Thme Etude des jets de basse couches sur
Thème : Etude des jets de basse couches sur le Sahara central : cas de Bordj Badji Mokhtar ( sud ouest Algérien) Master physique et météorologie Département de Physique Faculté des Mathématiques et des Sciences de la Matière Présenté par : Foudil GUERROUT & Louiza ALI Introduction Dans les régions arides du Sahara, l'énergie d'origine éolienne constitue une alternative aux sources d'énergie électrique souvent indisponibles. Parmi les solutions est L’exploitation de jets de basses couches (LLJs : Low Level Jet) qui sont des événements météorologiques observées sur le Sahara central algérien. Ils correspondent à un pic de vitesse du vent sur une couche de (0 500 m) d'altitude. l'objectif de ce travail est la caractérisation du jet de basse couche notamment sur le plan occurrence, intensité et altitude moyenne du pic du jet sur la région du Sahara en vu d'évaluer leurs ressources. Mots clés : LLJ, ABL, Vent, Era interim Figure 01 Encadré par : Abdelali FEKIH Ø A travers l'étude climatique des quatre stations nous observons que les vents dominants sont les vents du nord, et du nord est Ø En termes d'intensité, les vents dominants sont ceux qui sont dépassés de 6 mètres par seconde à environ 30 mètres par seconde Et de 45 % Voir (figure : 07 Figure: 07. la direction des vents , en pourcentage à In Salah, Bechar & Bordj Badji Mokhtar sur la période (du 2005 à 2014 ) ØLa méthodologie consiste à l'analyse climatique du comportement du vent dans cette région suivi par une étude comparative des profils mesurés avec les profils réanaysés Era interim. En fin l'application d'un algorithme pour la caractérisation des Jets notamment l'occurrence , l'intensité, l'altitude du pic de vitesse. Figure : 08 - quelque sondages verticaux des vents à B. B. M. de juin 2011) I- Données et méthodes Pour l'analyse de surface, Nous utilisons les données d'observations de surface de 4 stations météorologiques du Sud Algérien (BBM, In salah, TAM, A drar) sur une période de 10 années (2005— 2014). Pour l'analyse de la structure verticale, nous utilisons les profils verticaux mesurés et ceux issus des données réanalysées Era interim sur la région de BBM types d’informations trois types d’informations peuvent être utilisées pour l’étude de Jet nocturne Figure : 09 – carte des vents à B. B. M. de juin 2011) II- étude climatique Ø D’après notre étude on a constaté que les quatre zones(stations ) ont même caractéristique climatiques (Fig 6) ce qui nous permet de prendre une station comme station représentative de la régions. La station sélectionnée est la station de BBM caractérisé par un vent moyen mensuel du 5 à 6. 2 m/s RESEARCH POSTER PRESENTATION DESIGN © 2015 www. Poster. Presentations. com Fig -6 III- Analyse et discussion ( premières constations) Ø L'analyse des profils de vitesse indique : – les jets se produisent dans la phase nocturne entre 00 h 06 h Tu. – Le pic de vitesse se produit à une altitude moyenne de 300 m Références bibliographiques [1] MADOUGOU, S. 2010. Etude du potentiel éolien du jet nocturne dans la zone sahélienne à partir des observations de radars profileurs de vent. TOULOUSE, FRANCE: université de TOULOUSE. [2] FENNEC – France, G. (2013). système climatique saharien. système climatique tel que atteint leur valeurs maximum pendant les mois de ; saharien s. Toulouse , Fennec Groupe (France Algérie Mauritanie), France: ANR Mai à Aout et atteint jusqu'au 11 m/s Où la tendance Toulouse. dominante dans cette région souffle du Nord , Nord est et [3] Diana, B. (2008, Décembre). mécanisme de soulèvement aérosols désertique en Afrique Est voir (fig. . 07) et conjointement la température qui vari de l'ouest. France Paris: université pierre marie. avec des valeurs mensuels moyennes du 13 à 34 C° et [4] HABBEL b. et TALBI, N. (2017). étude de poussière. Ouargla: UKMO. elle était aussi maximum durant la même période saisonnière dont les valeurs maximales moyennes vari entre [5] Salah, S. (2015). La circulation atmosphérique. ORAN: IHF ORAN. 22 et 47 C° voir (fig 06), la zone est caractérisé notamment [6] Perret, R. (1935). Le climat du Sahara : Annales de Géographie p. 162 186. par la faiblesse et l'irrégularité des précipitations, dont la cumul annuelle moyenne est 48. 2 mm
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