Xavier Blanc Xavier Blanclip 6 fr Lenvironnement C
Xavier Blanc Xavier. Blanc@lip 6. fr L'environnement C. O. R. B. A. utilisation avec Java
Plan de la présentation • Aperçu de C. O. R. B. A. • Une première application avec C. O. R. B. A. • Des applications plus conséquentes… • Service de désignation • Etude du type « Any » • Les mécanismes dynamiques de C. O. R. B. A. 2 • Synthèse sur C. O. R. B. A.
Aperçu de C. O. R. B. A.
Qu'est ce que l'O. M. G. ? • O. M. G. ( Object Management Group ) est un consortium qui regroupe plus 800 entreprises du monde entier. – Consortium ouvert aux horizons autres que les concepteurs de logiciels ( industriels, chercheurs, université, etc. . . ). • Ce consortium définit des spécifications pour fournir un modèle de coopération entre objets répartis. 4
Fonctionnement de l'OMG • Plusieurs niveaux de souscriptions existent : – contributing, domain contributing, influencing, auditing, university. • Principe de création des spécifications – request for information, request for proposal. • Principe d'approbation des spécifications – Task Force, – Technical Comitee 5 – Architecture Board
Les spécifications de l'O. M. G. • L'OMG spécifie tous les constituants d'un modèle objet global appelé O. M. A. ( Object Model Architecture ) OMA MDA – CORBA est une partie de ce modèle, – Utilitaires communs ( services ), – Eléments spécifiques à des corps de métier ( objets de domaines ). 6
Qu'est ce que C. O. R. B. A. ? • CORBA ( Common Object Request Broker Architecture ) est un environnement réparti (middleware). • Défini par l'OMG : – première spécification : 1991 – seconde version majeure : 1995 – troisième version majeure : 2002 7 Version courante ( Septembre 2002) : 3. 0
Objectifs de CORBA • Fournir un environnement ouvert – les membres participent aux spécifications • Fournir un environnement portable – les API sont définis pour rendre les applications portables ( quelque soit le produit CORBA utilisé ) • Fournir un environnement interopérable – Permettre aux applications CORBA de collaborer entre elles. 8
Le bus CORBA = ORB 9 NT UNIX PC PC Sparc
La vue réelle du bus CORBA ORB PC/NT ORB PC/UNIX ORB Sparc/UNIX NT UNIX PC PC Sparc 10 Réseau TCP/IP
Serveur et objets • Un serveur CORBA peut héberger plusieurs objets CORBA. • Chaque objet est accessible indépendamment des autres objets du serveur. • Chaque objet exprime son offre de services. Pour cela, on utiliser un langage de description de services appelé IDL CORBA. 11
Le langage IDL CORBA • Il s'agit de décrire au sein d'une interface ( vue cliente de l'objet ) la liste des services offerts ( ensemble de fonctions ). 12 interface Horloge { string donne_heure_a_paris(); string donne_heure_a_Beigin(); };
La compilation IDL • Une description IDL est compilée pour générer les amorces nécessaires au mécanisme RPC. te souche eur squelette lien c e rc mo a ' l de description IDL 13 on i t a r é Gén érati on d e l'am orce serv
Intervention des amorces C. O. R. B. A. Client Java Objet C++ Souche Java 14 Squelette C++ ORB Java PC/NT ORB PC/UNIX ORB C++ Sparc/UNIX NT UNIX PC PC Sparc Protocole IIOP
Souche : Coté client • Fonctions de la souche : – Prépare les paramètres d’entrée de l’invocation – Décode les paramètres de sortie et le résultat • Souche statique – Une par type d’objet serveur à invoquer – Identique aux talons clients RPC – Générée à la compilation à partir de l’interface IDL • Souche dynamique 15 – Souche générique construisant dynamiquement tout type de requêtes – Permet d’invoquer des objets serveurs que l’on découvre à l’exécution (i. e. dont on ne connaît pas l’interface à la compilation : Référentiel d’interfaces)
Squelette : Côté serveur • Fonctions du squelette : – décode les paramètres d’entrée des invocations – prépare les paramètres de sortie et le résultat • Squelette statique – un par type d’objet serveur invoquable – identique aux talons serveurs RPC – généré à la compilation à partir de l’interface IDL • Squelette dynamique 16 – squelette générique prenant en compte dynamiquement tout type de requêtes – permet de créer à l’exécution des classes d’objets serveurs (i. e. que l’on ne connaissait pas à la compilation)
L'identité d'un objet C. O. R. B. A. • Chaque objet C. O. R. B. A. est associé à une référence d'objet qui forme son identité. • Deux objets C. O. R. B. A. du même type ( exemple deux objets Horloge ) ont deux identités différentes. Les références d'objets sont le moyen d'accès à un objet. 17 serveur
L'adaptateur d'objets Serveur Objet A Objet B Squelette A Squelette B Client Souche A 18 Adaptateur d'objets Le bus C. O. R. B. A. ( O. R. B. )
L'adaptateur d'objets • Fonctions – Interface entre les objets CORBA et l’ORB – Enregistrement et recherche des implantations d’objets – Génération de références pour les objets – Gestion de l’instanciation des objets serveurs – Activation des processus dans le serveur – Aiguillage des invocations de méthodes vers les objets serveurs • Différents type d’adaptateur 19 – BOA (Basic Object Adapter) – POA (Portable Object Adapter)
Les communications avec CORBA • Les participants à un échange CORBA communiquent à l'aide d'un protocole spécifique à CORBA : IIOP ( Internet Inter-ORB Protocol ). • Le protocole IIOP est indépendant du langage de programmation, du système d'exploitation et de la machine utilisée. 20 Un client Java pourra utiliser un serveur C++
