UE 4 6 LALLIANCE THRAPEUTIQUE Maya MONNOT Koba
UE 4. 6 « L’ALLIANCE THÉRAPEUTIQUE » Maya MONNOT, Koba HIRO, Tifenn GOURMELON
SOMMAIRE I/ Un peu d’histoire II/ Définition personnelle III/Définition selon le dictionnaire IV/ Les 4 aspects fondamentaux V/ Les 3 composantes
UN PEU D’HISTOIRE Etymologie : Vient du verbe « allier » : alligare = «attacher à, mettre avec » FREUD (1912): Sur le plan psychothérapeutique, il aborde ce concept pour la première fois comme supposant un « intérêt sérieux » et une "compréhension bienveillante" de la part du thérapeute pour développer un engagement réciproque. ZETZEL (1956): Puis cette notion d'alliance s'est élargie vers une collaboration entre le patient et l'analyste, "alliance thérapeutique" permettant de dépasser les phénomènes de résistance C. ROGERS a ainsi défini l‘alliance thérapeutique comme essentielle à la thérapie en y englobant la confiance réciproque, l’acceptation et la confidentialité, avec des buts communs pour le patient et le soignant.
DÉFINITION PERSONNELLE C’est une collaboration entre le soignant et le patient afin d’atteindre, dans un climat de confiance, les objectifs thérapeutiques fixés au préalable.
DÉFINITION SELON LE DICTIONNAIRE Définition : Selon le dictionnaire elle désigne union par engagement mutuel, un accord. ->Collaboration active, le patient et le soignant travaillent ensemble, basée sur une appréciation partagée des problèmes et un accord sur les solutions possibles -> Désigne la collaboration entre patient et le soignant.
LES 4 ASPECTS FONDAMENTAUX • La confiance • Le consentement • L’influence • La négociation
LA CONFIANCE Croyance spontanée ou acquise en la valeur morale, affective, professionnelle … d’autre personne, qui nous rend incapable d’imaginer de sa part tromperie, trahison ou incompétence.
LE CONSENTEMENT Le consentement doit être libre et éclairé: ØL’information doit être expliquée au patient ØLe consentement doit être libre aux soins
L’INFLUENCE Le désir du soignant va influer sur sa façon de donner l’information Cette notion d’influence par le filtre du désir du soignant convaincu de l’acte proposé doit être connu et identifié pour rendre l’information la plus objective possible, faire preuve d’honnêteté professionnelle pour toute information.
LA NÉGOCIATION Dans bien des cas, la négociation permet de lever des malentendus, d’atténuer les craintes ressenties par le patient, de vaincre ses préjugés et aboutit alors à une acceptation « libre et éclairée » du soin initialement refusé.
LES 3 COMPOSANTES 3 composantes selon BORDIN (1979) • Un lien affectif • Un accord sur les buts du traitement • Un accord sur les tâches à accomplir en thérapie
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