Sommaire LA MEMOIRE MORTE ou ROM Read Only

  • Slides: 11
Download presentation
Sommaire LA MEMOIRE MORTE ou ROM (Read Only Memory • Définition • Les différents

Sommaire LA MEMOIRE MORTE ou ROM (Read Only Memory • Définition • Les différents formats • Les disques durs

MEMOIRE MORTE – R. O. M. La mémoire morte est une mémoire non volatile

MEMOIRE MORTE – R. O. M. La mémoire morte est une mémoire non volatile Elle est utilisée pour le stockage de diverses informations telles que : - le BIOS (est un programme permettant de piloter les interfaces d’entrée/sortie) Etant donné que le BIOS peut être modifié, on l’appelle aussi NVRAM (Non Volatile RAM). - le chargeur d’amorce (est un programme permettant de charger le système d’exploitation en mémoire vive et de le lancer). - le Setup CMOS (écran disponible à l’allumage de l’ordinateur permettant de modifier les paramètres du système) ; -. le POST (Power-On Self Test) (programme exécuté automatiquement à l’amorçage du système permettant de faire un test du système ). Le temps d’accès à la mémoire morte est de 150 nanosecondes, contre 10 nanosecondes pour la mémoire vive ; afin d’accélérer le traitement des données, on copie généralement ces dernières dans la mémoire vive, on appelle cette méthode shadowing.

MEMOIRE MORTE – R. O. M. On classe la mémoire morte, selon la possibilité

MEMOIRE MORTE – R. O. M. On classe la mémoire morte, selon la possibilité de les programmer et de les effacer. R. O. M. PROM EPROM • R. O. M. (Read Only Memory). • PROM (Programmable Read Only Memory) est programmable par l’utilisateur, mais une seule fois, en raison du stockage par des fusibles. • EPROM (Erasable Programmable ROM) peut être lue par l’équipement électronique sur lequel il est utilisé, mais ne peut être facilement écrite ; c’est pour cela qu’on utilise un programmateur EPROM pour écrire les informations. Certaines EPROM, ont une cellule qui est effaçable par ultra-violet (UV), pour ce faire, il faut décoller l’autocollant de la cellule et la passer sous UV, ou la laisser à la lumière du jour, afin d’effacer les données mémorisées. • EEPROM

MEMOIRE MORTE – R. O. M. • EEPROM (Electrically Erasable PROM) est aussi une

MEMOIRE MORTE – R. O. M. • EEPROM (Electrically Erasable PROM) est aussi une PROM, à la différence que celle-ci peut être effacée par un simple courant électrique même si elles sont positionnées dans l’ordinateur. • Il existe une variante de l’EEPROM, qu’on appelle mémoire Flash appelé aussi ROM Flash ou Flash EPROM, au lieu d’utiliser 2 à 3 transistors par bit à mémoriser. La Flash, utilise qu’un seul transistor, la EPROM peut être effacée mot par mot alors que la Flash peut être effacée par pages, enfin la densité de la mémoire Flash est plus importante, ce qui permet d’y stocker plusieurs Mégaoctets ; de préférence, on utilisera des EEPROM pour la mémorisation des données de configuration, et la mémoire Flash pour du code programmable (c’est à dire des programmes informatiques) • Plusieurs types de mémoire morte existent, dont les utilisations sont bien définies. Actuellement, dans nos PC, on utilise le plus souvent des mémoires EEPROM et Flash. Les EEPROM, servent à mémoriser des données de configuration, qu’on modifie rarement, tel le BIOS, les programmes d’amorçage ; Les Flash sont, elles, utilisées pour mémoriser les données de programme. • •

MEMOIRE MORTE - FLASH On rencontre la mémoire Flash dans • • • Clés

MEMOIRE MORTE - FLASH On rencontre la mémoire Flash dans • • • Clés USB Baladeurs mp 3 Téléphones cellulaires Assistants personnels (PDA) Ordinateurs portables Appareils photos numériques

MEMOIRE MORTE - FLASH • NOR (NON OR) • NAND (NON AND) • Créée

MEMOIRE MORTE - FLASH • NOR (NON OR) • NAND (NON AND) • Créée en 1988 par Toshiba • Commercialisée en 1989 par Toshiba • Les temps d’effacement et d’écriture sont assez longs • Plus grande rapidité d’effacement et d’écriture • Possède une interface d’adressage permettant un accès aléatoire et rapide, destinée à l’enregistrement de données informatiques exécutables directement depuis la mémoire, fonction appelée XIP (e. Xecutable In Place) • l’interface Entrée/Sortie n’autorise que l’accès séquentiel aux données. • Le fabricant ne garantit pas à 100% le stockage des données, mais un taux inférieur à une limite donnée ; cette fiabilité limitée nécessite la mise en place d’un système de gestion d’erreur (ECC (Error Code Correction ou encore Bad Block Management)) au niveau de l’application ; cela tend à limiter – au niveau du système – sa vitesse effective de lecture et à compliquer le boot direct à partir d’une mémoire NAND qui se trouve moins adaptée aux applications XIP, elle est donc utilisée pour le stockage des informations. • Clé USB, appareils photos numérique • Le fabricant garantit 100% le stockage de données. • Téléphones portables – décodeur télé (principal marché des NOR)

