Le livre et laccs au savoir Livre 2010

Le livre et l’accès au savoir Livre 2010 / Table ronde n° 4 Ministère de la culture Direction du Livre et de la Lecture 9 Novembre 2006. Paris. Olivier Ertzscheid / olivier. ertzscheid@gmail. com Maître de conférences en sciences de l’information IUT de La Roche sur Yon. Université de Nantes http: //www. affordance. info

Quelques faits … (source : Isbn. wordpress. com) • Connexion – • Accès – – • – 4. Parce que l’offset était la norme en édition professionnelle alors que l’impression numérique offre de nouvelles perspectives. 10. Parce que les futurs auteurs contactaient les éditeurs alors que lulu. com s’érige aujourd’hui comme alternative pour certains marchés de niche. Valorisation / diffusion – – • 2. Parce que les connexions étaient (très) lentes, alors qu’aujourd’hui câble et adsl ouvrent la voie aux podcasts (voir ce post), livres audio et videos. (…) 8. Parce que les projets phares se déclinaient sur CD-Rom, alors que l’accès au contenu passe aujourd’hui par Internet Explorer, un identifiant et un mot de passe. Usages – • 1. Parce qu’Internet était pour les ados passionnés d’informatique, alors que 54% des internautes français déclaraient en été 2006 s’être connectés au cours des 30 derniers jours. 5. Parce que les présentations d’ouvrages reposaient sur les textes de 4ème de couverture, alors que le client cherche aujourd’hui dans le livre en texte intégral. 6. Parce que les clients se renseignaient en librairie pour découvrir les nouveautés, alors qu’Amazon et Google et blogs influents prennent aujourd’hui le relais. Adhésion – 7. Parce que (…) fin juin 2006, 81% des internautes français avaient déjà acheté en ligne.

Piliers du livre à l’heure du numérique : éléments contextuels • Modèle économique / modèle de diffusion – Longue traîne / Massification des accès / Modernisation des dispositifs de lecture (e-ink, e-paper, readers …) • Modèle documentaire (cf diapos suivantes) : – Redocumentarisation / Dérive des continents documentaires / Archive foucaldienne • Catalogue ouvert & interopérable – Métadonnées / Recommandation • Babélisation des expertises (à relativiser) : – Expertise ascendante, partagée • Du « tout en ligne » – Bureautique, Communication (IM, Chat, Forum), Catalogue • Du « tout ouvert » – Bureautique, données, archives, accès, suites logicielles, textes de savoir

Modèle documentaire • Redocumentarisation : « Comme dans la précédente modernisation, le document participe au processus et même y joue un rôle clé, mais il s’est transformé au point que l’on peut se demander s’il s’agit encore de la même entité » • Dérive des continents documentaires (cf diapo suivante) • Archive foucaldienne : « Par archive, j’entends d’abord la masse des choses dites dans une culture, conservées, valorisées, réutilisées, répétées et transformées. Bref toute cette masse verbale qui a été fabriquée par les hommes, investie dans leurs techniques et leurs institutions, et qui est tissée avec leur existence et leur histoire »

indexé non-indexé Dérive des continents documentaires ? Pourquoi ? Web public Web privé Web personnel (Desktop) Web intime (Mail) Web extime (blogs) 2015 ? Web public Web privé Web personnel (Desktop) Web intime (Mail) Qui ? Web extime (blogs) 2005 Web public 1995 Web personnel (Desktop) Web intime (Mail) Quoi ? Web privé

Les cultures & les besoins : ou comment comprendre ce que veut le « public » • Culture de fragment – Homogénéisation des savoirs • Culture du gratuit/ouvert • Culture des usages/usagers – 6 cultures de l’Internet (cf diapo suivante) • Culture de l’agrégation, de l’appropriation • Culture de l’accès • Culture du service • Culture de « l’économie » • Culture de l’agrégation des pratiques, des habitus • Culture de la synchronicité – Accès, repérage, recherche, certification, indexation, navigation, partage • Besoin de discrimination • Besoin de recommandation – Réhabilitation de l’expertise collective et non plus simplement « es qualité » – Besoin d’inventer des modèles hybrides, mixtes d’expertise sinon, on entretient la confusion dramatique entre autorité et popularité. • Besoin de centralisme & de proximité • Besoin d’interopérabilité • Besoin de clarification des pratiques

