SaintEtienne ville occupe partir de 1942 SaintEtienne ville

Saint-Etienne, ville occupée à partir de 1942

Saint-Etienne, ville bombardée (26 mai 1944 : quartier Monthieu Saint François).

Le bâtiment des voyageurs de la gare de Chateaucreux

Les abords de la gare. Vue prise de l'actuel parking SNCF. Sur la droite, hôtel à l'enseigne "café hôtel de de la gare de Chateaucreux

Boulevard Thiers, des bâtiments de la Manufacture Nationale d'Armes détruit

Un bâtiment industriel détruit

La gare de triage de Chateaucreux

La rotonde des locomotives de Chateaucreux

Les rails du chemin de fer vers le Pontde-l'Ane

Vue Nord-Sud du Pont-de-l'Ane vers Chateaucreux. Au fond, on aperçoit la passerelle des piétons. Une bombe à détruit les voies ferrées et des ouvriers les réparent

Des immeubles détruits place Saint-François

Un immeuble détruit à l'angle de la place Saint-François et de la rue de la Verrerie. Une enseigne "Casino" est encore visble sur un pan de mur

Rue des Ferrandiniers, dans le quartier de Tardy

Des sauveteurs dégagent un abri

L'école de Tardy en partie détruite

L'immeuble de La Fraternité en partie détruit, à l'angle des actuelles rues Soulié et Colonel Marey, dans le quartier du Soleil

Les pompiers interviennent sur un immeuble en feu

Des tombes détruites au cimetière du Solei

Le poste d'aiguillage principal, à la sortie de Chateaucreux en direction du Pont-de-l'Ane

Les ruines de l'église place Saint-Françoi

Les blindés de la Division "Rhin et Danube" à Saint-Chamond

impact de la bombe

L'Ecole Tardy, Saint-Etienne

Tardy sous les bombes

L' Abbé Ploton, curé du Crêt de Roc, résistant de la première heure, fut grièvement blessé par la police (ou la Gestapo) venue l'arrêter. Torturé, il ne lâcha pas un mot. Déporté à Dora dont les survivants disent que c'était l'enfer en enfer, il y célébra la messe. A son retour des camps, 5000 Stéphanois l'accompagnèrent en procession vers sa colline du Crêt-de-Roc

Plaque commémorative 26 mai 1944 école du soleil