Transition manuelle Il est l dans mon cur
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Transition : manuelle
Il est là dans mon cœur, il est là dans mes rêves. . Son âme me sourit. Elle arpente les grèves De notre belle histoire où chantent nos amours Qui, même lui parti, lui survivront toujours !
Il a laissé l’empreinte en lettres de tendresse De ses instants vécus qu’il voulait pur bonheur. Hélas son existence, où, parfois trop maîtresse La guigne l’épousait, fut bien souvent un leurre…
Il est tombé malade et lors, sans le savoir… J’attendais, cœur fébrile, ardemment des nouvelles Qui ne vinrent jamais. Et j’ai perdu l’espoir De revoir à nouveau son rire en mes Venelles.
C’est donc par le journal que j’appris son décès Ce fut un vrai grand choc qui me laissa bien sombre, Triste et désespérée… ainsi j’avais accès Au plus grand des chagrins et n’étais plus qu’une ombre !
Je pleure bien souvent mais j’ai le souvenir De son rire et sa voix… de son tendre visage Qui, mieux que la douleur, savent le retenir Souriant sous mes yeux sans moindre tamisage !
Il est là dans mon cœur, il est là dans mes rêves. . Son âme me sourit. Elle arpente les grèves De notre belle histoire où chantent nos amours Qui, même lui parti, lui survivront toujours !
Il est là dans mon cœur, il est là dans mes rêves. . Son âme me sourit. Elle arpente les grèves De notre belle histoire où chantent nos amours Qui, même lui parti, lui survivront toujours ! C’est donc par le journal que j’appris son décès Ce fut un vrai grand choc qui me laissa bien sombre, Triste et désespérée… ainsi j’avais accès Au plus grand des chagrins et n’étais plus qu’une ombre ! Il a laissé l’empreinte en lettres de tendresse De ses instants vécus qu’il voulait pur bonheur. Hélas son existence, où, parfois trop maîtresse La guigne l’épousait, fut quelquefois un leurre ! Je pleure bien souvent mais j’ai le souvenir De son rire et sa voix… de son tendre visage Qui, mieux que la douleur, savent le retenir Souriant sous mes yeux sans moindre tamisage ! Il est tombé malade et lors, sans le savoir… J’attendais, cœur fébrile, ardemment des nouvelles Qui ne vinrent jamais. Et j’ai perdu l’espoir De revoir à nouveau son rire en mes Venelles. Il est là dans mon cœur, il est là dans mes rêves. . Son âme me sourit. Elle arpente les grèves De notre belle histoire où chantent nos amours Qui, même lui parti, lui survivront toujours ! © Johanne Hauber-Bieth
© Source images : Internet et créations personnelles Musique : « Les oiseaux se cachent pour mourir » Richard Abel PRESENTATION et DIAPORAMA : Johanne Hauber-Bieth - Mai 2020 Poète au Féminin - Membre de la SABAM Présidente-Fondatrice du Panthéon Universel de la Poésie pantheonuniverseldelapoesie@wanadoo. fr AMBASSADRICE UNIVERSELLE DE LA PAIX johanne 8@wanadoo. fr Mes PPS sont hébergés ici : http: //www. ppsmania. fr/author/johanne 8 Grand Merci à David
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