Introduction la lexicologie Confrence 5 La cratiton lexicale

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Introduction à la lexicologie Conférence 5 La créatiton lexicale : la dérivation sémantique

Introduction à la lexicologie Conférence 5 La créatiton lexicale : la dérivation sémantique

Questions à discuter: 1. La polysémie. 2. L’homonymie. 3. L’hypéronymie /l’hyponymie.

Questions à discuter: 1. La polysémie. 2. L’homonymie. 3. L’hypéronymie /l’hyponymie.

Sources: • Alisé LEHMANN, Françoise MARTIN-BERTHET. Lexicologie, sémantique, morphologie, lexicographie. Paris, Armand Collin, 2014.

Sources: • Alisé LEHMANN, Françoise MARTIN-BERTHET. Lexicologie, sémantique, morphologie, lexicographie. Paris, Armand Collin, 2014. • Aino NICLAS-SALMINEN. La lexicologie. Paris, Armand Collin, 2010. • Alain POLGUÈRE. Notions de base en lexicologie. Observatoire de Linguistique Sens-Texte (OLST) , Montréal, 2001. • Aram BARLÉZIZIAN. Précis de lexicologie du français moderne, Erevan, 2009, Université Brussov. • Louis-Jean CALVET. Il était une fois 7000 langues. Paris, Fayard, 2011. • Ana GUTU. Les pouvoirs de la langues. Chisinau, ULIM, 2014. • Lidia MORARU, Catalina BOTNARUC. Lexicologie de la angue française. Chisinau, 2014, USM. • https: //fr. vikidia. org/wiki/Langues_r%C 3%A 9 gionales_de_France#L. 27 als acien

1. La polysémie. • La polysémie est un trait constitutif de toute langue naturelle.

1. La polysémie. • La polysémie est un trait constitutif de toute langue naturelle. Elle répond au principe d’économie linguistique, un même signe linguistique servant à plusieurs usages • Grace aux ressources de la polysémie la langue est apte à exprimer, avec un nombre limité d’éléments, une infinité de contenus inédits et peut faire face aux besoins de nouvelles dénominations. • Ainsi, le mot souris s’est enrichi d’une nouvelle acception par le biais du calque anglais– boitier connecté à un micro-ordinateur.

1. La polysémie. • La polysémie est la conséquence normale de la vie de

1. La polysémie. • La polysémie est la conséquence normale de la vie de toute langue naturelle. • La polysémie ne gêne pas le fonctionnement de la langue dans la mesure où des ambiguïtés possibles des significations sont résolues par le contexte ou la situation communicationnelle. • Le mot polysémique s’oppose, par définition, au mot monosémique. Le mot polysémique présente une pluralité d’acceptions (ou sèmes) correspondant à des emplois différents. Canard, par exemple, a 5 acceptions: animal, sucre trempé, fausse note, fausse nouvelle, journal.

1. La polysémie. • De manière générale, deux caractéristiques distinguent le mot polysémique de

1. La polysémie. • De manière générale, deux caractéristiques distinguent le mot polysémique de celui monosémique: - Le polysème fait partie du lexique général (foyer, instruire, solide), tandis que le monosème appartient le plus souvent au lexique spécialisé (azote, hypertension, phonème); - La polysémie a une fréquence relativement élevée par rapport aux mots monosémiques: être, faire, pouvoir, prendre, avoir, jour, devoir figurent parmi les mots polysémiques les plus utilisés en français. - Un même mot peut avoir des acceptions opposées: louer – donner en location et prendre en location; desservir – servir et rendre un mauvais service; Ce phénomène s’appelle énantiosémie, connu aussi par le terme arabe addad.

