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Vacances en Autriche Photos personnelles + Net Texte du Net Créations Delia Florea Cliquez pour avancer

Randonnée dans les Alpes tyroliennes depuis le chalet Jandlalm au sommet Griesenkareck (1991 m ) Photos personnelles

Le sommet Griesenkareck (1991 m )

Gasthof Jandlalm

Le sommet Griesenkareck (1991 m )

Excursion à Salzkammergut, la région des lacs et montagnes Photos personnelles

Eugendorf , Autriche

Sankt Wolfgang im Salzkammergut L'église et l’hôtel « Weißes Rössl » ( « L'auberge du Cheval blanc » ) , inauguré en 1878 L'église est un important site de pèlerinage avec un célèbre polyptyque de Michael Pacher

Croisière sur le lac de Mondsee Autriche

Croisière sur le lac de Mondsee

Croisière sur le lac de Mondsee Autriche

Saint Wolfgang , Autriche Balade en petit train à crémaillère vers le sommet de la montagne Schafberg

Le Schafbergipfel offre une magnifique vue à 360° sur les lacs du Salzkammergut (Wolfgangsee, Fuschlsee, Attersee et Mondsee), les Alpes de Salzbourg (Dachstein, Hochkönig) et de Berchtesgaden (Watzmann). Par temps clair, la vue porte jusqu’au Hohe Tauern (Hochalmspitze).

Hallstatt est un village de la région du Salzkammergut en Autriche. Il est situé près du Hallstättersee.

Hallstatt Photo prise sur le Net

Hallstättersee

Panorama Hallstatt

Excursion à Steyr Photos personnelles + Net

Vue sur la vieille ville avec la mairie et l'église paroissiale Steyr est une ville située dans le nord de l’Autriche. D'un passé glorieux qui lui valut de donner son nom à la Styrie et de rivaliser avec Vienne, Steyr a conservé son rôle de métropole économique et se classe, pour la population, au troisième rang des villes de Haute-Autriche, après Linz et Wels. À l'écart de la ville ancienne, qui a sauvegardé tout son caractère, se sont développés les faubourgs industriels animés par des entreprises de renommée internationale comme BMW, MAN et SKF. Depuis le XIVe siècle, la ville est connue comme centre métallurgique en utilisant les gisements de fer de la Styrie et l'eau de ses rivières, et était réputé pour ses armuriers. Photo prise sur le Net

Vue sur la vieille ville avec la mairie et l'église paroissiale

La somptueuse place centrale s’étire tout en longueur Photo prise sur le Net

Photo prise sur le Net

Bummerlhaus, l'emblème de la ville

La Sternhaus , baroque tardif

La Sternhaus , baroque tardif ( détail)

Porte gothique

Banque d'épargne néo-gothique

La basilique de Maria Taferl Photos personnelles + Net

La basilique de Maria Taferl, en allemand Wallfahrtskirche Maria Taferl est un sanctuaire dédié à la catholique Notre-Dame des Douleurs, site dans la municipalité autrichien de Maria Taferl, en Basse. Autriche. Il se dresse sur une colline, visible de loin, qui domine la vallée du Danube. Selon les croyances des fidèles, l'eau de la source Maria Taferl est particulièrement bénéfique pour les affections des yeux. Depuis 1969, le sanctuaire est géré par la congrégation de Missionnaires Oblats de Marie Immaculée. Le sommet de la colline avait été déjà choisi, comme si souvent au long des rives danubiennes, par des tributs celtes pour en faire un lieu de culte. On trouve d’ailleurs encore devant la basilique une pierre posé sur un socle et entouré d’une rampe qui pourrait avoir vraisemblablement servi comme autel pour des sacrifices. Le culte et les superstitions du paganisme celtique sur les hauteurs de Marbach ont perduré suffisamment longtemps pour que les populations aient considéré ces lieux comme inhospitaliers. Pour effacer ces souvenirs païens, on aurait par la suite suspendu une petite croix de bois dans le chêne situé devant le dolmen. Cette croix était fixée à un tableau protégé par un petit auvent sur les côtés duquel était accroché les images de la Vierge Marie et de Saint Jean. C’est depuis cette époque cet endroit s’appelle « Beim Taferl » , en français « Près du petit tableau » d’où provient le nom de Maria Taferl. Les origines du pèlerinage de Maria Taferl remonte au XVIIème siècle. Une légende raconte que le 14 janvier 1633, un berger du nom de Thomas Pachmann, décida d’abattre le vieux chêne, presque déjà mort. Mais sa hache glissa et retomba sur ses deux jambes. C’est à ce moment là qu’il aperçut la croix sur l’arbre. Pensant avoir involontairement commis un sacrilège, il s’agenouilla et demanda pardon à Dieu. Selon le berger, le sang qui coulait de ses blessures aux jambes, s’arrêta aussitôt. Il pût retourner seul chez lui et guérir rapidement. En 1641 ou 1642, un juge du village de Kleinkrummnußbaum atteint d’une grave dépression, fit remplacer la petite croix en bois qui s’abimait par une statuette de la Vierge des Douleurs. Il en fût guéri. La première apparition miraculeuse d’une lumière à cet endroit eut lieu un peu plus tard, en 1658. Elle fut suivie de nombreuses autres apparitions, sur la terre ou dans le ciel, une trentaine en tout, entre 1659 et 1661. De mystérieux pèlerins vêtus de blanc, seuls en petit groupe ou au sein d’une procession surgissaient lors de ses miracles. Au même moment où se produisaient ces apparitions se réalisaient des guérisons et des