Normalisation des communications • Protocoles d’interopérabilité entre ORBs conformes à CORBA 2 – GIOP : General Inter-ORB Protocol • Messages : request, reply, cancelrequest, … • nécessite un protocole de transport fiable, orienté connexion – IIOP (Internet IOP) : instanciation de GIOP sur TCP • Autres implantations de GIOP au-dessus de HTTP, RPC DCE, RPC Sun • Composants du protocole – CDR : Common Data Representation 21 • Format de données d’encodage des données – IOR : Interoperable Object References (références d’objets)
Les services C. O. R. B. A. • Pour accélérer et faciliter le développement d'applications avec C. O. R. B. A. , l'O. M. G a spécifiée un ensemble de services. • A l'heure actuelle, plus de 17 services ont été définis. • Les services sont vendus séparément du bus CORBA. 22 • Seul quelques services sont actuellement disponibles sur le marché.
L'annuaire C. O. R. B. A. • L'annuaire C. O. R. B. A. est un service. • Il s'agit d'un serveur qui enregistre des associations nom / référence d'objet. • Un serveur peut enregistrer ses objets dans l'annuaire. • Un client peut récupérer l'accès à un objet en consultant l'annuaire. 23
Vue du modèle O. M. A. Services Annuaire Transaction Objets de domaines Médecine Electronique Le bus C. O. R. B. A. Client 24 Serveur Applications utilisateurs Administration Impression Utilitaires communs
Une première application avec C. O. R. B. A.
Opérations à réaliser 1. Décrire les services offerts des objets CORBA 2. Développer les objets CORBA 3. Développer le serveur 4. Développer le client 26
Décrire les services offerts • Le développement d'une application CORBA commence par l'énumération des services offerts par chaque objet corba. • Une même description IDL peut contenir plusieurs descriptions d'objets. • Une description IDL s'effectue au sein d'un fichier texte comportant par convention l'extension «. idl » 27 • Chaque objet offre une interface qui contient une liste d'opérations qui seront par la suite offertes aux applications clientes.
Premières règles sur l'IDL • Une interface est une énumération d'opérations et de définitions de types de données. Pas de majuscule interface Exemple { // contenu de l'interface }; Se termine par un point virgule • Une interface supporte l'héritage multiple. 28 interface Autre. Exemple : Exemple 1, Exemple 2 { // contenu de l'interface };
Décrire une opération • Les opérations décrites dans une interface respectent le format suivant : type_de_retour nom_de_l'operation ( liste_des_paramètres C. O. R. B. A. offre plusieurs types de données : - les types de bases - les types complexes 29 La liste des paramètres peut être vide.
Les types de bases • Les types de bases de CORBA sont : 30 – – – boolean octet short ( ushort ) long ( ulong ) float double long double char wchar string wstring
Les paramètres d'une opération • La description d'un paramètre comporte trois parties : – le modificateur – le type de l'argument ( type de base ou type complexe ) – le nom de l'argument • Le modificateur spécifie le sens d'échange du paramètre : – in : du client vers l'objet CORBA – out : en retour, de l'objet CORBA le client 31 – inout : équivalent à un passage par adresse.
Un exemple de description IDL • L'exemple suivant décrit un objet qui offre une interface appelée « Premier » . Cette interface comporte une opération dénommée « affiche » qui entraîne l'affichage d'un message sur le serveur ( message passé en tant que paramètre ). interface Premier { void affiche ( in string message ) ; }; 32
Compilation d'une description IDL • La description doit être compilée afin de générer les amorces ( souche et squelette ) requises pour l'établissement de la communication inter-processus. • Exemple de compilation IDL : idlj –fall –v Premier. idl jdk 1. 4 • A l'issu de la compilation, plusieurs fichier sont créés : – Premier. POA. java : il s'agit du squelette, – _Premier. Stub. java : il s'agit de la souche, 33 – Premier. java : il s'agit de l'interface POA BO A – Premier. Operations. java : il s'agit des opérations de l'interface
Concept de « mapping » • Une description IDL est traduite vers un langage de programmation. • Les règles de traduction sont appelées « mapping » et font partie de la spécification CORBA. • Grâce au mapping, deux fournisseurs d'ORBs offriront le même modèle de programmation. portabilité des applications 34
Correspondance des types de bases IDL boolean octet short ushort long ulong Java boolean byte short int long IDL float double Java float double IDL string wstring Java String 35 long double char wchar
Développer les objets CORBA • Pour développer un objet CORBA plusieurs critères sont à prendre à compte : – le type de l'adaptateur d'objet utilisé, – l'approche de développement. • Deux adaptateurs d'objets sont disponibles : – le B. O. A. ( Basic Object Adapter ) – le P. O. A. ( Portable Object Adapter ) • Deux approches existent : 36 – l'approche par héritage : ici l'implantation de l'objet doit hériter du squelette ( c'est à dire de la classe Java correspondant au squelette qui à été générée par le compilateur ). – l'approche par délégation (prochaine partie).