Les 6 cultures • « (1) les militaires, (2) l'élite technico-scientifique académique, (3) les programmeurs, (4) les communautés virtuelles et (5) les entrepreneurs. (6) sixième vague: celle des « opérateurs de symboles » qui « manipulent les symboles sous toutes ses formes (écrit, visuel, audio) afin de générer du sens. » in Martin Lessard : http: //zeroseconde. blogspot. com/2006/09/les-6 -cultures-dinternet. html • Cette sixième culture (celle du web 2. 0) hérite des 5 précédentes : – Maîtrise des outils lui permettant de « programmer sans coder » (mashups) – Fonctionne sur un mode communautaire fractal (de la famille au village global, communauté ouvertes ou fermées) – Dispose d’une culture « entrepreunariale » = crée des applications et des services – Réclame et s’approprie une culture académique (démocratisation des accès, Google scholar, , archives ouvertes, etc. ) – Agrège l’ensemble des points précédents à des fins « tactiques » (court terme : trouver l’âme sœur, un billet d’avion moins cher …) ou « stratégiques » (long terme = plans de carrière, réseaux sociaux, gestion de l’identité numérique … )

Culture de l’agrégation des pratiques & Besoin de clarification ou risque de confusion • On … – Cherche / Communique / S’oriente / Organise / Partage • De l’information – Publique / Privée / Personnelle (desktop) / Intime (mails) / Extime (blogs) • Avec les mêmes OUTILS • Avec les mêmes HABITUS COGNITIFS (onebox) • Avec les mêmes ATTENTES (full-text, catalogue enrichi, partage, recommandation …) • Lesquels habitus sont conditionnés par un quintuple principe d’économie …

Confusion des pratiques ? Web/documenet public cher Web/document` privé communiquer s’orienter talk google Web personnel (Desktop) Web intime (Mail) organiser print orkut earth API’s Web extime (blogs) partager Tagger / indexer

Culture de « l’économie » • L’économie du livre et de l’accès au savoir repose sur un quintuple principe d’économie : 1. Économie d’expertise 2. Economie de temps 3. Economie d’argent (culture du moindre coût : cf Isbn. nu, diapo suivante) 4. Economie d’échelle dans le repérage et l’accès (catalogue Amazon) 5. Economie cognitive de l’indexation, de la certification des contenus (faible coût cognitif des folksonomies) – ==> « L’offre » se doit d’intégrer cette « économie de la demande »

Culture du moindre coût • Une culture du gratuit – Une envie du moindre coût – http: //isbn. nu/0714540536 : beckett / http: //isbn. nu/2253010693 : flaubert – Un même ouvrage : de 8 à 20 $. Livré de 3 jours à 8 semaines. – La loi Lang repose en paix.

Textes de savoir & Société de l’information

« Que représentent aujourd’hui les textes de savoir dans une société où tout est information ? » • "Where is the Life we have lost in living? • Where is the wisdom we have lost in knowledge? • Where is the knowledge we have lost in information? " T. S. Eliott, in Choruses from The Rock (1934) • Where is the information we have lost in Google ? • Je ne pensais pas en « détournant » cette citation il y un an et demi qu’une nouvelle boucle serait aujourd’hui bouclée : • Google a remporté la bataille de l’information (l’accès à ) • Google se bat pour remporter celle de la connaissance (l’accès à) • Au delà, Google en sait parfois plus que nos proches sur nos propres vies.

