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 Images, paroles et poésies d’automne. Avance au clic

Images, paroles et poésies d’automne. Avance au clic

Des ombres troubles sous la pluie Sans bruit s’éveillent aux mornes nuées C’est l’heure

Des ombres troubles sous la pluie Sans bruit s’éveillent aux mornes nuées C’est l’heure des espoirs interdits Des langueurs d’amants esseulés. Ployant sous les cieux ternes et vides Les branches tombantes des arbres s’inclinent Offrant aux désespoirs avides Les ténèbres que leurs ombres dessinent. Les cimes soumises de la forêt S’agitent sous les cieux ternes et gris Frémissantes, hantées à jamais Des caresses cruelles de l’ennui…

 La pluie, son murmure monotone Les longues après-midi Les passions qui s’abandonnent Aux

La pluie, son murmure monotone Les longues après-midi Les passions qui s’abandonnent Aux regrets infinis. La nature rouillée De l’automne malade Ses couleurs de jade Déchirées. Les heures perdues Livides s’enlisent Suspendues Aux nuées grises De l’absolu. Les flots ruisselants, les brumes pâles N’ont pu chasser tout à fait Les parfums qu’exhale Les souvenirs imparfaits. . . DF

La mousse est sans parfum, les herbes sans mollesse ; Le jonc sur les

La mousse est sans parfum, les herbes sans mollesse ; Le jonc sur les étangs se penche soucieux ; Le soleil, qui pâlit, d’une tiède tristesse Emplit au loin la plaine , les monts et les cieux…

La grâce et le charme sont le partage exclusif de la jeunesse; la beauté

La grâce et le charme sont le partage exclusif de la jeunesse; la beauté de l'âge mûr est un fruit d'automne qu'on laisse se gâter sur la branche.

Les jours s’abrègent , l’eau qui court dans la vallée N’a plus ces joyeux

Les jours s’abrègent , l’eau qui court dans la vallée N’a plus ces joyeux bruits qui réjouissaient l’air Il semble que la terre frileuse et voilée, Dans ses premiers frissons sente arriver l’hiver.

L'automne a quelque chose de triste qui transite entre la vie et la mort,

L'automne a quelque chose de triste qui transite entre la vie et la mort, Mais l'automne a aussi quelque chose de paisible Car la douceur de ses couleurs offre à celui qui contemple le paysage Un peu de gaieté à son âme. . . En effet, il suffit à loisir De se laisser aller dans des sortes de rêveries. .

Allons, allons, ne soyons pas hostiles À cet esprit d'enfance quelque peu oublié. .

Allons, allons, ne soyons pas hostiles À cet esprit d'enfance quelque peu oublié. . . Car d'or et de pourpre l'automne vient enrichir Notre regard de mille trésors de poésie…

Au Music-hall de la nature, on donne chaque année le strip-tease de l'automne avant

Au Music-hall de la nature, on donne chaque année le strip-tease de l'automne avant que ne tombe le rideau de l'hiver qui transforme les routes et chemins en patinoire. .

Une grand-mère porte en elle les quatre saisons; Le printemps pour aimer toujours, l'été

Une grand-mère porte en elle les quatre saisons; Le printemps pour aimer toujours, l'été pour rayonner près de nous, l'automne pour apprécier les couleurs de la vie et l'hiver pour le feu qu'elle anime…

Ô changeantes saisons ! ô lois inexorables ! De quel deuil la nature, hélas

Ô changeantes saisons ! ô lois inexorables ! De quel deuil la nature, hélas ! va se couvrir ! Soleils des mois heureux, printemps irréparables Adieu ! ruisseaux et fleurs vont se taire et mourir.

Console-toi, terre ! ô Nature ! ô Cybèle ! L’hiver est un sommeil et

Console-toi, terre ! ô Nature ! ô Cybèle ! L’hiver est un sommeil et n’est point le trépas Les printemps reviendront te faire verte et belle L’homme vieillit et meurt, toi, tu ne vieillis pas !

Mon Automne éternel, ô ma saison mentale. Les mains des amantes d'antan jonchent ton

Mon Automne éternel, ô ma saison mentale. Les mains des amantes d'antan jonchent ton sol - Une épouse me suit c'est mon ombre fatale - Les colombes ce soir prennent leur dernier vol. Ne le prenez pas mal…

 Ah oui! Les femmes aussi ont leurs saisons. L'été ne dure pas toujours

Ah oui! Les femmes aussi ont leurs saisons. L'été ne dure pas toujours et après l'été. . . les splendeurs de l'automne ! Mais combien éphémères !! Qui prend le temps de regarder et d'aimer l'automne…

Certains disent qu'ils se portent mal en automne ou en hiver, mais la vérité

Certains disent qu'ils se portent mal en automne ou en hiver, mais la vérité c'est qu'ils ne se portent pas bien dans leur tête.