L’approche par héritage API de CORBA org. omg. Portable. Server. Servant Premier. POA Implantation de l'objet 37 POA BO A Premier. Operations Généré à partir de l'IDL A développer par le programmeur
Développement de notre premier objet CORBA public class Premier. Impl extends Premier. POA { public void affiche( String message ) { L'implantation hérite du squelette. System. out. println( message ); } } 38 ! La seule obligation est de ne pas oublier l'héritage du squelette. Ensuite, il faut tout simplement fournir le code des opérations décrites dans l'interface IDL.
Développer le serveur • Les étapes à respecter sont les suivantes : – initialiser l'ORB – initialiser l'adaptateur d'objets – créer l'objet CORBA – enregistrer l'objet CORBA – exporter la référence de l'objet CORBA – attendre les invocations clientes 39
Initialiser l'ORB • Pour cela, on fait appel à la fonction statique « init » de la classe « org. omg. CORBA. ORB » . • Deux formes de cette fonction sont disponibles : – org. omg. CORBA. ORB. init( ) – org. omg. CORBA. ORB. init( String [] args, java. util. Properties prop ) 40 public static void main( String [ ] args ) { org. omg. CORBA. ORB orb = org. omg. CORBA. ORB. init( args, null ); // … }
Initialiser l'adaptateur d'objets POA BO A • Une application serveur contient au minimum un POA (elle peut en avoir plusieurs) appelé le Root. POA • Le(s) POA(s) sont gérés par le POA Manager • Une application serveur doit 41 – Récupérer une référence d’objet Root. POA rootpoa = POAHelper. narrow(orb. resolve_initial_refer ences ( «Root. POA» )); et – Activer le POA Manager rootpoa. the_POAManager(). activate();
POAManager & POA SERVEUR Requêtes client ORB (orb) POAManager Servant POA POA* Servant Servant 42 *Root. POA (rootpoa)
Créer et enregistrer l'objet CORBA • Pour créer l'objet CORBA, il suffit de créer une instance de la classe d'implantation de l'objet ( Premier. Impl ). Dans la terminologie POA, cet objet s’appelle un servant Premier. Impl premier = new Premier. Impl(); • Enregistrer un servant revient à lui associer une référence : org. omg. CORBA. Object ref = 43 rootpoa. servant_to_reference(premier );
Echanger une référence d'objet • Chaque objet CORBA dispose d'une identité ( la référence d'objet ). • Pour qu'un client puisse appeler un objet CORBA, celui-ci doit en connaître la référence de l'objet. – C'est pourquoi l'objet CORBA doit échanger avec le client sa référence d'objet. • Pour cela, on utilise deux opérations particulières de la classe « org. omg. CORBA. ORB » : 44 – object_to_string : cette opération transforme une référence d'objet en une chaîne de caractères. – string_to_object : cette opération transforme une chaîne de caractères en une référence d'objet.
Le code du serveur import org. omg. CORBA. ORB; import org. omg. Portable. Server. *; public class Serveur { public static void main( String [] args ) { try { ORB orb = ORB. init( args, null ); POA rootpoa = POAHelper. narrow(orb. resolve_initial_references("Root. POA")); rootpoa. the_POAManager(). activate(); Premier. Impl premier = new Premier. Impl(); org. omg. CORBA. Object objref = rootpoa. servant_to_reference(premier); String ref = orb. object_to_string( objref ); java. io. File. Output. Stream file = new java. io. File. Output. Stream("Object. ID"); java. io. Print. Stream output = new java. io. Print. Stream( file ); output. println( ref ); output. close(); orb. run(); 45 } catch ( Exception ex ) { ex. print. Stack. Trace(); } } }
Développer le client • Les étapes à suivre sont les suivantes : – Initialiser l'ORB, – Récupérer la référence de l'objet à utiliser, – Convertir la référence vers le type de l'objet à utiliser, – Utiliser l'objet. 46
Conversion de références d'objets org. omg. CORBA. Object object_to_string Premier string_to_object Conversion org. omg. CORBA. Object 47 La conversion consiste à utiliser une fonction spécifique appelée « narrow » .
