LES NUDS DE HARTMANN LES NUDS DE HARTMANN

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LES NŒUDS DE HARTMANN

LES NŒUDS DE HARTMANN

LES NŒUDS DE HARTMANN …. . De la théorie à la pratique

LES NŒUDS DE HARTMANN …. . De la théorie à la pratique

ALIGNAN DU VENT 15 rue de Brescou Le 3 juin 2012 1ère conférence Internationale

ALIGNAN DU VENT 15 rue de Brescou Le 3 juin 2012 1ère conférence Internationale sur les « nœuds de HARTMANN » Participation de Jacques Merle Avec le soutien moral : de DME , de l’ AMAS , du CACX , et de ses Amis ici présents

AVERTISSEMENT Il n’est peut-être pas inutile de préciser que nous ne serions sans doute

AVERTISSEMENT Il n’est peut-être pas inutile de préciser que nous ne serions sans doute pas ici aujourd’hui sans quelques…. . « oublis gastronomo-cullinaires » d’un curieux membre de cette association.

Hartmann ? vous avez dit Hartmann ? ? ? … et même : Nœuds

Hartmann ? vous avez dit Hartmann ? ? ? … et même : Nœuds de Hartmann ? Mais qu’est-ce donc que cela !!! Poussé par la curiosité …et quelques « mouches du coche » , je décidai alors d’essayer d’explorer le sujet sans à-priori et en toute objectivité ( ? ).

Ernst Hartmann Le docteur Ernst Hartmann né le 10 novembre 1915 à Mannheim –

Ernst Hartmann Le docteur Ernst Hartmann né le 10 novembre 1915 à Mannheim – décédé le 23 octobre 1992 à Waldkatzenbach étudia la médecine à Mannheim et Iéna et fut l'un des pionniers de la géobiologie. Il entendit démontrer que la prospérité physique et spirituelle de l'homme était intimement liée à son environnement. Hartmann avait travaillé au cours de la seconde guerre mondiale en tant que médecin de personnel militaire puis, après la guerre, ouvrit un cabinet à Eberbach, où il exerça pendant plus de quarante ans. Dès le début de sa carrière médicale il s’intéressa à réaliser des dénombrements concernant ses patients et leurs maladies. Il constata ainsi que nombre de ses patients venaient régulièrement le consulter pour des maladies paraissant clairement maîtrisables et que, pourtant, aucun médicament n’arrivait à soigner.

Hartmann en vint donc à soupçonner une influence externe liée à l’environnement immédiat de

Hartmann en vint donc à soupçonner une influence externe liée à l’environnement immédiat de certains de ses patients. Ses suppositions se renforcèrent à ses yeux, après des observations sur la mortalité dans un hôpital où il travaillait. Il aurait observé que certains lits semblaient plus pathogènes que d'autres : la mortalité était plus élevée dans un lit que dans un autre (mais sur ceci, des tests statistiques rigoureux font défaut; par ailleurs, la date fournie pour ces observations placent celles-ci à une date où Hartmann était étudiant en médecine, ce qui interdit de croire qu'il ait pu mener des expériences contrôlées sur le sujet). Après avoir inversé les lits, il en serait venu à émettre l'hypothèse que ce n’était pas le lit qui était en cause mais son emplacement. Il en vint donc à invoquer le rôle des ondes terrestres.

Ceci l'amena à postuler, avec l'aide de son frère qui était physicien, l'existence de

