Transition manuelle Vous avez dans mon cur laiss
















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Transition manuelle


Vous avez dans mon cœur laissé la douce empreinte D’une plume aux tons chauds, vigoureux ou charmants Que j’aime quelquefois réveiller sans astreinte Évoquant certains vers, beaux tels des diamants.



Poètes trépassés, vous sur l’autre rivage Où rien ne compte plus, ni le temps ni la nuit, M’entendez-vous lorsque, d’une foi qui ravage, Je viens les déclamer dès qu’un vil pleur me nuit ?


Aube nouvelle Dans une aube nouvelle aux couleurs d'absolu J'effeuillerai, pour Toi, mon cœur avec mon âme Et les baisers lointains au soleil révolu S'effaceront, afin que naisse une autre flamme. Nous irons tous les deux par les chemins secrets, Parfumés de lavande et de menthe sauvage, Goûter le pur bonheur et les charmes discrets Que nous offre l'Amour au travers d'un autre âge. J'inventerai, pour Toi : d'autres chants - d'autres cieux Et je t’emmènerai cueillir les certitudes, La douceur des baisers sur tes lèvres - tes yeux Et découvrir alors d'autres béatitudes. Nos cœurs transmuteront en un Monde enchanteur, Nos corps ne seront plus qu'une seule harmonie Et, l'être extasié - léger- sans pesanteur, Nous chanterons l'Amour en tendre symphonie. © Marcelle Coste-Maurissanne (1920 -2014)

Ce sont ceux de votre âme, enfouie en vos poèmes, Qui viennent se livrer au détour d’un recueil, Venant vivre et remettre, avec leurs divers thèmes, Du ressort dans mes jours lorsque en est gris le seuil.

Parmi les ruines Sous les murs écroulés et les débris de pierre Que le gel et la pluie creusent obstinément, L’âme des moines blancs - Est-ce un pressentiment ? Me parle d’un passé recouvert de poussière. Ils sont toujours présents ! Oui, ils vont ressurgir Des sombres souterrains par les fentes dalles De gros granit sculpté dans les parois des salles Où ils vivaient, priaient… J’entends leur voix mugir ! Mais non, je dois rêver !. . . Ecoutez, c’est le vent Qui vient des bois et filtre à travers les murailles Disjointes, c’est la bise qui siffle dans les failles Ouvertes par les siècles aux murs du vieux couvent. Pourtant, si je m’attarde et qu’à la nuit tombée, Fasciné dans ce lieu dont il ne reste rien Que fantômes de pierre aux orgues éoliens, Le souvenir confus des cantiques divins Des chantres disparus et de leur mélopée Revient hanter mon âme… et je tremble soudain ! © Louis Labart (1920 -2008)


Merci donc mes amis ayant clos vos paupières, A vous chers disparus dont le luth chante encor Au fond de ma mémoire, où ne gît nulle pierre Pour étouffer la voix de votre lyre d’or.

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Chers poètes disparus… Vous avez dans mon cœur laissé la douce empreinte D’une plume aux tons chauds, vigoureux ou charmants Que j’aime quelquefois réveiller sans astreinte Évoquant certains vers, beaux tels des diamants. Poètes trépassés, vous sur l’autre rivage Où rien ne compte plus, ni le temps ni la nuit, M’entendez-vous lorsque, d’une foi qui ravage, Je viens les déclamer dès qu’un vil pleur me nuit ? Ce sont ceux de votre âme, enfouie en vos poèmes, Qui viennent se livrer au détour d’un recueil, Venant vivre et remettre, avec leurs divers thèmes, Du ressort dans mes jours lorsque en est gris le seuil. Merci donc mes amis ayant clos vos paupières, A vous chers disparus dont le luth chante encor Au fond de ma mémoire, où ne gît nulle pierre Pour étouffer la voix de votre lyre d’or.

© Source images : Musique : Internet, et créations personnelles PRESENTATION et DIAPORAMA : Johanne Hauber-Bieth - Juillet 2017 Poète au Féminin - Membre de la SABAM Présidente-Fondatrice du Panthéon Universel de la Poésie pantheonuniverseldelapoesie@wanadoo. fr AMBASSADRICE UNIVERSELLE DE LA PAIX johanne 8@wanadoo. fr

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J'ai tu as il a nous avons vous avez ils ont
Qu'est-ce que vous fait hier
Jai tu as
Chaque fois que vous l'avez fait au plus petit
Vous allez voir ce que vous allez voir
Michel troalen acop
Avec vous toujours avec vous
Vous vous doutez bien
Vous êtes belles mais vous êtes vides
Mon cur
Mon cur
De tout mon etre alors s'eleve
Mon cur
Mon cur
Chant viens dans mon coeur seigneur
Il faut grand dieu
Dans le cas ou vous auriez besoin