Les classes helpers • Pour chaque élément décrit en IDL, le compilateur génère une classe supplémentaire appelée classe helper. • Cette classe porte le nom de l'élément IDL avec pour suffixe "Helper". • Les classes helpers associées aux interfaces IDL comportent une opération de conversion ( narrow ). 48 public class Premier. Helper { public static Premier narrow( org. omg. CORBA. Object obj ) { //… } //. . . }
Le code du client public class Client { public static void main( String [ ] args ) { org. omg. CORBA. ORB orb = org. omg. CORBA. ORB. init( args, null ); try { java. io. File. Input. Stream file = new java. io. File. Input. Stream("Object. ID"); java. io. Input. Stream. Reader input = new java. io. Input. Stream. Reader( file ); java. io. Buffered. Reader reader = new java. io. Buffered. Reader(input); String ref = reader. read. Line(); file. close(); org. omg. CORBA. Object obj = orb. string_to_object(ref) ; Premier premier = Premier. Helper. narrow( obj ); premier. affiche("Bonjour du client…"); } catch ( java. lang. Exception ex ) { ex. print. Stack. Trace(); } } 49 }
Exécuter l'application • Suivre les étapes suivantes : – lancer le serveur, – copier le fichier contenant la référence d'objet sur le poste client, – lancer le client. 50
Synthèse • Le développement d'une application CORBA respecte toujours les même étapes. – Description des objets à l'aide de l'IDL, – Implantation des divers objets, – Implantation du serveur avec échanges des références, 51 – Implantation du client.
Exercice • Développez une application CORBA qui offre deux objets : – l'objet Banque qui créer des comptes, – et l'objet Compte qui gère diverses informations ( titulaire, solde ). • Le client pourra créer de nouveaux comptes et manipuler chaque compte pour y effectuer des crédits et débits. • Les étapes sont : 52 – définir la description IDL des objets Banque et Compte, – Développer les implantations de ces objets, – Développer le serveur puis le client.
Des applications plus conséquentes. . .
Gestion des exceptions • Si une erreur se produit lors du traitement dans l'objet C. O. R. B. A. il est possible de faire remonter une exception du côté client. • Cette exception sera véhiculée sur le réseau entre le serveur et le client. • Comme tout élément échangé sur le réseau avec C. O. R. B. A. une exception doit être décrite en IDL. 54
Décrire une exception en IDL • Pour décrire une exception, on fait appel au mot clé IDL « exception » : exception nom_de_l'exception { membres_de_l'exception; }; • Chaque membre respecte le format suivant : type_idl nom_du_membre; 55 • L'exception peut ne pas avoir de membre.
Signaler qu'une opération peut lancer une exception. • Comme en Java, une opération décrite avec l'IDL doit signaler sa capacité à lancer une exception. • Pour cela, la description d'une opération doit comporter une clause supplémentaire qui énumère les exceptions pouvant être lancées. • Format de la clause « raises » : raises ( liste_des_noms_d'exceptions ) • Exemple : 56 void f( ) raises ( mon. Exception );
Les catégories d'exceptions • Il existe deux catégories d'exceptions sous C. O. R. B. A. : – les exceptions systèmes ( héritent de org. omg. CORBA. System. Exception ), – les exceptions utilisateurs ( héritent de org. omg. CORBA. User. Exception ). • Une exception décrite en IDL est une exception utilisateur qui sera 57 traduite en Java sous forme d'une classe.
Lancer une exception depuis l'objet CORBA • Pour lancer une exception CORBA on procède exactement de la même façon qu'en Java. • Chaque opération doit avoir une clause « throws » et l'on lance l'exception avec l'instruction « throw » . 58 public void f() throws mon. Exception { // … throw new mon. Exception(); }
Intercepter l'exception dans le client • L'interception du côté client s'effectue toujours sur le même principe qu'en Java. • Un gestionnaire « catch » doit être placé pour intercepter l'exception. 59 try { objet. f(); } catch ( mon. Exception ex ) { System. out. println("Une exception s'est produite…"); }
Mapping IDL/Java & Exception • Une exception IDL peut être définie au sein d'une interface IDL. interface Diviseur { exception Division. Par. Zero { }; 60 float division( in float nb 1, in float nb 2 ) raises ( Disivion. Par. Zero ); • Dans ce cas, la traduction de « Division. Par. Zero » sera légèrement différente car celle-ci sera placée dans un package Java portant le nom de l'interface avec pour suffixe « Package » . • Ainsi, le nom de l'exception en Java sera : Diviseur. Package. Division. Par. Zero • Cette règle s'applique à tous les types complexes qui sont décris dans une interface.
Exercice • Ecrire l'implantation de l'interface IDL suivante ainsi qu'un extrait de client qui utiliserait celle-ci. exception Division. Par. Zero { }; 61 interface Diviseur { float division( in float nb 1, in float nb 2 ) raises ( Disivion. Par. Zero ); };
Les attributs IDL • Il est possible dans une description IDL de définir des attributs d'interface. • Un attribut est une donnée accessible soit en lecture/écriture, soit en lecture seulement. • Pour décrire un attribut, on respecte le format suivant : [ readonly ] attribute type_de_l'attribute nom_de_l'attribut; 62 Optionnel, ce mot clef signale que l'attribut est accessible en lecture seule.
