Laury Beaumont lyce SaintExupry Niveau Seconde programme de
Laury Beaumont (lycée Saint-Exupéry) Niveau Seconde, programme de géographie: Thème 2 : gérer les ressources terrestres : Sous-thème n° 2 : l’eau, ressource essentielle : Mots-clés: Tâche complexe, travail en îlot, autoévaluation, ressource, eau Description de la ressource pédagogique: Ce diaporama présente une tâche complexe mise en œuvre en géographie en classe de seconde sur la question des conflits liés à la ressource en eau. Au cours de ce travail en îlot, les élèves ont expérimenté une situation d’autoévaluation.
�Situation d’apprentissage: travail collaboratif en groupe hétérogène de 5 élèves, en îlots à partir d’une tâche complexe (avec proposition de différenciation) �Situation d’évaluation: Autoévaluation à la fin du travail collaboratif, évaluation par l’enseignant du travail collaboratif et évaluation sommative de fin de chapitre �Ce thème permet de retravailler la notion de ressource déjà abordée dans le sous-thème 1 sur les ressources énergétiques. Le travail sous forme de tâche complexe permet d’approfondir la notion, d’en vérifier l’acquisition en transposant le champs d’étude.
Plan de la présentation � 1/ Mise au point scientifique sur la question de la ressource � 2/ La place de la ressource dans les programmes et les liens avec les autres chapitres � 3/ Les capacités et compétences travaillées dans cette séquence et leur place dans la progression des apprentissages � 4/ Description de la séquence � 5/ Zoom sur une séance proposant un travail collaboratif en groupe hétérogène de 5 élèves, en îlots à partir d’une tâche complexe et une autoévaluation � 6/ Travaux d’élèves � 7/ Retour sur la séance
1/ Mise au point scientifique sur la question de la ressource
La ressource: La ressource est définie dans Géoconfluences comme: « la mise en valeur d’un capital, dit naturel (ressources minérales, énergétiques mais aussi avantages de localisation) ou encore matériel (machines, etc. ), exploité par une société donnée à un moment donné dans le but de créer des richesses. Le terme "ressource" a ensuite été étendu à des biens immatériels, les capitaux par exemple (ressources financières), ou les "ressources humaines" (capacités de travail, d'innovation, etc. ). La question du mode de mise en valeur et d’utilisation des ressources est indissociable de la nature des ressources elles-mêmes. On remarquera qu'il n'y a pas de ressource sans besoin des sociétés : toute ressource est donc créée et non découverte en tant que telle et tout est susceptible de constituer une ressource, y compris les productions intellectuelles et culturelles »
2/ La place de la ressource dans les programmes et les liens avec les autres chapitres
� A/ Dans les programmes de collège: En cycle 3, classe de 5ème:
� B/ dans les programmes de lycée : � -En seconde : � Thème 2 - Gérer les ressources terrestres 14 -15 h et 2 parmi 3 � Nourrir les hommes � L’eau, ressource essentielle � L’enjeu énergétique � Thème 4 - Gérer les espaces terrestres 14 -15 h � Les mondes arctiques, une « nouvelle frontière » sur la planète : � - Un milieu contraignant, un nouvel espace en voie d’intégration. � - Des ressources convoitées, des tensions entre les États. � - L’Arctique, un enjeu pour les équilibres mondiaux ?
