Transition manuelle Elles sont petits riens ou bien
Transition manuelle
Elles sont petits riens ou bien petites choses, Comme lire un bon livre assis auprès du feu Ou marcher à pas lents au beau milieu des roses Qui tendent leur parfum comme l’on offre un vœu.
Les bouffées de bonheur, parfois sans crier gare, Viennent à pas menus danser autour de nous Au refrain de la mer, dans le faisceau d’un phare, Dans l’étoile, la nuit, ayant ses éclats doux !
Des ris au fond d’un bois d’une petite source Elles sont cette grâce où, rempli de ferveur, Leur don miraculeux entraîne dans sa course Ce grand ravissement dont nous aimons l’ardeur.
Leur élan est timide… et pourtant merveilleuses Sont leurs sensations quand on sait les sentir Dans l’odeur d’une tarte ou les pommes rieuses Offrent tout ce nectar qui fait tant déglutir…
Lorsqu’un oiseau soudain élève ses beaux trilles Ne les sentez-vous pas chatouiller votre cœur ? Où, explosant alors comme mille torpilles, Elles savent griser vos émois tous en chœur ?
Quand le soleil se lève ou bien quand il se couche Et que l’or envahit chaque morceau de ciel Elles nous font monter des frissons dont la bouche Exprime la saveur en mille mots de miel !
Faites de petits riens offerts par l’existence Tel un divin baiser qu’on reçoit dans le cou Où dans la retrouvaille après trop longue absence Et parfois, sur un « ut » s’élevant un peu fou !
Si pour les percevoir, de vos sens fantastiques, Vous relâcher la bride, alors elles viendront Folles en galopant, de tous côtés, magiques… Les bouffées de bonheur qui, pour vous, valseront.
Les bouffées de bonheur… Elles sont petits riens ou bien petites choses, Comme lire un bon livre assis auprès du feu Ou marcher à pas lents au beau milieu des roses Qui tendent leur parfum comme l’on offre un vœu. Lorsqu’un oiseau soudain élève ses beaux trilles Ne les sentez-vous pas chatouiller votre cœur ? Où, explosant alors comme mille torpilles, Elles savent griser vos émois tous en chœur ? Les bouffées de bonheur, parfois sans crier gare, Viennent à pas menus danser autour de nous Au refrain de la mer, dans le faisceau d’un phare, Dans l’étoile, la nuit, ayant ses éclats doux ! Quand le soleil se lève ou bien quand il se couche Et que l’or envahit chaque morceau de ciel Elles nous font monter des frissons dont la bouche Exprime la saveur en mille mots de miel ! Des ris au fond d’un bois d’une petite source Elles sont cette grâce où, remplis de ferveur, Leurs dons miraculeux entraînent dans leur course Ce grand ravissement dont nous aimons l’ardeur. Faites de petits riens offerts par l’existence Tel un divin baiser qu’on reçoit dans le cou Ou dans la retrouvaille après trop longue absence Et, parfois, sur un « ut » qui s’élève un peu fou ! Leur élan est timide… et pourtant merveilleuses Sont leurs sensations quand on sait les sentir Dans l’odeur d’une tarte où les pommes rieuses Offrent tout ce nectar qui fait tant déglutir… Si pour les percevoir, de vos sens fantastiques, Vous relâcher la bride, alors elles viendront Folles en galopant, de tous côtés, magiques… Les bouffées de bonheur qui, pour vous, valseront. . © Johanne Hauber-Bieth
© Musique : « Scent of a Lifetime » Ernesto Cortázar Source images : Internet, et créations personnelles PRESENTATION et DIAPORAMA : Johanne Hauber-Bieth - Juin 2020 Poète au Féminin - Membre de la SABAM Présidente-Fondatrice du Panthéon Universel de la Poésie pantheonuniverseldelapoesie@wanadoo. fr AMBASSADRICE UNIVERSELLE DE LA PAIX johanne 8@wanadoo. fr Mes PPS sont hébergés ici : http: //www. ppsmania. fr/author/johanne 8 Grand merci à David…
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