Traduction d'un attribut IDL en Java • Un attribut est traduit en Java en deux opérations ( une pour la lecture et une pour l'écriture ). • Règle de traduction : [ readonly ] attribute type nom ; L'opération d'écriture n'existe public void nom( type value ); pas dans le cas d'un attribut public type nom( ); spécifié "readonly". • Exemple : attribute string nom; 63 public void nom( String value ); public String nom();
Le module IDL • La notion de module est similaire à celle de package de Java. • Un module introduit un espace de désignation supplémentaire. On notera qu'un module peut contenir un autre module, une interface, une description de type complexe. • La description d'un module respecte la syntaxe suivante : 64 module nom_du_module { // corps du module }; Un module est traduit en un package.
Exercice • Implanter l'objet CORBA dont la description IDL est la suivante : module Exemple { interface Personne { readonly attribute string nom; attribute string adresse; readonly attribute long age; void anniversaire(); 65 }; };
Notion d'Alias • Un alias permet de définir un autre « nom » pour un type existant. • Pour décrire un alias en IDL, on respecte la règle suivante : typedef nom_du_type nom_de_l'alias; • Exemple : typedef long Heure; • Par la suite, on peut utiliser l'alias comme type : 66 void fixe_heure( in Heure h );
Traduction d'un Alias en Java • La notion d'alias n'existe pas en Java. C'est pour cette raison que l'alias est remplacé en Java par le type original. // IDL typedef long Heure; interface Exemple { void fixe_heure( in Heure h ); }; 67 // Java public interface Exemple // … { public void fixe_heure( int h ); }
Notion de séquence IDL • Une séquence est une donnée similaire à un tableau. • Une séquence se décrit en IDL par le mot clef « sequence » . La description d'une séquence est couplée à celle d'un alias. • On distingue deux types de séquences : – les séquences bornées : sequence< type, borne > – les séquences non bornées : sequence< type > • Exemples : 68 typedef sequence<String> liste; typedef sequence<String, 100> liste_bornee;
Traduction d'une séquence en Java • Une séquence IDL est traduite en un tableau Java. • Exemples : // IDL typedef sequence<long> colonne; // Java int [ ] // IDL typedef sequence <colonne> matrice; 69 // Java int [ ]
Notion de structure IDL • Une structure IDL est une description qui permet de regrouper plusieurs données appelées membres. • Les structures IDL doivent contenir au minimum un membre. • Chaque structure respecte le format suivant : struct nom_de_la_structure { liste_des_membres; }; 70 chaque membre est décrit par : type nom;
Exemple de structure struct Personne { string nom; string prenom; Une structure peut ensuite servir de type de donnée. }; typedef sequence< Personne > liste; interface Course { 71 attribute liste participants; };
Traduction d'un structure • Une structure est traduite en une classe Java ou chaque membre est un attribut public de cette classe. • Cette classe comporte deux constructeurs : – un constructeur par défaut, – un constructeur avec un paramètre pour chaque membre. • Chaque membre est lui même traduit selon la règle standard qui lui 72 est propre ( exemple : une séquence est traduite en un tableau ).
Exemple de traduction de structure // IDL struct Personne { string nom; string prenom; }; // Java public class Personne // … { public String nom; public String prenom; public Personne() { // … } public Personne( String _nom, String _prenom ) { // … } 73 }
Héritage d'interfaces IDL • La langage de description IDL supporte le concept d'héritage multiple. • Par contre aucune surcharge n'est autorisée. • Pour convertir une référence d'objet vers une référence d'un objet de base on doit utiliser l'opération « narrow » : 74 interface Base { //… }; Sub a = …. interface Sub : Base { // … }: Base b = Base. Helper. narrow( a );
Echange de référence d'objets • Parmi les types de bases de l'IDL il existe celui de référence d'objet symbolisé par « Object » . • Ainsi, à l'aide de ce paramètre un client pourra échanger des références avec un objet CORBA. • On peut également échanger des références d'objets typées en 75 utilisant comme paramètre le nom d'une interface IDL.
Exemples interface Exemple { // … }; interface Autre. Exemple { void f ( in Object obj ); void g ( in Exemple obj ); 76 }; On pourra grâce à « f » échanger des références d'objets dont celle de « Exemple » . Avec « g » on ne pourra échanger que des références d'objets vers « Exemple » où des références d'objets héritants de « Exemple » .
Les classes Holders • Afin d'échanger des paramètres d'opérations par adresses, une classe supplémentaire est générée : la classe holder. • Pour chaque type standard de CORBA ainsi que ceux définis en IDL, une classe holder est générée. • Une classe holder porte le même nom que le type avec pour suffixe « Holder » . 77 • Cette classe comporte un attribut public appelé « value » qui correspond au type associé à la classe holder.
