LEnursie chez lenfant Frquence lincidence de lnursie nocturne
- Slides: 22
L’Enurésie chez l’enfant “Fréquence” l’incidence de l’énurésie nocturne est de 16 % à 5 ans, puis -3% par année < 5 ans : 20 % 7 ans : 15 % > 18 ans : 1% plus fréquente chez le garçon universelle fréquence variable d’un continent à l’autre Prof O Battisti, psychosomatique 1 1
Enurésie L’enfant n’a jamais été propre la nuit pendant plus de 6 mois consécutifs • 80 % des cas Enurésie secondaire • Enfant ayant été propre la nuit plus de 6 mois consécutifs 20 % des cas • Exclure affection médicale Infection Diabète Tubulopathie IRC Troubles psychologiques Prof O Battisti, psychosomatique 2 2
Enurésie primaire Examens complémentaires Pathologie organique • • anatomique : échographie Réactions et sédiment urinaires Hématurie Protéinurie diabète pouvoir de concentration des urines osmolarité le matin à jeûn • Prof O Battisti, psychosomatique 3 3
Enurésie chez l’enfant forme “primaire” Absence d’acquisition de la propreté nocturne au delà de cinq ans • • Phase de propreté < 6 mois Étiologie fonctionnelle > 80 % Prof O Battisti, psychosomatique Prof O Battisti, énurésie 4 4
Apparition d’une incontinence urinaire nocturne chez un patient ayant acquis la propreté depuis plus de 6 mois • • Enurésie chez l’enfant forme secondaire Explications organiques Explications psychologiques Prof O Battisti, psychosomatique 5 5
-Anomalie de la sécrétion nycthémérale de l’ADH -Maturation cérébrale ou atteinte neurologique -Dysfonctionnement comportemental ( aussi constipation !) -Troubles du sommeil A S P E C T S Astuce pour la capacité en cc: ( Age années+2 ) x 30 À C O n S I d É R E r -Dysfonctionnement tubulaire -Composante génétique ( chromosomes 12, 13 et 22 ) -Capacité vésicale et instabilité du detrusor Prof O Battisti, psychosomatique 6
Enurésie et Génétique Caractère familial connu deux parents énurétiques = 77% un parent énurétique = 44% Jumeaux monozygotes/dizygotes Facteurs environnementaux peu marqués Gène Enur 1 2 3 associé à l ’énurésie rôle exact inconnu sans relation avec le gène de la vasopressine • • • Prof O Battisti, psychosomatique 7 7
Le développement “normal” de la Continence urinaire vers 18 mois : l’enfant signale que la culotte est mouillée vers 24 mois : acquisition de la propreté diurne (Doit être acquise à 4 ans ) vers 36 mois : début de propreté nocturne vers 42 mois : propretés diurne et nocturne “Accident” une à deux fois semaine possible jusque 5 -6 ans Au delà de cinq ans : énurésie Prof O Battisti, psychosomatique 8 8
Volume vésical (âge années+2 ) x 30 En fonction de l’âge • • 1 an : 50 ml 2 ans : 75 ml 4 ans : 150 ml 6 ans : 220 ml Estimation : « épreuve de rétention » Mesure par échopraphie ( Bardscan Bladderscan) Prof O Battisti, psychosomatique 9 9
Absence d ’élévation des Débit urinaire nocturne taux d ’ ADH pendant le sommeil chez certains énurétiques (25 %) - polyurie nocturne relative - dépassement de la capacité vésicale +sommeil profond énurésie Prof O Battisti, psychosomatique 10 10
0° Eveil 4° réveil 1°endormissement 2° Sommeil : variation du ratio REM / n. REM 3 °< 6 mois: REM-->n. REM < 24 mois: 50 à 60 min Répartition Homogène cycles 3° > 6 mois: n. REM--> REM 8 cycles -> 12 mois 6 cycles -> 24 mois 5 cycles > 24 mois 90 à 120 min Répartition surtout en 2° partie de nuit Distribution des REM dans la nuit : Un rappel sur l’installation de l’architecture du sommeil Prof O Battisti, psychosomatique 11 11
« profondeur » du sommeil de l ’énurétique absence de modulation du rythme circadien d ’ADH passage altéré entre les stades de sommeil suite à un stimulus (auditif) åabsence de perception de la distension vésicale pendant le sommeil « nocturia » >< « énurésie » Prof O Battisti, psychosomatique 12 12
