Transition manuelle Jaime les fleurs lorsque sauvages Elles

Transition manuelle

J’aime les fleurs lorsque, sauvages, Elles poussent sans y penser… Fleurs de montagne ou de bocages, Celles des bois à ramasser…

Les violettes fleurs timides Les perce-neige si charmants A la fin des hivers humides Me ravissent sans errements !

Les mimosas me rendent folle Avec leur envoûtant parfum Que sait lors diffuser Eole Afin d’en rendre fou plus d’un !

Et lorsque pointe la jacinthe Dont le bleu rend le ciel jaloux Mon cœur se pâme sans astreinte Lors ses battements sont plus fous !

Pour moi, toutes les fleurs sont belles ! Du bouton d’or aux beaux lilas Qui souvent ornent les venelles… Le Printemps n’en est jamais las !

La tulipe qui se sent reine Lorsque beau prince, le regain, Lui fait la part belle et sereine Dans chaque parc, chaque jardin !

Les fleurettes dans l’herbe tendre, Ornant les tapis campagnards Et qui semblent si bien s’entendre Sous le soleil aux chauds regards !

Du muguet j’aime les clochettes Porteuses de vœux, de souhaits, Dont elles sont tendres cachettes Pour présenter tous les attraits…

Tous les iris ont belle mine En bleu, en jaune, noir ou marron En exposant leurs crinolines Fièrement près d’un perron

Les pivoines si merveilleuses Dont l’ardeur n’a pas d’élans flous Pour rendre les allées rieuses Et leurs voisinages plus doux…

Sans omettre l’éclat des Roses, Des lys à l’exquise blancheur… En passant par les passeroses Qui prisent si bien la chaleur.

Le dahlia plein de tendresse Qui se penche vers son voisin Le bel arum qui se redresse Parmi d’autres près d’un fusain !

Le divin coquelicot rouge Qui toujours, avec le bleuet Ou bien la marguerite, bouge Parmi l’herbette au vent follet !

Les camomille et fleur sylvestre Dont je fais des infusions Quand d’une balade pédestre J’en rapporte à profusion !

J’aime les épis de lavande Que la Provence sait offrir Ma grande armoire les demande ; De les tresser m’est un plaisir !

Contant l’été mieux que personne Les tournesols, ces grands soleils, Fils de Phébus je les soupçonne Car ils sont tous à lui pareils !

Puis vient l’automne et ses colchiques Que l’on appelle aussi tue-chiens Sont-elles à ce point maléfiques ? On me l’a dit…je vous préviens ! !

Le jour des morts, le chrysanthème Met au cimetière ses feux Le souvenir étant son thème Sur les tombes, caveaux, enfeux.

Ensuite nous vient l’anémone Qui sourira sans se forcer…. Puisqu’elle est loin d’être démone Comme son cœur sait l’annoncer !

Les douces roses de Noël Et le poinsettia royal Pour enchanter l’Emmanuel Dans mon foyer sont un régal !

Que dire des fleurs exotiques ? Sinon que toutes ces beautés Sont à mes yeux bien magnifiques Dans leurs moultes variétés !

J’aime les fleurs lorsque, sauvages, Elles poussent sans y penser… Fleurs de montagne ou de bocages, Celles des bois à ramasser… Du muguet j’aime les clochettes Porteuses de vœux, de souhaits Dont elles sont tendres cachettes Pour présenter tous les attraits J’aime les épis de lavande Que la Provence sait offrir Ma grande armoire les demande ; De les tresser m’est un plaisir ! Les violettes fleurs timides Les perce-neige si charmants A la fin des hivers humides Me ravissent sans errements ! Tous les iris ont belle mine Contant l’été mieux que personne En bleu, en jaune, noir ou marron Les tournesols, ces grands soleils, En exposant leurs crinolines Fils de Phébus je les soupçonne Fièrement près d’un perron. Car ils sont tous à lui pareils ! Les mimosas me rendent folle Avec leur envoûtant parfum Que sait lors diffuser Eole Afin d’en rendre fou plus d’un ! Les pivoines si merveilleuses Dont l’ardeur n’a pas d’élans flous Pour rendre les allées rieuses Et leurs voisinages plus doux… Puis vient l’automne et ses colchiques Que l’on appelle aussi tue-chiens Sont-elles à ce point maléfiques ? On me l’a dit ! Je vous préviens… Les fleurettes dans l’herbe tendre, Ornant les tapis campagnards Et qui semblent si bien s’entendre Sous le soleil aux chauds regards ! Le dahlia plein de tendresse Qui se penche vers son voisin Le bel arum qui se dresse Parmi d’autres près d’un fusain ! Le jour des morts, le chrysanthème Met au cimetière ses feux Le souvenir étant son thème Sur les tombes, caveaux, enfeux. Pour moi, toutes les fleurs sont belles ! Du bouton d’or aux beaux lilas Qui souvent ornent les venelles… Le Printemps n’en est jamais las ! Sans omettre l’éclat des Roses, Des lys à l’exquise blancheur… En passant par les passeroses Qui prisent si bien la chaleur. Ensuite nous vient l’anémone Qui sourira sans se forcer…. Puisqu’elle est loin d’être démone Comme son cœur sait l’annoncer ! Et lorsque pointe la jacinthe Dont le bleu rend le ciel jaloux Mon cœur se pâme sans astreinte Lors ses battements sont plus fous ! Le divin coquelicot rouge Qui toujours, avec le bleuet Ou bien la marguerite, bouge Parmi l’herbette au vent follet ! Les douces roses de Noël Et le poinsettia royal Pour enchanter l’Emmanuel Dans mon foyer sont un régal ! La tulipe qui se sent reine Lorsque beau prince, le regain, Lui fait la part belle et sereine Dans chaque parc, chaque jardin ! Les camomille et fleur sylvestre Dont je fais des infusions Quand d’une balade pédestre J’en rapporte à profusion ! Que dire des fleurs exotiques ? Sinon que toutes ces beautés Sont à mes yeux bien magnifiques Dans leurs moultes variétés ! © Johanne Hauber-Bieth

© Musique : « Hustr Like Hell » Instrumental Fleurie Source images : Internet, et créations personnelles PRESENTATION et DIAPORAMA : Johanne Hauber-Bieth - Juillet 2020 Poète au Féminin - Membre de la SABAM Présidente-Fondatrice du Panthéon Universel de la Poésie pantheonuniverseldelapoesie@wanadoo. fr AMBASSADRICE UNIVERSELLE DE LA PAIX johanne 8@wanadoo. fr Mes PPS sont hébergés ici : http: //www. ppsmania. fr/author/johanne 8 Grand Merci à David…