moins 1 x/an 4 Questions : ATCD de plaie ( 3 mois) ou d’amputation? Perte de la sensibilité ? l monofilament Artérite ? l l Non perception de 2 pouls au même pied Atcd d’amputation, claudication intermittente Déformations ? l Hallux valgus, griffe, callosités, ongles dystrophiques, pied de Charcot…

En cas de survenue d’une lésion… Consultation « pied diabétique » dans le plus

En cas de survenue d’une lésion… Consultation « pied diabétique » dans le plus bref délai l pour évaluation et bilan nature de la plaie (neuro. P , artério. P, les 2 ? ) infection ? bilan vasculaire, radio, biolo l pour traitement soins locaux par IDE +/- antibiotiques +/- revascularisation équilibrer parfaitement le diabète

Classification du risque Grade 0 : l neuropathie = artérite =0 Grade 1 :

Classification du risque Grade 0 : l neuropathie = artérite =0 Grade 1 : l Neuropathie + artérite = déformations = 0 Grade 2 : l R x 5 -10 R x 10 au moins 2 critères Grade 3 : R x 25 ATCD d’amputation ou de lésion de pied l Exm 1 x/an Exm à chaque cs + éducation Idem grade 1 + soins podologie tous les 2 mois +/- orthèses, chaussures Idem grade 2 + bilan annuel dans structure pied

BILAN DIABETIQUE Examen clinique pieds : pouls / ROT / monofilament / état cutané

BILAN DIABETIQUE Examen clinique pieds : pouls / ROT / monofilament / état cutané (plaie, mycose, hyerkératose) Hba 1 C équilibre glycémique sur les 3 derniers mois dosage tous les 3 -4 mois 6% représente une moyenne glycémique de 1, 20 g/l + 1% 0, 30 g/l Recherche d’une néphropathie diabétique dosage 1 x/an Bilan lipidique complet dosage 1 x/an Recherche d’une rétinopathie diabétique dosage 1 x/an Bilan cardio-vasculaire dosage 1 x/an Créatinine + calcul de la clairance selon cockroft µalbuminurie / les urines de la nuit protéinurie des 24 H si protéinurie + au labstix et/ou si µalbuminurie > 30 mg/l Cholestérol, HDL, LDL, Triglycérides consultation ophtalmo pour mesure AV / tonus / FO +/- angiographie ECG bilan coronarien : EE, scinti myocardique, écho cardiaque selon avis cardio bilan vasculaire : écho-doppler des MI, des TAS selon l’ex clinique Consultation diététique

CONSULTATION DIABETOLOGIQUE Impératif Si diabète déséquilibré S’il existe des complications Si primo – découverte

CONSULTATION DIABETOLOGIQUE Impératif Si diabète déséquilibré S’il existe des complications Si primo – découverte de diabète