Musique 1 The impossible dream Roger Williams Musique
Musique 1 : The impossible dream, Roger Williams Musique 2 : Au matin, extrait de Peer Gynt d’Edwarg Griey Création diaporama ©
Albert Einstein a dit : “… l’un des motifs les plus puissants qui a conduit l’homme vers l’art et la science était celui d’échapper au quotidien …”
Émerveillons-nous de la vie et du monde.
Comme, par exemple, d’une chose banale et quotidienne comme cette petite étoile qu’est notre Soleil.
Le Soleil est une étoile un million de fois plus volumineux que la Terre. Il consomme, à chaque seconde, entre cinq et six cents millions de tonnes d’hydrogène. Il continuera encore à le faire pendant 4, 5 milliards d’années environ avant de s’éteindre complètement.
Ce magnifique spectacle est créé par une étoile ordinaire qui, en fin de vie, éjecte ses couches externes. Elle se situe à 3 000 années lumière de nous. À raison de 299 792 458 km par seconde une année lumière représente donc un peu plus de 9 454 milliards de kilomètres.
La nébuleuse du Crabe, vestige d’une super nova : c’est l'ensemble des phénomènes dû à l'explosion d’une étoile qui s'accompagne d'une augmentation brève de luminosité, mais tellement grande que son éclat est multiplié par 10 000. Cette vive luminosité ne dure quelques jours, ensuite l'étoile reprend progressivement son éclat initial.
Dans cette nébuleuse, située à 9 000 années lumière de nous, des étoiles, pareilles à notre soleil, sont en train de naître.
Situé à 1 500 années lumière de nous, la nébuleuse d’Orion est également une pouponnière d’étoiles en gestation.
Une galaxie : c’est un assemblage d'étoiles, de gaz, de poussières et de matière noire. Elle peut contenir plusieurs centaines de milliards d’étoiles. Parfois un trou noir supermassif se trouve en son centre.
Voici à quoi pourrait ressembler notre galaxie “la Voie lactée”, qui compte environ deux cents milliards d’étoiles parmi lesquelles se trouve, à 30 000 années lumière du centre de la galaxie, notre système solaire (point jaune).
Dans l’univers observable il y a des milliards de galaxies qui, en moyenne, comptent chacune de cent à trois cents milliards d’étoiles. Ces galaxies sont toutes regroupées en amas de galaxies comme celui-ci (Abell 1656) qui se trouve à 300 millions d'années lumière de notre planète.
Cette sphère représente l’univers observable. D’un diamètre de 28 milliards d’années lumière elle contient 15 trilliards d’étoiles. Un trilliard s’écrit 1 suivi de 21 zéros (1 000 000).
Passons maintenant de l’infiniment grand à … l’infiniment petit
Notre corps compte cent mille milliards de cellules qui, toutes, fonctionnent ensemble pour que nous puissions vivre pendant des dizaines d’années. Il existe des centaines d’espèces de cellules différentes qui sont en communicaton constante les unes avec les autres.
Notre cerveau est composé de plusieurs milliards de neurones connecté les une aux autres. Dans notre tête il y a donc des milliards et des milliards de liaisons ; beaucoup plus de liaisons qu’il y a d’étoiles dans plusieurs centaines de galaxies réunies.
Certaines cellules cérébrales, comme celles-ci (cellules de Purkinje), établissent un contact avec 250 000 autres cellules. Les cellules de Purkinje sont importantes pour l’apprentissage d’actions automatiques, comme lorsqu’on conduit une voiture.
L’ADN, ou acide désoxyribonucléique, est une molécule présente dans toutes les cellules vivantes, qui renferme l'ensemble des informations nécessaires au développement et au fonctionnement d'un organisme. C'est aussi le support de l'hérédité car il est transmis lors de la reproduction, de manière intégrale ou non. Il porte donc l'information génétique et constitue le génome des êtres vivants.
Émerveillons-nous de la symétrie des cristaux de neige jusqu’à …
… la beauté d’un paysage enneigé.
Émerveillons-nous de la beauté de notre monde …
… ou de celle d’autres mondes comme Saturne.
Émerveillons-nous du plus petit …
… au plus grand.
De l’Homme en tant q’embryon …
… à l’Homme au sommet de son savoir-faire.
Goûtons le plaisir d’un coucher de Soleil …
… du lever de la Terre au-dessus de l’horizon lunaire.
De la lumière psychédélique d’une aurore polaire.
Regardez la régularité mathématique d’une fleur de tournesol …
… ou la symétrie d’un cône de pin.
À propos de la vie et de l’Univers le grand physicien Albert Einstein a dit :
“Il y a des moments où l’on se sent libéré de ses propres limites et imperfections humaines. Dans de tels instant on se voit là, dans un tout petit coin d’une petite planète, le regard fixé en émerveillement sur la beauté froide et pourtant profonde et émouvante de ce qui est éternel, de ce qui est insaisissable. La vie et la mort se fondent ensemble et il n’y a pas d’évolution ni de destination, il n’y a que l’ETRE. ”
Et pour terminer voici ma pensée la plus profonde concernant notre Univers.
L’Univers respire comme une matière vivante. Il se dilate actuellement mais il se contractera peut-être un jour jusqu’à se réduire à l’infiniment petit. Après quoi, un autre « Big Bang » le fera renaître à la vie, pour une nouvelle dilatation, pour un retour de l’Homme qui va reconquérir la vie et l’espace, avec en face des yeux, un autre soleil, d’autres planètes, d’autres lunes, d’autres étoiles et d’autres galaxies, mais toujours avec la même volonté de vaincre dans le regard. Et sur l’infini qui lui sert de cadran, l’horloge de l’Éternité aura, une fois de plus, accompli un de ses gigantesques tours. Apex
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