1. La polysémie. • La polysémie est un phénomène massif. Un grand nombre d’unités

1. La polysémie. • La polysémie est un phénomène massif. Un grand nombre d’unités lexicales sont polysémiques – plus de 40% des mots de la nomenclature du dictionnaire Petit Robert selon Victori B. et Fuch C. – toutes les classes syntaxiques en sont concernées: noms, verbes, adjectifs, prépositions, conjonctions, pronoms. • La polysémie est propre aussi aux affixes. • La polysémie peut être très productive, elle constitue une source inépuisable de la créativité lexicale et stylistique. Un mot (sémème) peut avoir jusqu’à 20 -30 acceptions (significations, sèmes). Il est à noter que le nombre d’acceptions peut varier d’un dictionnaire à l’autre, suite au traitement différent du phénomène de la polysémie et de l’homonymie.

La polysémie vs l’homonymie. • Théoriquement il y a trois critères qui distingueraient la

La polysémie vs l’homonymie. • Théoriquement il y a trois critères qui distingueraient la polysémie de l’homonymie: Le critère étymologique. • Pour qu’un terme soit polysémique il faut que ses significations/acceptions remontent à un étymon commun (podere >pouvoir; sol/solis >soleil; habeo/habere >avoir). Pourtant, il y a des lexicographes qui attestent dans leurs dictionnaires les mots Voler – a zbura et voler – a fura comme des homonymes, et non pas des polysèmes, même si l’étymon est commun: volare. Il en est de même pour le mot grève – banda de teren pe malul apei et greva, provenant du latin grava. • En dépit de l’avantage du critère étymologique, les lexicographes n’en tiennent pas compte toujours, car les usagers l’ignorent le plus souvent, et, donc, l’histoire de la langue n’est pas privilégié dans ce cas par les dictionnaires.

La polysémie vs Homonymie Le critère sémantique. • Ce deuxième critère insiste sur la

La polysémie vs Homonymie Le critère sémantique. • Ce deuxième critère insiste sur la similitude des acceptions pour qu’elles soient cataloguées à l’intérieur d’un mot polysémiques: printemps, prendre, tomber; et sur la distinction entre celles-ci quand il s’agit des homonymes – louer –a da in chirie et louer – a lauda; . Le critère formel/syntaxique/morphologique. • Ce critère vient en complément des deux premiers et implique l’appartenance du mot à une classe grammaticale, la place de ce mot dans des constructions syntaxiques, l’orthographe etc. • Même si on a cité ces trois critères, il est impossible aujourd’hui de répertorier d’une manière définitive les polysèmes et les homonymes. Il y a deux approches lexicographiques: unitaire - privilégier à augmenter le nombre des polysèmes, et donc, réduire le nombre d’entrées dans un dictionnaire explicatif (TLF, Dictionnaire de l’Académie Française, Le Petit Robert d’Alain Rey, principe de Jacqueline Picoche), ou homonymique - de multiplier le nombre d’homonymes (le Dictionnaire du Français contemporain de Jean Dubois)

1. La polysémie: le changement du sens • Les changements du sens des unités

1. La polysémie: le changement du sens • Les changements du sens des unités lexicales peuvent être examinés du point de vue diachronique ou synchronique. • En diachronie on présente l’évolution sémantique du mot polysémique en suivant l’ordre d’apparition des acceptions (Petit Rober, TLF, Dictionnaire historique de la langue française). • En synchronie on décrit les relations régulières qui réunissent les différentes acceptions du mot polysémique. • Quelle que soit la perspective retenue, c’est la théorie classique des tropes qui fournit les bases de la description des changements des sens. • Décrits dès l’Antiquité pat la rhétorique, les tropes forment une catégorie spécifique de figures. Dumarsais (1676 -1756) les définit comme « des figures par lesquelles on fait prendre à un mot une signification qui n’est pas précisément la signification propre de ce mot » .

