sergentchef Thomas DUPUY Barkhane dcs dun soldat franais
sergent-chef Thomas DUPUY
Barkhane : décès d'un soldat français Depuis le 28 octobre 2014, la force Barkhane conduit une opération de lutte contre les groupes terroristes dans le Nord du Mali. Dans ce cadre, dans la nuit du 28 au 29 octobre, une mission de neutralisation d’éléments terroristes a été lancée dans le massif du Tighar. Appuyée par des avions de chasse et des hélicoptères de combat, une opération héliportée a été conduite à proximité d’un repaire de terroristes. Des combats très violents ont rapidement opposé les soldats français à une trentaine de terroristes lourdement armés. Au cours de ces combats, un militaire français a été mortellement touché. Il s’agit d’un sous-officier de l’armée de l’air, le sergent-chef Thomas DUPUY, appartenant au commando parachutiste de l’air numéro 10 (CPA 10) stationné sur la base aérienne 123 d’Orléans. Un autre militaire a été blessé et est actuellement pris en charge par l’antenne chirurgicale avancée de Tessalit. La vie de ce militaire n’est pas en danger. Les combats sont toujours en cours. A ce stade, une vingtaine de terroristes a été neutralisée. Le sergent-chef Thomas DUPUY, est le premier soldat français mort au combat depuis le lancement de l’opération Barkhane, le 1 er août dernier. Conduite avec nos partenaires burkinabés, nigériens, maliens, mauritaniens et tchadiens, cette opération vise à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne. L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires français. Sources : Etat-major des armées Droits : Ministère de la Défense
L'opération le HAVRE est une des opérations majeures de l'ère BARKHANE. Son but est de neutraliser les groupes terroristes et leurs flux logistiques dans la région du Tighar au Nord Mali en menant une opération coordonnée avec la MINUSMA. ADC Patrick VERDON
Barkhane : point de situation du 30 octobre Afin d’empêcher les groupes armés terroristes de mener des actions de harcèlement dans le Nord du Mali, la force Barkhane conduit une opération dans cette région depuis le 28 octobre. Dans ce cadre, dans la nuit du 28 au 29 octobre, une mission de neutralisation d’éléments terroristes a été lancée dans le massif du Tighar. Appuyée par des avions de chasse et des hélicoptères de combat, une opération héliportée a été conduite à proximité d’un repaire de terroristes. Des combats très violents ont rapidement opposé les soldats français à une trentaine de terroristes lourdement armés. Au cours de ces combats, un militaire français a été mortellement touché. Il s’agit d’un sous-officier de l’armée de l’air, le sergent-chef Thomas DUPUY, appartenant au commando parachutiste de l’air numéro 10 (CPA 10) stationné sur la base aérienne 123 d’Orléans. Un autre militaire a été blessé. Immédiatement pris en charge par l’antenne chirurgicale avancée de Tessalit, ses jours ne sont pas danger. Il va être très prochainement rapatrié en France. L’opération lancée le 28 octobre se poursuit et, à ce jour, les combats dans le Tighar sont toujours en cours. Un des deux détachements de liaison et d’appui opérationnel (DLAO) déployés à Tessalit au Mali, a rejoint le Niger le 26 octobre pour opérer auprès des forces armées nigériennes.