La basilique de Maria Taferl La construction de la basilique dure plus de soixante ans. Trois architectes se succèdent ; le viennois Georg Gerstenbrand (1667 ou 1668), architecte de la cour impériale, le lombard Carlo Lurago (1615 -1684) de 1671 à 1673 et enfin le plus connu d’entre eux, le tyrolien et maître maçon Jakob Prandtauer (1660 -1726), à qui l’on doit également en grande partie les merveilleuses abbayes de Melk, Dürnstein et Saint-Florian et qui acheva l’impressionnante coupole de Maria Taferl. La construction de Maria Taferl mobilise de nombreux artistes parmi les plus réputés. Aux trois architectes se joignent les italiens Carlo Consellino (stucs de la sacristie), Antonio Beduzzi (1675 -1735) pour les fresques, connu également comme l’auteur du magnifique maître-autel de l’abbaye de Melk, Joseph Matthias Götz (1696 -1760) pour le maîtreautel, achevé en 1738, Peter Widering (vers 1684 -1760) pour les sculptures de la chaire, J. A. Amorth, la Sainte Trinité sur le pilier du transept, J. G. Dorfmeister (1736 -1786), auteur des sculptures des grands autels latéraux, le peintre viennois Johann Georg Schmidt (1685 -1748) pour les petits autels latéraux ou encore le peintre autrichien Martin Johann Schmidt dit « Kremser Schmidt » ( « Le Schmidt de Krems » ) (1718 -1801) qui réalise les tableaux des grands autels latéraux et enfin l’ébéniste Mattäus Tempe de Sankt-Pölten. L’édifice, consacré comme basilique mineure en 1947, est en forme de croix et mesure, si l’on inclue la sacristie attenante, une longueur totale de 70 m. Ses dimensions intérieurs sont de 53 m de long. La nef centrale atteint 13 m de large et le transept 31, 30 m sur 13. Maria Taferl fit l’objet de nombreuses restaurations. La place devant la basilique fut aménagée en 1960. On jouit, par temps clair, d’une splendide vue sur le Danube et les massifs alpins autrichiens. Les extraordinaires orgues de l’époque Rococo, réalisées par le facteur viennois Johann Hencke (16981766) n’ont malheureusement pas été conservées à l’exception du buffet. Elles ont été transformées en 1910 par Franz Capek, facteur d’orgues de Krems, en un orgue romantique tardif avec 40 registres et 3 manuels. Aujourd’hui les orgues sont équipées de 47 registres, 4 manuels et comptent en tout 2915 tuyaux. Les nouvelles cloches, d’un poids total de 7 200 kilos qui sonnent le Te Deum (si, ré, mi, sol, la) contribuent également à la grande réputation du lieu de pèlerinage.

La basilique de Maria Taferl

L'intérieur somptueux Photo prise sur le Net

Le maître-autel

Le maître-autel (détail), réalisé par Joseph Matthias Götz Photo prise sur le Net

La fresque de la coupole représentant la vie et l’ascension de la Vierge Marie , peinte par Antonio Beduzzi

Les orgues de Maria Taferl

Vacances en Autriche Photos personnelles + Net Texte du Net Créations Delia Florea Musique Mozart - Concerto pour piano n ° 21

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