Exemple de classe holder Format général : public class XXXHolder // … { public XXX value; public XXXHolder() { // … } public XXXHolder( XXX _value ) { … } //. . . } Exemple pour org. omg. CORBA. String. Holder : 78 public class String. Holder //. . . { public String value; public String. Holder() { // … } public String. Holder( String _value ) { // … } //. . . }
Quelques pièges. . . Type standard IDL : string Traduction en Java : String Classe holder associée : org. omg. CORBA. String. Holder Type utilisateur IDL : typedef long heure; Traduction en Java : int Classe holder associée : org. omg. CORBA. Int. Holder 79 ! Aucune classe holder n'est générée pour une re-définition de type excepté pour les séquences et les tableaux.
Les paramètres « out » et « inout » • Un paramètre de type « out » ou « inout » est traduit en un holder. • Exemples : // IDL void retourne_heure( out Heure h ); // Java public void retourne_heure( org. omg. CORBA. Int. Holder h ); 80 // IDL typedef sequence<long> colonne; typedef sequence<colonne> matrice; void ajoute_matrices( in matrice m 1, in matrice m 2, out matrice result ); // Java public void ajoute_matrices( int [ ][ ] m 1, int [ ] m 2, matrice. Holder result );
Exercice • Implanter l'interface suivante : interface Exemple { typedef struct Personne { String nom; String prenom; } coureur; typedef sequence< coureur > participants; void inscrire_coureur( in coureur C ); 81 void liste_des_coureurs( inout participants coureurs ); };
Approche par délégation • L’approche par héritage ne permet pas à un objet d’implanter plusieurs interfaces. • Dans l'approche par délégation, l'implantation de l'objet n'hérite plus de squelette mais implante l'interface d'opérations. L’héritage multiple d’interface est donc possible. 82 • L'implantation de l'objet est appelée : le délégué. • Une autre classe est générée : la classe de délégation. La classe de délégation est un objet CORBA qui délègue ses opérations au délégués.
Illustration du principe de délégation Client Invoque Objet de délégation Délègue Délégué 83 ! Le délégué n'est pas un objet CORBA. Il ne dispose donc pas d'une référence d'objet.
Création de l’objet délégué • L’objet délégué n’est plus un objet CORBA. • Il implante l’interface Premier. Operations public class Premier. Impl implements Premier. Operations { 84 public void affiche(String message) { System. out. println("le message : "+message); } }
Génération de l'objet de délégation • L'objet de délégation est automatique généré à partir de la description IDL. • Pour cela, il faut appliquer une option spéciale du compilateur d'IDL : idl 2 java –fall. TIE Premier. idl jdk 1. 4 • La classe de délégation porte le nom de l'interface à laquelle est associée avec pour suffixe « Tie » . 85 Premier. POATie. java POA BO A
Utilisation de l'objet de délégation • L'objet de délégation comporte une opération importante : – son constructeur qui prend en paramètre l'objet délégué • Le serveur doit donc – créer l'objet de délégation en lui donnant comme paramètre son délégué : new Premier. Tie(new Premier. Impl()) – connecter celui-ci à l'adaptateur d'objets. 86 – exporter au client la référence de l'objet de délégation. • Il n’y a aucune modification du client
Exercice • Reprendre l'exercice précédent en utilisant cette fois l'approche par délégation. On devra en plus développer le serveur. interface Diviseur { exception Division. Par. Zero { }; float division( in float nb 1, in float nb 2 ) 87 raises ( Disivion. Par. Zero ); };
Service de désignation
Commençons par un exercice • Exporter/Importer une référence d’objet dans un fichier est fastidieux • Pourquoi ne pas créer un objet CORBA qui stocke les références d’objets et permet d’y accéder à partir de noms symboliques (DNS) • A vous de définir l’IDL 89
Service de désignation (nommage) • Rôle : retrouver les références d’objet à partir de noms symboliques • Définition du service : dans une interface IDL – Module Cos. Naming • Structure : arborescence appelé graphe de désignation (Naming Graph) – Une racine – Des répertoires, appelés « contexte de nommage » – Des feuilles : les références d’objet 90 • Un contexte est un objet qui gère une liste de liaisons (= associations nom-référence)
Enregistrer une IOR dans l’annuaire • = Créer une liaison dans un contexte – ~ ranger l’association nom-IOR dans un répertoire • Récupérer la référence du contexte dans lequel on va créer la liaison – Hypothèse dans l’exemple : la liaison est créée à la racine de l’arbre => on récupère l’IOR de la racine Naming. Context nc. Ref = Naming. Context. Helper. narrow(orb. resolve_initial_references(("Name. Se rvice"))); • Faire la liaison (méthode bind() ou rebind()) de l’objet contexte nc. Ref) entre le nom et l’IOR href 91 Qu’est-ce qu’un nom ?