« Que représentent aujourd’hui les textes de savoir dans une société où tout est information ? » • « Avant » , c’était clair : le savoir est dans les livres, l’information est dans les journaux. • « Aujourd’hui » : continents documentaires réunifiés. • ==> COMMENT ARTICULER CETTE DICHOTOMIE SANS LA DISSOUDRE DANS UN MANICHEISME BON TEINT ? ? • 3 pistes : – Bascule encyclopédisme savant => encyclopédisme d’usage – Révélation cognitive de « l’ouverture » avec un risque de babélisation des expertises – Trouver de nouvelles médiations pour (parce que) de nouvelles autorités cognitives

Savoir & Information Encyclopédisme savant => d’usage • • Encyclopédisme savant => cycle cumulatif des connaissances Encyc: opédisme d’usage => – – • • • « Au catalogue actuel, ne faut-il pas substituer ou au moins adjoindre un système de cartographie intelligente qui permette de restituer chaque donnée dans son « arbre de savoir » ? (. . . ) On observera que c’est aussi le chemin obligé d’une redéfinition de l’encyclopédisme, question qui est aujourd’hui massivement posée. » [BPI 01] « Historiquement, d’abord on énumère (. . . ), ensuite on rassemble (. . . ), enfin on classe et l’on ordonne (. . . ). Dès lors, trois grands types de structuration du savoir se font jour : le séquentiel linéaire (la liste), le central-circulaire (l’organisation systématique – encyclopédique), enfin le relationnel-réticulé (la base ou banque de données, le néo-fichier). » [Parrochia 93 p. 181] « On énumère » : outils de liste (google books, google maps : liste des pizzerias) « On rassemble » : Usagers qui « posent » des requêtes : créent des points de regroupement affinitaires soit individuels, soit partagés « On ordonne » : avant, c’était l’apanage des experts. Parce qu’ils avaient les outils, la culture métier, et l’accès aux listes (= catalogues de bibliothèques ou d’éditeurs). Aujourd’hui, le processus d’aggrégation (mashup) rassemble en un même processus la phase de rassemblement et celle de l’organisation (ordonnancement, classification). Ce processus passe au mains des « usagers » , sans critère d’expertise-métier. (=babélisation des expertises)

Révélation cognitive : encyclopédisme, iinformation, connaissances • • • Les archives ouvertes ont 17 ans. Google à 8 ans. Wikipedia a 5 ans. Révolutions cognitives majeures : bouleversement radical, majeur du point de vue de l'histoire des sciences. En 5 ans Wikipedia a donné ses lettres de noblesse à un encyclopédisme non plus "savant" mais "d'usage" En 8 ans, Google a mis en place un guichet unique d'accès à l'information à une échelle jamais atteinte, une échelle planétaire. En 17 ans, les archives ouvertes ont rendu au monde les résultats d'une science qui n'appartenait jusqu'ici qu'à une "élite". La tectonique interne aux savoirs s'est doté de nouvelles plateformes, de nouveaux usagers, de nouveaux publics, et de nouveaux contributeurs. Elle hésite parfois encore sur la question des modes de validation. Pour autant, l'angélisme n'est pas de mise. La société de la connaissance n'est pas la société de l'information. Antagonismes & cripspations sont nombreuses, notamment concernant les intermédiaires et de la nature du processus d'inter ou d'alter-médiation. Les archives ouvertes ont engagé un processus irréversible, un déclic. A compter de cette date, la boîte de pandore de la connaissance une fois ouverte, nul ne songera plus à la refermer. Wikipedia servit ensuite de révélateur, en inscrivant dans le panorama des sciences la figure nouvelle de l'usager encyclopédiste. Pendant ce temps, Google servit de fixateur. Fixateur de la convergence des regards planétaires, fixateur plus contesté et contestable de contenus, mais fixateur avant tout. Un déclic, un révélateur et un fixateur. Tels sont les ingrédients qui en 17 années à peine dessinent ce qui n'est pas une révolution mais une révélation. L'essentiel est fait. Les usagers encyclopédistes ont jusqu'ici été plus prompts à se saisir de la formidable chance qui leur était offerte que ne le sont actuellement les usagers chercheurs. Mais ces derniers y viendront.