Sens propre vs sens figuré • Il y a une convergence entre la rhétorique

Sens propre vs sens figuré • Il y a une convergence entre la rhétorique et la lexicologie, quand on dit que le mot peut avoir deux sens: le sens propre et le sens figuré (obtenu par une figure). • Si l’on schématise on peut dire que le sens propre c’est le sens fondamental du mot, le premier; le sens figuré est aussi appelé parfois sens second, sens dérivé. • Ex. : sens propre du mot voile: Un vaisseau comprend une coupe et des voiles; sens figuré: Je vois cent voiles à l’horizon. • Les tropes qui font modifier le sens sont la métaphore, la métonymie, la synecdoque

La métaphore • La métaphore peut être considérée comme la figure fondée sur la

La métaphore • La métaphore peut être considérée comme la figure fondée sur la ressemblance, la similitude. Elle s’appuie sur des analogies existant dans le réel ou construites par le sujet parlant. • Examinons à ce propos le mot aile. Au sens propre aile désigne les organes que possèdent certaines espèces animales et qui leur permettent de se déplacer et se soutenir dans l’air. Parmi les sens seconds de ce mot, on trouve, entre autres, les ailes d’avion. Malgré les différences qui distinguent ces deux sortes d’ailes (battantes et fixes), on peut trouver des ressemblances entre elles à la fois au niveau de leur forme qu’au niveau de leur fonction. Le mot est employé aussi pour d’autres référents, sur la base d’une simple ressemblance d’aspects: ailes du nez, ailes d’une armée ou d’une équipe sportive, ailes du bâtiment, ailes d’un moulin. • Il faut remarquer que l’esprit humain a la capacité de découvrir sans cesse des analogies qui permettent d’utiliser un mot existant avec un sens nouveau, de l’appliquer à de nouveaux référents.

La métaphore • Pour que le procédé entre en jeu, il suffit en effet

La métaphore • Pour que le procédé entre en jeu, il suffit en effet d’une vague ressemblance concernant par exemple: • La forme: les dents d’une scie – les dents de la bouche; • La situation: les pieds d’une table – les pieds d’une personne debout; • La fonction: une machine marche – une personne marche; • Une propriété réelle ou supposée: un jeune loup = un jeune homme ambitieux; un renard = une personne rusée; un mouton = une personne crédule et passive, qui se laisse facilement mener. • Grace à l’usage fréquent, les métaphores se lexicalisent et sont utilisées dans le vocabulaire courant: le nez de l’avion, la tête d’un clou, la bouche de l’égout. • Aux métaphores lexicalisées s’en ajoutent sans arrêt d’autres, que les sujets parlants ou les écrivains produisent librement, à l’infini. Il s’agit dans ces cas des métaphores occasionnelles.

La métonymie • Les métaphores impliquent un degré de liberté qui n’existe pas dans

La métonymie • Les métaphores impliquent un degré de liberté qui n’existe pas dans les métonymies ou les synecdoques. Ces deux dernières sont construites sur des liens facilement constatables entre les objets. • La métonymie est un procédé par lequel un terme est substitué à un autre terme avec lequel il entretien une relation de contiguïté. Ce type de relation peut être relativement varié: - Du contenant par le contenu: boire un verre pour boire le vin contenu dans le verre; terminer son assiette pour terminer la nourriture contenu dans l’assiette. - Du lieu pour l’objet fait dans ces lieu: du bordeaux pour le vin de Bordeaux; du cognac pour la boisson faite dans la ville de Cognac. - De l’objet pour la matière dont il est fait: un jean pour un pantalon fait en jean; un fer pour une épée. - De la cause pour l’effet et vice-versa: refroidir pour tuer; descendre pour tuer. - De l’abstrait pour le concret: cet orgueil (=individu orgueilleux) périt sous l’ongle du vautour.

La synecdoque • La synecdoque joue sur les relations de contiguïté entre objets (individus

La synecdoque • La synecdoque joue sur les relations de contiguïté entre objets (individus ou événements) qui existent dans le monde. Elle remplace le nom de l’un des deux objets par celui de l’autre. Les deux objets, à la différence de ce qui se passe dans la métonymie, ne sont pas indépendants l’un de l’autre et sont liés par un lien de type définitionnel. On peut distinguer: - La synecdoque de l’espèce (le nom de l’espèce est pris par celui du genre): la saison du lilas pour la saison des fleurs. - La synecdoque du genre (le nom du genre est pris pour celui de l’espèce): Un vagabond entra. L’homme était livide. - L’antonomase (le nom de l’individu est pris pour celui de l’espèce): Quel don juan! Pour Quel séducteur sans scrupule! - La synecdoque de la partie pour le tout: voile pour bateau, toit pour logement, lame pour épée.

