Rapport danalyse sur les banques dobjets dapprentissage francophones
Rapport d’analyse sur les banques d’objets d’apprentissage francophones pancanadiennes Andrée Robertson et REFAD Les défis reliés à l’intégration pédagogique des ressources numériques, CRÉPUQ, mars 2006, Sherbrooke. ©Robertson et REFAD, 2006
Présentation • • • But du projet État de la situation Méthodologie Constats Recommandations ©Robertson et REFAD, 2006 2
But du projet ©Robertson et REFAD, 2006 3
• • Initiative du REFAD Intérêt du milieu Besoin au sein des organisations et institutions francophones canadiennes Aucune référence de langue française sur le sujet ©Robertson et REFAD, 2006 4
Objectifs • Répertorier – • les différentes banques d’OA de langue française au Canada Analyser – – – leur «réelle» utilisation leur utilité leur rôle de facilitateur ©Robertson et REFAD, 2006 5
• Dégager – véritables paramètres des «valeurs ajoutées» des banques OA • Assurer la diffusion ©Robertson et REFAD, 2006 6
État de la situation ©Robertson et REFAD, 2006 7
Qu’est-ce qu’un OA? Multitude de définitions – Numérique ou non numérique (étude de cas, film, simulation, capsules audio/vidéo, animation, image, etc. ) – Valeur pédagogique – Terminologique ©Robertson et REFAD, 2006 8
« objets d'apprentissage » : …les plus petites unités d'information ou les plus petits outils de traitement de l'information (applications ou didacticiels) utilisés dans un contexte d'enseignement avec une intention pédagogique visant l'apprentissage grâce au support technologique (CREPUQ - Novasys, 2003 ; p. 133) ©Robertson et REFAD, 2006 9
« Ressources d’enseignement apprentissage (REA) » : Toute entité, numérique ou non numérique, conçue ou pouvant d'être utilisée, pour des fins d'apprentissage, d'éducation ou de formation (ISO/IEC JTC 1/SC 36). ©Robertson et REFAD, 2006 10
Caractéristiques d’un objet d’apprentissage • • • facilement repérable granuleux réutilisable sans contexte, et partageable ©Robertson et REFAD, 2006 11
Pour être qualifié d’OA… L’objet d’apprentissage doit contenir : – Objectif d’apprentissage ou l’énoncé de la compétence à développer – Activité pratique – Stratégie d’évaluation (Métros, 2005) ©Robertson et REFAD, 2006 12
« Learning Objects are not a recent innovation. However, the way in which educators create and categorize them is changing » (Tuiren et al. , 2002) ©Robertson et REFAD, 2006 13
À l’heure actuelle… • • • Difficile pour l’enseignant de trouver ce dont il a besoin Qualité des OA Masse critique de contenu difficile à atteindre/domaines/disciplines Peu d’assistance technique ou à la recherche Initiatives incompatibles avec ce qui existent déjà (Mc. Load, 2005, Paquette, 2004) ©Robertson et REFAD, 2006 14
Que sont les méta-données? Des données à propos des données • • • IEEE LOM (Learning Object Metadata, 58 descripteurs) Can. Core NORMETIC, v. 1. 1 - Québec – – – profil d’application s’appuie sur LOM entre 19 et 23 descripteurs ©Robertson et REFAD, 2006 15
Propriétés des OA indexés • • Accessibilité Durabilité Interopérabilité Pertinence pédagogique Partage et collaboration Reconnaissance de la propriété intellectuelle Réusabilité et adaptabilité ©Robertson et REFAD, 2006 16
Avantages des métaréférences • • Guider l’identification et la structuration des connaissances du domaine Construire des scénarios d’apprentissage adaptés et adaptables Choisir et associer les OA (documents, outils acteurs, opérations) Guider le travail des facilitateurs (Paquette, 2004) ©Robertson et REFAD, 2006 17
Méthodologie • Techniques de collectes de données – – – • Analyse documentaire des banques ou des dépôts d’OA Questionnaire Entrevue individuelle semi-dirigée Échantillon – 60 répondants ©Robertson et REFAD, 2006 18
Types de banques d’objets d’apprentissage de langue française ©Robertson et REFAD, 2006 19
