ne pas cliquer Charlie Jean Braud 1849 1935
ne pas cliquer Charlie Jean Béraud (1849 -1935)
Jamais marié, pas d'enfants, (trop proche de sa sœur jumelle Mélanie ? ) la vie privée de Jean Béraud reste mal connue. Il s'inscrit à la faculté de droit de Paris, devient avocat mais un événement vient secouer la vie des Français: 1870 guerre avec les Prussiens et occupation de Paris. 1872, il suit les cours du peintre Léon Bonnat. Il fait ses premières armes avec des portraits d'hommes, de femmes et d'enfants avant de se risquer en 1875 au thème mythologique de Léda et le cygne. Il n'est encore qu'un portraitiste parmi d'autres.
Succès avec une vue originale d'une scène de rue : Le Retour de l'Enterrement. Au cours des années 1880, spécialiste de la vie parisienne, sa notoriété ne cesse de s'accroître. Il sera la victime d'une affaire de contrefaçon concernant Le Retour de l'Enterrement. Il participe en 1890 à la création de la Société Nationale des Beaux Arts, en compagnie de Rodin.
femme pleurant une 'faute' (cf. mœurs de l’époque !)
«Cocher, à la maison »
grands Boulevards : toujours la vie parisienne
jeune femme traversant le boulevard (astuce de la calèche pour souligner ce visage !)
modiste sur les Champs Elysées
rue de la Paix : magnifique façade à droite
sortie du bourgeois
porte St Denis
parisienne au rond-point des Champs Elysées
sortie de la Madeleine
concert privé
l’altercation qui débouchait souvent sur un duel comme celui de Jean Lorrain contre Marcel Proust ( Béraud était son témoin)
extraordinaire précision photographique de tous ces visages
scène de la vie parisienne ! (précision des couleurs de l’arbre )
théâtre des Variétés
parisienne place de la Concorde un mignon visage
le Café : quel réalisme !
arc de Triomphe
chalet du cycle au bois de Boulogne : style impressionniste
à la salle Graffard
patineuses
une scène de tous les jours
c'est très banal…mais c'est beau !
dans le parc (l'ambiance de Renoir !)
rue du Havre
boulevard des Capucines : la mode devant le théâtre du Vaudeville
Noël rue Royale
l’ennui : ressemble aux œuvres de son ami Manet
au café
pour le bal masqué
en sortant de chez Doucet
le journal « Figaro »
la lettre chaque détail est admirable
la bourgeoisie insouciante de la «Belle Epoque»
une véritable photo !
- Slides: 40