ne pas cliquer Charlie Jean Baptiste Corot 1796
ne pas cliquer Charlie Jean Baptiste Corot (1796 -1875)
L’aisance de ses parents commerçants, le met à l’abri du besoin, mais, en contrepartie, il restera dépendant d’eux jusqu’à leur mort. Le peintre Michallon inculque à Corot les principes du néoclassicisme et l’encourage à travailler en plein air mais le peintre invente un peu.
Pendant les dernières années de sa vie, Corot gagna de fortes sommes d’argent grâce à ses toiles très demandées, d'où une générosité proverbiale. Il meurt d’un cancer à l’estomac. Emile Zola disait de lui : "C’est un peintre de race, très personnel, très savant, et on doit le reconnaître comme le doyen des naturalistes. La justesse et l’harmonie des valeurs en font un des maîtres du naturalisme moderne. " par le photographe Nadar
Corot, âgé, peignant en plein air
Corot, muni d'une palette très restreinte, a exprimé mieux que personne l'air qui est la respiration de notre planète, la lumière qui en est la joie et l'espace qui est la conquête indéfinie de nos yeux…il sait être coloriste avec une gamme de tons peu variée, il est toujours harmoniste avec des tons assez crus et assez vifs. Il compose toujours parfaitement bien.
le pont de Narni
Agar dans le désert
ville d’Avray, avec sa mère !
souvenir (enjolivé !) de Mortefontaine
vue de Florence : comme le veut la tradition du "paysage classique" il faut des personnages pour animer le tableau
Paysages idylliques les jardins de la Villa d’Este
pour lui ses toiles ne sont que des "études"
femme à la perle
femme avec des marguerites
le pont d’Auguste
souvenir de Coubron
le pont de Mantes. . . toujours un petit personnage d’accompagnement
femme en bleu
Bornova, Izmir
Claire Sennegon
Marietta l’Odalisque romaine
le concert champêtre
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