Ceci l'amena à postuler, avec l'aide de son frère qui était physicien, l'existence de « murs d'ondes » verticaux d’une largeur de 21 cm orientés nord-sud et est-ouest. Ces bandes formeraient sur le globe terrestre à notre latitude un réseau de bandes nord-sud espacées de 2 mètres et de bandes est-ouest espacées de 2, 5 mètres (mais aucun instrument étalonné ne permet de mesurer ces ondes en dehors de la présence subjective du manipulateur de baguette de sourcier ou d'autre instrument de ce type). Les lits les plus pathogènes seraient situés sur un croisement de ces bandes, appelé aujourd'hui nœud de Hartmann, entré en résonance avec des ondes telluriques (dont l'existence n'est pas établie). Hartmann prétendit ensuite qu’il suffisait d’adapter la place des lits pour que certaines maladies disparaissent régulièrement rapidement. Pour étendre plus loin les résultats de ses recherches, il organisa dès 1951 des séminaires et des colloques à Eberbach. Puis en 1961, il fonda un Centre de recherche pour la géobiologie qu’il présida pendant près de trente ans.

Réseau Hartmann et veines du Dragon. . . Le Docteur Hartmann n’était pas le

Réseau Hartmann et veines du Dragon. . . Le Docteur Hartmann n’était pas le premier, loin s’en faut, à effectuer des recherches dans ce domaine puisque autant en Grande Bretagne avec Haviland, en France avec Peyré et Chrétien, des constatations analogues avaient déjà été effectuées.

Ces ondes telluriques ont la particularité de se manifester en hauteur et sont donc

Ces ondes telluriques ont la particularité de se manifester en hauteur et sont donc considérées comme des “murs”. Ces “murs” déterminent trois types de zones : des zones neutres comprises dans chacune des mailles, entre les limites internes du quadrillage, et qui sont considérées comme des lieux de repos ; des zones de première intensité à l’emplacement des mur, dont la faible activité ne semble pas provoquer de problème. Enfin des zones de forte intensité tellurique se trouvant à l’intersection des murs, ou lignes de force, formant des carrés de 21 cm de coté. A cause de cette forte activité tellurique parfois fortement perturbatrice, ces zones ont été nommées “noeuds radiants”.

La présence de ces noeuds radiants est déjà de nature à apporter des modifications

La présence de ces noeuds radiants est déjà de nature à apporter des modifications de nature électromagnétiques sur leur emplacement ou à leur directe proximité. Mais, si le réseau est perturbé soit par la présence d’une faille, d’une cavité souterraine, d’un cours d’eau, d’une différence entre des couches géologiques, de la présence de minerais ou de dépôts ferreux. . . la déformation des mailles implique ces “noeuds radiants” renforcent d’autant leur intensité et, par là, deviennent réellement actifs sinon pathogènes.

Les variations du réseau Hartmann permettent donc d’une part de détecter de telles anomalies

Les variations du réseau Hartmann permettent donc d’une part de détecter de telles anomalies de terrain et d’autre part de mettre en évidence des points précis à éviter lors de la construction ou de l’aménagement d’un habitat. Si le lit se trouve à l’aplomb d’un tel “noeud” non seulement le sommeil risque d’en être perturbé mais à la longue des troubles psychiques et physiques peuvent se déclarer. Une simple faille ou un cours d’eau souterrain peut, à la suite de la déformation du réseau, provoquer une concentration de ces “noeuds radiants” sur un espace limité. Dans ce cas il peut s’agir de ce que l’on nomme communément une “maison à problème”, une “maison à suicides”, une “maison à cancer”. Ce principe d’un réseau avait déjà été émis par Henri Mager et Lavaron puis par Peyre qui reconnaissaient également la présence d’une énergie électromagnétique aux points d’intersection des lignes de force le constituant.

Un réseau Hartmann dont le tracé est régulier et dilaté témoigne d’une bonne qualité

Un réseau Hartmann dont le tracé est régulier et dilaté témoigne d’une bonne qualité biotique. Inversement, si le lieu est perturbé, il apparaît resserré et déformé. Le réseau Hartmann est sensible à l’électricité. Il se détecte à l’antenne de Lécher : Ø 10 pour les nœuds Ø 12, 2 pour les cloisons Dans l’atmosphère le nœud Hartmann est une zone de faible résistance. Précisons que l’intensité des rayonnements du réseau Hartmann varie suivants les heures de la journée, en fonction des positions de la lune et du soleil. Ø Le maximum se situe entre minuit et 2 heures du matin. Ø Le minimum se situe entre 5 et 7 heures puis entre 17 et 19 heures. Les cloisons Hartmann, donc leurs croisements, ne montent pas nécessairement verticalement, mais parfois de manière franchement oblique. Un nœud Hartmann à la verticale d’un court d’eau sera plus agressif.