Penser des services et des stratégies pour un monde « ouvert » • • • Ouvert. O-U-V-E-R-T. Les archives (Open Archives). les accès (Open Access). les suites logicielles (Open Office). Open hardware : "Sun is about to change the world". Car, oui, Sun projette (rien n'est encore fait) : "To open source processor technology to developper communities". Open databases : – – • Alexa met à disposition son index de. . . 5 milliards de documents. . . Google va produire des cdrom contenant un grosse partie de son index. Open Data : – – * "scientific data deemed to belong to the commons (e. g. the human genome) * infrastructural data essential for scientific endeavour (e. g. GIS) * data published in scientific articles which are factual and therefore not copyrightable data as opposed to software and therefore not covered by OS licenses and potentially capable of being misappropriated. (this is a very general idea)

Quels nouveaux modes de médiation ? • On ne répondra pas (ou à côté) si on ne pose pas EN PREALABLE, la question de « quelles nouvelles autorité cognitives ? » • Pour le dire autrement, il n’est aucune médiation qui puisse se faire dans l’ignorance de se cible. Or quelle est la cible aujourd’hui ? • La médiation dont nous parlons ici doit permettre : – À ceux qui disposent d’une autorité « métier » de l’exprimer et de la « servicialiser » – A ceux qui disposent d’une « autre » autorité (expérientielle, culturelle, pratique) de la faire remonter, non pas à niveau égal, mais à valeur d’usage égale.

Quels nouveaux modes de médiation pour quelles nouvelles autorités cognitives ? • • nouvelle quadrature de la pertinence : Google, Wikipedia, My. Space, et Blogger. Ce que partagent ces sites, c'est un public. Ce qui les relie c'est le traffic. "Wikipedia obtient 54% de son traffic via Google. La majorité des visiteurs de Wikipedia se rendent ensuite sur My. Space ou Blogger, qui utilisent tous deux Google comme service de recherche. " Et là. . . la logique affinitaire se met en place. Big. Daddy (nouvelle mise à jour de l'algorithme de Google), pour éviter le spam et autres linkfarming, étudie de près et pondère davantage les "bons et mauvais voisinnages Internet". En d'autres termes, tous les liens entrants ne sont pas traités de la même manière. Ce qui n'est pas nouveau. Ce qui en revanche est nouveau : les liens en provenance de My. Space et les contenus de Wikipedia sont surpondérés. Autre point crucial : les 110 millions d'utilisateurs de My. Space sont des préadolescents. Et la moyenne d'âge des wikipédiens (wikipédistes ? ) est majoritairement celle de jeunes adultes. Sur ces deux éléments, aucun doute. Il y a donc une véritable bascule générationnelle de l'autorité qui donne la primauté de la pertinence et de l'expertise à une génération jusqu'ici plus habituée à jouer les prescripteurs pour différentes marques de soda. Les frontières de l'autorité cognitive s'ouvrent. Et c'est une bonne chose. Mais que ce déplacement des frontières cognitives repose sur la volonté de quelques-uns de marchandiser des réseaux sociaux massivement émergents pose à coup sûr problème. Et l'enjeu est de taille. • Nouvelles autorités cognitives = digital natives

Comment s’expriment ces autorités et quels sont les outils de médiation permettant de les capter ? • Blogs, wikis, folksonomies. • « Sources de richesse et de diversité, ces pratiques engendrent également une désorganisation du savoir et une déqualification de l’information. » • NON !!