La vieillesse n'ôte à l'homme d'esprit que des qualités inutiles à la sagesse. Il

La vieillesse n'ôte à l'homme d'esprit que des qualités inutiles à la sagesse. Il semble que, pour certaines productions de l'esprit, l'hiver du corps soit l'automne de l'âme…

Les meilleurs et les plus belles choses de ce monde ne peuvent pas forcément

Les meilleurs et les plus belles choses de ce monde ne peuvent pas forcément être vus ni même touchés, elles doivent être ressenties avec le cœur…

Si l'on met un peu de poésie sur cette image elle devient un tableau,

Si l'on met un peu de poésie sur cette image elle devient un tableau, un rêve…un univers que l’on aimerait toucher du bout du doigt. On là contemple pour notre plus grand plaisir. . .

Le vieux banc reste là à ne rien dire, ni aux oiseaux ni aux

Le vieux banc reste là à ne rien dire, ni aux oiseaux ni aux arbres, il suit du regard les feuilles qui dansent lentement avec la musique du vent et qui tombent, épuisées sur son assise désespérément vide. .

Il règne au cœur de la forêt profonde Un silence total, aucun bruit Sauf

Il règne au cœur de la forêt profonde Un silence total, aucun bruit Sauf le battement d’ailes d’un oiseau qui fuit. Bien que seul, on se sent dans un autre monde. Les plantes, les arbres et même les pierres, Tout vibre et palpite en cet endroit mystérieux. De l’atome aux étoiles, du grain de sable aux cieux La vie est là, partout, dans la nature entière…

Il y a ici, dans la forêt, des silences qui en disent long, mais

Il y a ici, dans la forêt, des silences qui en disent long, mais il y a aussi des mots qui ne disent rien. . .

Ô ruine ! je retournerais vers toi, écouter ta leçon ! je me replacerais

Ô ruine ! je retournerais vers toi, écouter ta leçon ! je me replacerais dans la paix de ta solitude ; et là, éloigné du spectacle affligeant des passions, je méditerais sur les hommes de tes souvenirs…

 ô saison que j'aime tes rumeurs Les fruits tombant sans qu'on les cueille

ô saison que j'aime tes rumeurs Les fruits tombant sans qu'on les cueille Le vent et la forêt qui pleurent Toutes leurs larmes d’automne…

La rivière s'écoule avec lenteur. Ses eaux, près du bord, parlent aux souches des

La rivière s'écoule avec lenteur. Ses eaux, près du bord, parlent aux souches des vieux aulnes qui se teignent de sang et de hauts peupliers jaunes sèment leurs feuilles d'or…

La vieille barque en bois git couchée sur le sable; Nul ne viendra pleurer

La vieille barque en bois git couchée sur le sable; Nul ne viendra pleurer sur son flanc éventré. Le fier pêcheur n’est plus, l'automne de sa vie l’a emporté Et l’ancre de salut est la griffe du diable. .

Par delà les forêts s’en vont les migrateurs. Ils planent sur les vents, défiant

Par delà les forêts s’en vont les migrateurs. Ils planent sur les vents, défiant la pesanteur. Ils emportent au loin ce merveilleux message L’espoir de leur retour, comme un heureux présage. Mais l’automne est aussi la saison des chasseurs. À l’affût dans les bois, où ils sèment la terreur. . .

Les feuilles volent comme des folles Elles voudraient aller où les oiseaux s’envolent Mais

Les feuilles volent comme des folles Elles voudraient aller où les oiseaux s’envolent Mais le vent les reprend et barre leur chemin Elles iront mourir demain….

Sur toutes choses Ces notes moroses, Ces pleurs, ces frissons Ces pas qui résonnent

Sur toutes choses Ces notes moroses, Ces pleurs, ces frissons Ces pas qui résonnent : Eh oui! c'est l'automne Qui marche en sifflant sa mélodie En attendant l'hiver et ces folies. . .

Voilà, l'automne est bien là, sur ce chemin mouillé de pluie Avec ces couleurs

Voilà, l'automne est bien là, sur ce chemin mouillé de pluie Avec ces couleurs de fête, il accorde une dernière offrande aux hôtes de la forêt. Champignons, châtaignes et glands arrivent à temps pour un ultime festin avant les rigueurs de l'hiver et ce diaporama se termine sur une dernière poésie automnale.

 Et voilà, l'été et son soleil se reposent, l'automne s’impose La forêt se

Et voilà, l'été et son soleil se reposent, l'automne s’impose La forêt se pare de sa robe rousse. Glands et châtaignes tombent sur la mousse. Les feuilles mortes doucement virevoltent Portées par la brise qui délicatement les dépose Les arbres se dénudent, nostalgiques des saisons passées. Le froid s'accroche aux premières gouttes de rosée et les fige. La brume nous offre des paysages qui expirent. Les oiseaux, tristement, mêlant leurs cris plaintifs Sautent de branche en branche à travers les bois chauves Quand les arbres seront complètement nus C'est l'hiver qui doucement pointera son nez et son haleine glacée… Créa. DF

À bientôt. Amicalement vôtre. Images du net et personnel Musique; Douceur d’automne Octobre 2014

À bientôt. Amicalement vôtre. Images du net et personnel Musique; Douceur d’automne Octobre 2014

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