MEMOIRE MORTE – FLASH Une cellule de mémoire flash ne peut être écrite que

MEMOIRE MORTE – FLASH Une cellule de mémoire flash ne peut être écrite que : 10 000 fois pour les MLC (Multiple Level Cell) 3 bits / cellule 100 000 fois pour les SLC (Single Level Cell) 1 bit / cellule Dans les 3 diapositives suivantes, nous verrons les différents types de mémoire flash existantes à ce jour :

MEMOIRE MORTE – FLASH Type de mémoire flash Abréviations Année de fabrication Fabricants Architecture

MEMOIRE MORTE – FLASH Type de mémoire flash Abréviations Année de fabrication Fabricants Architecture Dimensions (mm) – Taux de transfert – Nombre de connecteurs – température maxi en °C Où les trouve – t-on? exemples Compact Flash CF 1994 San. Disk 42. 8 * 36. 4 * 3. 3 6 Mbps 50 50°C Appareils photos numériques de type professionnel Carte type PCMCIA raccourcie pouvant atteindre 137 Go 2 épaisseurs : 3. 3 mm et 5 mm 24 * 32 * 1. 4 2. 5 Mbps 7 55°C Appareils photos numériques grand public En obsolescence au profit de la SD PCMCIA/ATA Multi. Media Card MMC Novembre 1997 Siemens / San. Disk Combinaison de mémoire morte et flash Memory Stick MS Janvier 2000 Sony / San. Disk NAND Memory Stick Micro M 2 MSM 2 Sony / San. Disk 21. 5 * 50 * 2. 8 15 Mbps 10 65°C Téléphone portable SONY Représentations graphiques Observations.

MEMOIRE MORTE – FLASH Type de mémoire flash Abréviations Année de fabrication Fabricants Architecture

MEMOIRE MORTE – FLASH Type de mémoire flash Abréviations Année de fabrication Fabricants Architecture Dimensions (mm) – Taux de transfert – Nombre de connecteurs – température maxi en °C Où les trouve – t-on? exemples Secure Digital SD Janvier 2000 Matsushita / Toshiba / San. Disk 24 * 32 *2. 1 10 Mbps 7 85°C Appareils photos numériques grand public De forme similaire aux MMC, elle se distingue de ces dernières, par le fait qu’elle peut chiffrer les données et gérer les « droits d’auteurs » - une MMC peut entrer dans un adaptateur SD mais pas l’inverse. Limitée à 2 Go Anciens téléphones portables Livrée généralement avec un adaptateur SD classique Téléphones portables Livrée généralement avec un adaptateur SD classique NAND Mini SD Matsushita / Toshiba / San. Disk NAND Micro SD ou Transflach Matsushita / Toshiba / San. Disk NAND Représentations graphiques Observations.

MEMOIRE MORTE – FLASH Type de mémoire flash Abréviations Année de fabrication Fabricants Architecture

MEMOIRE MORTE – FLASH Type de mémoire flash Abréviations Année de fabrication Fabricants Architecture Secure Digital High Capacity SDHC Matsushita / Toshiba / San. Disk Dimensions (mm) – Taux de transfert – Nombre de connecteurs – température maxi en °C Où les trouve – t-on? exemples SDXC Matsushita / Toshiba / San. Disk Commercialisée en 2010, elle propose des capacités de stockage allant de 64 Go à 2 To NAND Smart Media Card SM Toshiba NAND x. D Picture x. D Août 2002 Olympus / Fuji NAND Observations. Ses capacités vont de 4 Go à 32 Go, et se trouvent sous forme SD, Mini SD et Micro SD NAND Secure digital e. Xtend Capacity Représentations graphiques 37 * 45 * 0. 76 2 Mbps 22 55°C 20 * 25 *1. 7 5 Mbps 18 55°C Support fin et en voie de disparition 2 types : 3. 3 V et 5 V Appareils photos numériques grand public Seul Olympus continue à produire des cartes x. D

Auteurs • Pascale Gomez Del Junco • Gilles LESCOT • Cédric Avril AFPA Bègles

Auteurs • Pascale Gomez Del Junco • Gilles LESCOT • Cédric Avril AFPA Bègles • TAI - mars 2011 – janvier 2012 • 11/04/2011