Babélisation des expertises ? Une notion à relativiser … • Wikipedia – plus de 5 millions de sujets couverts dans 229 langues – 33 millions d'utilisateurs/lecteurs – 3, 800 utilisateurs intensifs ("hardcore users") avec à leur charge plus de 100 modifications par mois – 18, 000 utilisateurs qui en font au moins 5 – et une loooooongue traîne d'utilisateurs essentiellement lecteurs • Avec – "50% des modifications sont faites par seulement 0, 7% des utilisateurs … soit 524 personnes, – Les 2% les plus actifs (1400 personnes) ont fait 73. 4% de tous les modifications. – Les 25% de modifications restantes viennent de personnes qui modifient un petit problème de prononciation, un fait mineur, ou des trucs dans le genre. "

? Pierre angulaire ? ? Pierre d’achoppement ? ? Pierre philosophale ? LE CATALOGUE. Personnalisation + servicialisation = Appropriation

… Autour du catalogue … • Démarche 2. 0 : « mise en oeuvre de services en ligne qui visent à mieux faire se rencontrer une offre et une demande de contenus dans le cadre d’une politique documentaire » (via Bibliobsession) • La nouveauté n’est pas d’aller vers l’usager (ce que tout le monde fait - éditeurs, libraires, biblio) mais de laisser l’usager construire ou de co-construire avec lui. • La marque des savoirs et de l’accès au savoir au 21è siècle est dans cette co-construction. – Exemple de wikipedia : tout le monde rédige mais au final, seul des experts valident. La limite réside dans la définition de cette expertise, baptisée « crowdsourcing » .

Autour du catalogue • Du catalogue ou … – « Cartalogue » : géolocalisation • Ex : google maps + localisation librairies du quartier de l’internaute qui possèdent le livre recherché`. Interopérabilité des catalogues. • Civilisation des « mashups » : – deux applications combinées pour créer un nouveau service – Ex de musique en ligne : sample (superposition) de 2 morceaux de musique – Géolocalisation est une interopérabilité environnementale qui doit se conjuguer une interopérabilité technique (métadonnées), de la même manière que l’on conjugue une signalétique des contenants et une analytique des contenus en bibliothéconomie ou pour la construction de n’importe quel catalogue – « Cataloque » : un catalogue comme lieu de discours en mouvement : un catalogue autour duquel on parle. • Expérimentation catalogablog, catalogue avec commentaires, etc …

… Autour du catalogue … • Citation d’un commercial d’une société d’organisation de contenu : • « Amazon est notre cahier des charges pour les années à venir. »

Catalogues et catalogue • Du catalogue … aux Méta-catalogues • Ex Google Books – Lien renvoi : librairie près de chez vous – Lien renvoi : Worldcat OCLC : find in a library • À l’étude : affinage par code postal : biblo. Près de chez vous. • Géolocalisation est un premier vecteur d’appropriation.

Révolution catalographique • Acculturation technique en est une autre : librarything : – février 2006 : 1. 5 millions – Juin 2006 : 3. 2 – Novembre 2006 : 6. 2 millions • • • * de la notice au format MARC * de l'indexation DEWEY * des "subjects headings" de la bibliothèque du congrès * des tags associés * des fiches de lecture et revues de la communauté * d'un système de recommandation (ceux qui ont aimé. . . ont aussi aimé. . . ) • Le meilleur des deux mondes. Dans le plus pur respect des règles et normes en vigueur dans chacun d'eux.

…Autour du catalogue … • Autarcithécaires ? • Mamelles du 2. 0 : "Créer, Personnaliser, Partager, Agréger » • l'étude distingue 3 grands types d'usagers : l'enthousiaste ("library enthusiast"), qui connaît par coeur la bibliothèque, ses services et ses employés. A l'autre extrême on trouve l'abeille travailleuse ("worker bee") qui travaille et utilise les outils seul(e) dans son coin. Et entre les deux, l'usager "drive-in" ("drive-in user") qui utilise la bibliothèque pour des tâches très orientées, ponctuelles et spécifiques.

… Autour du catalogue … • Exploiter la sérendipité : effet colatéral des chaînes de recommandation.

• Appropriation ne doit ni se faire ni se penser à sens unique – = aux usagers de s’approprier et à nous de proposer les services. • C’est également aux éditeurs, libraires, bibliothécaires, chercheurs de s’approprier ces outils