L’autonymie • L’autonymie est la propriété de la langue de parler d’elle-même, c’est le

L’autonymie • L’autonymie est la propriété de la langue de parler d’elle-même, c’est le cas où un signe linguistique se désigne lui-même. Par exemple: - Cet enfant est turbulent. - Enfant est un substantif et turbulent est un adjectif. - Il y a une assonance entre enfant et turbulent. • Dans la première phrase, enfant dénote un être humain dans l'âge de l’enfance et turbulent – une propriété, alors que dans les deux autres phrases, les mêmes mots se désignent eux-mêmes. • Dans l’usage autonymique les mots et les expressions ont une interprétation des propriétés syntaxiques, des caractéristiques graphiques particulières. • L’autonymie est l’un des aspects du métalangage = langage naturel ou formalisé servant à parler d’une langue, à la décrire.

2. L’homonymie. • Les homonymes sont des mots ayant des formes orthographiques identiques, mais

2. L’homonymie. • Les homonymes sont des mots ayant des formes orthographiques identiques, mais des significations différentes. Le tour – la tour; la manche – le manche; le livre – la livre; car (N) – car (Pprép. ); • Les homophones sont les mots qui se prononcent identiquement, mais qui ont des significations /classes grammaticales et des orthographes différentes: comte –compte –conte; voie – voix; bon – bond; dans – dent; • Les homographes sont les mots qui ont une même orthographe, mais des significations /classes grammaticales différentes: parent (N) – parent (V); couvent (N) – couvent (V);

2. L’homonymie. • L’homonymie se rencontre surtout dans les mots monosyllabiques. Elle devient plus

2. L’homonymie. • L’homonymie se rencontre surtout dans les mots monosyllabiques. Elle devient plus rare à mesure qu’augmente le nombre des syllabes. • On peut se demander pourquoi l’homonymie est un phénomène si fréquent dans les langues naturelles. La langue idéale devrait logiquement être que chaque signification soit associée à une seule forme lexicale, mais elle n’existe pas. • On pourrait penser que l’homonymie dérange la compréhension et cause obligatoirement une gêne pour les locuteurs et les interlocuteurs, mais, en réalité, la langue arrive à s’adapter très bien à la présence des homonymes. • Généralement, les mots ne sont pas utilisés dans leurs formes « isolés » : ils sont insérés dans des phrases, où ils s’éclairent les uns les autres. Le contexte, le sujet traité et la situation communicationnelle orientent la compréhension et évitent les ambiguïtés possibles, causées par les homonymes.

2. L’homonymie. • Les homonymes font souvent partie des classes grammaticales différentes, voilà pourquoi

2. L’homonymie. • Les homonymes font souvent partie des classes grammaticales différentes, voilà pourquoi une confusion est peu probable quand il s’agit d’une actualisation des mots dans un contexte. Par exemple, si l’on entend « savð » /savons –savon/, cette homonymie n’est jamais gênante, car les conditions d’emploi de ces deux séquences sonores identiques ne peuvent pas être les mêmes. • Le verbe « savons » peut être employé seulement en liaison avec le pronom « nous » . Le verbe et le nom n’ont pas la même fonction à l’intérieur de la phrase. Les constructions grammaticales dans lesquelles sont intégrés ces deux homonymes servent donc à exclure toute ambiguïté.

La paronymie • Parler d’homonymie signifie également parler de la paronymie. Les paronymes sont

La paronymie • Parler d’homonymie signifie également parler de la paronymie. Les paronymes sont les mots qui se ressemblent d’après la formes graphique et sonore, mais qui constituent, pourtant, des unités lexicales différentes, ayant des significations distinctes: • Collision ≠ collusion; allocation ≠ allocution; percepteur ≠ précepteur; recouvrer ≠ recouvrir; conjoncture ≠ conjecture; • Les paronymes sont la cause de beaucoup de confusions. Parfois, les écrivains utilisent les paronymes pour créer ce qu’on appelle dans la stylistique « le jeu de mots » .