Qu’est-ce qu’un nom ? • Séquence ordonnée de doublons (Identificateur, Qualificatif) – Un seul doublon = nom simple ("Hello", "appli. CORBA") • classe Name. Component • Définir un nom simple 92 – Créer une séquence à un doublon (~ 1 tableau à 1 élém. ) Name. Component [] name = new Name. Component[1]; – Initialiser la séquence name[0] = new Name. Component(); name[0]. id = "Hello"; name[0]. kind = "appli. CORBA";
La liaison • Liaison : Méthodes bind ou rebind de l’interface Naming. Context – bind(name, href) : crée la liaison name-href dans le contexte ncref – rebind(name, href) : crée la liaison name-href dans le contexte ncref même si le nom est déjà lié 93
Obtenir une référence • Retrouver une IOR étant donné un nom = résolution de noms • La résolution 94 – Commence à la racine => il faut se positionner sur la racine, donc récupérer son IOR (cf le serveur) – Est faite par la méthode resolve(name) de l’interface Naming. Context => il faut initialiser name, de type Name. Component (cf le serveur) – Ne pas oublier de caster (narrow) vers le type voulu
orbd jdk 1. 4 • Service de désignation du jdk 1. 4 • Lancer orbd : – orbd –ORBInitial. Port ? ? –ORBInitial. Host ? ? • Dans le serveur, mettre les paramètres suivants dans l’initialisation de l’ORB – ORBInitial. Port ? ? – ORBInitial. Host ? ? 95
Etude du type « Any »
Any : un méta type ! • Le type Any est un type de donnée de CORBA. • En IDL, le mot clef correspondant est « any » . • Un type Any peut contenir une valeur de n’importe quel autre type de donnée de CORBA ( types de bases et types complexes ). • Ainsi, un Any peut contenir un entier, un réel et même une structure 97 ou une séquence.
Le type Any en Java • CORBA fournit une classe appelée « org. omg. CORBA. Any » qui correspond à la traduction en Java du type IDL « any » . • Cette classe comporte de nombreuses opérations dont certaines pour insérer une valeur et d’autres pour extraire une valeur. • Ainsi, pour chaque type de base de CORBA il existe un couple d’opérations ( insertion / extraction ) qui respecte le format suivant : – void insert_XXXX( xxxxx valeur ); – xxxxx extract_XXXX( ) throws org. omg. CORBA. BAD_OPERATION; 98 Le nom Java du type Le nom IDL du type Cette exception est lancée si le type demandé n’est pas celui contenu.
Création d’un type Any • Pour créer un type Any on utilise l’opération « create_any » proposée par la classe ORB. • Exemple : org. omg. CORBA. ORB orb = org. omg. CORBA. ORB. init(); org. omg. CORBA. Any mon. Any = orb. create_any(); 99
Exemple d’utilisation public class Exemple { public static void main( String [] args ) { org. omg. CORBA. ORB orb = org. omg. CORBA. ORB. init( args, null ); org. omg. CORBA. Any any = orb. create_any(); int nombre = 100; any. insert_long( nombre ); int extrait = any. extract_long( ); 100 } }
Exercice • Développer l’application suivante ( client et objet ) : interface Calculatrice { any addition( in any nb 1, in any nb 2 ); }; • Le client pourra alors additionner des entiers ( int ) et des réels ( float ). 101
Insérer et extraire des types complexes • Pour tous les types définis par l’utilisateur en IDL, le compilateur génère une classe dite Helper qui porte le nom du type et ayant pour suffixe « Helper » . • Une classe Helper comporte deux opérations statiques pour respectivement insérer et extraire une valeur du type auquel elle est associée. • Les opérations respectent le format suivant : – void insert( org. omg. CORBA. Any any, xxxxx valeur ); – xxxxx extract( org. omg. CORBA. Any any ); 102 • Si le type Any ne contient pas la valeur attendue, alors une exception de type « org. omg. CORBA. MARSHAL » est lancée.
Connaître le type de la valeur d’un Any • Il est également possible d’interroger le type Any afin de connaître le type de la valeur qu’il contient. • En effet, chaque Any est associé à deux informations : – La valeur qu’il contient, – La description du type de la valeur. • L’opération « type » de la classe « org. omg. CORBA. Any » retourne la description du type. 103
La description du type • La description du type est en fait une classe qui comporte un grand nombre d’opérations pour obtenir des informations sur le type. • Le type est représenté par un Type. Code dont la classe Java se nomme « org. omg. CORBA. Type. Code » . • Tous les types CORBA ( simples et complexes ) ont un Type. Code ( une description ). 104 • Les informations retournées par un Type. Code sont forcément fonction du type qu’il décrit. De ce fait, toutes les opérations de la classe Type. Code ne sont pas utilisables à chaque fois.
Les familles de types • Chaque type CORBA est associé à une famille de type appelé TCKind. • Chaque type simple dispose de sa propre famille dont le nom est tk_xxxx ( boolean = tk_boolean ). • Les types complexes appartiennent chacun à une famille précise comme : tk_struct, tk_sequence, … • En Java, la classe « org. omg. CORBA. TCKind » correspond à la traduction du type CORBA TCKind. – Cette classe comporte pour chaque catégorie de famille un attribut public de valeur entière dont le nom est celui de la catégorie précédé de « _ » : _tk_boolean 105 – Cette classe comporte également pour chaque catégorie un objet de type TCKind dont le nom est celui de la catégorie. Pour obtenir la valeur entière de ce TCKind, on utilise l’opération « value » .