Le camp Kosseï des Eléments Français au Tchad (EFT), les soldats européens de l'Opération EUFOR Tchad/ RCA se sont récemment installés sur un site propre à proximité de l'aéroport international de N'Djamena. VUE DU CAMP KOSSEÏ
Camp Kosseï Sergent chef Adji Kosseï soldat martyr des forces Armés Tchadiennes, tombé sur le champ de bataille dans le massif des Ifighas au Mali le 12 mars 2013
Le camp Kosseï : montage des douches de campagne
Zone de restauration en cours de montage Montage des tentes
Camp Kosseï vue du JHQ
La souffrance des turbines du Caracal au Sahel
La souffrance des turbines du Caracal au Sahel Au milieu de la régionalisation dans la bande sahélo-saharienne (BSS dans le jargon militaire, on vous prépare une carte) se posent des problèmes techniques pour les forces françaises de l'opération Barkhane. Exemple avec l'hélicoptère Caracal qui supporte très mal la chaleur et la poussière. . . Les turbines des Caracal, hélicoptères lourds utilisés pour les opérations de recherches et de sauvetages, sont ainsi prévues pour durer 3 000 heures. Au Sahel, leur espérance de vie est comprise entre 60 et 106 heures ! Or chaque turbine coûte 850 000 € et et son maintien en condition opérationnelle est très élevé. La fréquence élevée des opérations d'entretien a aussi pour conséquence la faible disponibilité des appareils. Le problème du Caracal confronté au sable fin est connu depuis des opérations au Tchad en 2008. Mais un programme d'amélioration n'a pas été mis en œuvre avec le constructeur pour des raisons financières. Une politique de court terme négative quand on l'oppose au coût de la turbine. Publié dans Air, Armées, Forces spéciales, Mali, OPEX, Terre
L'opération le HAVRE est une des opérations majeures de l'ère BARKHANE. Son but est de neutraliser les groupes terroristes et leurs flux logistiques dans la région du Tighar au Nord Mali en menant une opération coordonnée avec la MINUSMA. Le 02 septembre 2014 dans la région d'Aguelhok. Mise en place par un chef de groupe d'une pièce MILAN afin d'appuyer la prise de contact entre la force Barkhane et un groupe armé non identifié. Le chef de groupe vérifie à l'aide de son moyen de visée laser, VECTOR, la distance qui le sépare de sa cible potentielle. Didier Blanchet
Le détachement « air » de la base 101 de Niamey au Niger joue un rôle central dans Barkhane, opération « installée » la semaine dernière par François Hollande lors de sa mini-tournée africaine. Avec ses trois drones, ce site s’occupera essentiellement des missions de renseignement. A l’occasion de son déplacement au Niger, le président français s’est rendu sur place vendredi dernier. Gardé au secret, ce site n’avait jusqu’à présent accueilli que de très rares journalistes. Aux côtés de François Hollande, notre envoyé spécial a pu découvrir ce site sensible. Décryptage en images. C’est dans ce cadre que les chefs d’état-major des cinq pays du G 5 se sont réunis à Niamey, le 9 avril 2014, pour partager leur évaluation de la situation sécuritaire dans la bande sahélo-saharienne. Ils ont souhaité, pour l’occasion, inviter le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées françaises, marquant ainsi la place particulière de la France présentée comme « un partenaire stratégique ayant toujours soutenu les pays du Sahel dans leurs actions de lutte contre le terrorisme » .
Lundi 27 octobre 2014, s’est déroulée à Bamako une cérémonie marquant symboliquement la rétrocession du camp Damien Boiteux autorités maliennes. Cette cérémonie présidée par le général de division Jean-Pierre Palasset, commandant l’opération Barkhane (COMANFOR), a réuni plusieurs personnalités parmi lesquelles M. Gilles Huberson, ambassadeur de France au Mali, le général de division Mahamane Touré, chef d’état-major général des armées du Mali et le chef d’état-major de l’armée de l’air du Mali, le colonel -major Souleymane Bamba.
Barkhane : Cérémonie de rétrocession du camp Damien Boiteux
Barkhane : Cérémonie de rétrocession du camp Damien Boiteux
Détachement « air » de l’armée française situé sur la base 101 de Niamey
Détachement « air » de l’armée française situé sur la base 101 de Niamey
Détachement « air » de l’armée française situé sur la base 101 de Niamey Photo EMA
Détachement « air » de l’armée française situé sur la base 101 de Niamey
Détachement « air » de l’armée française situé sur la base 101 de Niamey
L'opération le HAVRE est une des opérations majeures de l'ère BARKHANE
L'opération le HAVRE est une des opérations majeures de l'ère BARKHANE. Son but est de neutraliser les groupes terroristes et leurs flux logistiques dans la région du Tighar au Nord Mali en menant une opération coordonnée avec la MINUSMA.
Pour la plupart des photos crédit ECPAD Sirpa Air Sirpa Terre REUTERS Camp Kosseï Déconditionnement d‘un frigo
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