3. L’ Hypéronymie/hyponymie. • Les relations sémantiques entre les unités lexicales sont de deux

3. L’ Hypéronymie/hyponymie. • Les relations sémantiques entre les unités lexicales sont de deux type: - Relations hiérarchiques et d’inclusion lorsqu’elles concernent des unités qui n’ont pas le même rang (hyponymes et hypéronymes, relation partie-tout); - Relations d’équivalence (synonymie) ou d’opposition (antonymie) lorsqu’elles concernent les unités de même rang. • Ces relations structurent le lexique sur le plan paradigmatique. • Ces termes ont en commun l’élément –onyme signifiant « appellation, nom » ; • Hypéronyme/hyponyme ont été créés sur le modèle synonyme/antonyme

3. L’ Hypéronymie/hyponymie. • La relation d’hypéronymie/hyponymie est une relation hiérarchique qui unit un

3. L’ Hypéronymie/hyponymie. • La relation d’hypéronymie/hyponymie est une relation hiérarchique qui unit un mot spécifique (sous-ordonné) l’hyponyme à un mot plus général (superodonné) nommé hypéronyme. • Ainsi, tulipe, est l’hyponyme de fleur, fleur est l’hypéronyme de tulipe; • Le rapport qui lie un hyponyme (tulipe) à un hypéronyme (fleur) est un rapport d’inclusion: fleur comprend le tulipe. • L’hyponymie établit aussi des rapport d’implication unilatérale entre deux unités lexicales: si x est un tulipe, alors x est une fleur; mais on ne peut pas dire l’inverse: si x est une fleur, alors x est un tulipe.

3. L’ Hypéronymie/hyponymie. • Un mot donnée peut entrer dans une série d’inclusions successives

3. L’ Hypéronymie/hyponymie. • Un mot donnée peut entrer dans une série d’inclusions successives qui dessinent des relations hiérarchiques dans le lexique: Végétal arbre • Sapin/conifère/arbre/ VÉGÉTAL conifère • Tulipe précoce/tulipe/fleur/ PLANTE; sapin • Redingote/manteau/ VÊTEMENT. • Certains mots sont tour à tour hyponymes et hypéronymes: manteau est l’hypéronyme de redingote et l’hyponyme de vêtement. • Les hiérarchies sont très importantes dans l’organisation des connaissances, dans les terminologies spécialisées, car les termes font référence à des objets, phénomènes de la connaissance spécifique de l’homme. Les hiérarchies terminologiques sont aussi appelées arborescences/thésaurus.

3. L’ Hypéronymie/hyponymie. • La relation hyper/homonymique touche différentes catégories syntaxiques: des verbes (couper/cisailler);

3. L’ Hypéronymie/hyponymie. • La relation hyper/homonymique touche différentes catégories syntaxiques: des verbes (couper/cisailler); des adjectifs (rouge/pourpre, gai/guilleret) et surtout des noms. • Cela s’explique par le fait que le nom est à la fois une catégorie syntaxique (substantif) et outil incontournable de la dénomination (les hiérarchies mettent en jeu les classes des référents). • Les relations hyper/homonymiques ont un rôle important dans l’apprentissage du lexique d’une langue autre que la langue maternelle. Le locuteur peut parler des objets dont il ne connait pas le nom spécifique en recourant à l’hypéronyme.

Devoir 1. Cherchez et trouvez dans le dictionnaire Petit Robert les acceptions différentes des

Devoir 1. Cherchez et trouvez dans le dictionnaire Petit Robert les acceptions différentes des mots prendre, aller, douter, donner, cher et faites la caractéristique de chacune de leurs acceptions. 2. Trouvez à votre choix 5 homonymes de la langue française et décrivez-les selon leur étymologie. 3. Trouvez à votre choix dans le dictionnaire Petit Robert 10 séries hypéro/hyponymiques et traduisez-les en roumain. Devoir à envoyer à agutu@ulim. md