19 Banques d’objets d’apprentissage de langue française au Canada Primaire/secondaire Secondaire Vecteur Maths. Froq Universitaire U. Sherbrooke, UQTR, Explor@ Co. Pains St@r. Studio Enpairs Laboratoire virtuel N’utilisent pas toutes les métaréférences Campus virtuel en santé PIBASE Euréka REA de DéClic Bibliothèque virtuelle Cégep @ distance Images Canada CCDMD Collégial Télé Québec Tous ©Robertson et REFAD, 2006
23 membres institutionnels 13 membres individuels 24 personnes ressources ©Robertson et REFAD, 2006 21
©Robertson et REFAD, 2006 22
©Robertson et REFAD, 2006 23
Utilité des OA ©Robertson et REFAD, 2006 24
©Robertson et REFAD, 2006 25
©Robertson et REFAD, 2006 26
©Robertson et REFAD, 2006 27
Stratégies de repérage 1. 2. 3. Les moins utilisées Les + utilisées Création personnelle 1. Réalisation personnelle de de OA banques d’OA Recherche sur le web 2. Recherche dans un Échanges entre pairs catalogue 3. Utilisation de la banque OA du milieu professionnel ©Robertson et REFAD, 2006 28
Utilité et valeur ajoutée des banques d’OA ©Robertson et REFAD, 2006 29
©Robertson et REFAD, 2006 30
©Robertson et REFAD, 2006 31
Connues Utilisées Euréka Vecteur Enpairs Star Studio Math. Froq Co. Pains Laboratoire virtuel REA de Déclic PIBASE Bibliothèque virtuelle ZOOM ©Robertson et REFAD, 2006 32
Valeur ajoutée des banques d’OA 11. Faciliter l’accessibilité des ressources d’enseignement-apprentissage 10. S’assurer d’une variété d’objets d’apprentissage 9. Favoriser le partage entre pairs 8. Accroitre la possibilité de réutiliser les objets d’apprentissage en français 7. S’assurer l’interopérabilité des 8. ressources ©Robertson et REFAD, 2006 33
6. S’assurer d’une description pédagogique détaillée de l’objet d’apprentissage 5. Encourager l’importation/exportation des ressources 4. Augmenter la masse de contenu 3. S’assurer de la qualité des OA en français 2. Respecter la propriété intellectuelle 1. Se faire un patrimoine éducatif universel ©Robertson et REFAD, 2006 34
Rôle facilitateur des banques d’OA en formation à distance ©Robertson et REFAD, 2006 35
Accessibilité accrue à des ressources de qualité Économie de temps et d’argent Partage entre pairs Propriété intellectuelle Développement des communautés de pratiques Patrimoine éducatif FAD ©Robertson et REFAD, 2006 36
Constat • • Concept de «banques d’OA» est encore en émergence L’avantage des objets d’apprentissage métaréférencés est encore flou L’utilisation et l’exploitation des banques d’OA sont «limitées» à un certain milieu Il n’y a pas encore adéquation entre les caractéristiques des OA et la «réelle» valeur des banques d’OA ©Robertson et REFAD, 2006 37
• • • «Partager les ressources» est un concept «fragile» La notion et «l’étendue» du concept de «patrimoine éducatif» est en construction (conservation et partage) (Paille, 2002) Le modèle utilisé: «Top-down» ©Robertson et REFAD, 2006 38
Recommandations Mo dèl • Publiciser largement les banques d’objets d’apprentissage actuelles • • e B ott om -up ? Leur raison d’être Les avantages pour le milieu de l’éducation Les avantages pour la formation à distance Accroître la masse de contenu Sensibiliser le milieu à la valeur ajoutée des banques d’objets d’apprentissage métaréférencées Accroître l’utilisation des banques d’OA par des actions concrètes Expliquer et publiciser les «raisons d’être» des métadonnées en général… (Cormier, 2005) mais aussi au plan pédagogique ©Robertson et REFAD, 2006 39
• • • Encourager une «culture» des communautés de pratique qui partage une même philosophie (Norman, 2002; Palle, 2002) Développer auprès du milieu l’importance de la «propriété intellectuelle» Formation concrète auprès du milieu sur l’utilisation des banques OA, pour favoriser l’implantation et la mise en place des communautés d’utilisateurs (Norman, 2003) ©Robertson et REFAD, 2006 40
• • Favoriser le modèle «Bottom-up» auprès des communautés d’éducateurs Soutenir le cycle de vie d’un cours en ligne (Paquette, 2004) ©Robertson et REFAD, 2006 41
Merci ©Robertson et REFAD, 2006 42
- Slides: 42