Seigneur tu nous parles Par la lumire franche

  • Slides: 24
Download presentation

Seigneur, tu nous parles :

Seigneur, tu nous parles :

- Par la lumière franche et joyeuse du grand soleil de midi.

- Par la lumière franche et joyeuse du grand soleil de midi.

- L’écarlate des aurores, l’or et la pourpre du couchant.

- L’écarlate des aurores, l’or et la pourpre du couchant.

- La clarté sereine des étoiles.

- La clarté sereine des étoiles.

- la douceur mystérieuse de la lune effleurant la terre.

- la douceur mystérieuse de la lune effleurant la terre.

Seigneur, tu nous parles :

Seigneur, tu nous parles :

- Par la nuit vaporeuse au temps de l’été.

- Par la nuit vaporeuse au temps de l’été.

- Ta nuit, épaisse et lourde de silence, au cœur de notre hiver,

- Ta nuit, épaisse et lourde de silence, au cœur de notre hiver,

-La nuit zébrée des éclairs de l’orage et de la fièvre, aux heures d’angoisse,

-La nuit zébrée des éclairs de l’orage et de la fièvre, aux heures d’angoisse,

- Mais nous ne voulons rien entendre, nous restons sourds…

- Mais nous ne voulons rien entendre, nous restons sourds…

Seigneur, tu nous parles :

Seigneur, tu nous parles :

- Par l’oiseau qui nous chante l’espérance du printemps.

- Par l’oiseau qui nous chante l’espérance du printemps.

- La forêt qui ondule et frémit sous la caresse du vent,

- La forêt qui ondule et frémit sous la caresse du vent,

- La tempête qui gronde et mugit dans la montagne.

- La tempête qui gronde et mugit dans la montagne.

Mais nous ne voulons rien entendre, nous restons sourds…

Mais nous ne voulons rien entendre, nous restons sourds…

Seigneur, tu nous parles :

Seigneur, tu nous parles :

- Par la fleur qui embaume et offre son parfum,

- Par la fleur qui embaume et offre son parfum,

- L’enfant qui rit et s’abandonne à la confiance,

- L’enfant qui rit et s’abandonne à la confiance,

- Le vieillard qui souffre et meurt dans son désert.

- Le vieillard qui souffre et meurt dans son désert.

Mais nous ne voulons pas nous attendrir, Nous gardons le cœur dur.

Mais nous ne voulons pas nous attendrir, Nous gardons le cœur dur.

Nous laisseras-tu aveugles, sourds et méchants, Toi qui es beauté ?

Nous laisseras-tu aveugles, sourds et méchants, Toi qui es beauté ?

- Toi qui es musique ? Toi dont le nom est Amour ? .

- Toi qui es musique ? Toi dont le nom est Amour ? . . .

Texte : Roger Riblet-Buychmann, Moine à Clervaux (Luxembourg) Musique : « Amour perdu »

Texte : Roger Riblet-Buychmann, Moine à Clervaux (Luxembourg) Musique : « Amour perdu » Jacky questel – janvier 2006 questelj@aliceadsl. fr