Les principales opérations d’un Type. Code • Parmi les opérations les plus utiles, on distingue : – String name() : retourne le nom du type – TCKind kind() : retourne la famille du type – int member_count() : retourne le nombre de membres ( structure et exceptions ) – String member_name( int index ) : retourne le nom d’un membre – Type. Code member_type( int index ) : retourne la description du type d’un membre – int length( ) : retourne la taille du type ( séquences et tableaux ) 106 – Type. Code original_type() : retourne le type original ( alias )
Obtenir le Type. Code d’un type • On distingue deux méthodes selon que le type soit simple ou complexe : – Les types simples : on utilise l’opération « get_primitive_tc » proposée par la classe ORB. Cette opération requiert en paramètre le TCKind du type demandé. – Les types complexes : les classes Helpers fournissent une 107 opération statique appelée « type » .
Exemple // Initialise l’ORB org. omg. CORBA. ORB orb = org. omg. CORBA. ORB. init(); // Récupère le Type. Code d’un type simple : octet org. omg. CORBA. Type. Code tc_simple = orb. get_primitive_tc( org. omg. CORBA. TCKind. tk_octet ); // Récupère le Type. Code d’une structure « Personne » décrite en IDL 108 org. omg. CORBA. Type. Code tc_complexe = Personne. Helper. type( );
Exercice • Reprendre l’application précédente en utilisant la notion de Type. Code : Typedef sequence<int> int. Sequence; interface Calculatrice { any addition( in any nb 1, in any nb 2 ); }; 109 • Les types à additionner seront soit des entiers, des réels ou des séquences d’entiers.
Les mécanismes dynamiques de C. O. R. B. A.
Concept de mécanismes dynamiques • Il est possible dans C. O. R. B. A. de ne pas utiliser de souche du côté client ! • De même, il est possible de ne pas utiliser de squelette du côté serveur ! • Si l'application cliente n'utilise pas de souche, elle doit alors construire elle même dynamiquement les invocations vers les objets CORBA. 111 • De même, si une application serveur n'utilise pas de squelette, elle doit alors intercepter dynamiquement les invocations clientes.
Le mécanisme D. I. I. • Le mécanisme D. I. I. ( Dynamic Invocation Interface ) fournit une API pour créer manuellement ses requêtes et invoquer celles-ci auprès d'un objet. • Grâce à D. I. I. on peut facilement développer des applications clientes génériques capable d'invoquer n'importe quel objet CORBA. 112 • Le mécanisme D. I. I. est également utilisé pour fournir une portabilité de la souche. En effet, en employant dans le code de la souche uniquement des opérations de D. I. I. toutes les souches seront portables d'un ORB à un autre.
Le mécanisme D. S. I. • Le mécanisme D. S. I. ( Dynamic Server Interface ) permet de concevoir des serveurs capables d'intercepter des invocations clientes sans squelette. • L'API de D. S. I. fournit toutes les fonctions nécessaires à la capture d'une requêtes et l'interprétation des éléments qui la constitue. 113 • A l'aide de D. S. I. on peut définir des serveurs générique mais également offrir la portabilité du squelette ( sur le même principe que D. I. I. pour la souche ).
Notion de référentiel d'interfaces • Le référentiel d'interfaces ( IR = Interface Repository ) est un serveur CORBA. • Ce serveur est une sorte de base de données qui contient descriptions d'objets CORBA. • Ces descriptions ( identiques à IDL ) sont accessibles via un ensemble d'interfaces. 114 • Le référentiel d'interfaces peut être utilisé par un client ou serveur CORBA afin d'obtenir des informations sur la description d'un objet. Couplé à D. I. I. ou D. S. I. le référentiel d'interfaces permet la mise en œuvre d'applications totalement génériques.
Synthèse sur C. O. R. B. A.
Un environnement complet. . . • C. O. R. B. A. est une architecture qui définit un environnement pour permettre la collaboration entre applications réparties. • C. O. R. B. A. est disponible sur de nombreuses plate-formes, dans de nombreux langages et chez de nombreux fournisseurs. • C. O. R. B. A. est simple à programmer en comparaison des environnements équivalent. 116 • C. O. R. B. A. offre une homogénéisation du système d'informations.
Vue de l'architecture C. O. R. B. A. Objet C. O. R. B. A. CLIENT SERVEUR Squelette souche 117 D. I. I. D. S. I. Adaptateur d'objets le bus C. O. R. B. A.
Pour plus d'informations. . . • Quelques ouvrages – Au cœur de CORBA ( J. DANIEL, Vuibert ) – CORBA : des concepts à la pratique ( Ph. MERLE, Inter. Editions ) 118
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