Réveil nocturne « nocturia » • 7 - 15 ans 10 % enfants se relèvent occasionnellement la nuit pour uriner • 4 % toutes les nuits « énurésie » • 15 % à 7 ans • nocturia + ? • Alarme = énurétique >>> nocturique Prof O Battisti, psychosomatique 13 13
Instabilité vésicale +/- énurésie Besoins pressants Fuites diurnes • Arrive trop tard car fort concentré sur ses jeux Rétention volontaire • Position pour se retenir Boissons faibles la journée Prof O Battisti, psychosomatique 14 14
Prof O Battisti, psychosomatique 15
Répercussion de l’énurésie nocturne Vie familiale Préoccupation des mères Impact émotionnel Relation sociale Odeur Surcroît de lessive Coût financier (200 euros/an) Conflit dans le couple • • • Somatique Lésions cutanées siège et face interne des cuisses • Irritation macération Psycho-affective Anxiété culpabilité opposition • État infantile Perte de l’estime de soi Réduction des contacts sociaux Prof O Battisti, psychosomatique 16 16
Evolution Guérison spontanée • Disparition de l’énurésie chez 15 % des enfants non traités Prise en charge ? • Qualité de la vie • Répercussion sociale • Estime de soi • Souhait des familles et du patient Prof O Battisti, psychosomatique 17 17
Instabilité vésicale +/- Enurésie : Traitement Troubles diurnes associés • Anticholinergiques Oxybutynine (Ditropan: sirop, comp) Toltérodine (Détrusitol comp) Betanechol pour les vessies peu toniques Rééducation périnéale À partir de 4 ans Idéal = fille en âge scolaire Soutien psychologique • • Prof O Battisti, psychosomatique 18 18
Hygiène de vie Responsabiliser l’enfant dans la gestion de son problème Répartir les boissons sur la journée y compris à l’école ◦ Éviter les boissons gazeuses sucrées et caféinées Répartir les mictions sur la journée Expliquer à l’enfant qu’il ne doit pas se retenir Veiller à un sommeil de durée suffisante Inciter l’enfant à aller dormir chez des amis Inciter l’enfant à partir en voyage scolaire Prof O Battisti, psychosomatique 19 19
Enurésie primaire : traitement Alarme nocturne • Pipi stop • Dispositif capteur d’humidité dans le lange ou le slip Sonnerie • Absence d’effet secondaire • Induction d’un réflexe conditionné • Efficace rapidement (4 semaines) • Effet durable Prof O Battisti, psychosomatique 20 20
Enurésie primaire : traitement Minirin: la forme comprimé semble plus efficace • • • Demande médecin conseil: “énurésie de type IV ou cognitive” Dose progressive de semaine en semaines Succès = 6 nuits sèches/semaines Maintenir trois minimum Doses dégressives de 15 j en 15 j Prof O Battisti, psychosomatique 21 21
Mécanismes d’action des médicaments : Desmopressine ( 0. 2 -> 0. 6 mg/j): -Récepeteur cérébral 1 b -Récepteur tubulaire « succès » …attendre 6 semaines; rechute fréquente Après arrêt du traitement Imipramine ( 0. 9 -> 1. 5 mg/kg): -diminution du temps REM, augmente la sécrétionde l’ADH et réduit l’instabilité du Détrusor. « succés » …attendre 6 semaines; rechute moins fréquente Après arrêt du traitement Prof O Battisti, psychosomatique 22
- Rentrer chez dieu
- Narrateur dieu
- Un animal diurne
- Nocturne in black and gold
- Vangelis l enfant
- Lidyl
- Qu'est-ce que l'absurde selon camus ?
- Paurometabole
- Vol chez le commissaire kivala
- Chez joeline
- Test de coombs direct positif chez le nouveau-né
- Ostéomyélosclérose
- Kamasutra chez alice
- Digestion microbienne chez les ruminants
- Gène sry chez la femme
- Entrez chez moi
- Pps chez lise
- Travailler chez ibm
- Luxation postero externe du coude
- Paroles la langue de chez nous
- Nous sommes chez nous
- Importance des échanges cellulaires chez les animaux
- Rapport annuel psa