Il y a aussi…. . ( mais ce sera pour une autre fois )

Il y a aussi…. . ( mais ce sera pour une autre fois )

Question : comment avons nous fait pour survivre jusqu’à ce jour, au milieu de

Question : comment avons nous fait pour survivre jusqu’à ce jour, au milieu de l’enchevêtrement diabolique de ces réseaux d’ondes telluriques…. ? ? BON DIEU…. . MAIS C’ EST BIEN SUR !!!

Revenons au sujet de cet exposé !

Revenons au sujet de cet exposé !

Détection du réseau de Hartmann Il existe différentes méthodes de mesure : - antenne

Détection du réseau de Hartmann Il existe différentes méthodes de mesure : - antenne spécifique - pendules.

…et divers autres ustensiles Géodynamètre

…et divers autres ustensiles Géodynamètre

…et aussi

…et aussi

Au travail sur le terrain version « Pendule » !

Au travail sur le terrain version « Pendule » !

Au travail sur le terrain version « Antenne » !

Au travail sur le terrain version « Antenne » !

ALORS SEPTIQUES ?

ALORS SEPTIQUES ?

Et, si on faisait des tests …. .

Et, si on faisait des tests …. .

Réalisation de « l’antenne »

Réalisation de « l’antenne »

1 er test sur le terrain A G B DAMNED…. . ça a l’air

1 er test sur le terrain A G B DAMNED…. . ça a l’air de fonctionner !!!! ANALYSE CRITIQUE Difficile de maintenir rigoureusement alignés dans le même axe vertical les tourillons A et B , donc création d’un couple de rotation avec le centre de gravité « G » de l’antenne.

2 eme test sur le terrain Réalisation d’un cadre permettant de garder les tourillons

2 eme test sur le terrain Réalisation d’un cadre permettant de garder les tourillons A et B dans le même axe vertical ANALYSE CRITIQUE Ça a l’air de fonctionner également, mais on n’est pas toujours certain d’être dans la verticale de l’articulation en maintenant le cadre manuellement.

Possibilité de suspendre le système, mais équilibrage à améliorer

Possibilité de suspendre le système, mais équilibrage à améliorer

Équilibrage réussi mais le système manque de stabilité

Équilibrage réussi mais le système manque de stabilité

Dernier test sur le terrain Je suis forcé de reconnaître que ça fonctionne toujours,

Dernier test sur le terrain Je suis forcé de reconnaître que ça fonctionne toujours, en tous les cas à Allauch, mais vous pouvez l’essayer ici ! ANALYSE CRITIQUE Ajout de 2 Kg de lest pour renforcer la stabilité et maintenir la verticalité de l’axe de rotation L’antenne tourne toujours, mais dès qu’elle amorce un mouvement, la distance entre le centre de gravité et l’axe de rotation varie ce qui perturbe la stabilité d’orientation de l’antenne

CONCLUSION Je ne sais pas si je vous ai convaincu qu’il existe des choses

CONCLUSION Je ne sais pas si je vous ai convaincu qu’il existe des choses que nous connaissons mal. ( scientifiquement bien sûr ) J’espère toutefois avoir un peu suscité votre curiosité Mais je pense que cet exposé sur les « nœuds » , n’avait que pour unique but de resserrer les liens qui nous unissent ! MERCI DE VOTRE ATTENTION

PARES POUR UNE RECHERCHE NODALE ? ? ? AU TRAVAIL !

PARES POUR UNE RECHERCHE NODALE ? ? ? AU TRAVAIL !