Cit du Vatican La Chapelle Sixtine est lune

Cité du Vatican La Chapelle Sixtine est l’une des salles des Palais Pontificaux

Le «Jugement dernier » est une fresque biblique peinte par Michel-Ange sur le mur

Le plafond de la Chapelle Sixtine par Michel-Ange « La Genèse » Michel-Ange fut

La création de la lumière et de l’obscurité

La création du soleil, de la lune et des plantes

Fin La séparation de la lumière et de l’obscurité

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Cité du Vatican La Chapelle Sixtine est l’une des salles des Palais Pontificaux et fait partie des Musées du Vatican. C’est dans cette chapelle que les cardinaux, réunis en conclave, élisent chaque nouveau pape. La chapelle doit son nom de « Sixtine » au Pape Sixte IV qui la fit bâtir de 1477 à 1483. Elle doit sa célébrité, entre autres, au fait que sa décoration a été réalisée par les plus grands artistes de la Renaissance dont, notamment, l’un des plus célèbres, le peintre-sculpteur Michel. Ange.

La Chapelle Sixtine

Le «Jugement dernier » de Michel-Ange

Le «Jugement dernier » est une fresque biblique peinte par Michel-Ange sur le mur de l’autel de la chapelle Sixtine au Vatican, dans le courant du XVIème siècle. Le peintre qui reçut cette commande du pape Clément VII , est âgé de soixante ans et réalise cette œuvre en six ans… La fresque s’étend sur un vaste mur de 17 m de haut et 13 m de large. Elle comporte pas moins de 400 personnages… A noter qu’à l’époque, l’œuvre avait fait scandale car beaucoup de personnages y figuraient nus… De ceci, le pape Paul IV fit appel au peintre Daniele da Volterra pour faire voiler pudiquement ceratins personnages…

Le plafond de la Chapelle Sixtine par Michel-Ange « La Genèse » Michel-Ange fut appelé par le pape Jule II della Rovere en 1508 pour repeindre le plafond de la Chapelle Sixtine, auquel il travailla de 1508 à 1512. Contrairement à ce qui se dit souvent, Michel-Ange ne travaillait pas couché mais debout. Il le décrivit dans un sonnet assez humoristique, accompagné d'un croquis ci-contre. « À travailler tordu j’ai attrapé un goitre… Et j’ai le ventre, à force, collé au menton. Ma barbe pointe vers le ciel, je sens ma nuque Sur mon dos, j’ai une poitrine de harpie, Et la peinture qui dégouline sans cesse Sur mon visage en fait un riche pavement. Mes lombes sont allées se fourrer dans ma panse, Faisant par contrepoids de mon cul une croupe Chevaline et je déambule à l’aveuglette »