3/ Les capacités et compétences travaillées dans cette séquence et leur place dans la progression des apprentissages
Travail de compétences à un niveau d’approfondissement: Compétences liées au travail sur document: -Prélever, hiérarchiser et confronter des informations selon des approches spécifiques en fonction du document -cerner le sens général d’un document Compétences liées au travail de l’argumentation à l’oral: -exposer oralement et à l’écrit des arguments, les confronter à d’autres points de vue Compétences liées au travail sur croquis: -réaliser un croquis des unités de paysage et sa légende Travail en groupe et en autonomie: Prendre part à une production collective
4/ Présentation de la séquence:
� Fiche de séquence: Thème 2 - Gérer les ressources terrestres (14 -15 h) � � � � Question au choix : L’eau, ressource essentielle Temps : 9 h Problématique : Pourquoi l’eau est-elle un enjeu majeur pour les sociétés actuelles ? 3 sous-problématiques : - Comment se répartissent les ressources en eau ? - Les sociétés humaines réalisent des aménagements et organisent leur espace afin d’exploiter les ressources en eau dont elles disposent. � - Quelles modalités pourraient prendre une gestion durable des ressources en eau ? � � Vocabulaire et notions : � Ressource, développement durable, ressource renouvelable et non renouvelable � Conflits d’usage, aménagement, nappe phréatique, nappe aquifère fossile, barrage � Méthode et compétence : Compétences liées au travail sur document: -Prélever, hiérarchiser et confronter des informations selon des approches spécifiques en fonction du document -cerner le sens général d’un document Compétences liées au travail de l’argumentation à l’oral: -exposer oralement et à l’écrit des arguments, les confronter à d’autres points de vue Compétences liées au travail sur croquis: -réaliser un croquis des unités de paysage et sa légende Travail en groupe et en autonomie: Prendre part à une production collective
� 3 axes de travail : les objectifs de savoir : � − Les ressources en eau sont inégalement réparties. Toutes les régions du monde ne disposent pas du même volume d'eau et toutes les sources d'eau ne sont pas également exploitables et renouvelables. Par ailleurs, tous les hommes ne disposent pas d’un égal accès à l'eau. Les différences de développement des pays dans lesquels ils vivent déterminent en effet une plus ou moins grande capacité à exploiter les ressources hydrauliques. De plus, au sein d'un même espace, les différences de richesse et de statut social peuvent également créer des inégalités d'accès à l'eau, en particulier à l’heure où l’eau devient dans de nombreux pays un bien économique faisant l’objet d’un marché. Aujourd'hui, un homme sur six souffre déjà du manque d'eau. � − Les sociétés humaines réalisent des aménagements et organisent leur espace afin d’exploiter les ressources en eau dont elles disposent. L’ampleur, le niveau technologique, le coût de ces aménagements sont très divers. Ils transforment parfois totalement l’espace dans lequel ils sont réalisés (ex. : grands barrages, huertas) : la satisfaction des besoins en eau devient alors le principe dominant d’organisation de l’espace. � − Il est fondamental de s'interroger sur les modalités que pourrait prendre une gestion durable des ressources en eau. En effet, certaines régions du monde connaissent d’ores et déjà une pénurie d’eau, parfois grave. Ce phénomène risque de devenir plus fréquent à l’avenir avec l’augmentation des besoins en eau, particulièrement dans les pays qui connaissent une croissance démographique élevée. De plus, des menaces pèsent sur l'avenir de la ressource. Même dans les espaces où l’eau est abondante, les ressources en eau peuvent être mises en danger, notamment par des problèmes de pollution. Les risques de pénurie et de multiplication des conflits d'usage locaux et internationaux liés à l'eau sont donc de plus en plus réels dans de nombreuses régions du monde. Face à ces défis, les réponses sont très diverses et doivent être adaptées au contexte du lieu où elles sont mises en œuvre : il n'y a pas de solution unique au problème de l'eau.
Plan de séquence : I/ Etude de cas : L’eau, ressource essentielle en Egypte : �A/ Les ressources disponibles en Egypte : �B/ Les aménagements mis en place pour l’exploitation de la ressource organisent l’espace : l’exemple du barrage d’Assouan �C/ Les tensions liées au partage de la ressource : l’exemple du barrage Renaissance en Ethiopie II/ La répartition de la ressource en eau dans le monde : III/ L’impact des aménagements liés à l’eau sur l’organisation de l’espace : IV/ Les enjeux de la gestion durable de la ressource en eau :
5/ Zoom sur la séance 3 de l’étude de cas : « Les tensions liées au partage de la ressource : l’exemple du barrage Renaissance en Ethiopie »
Dans le BO: � Il est fondamental de s'interroger sur les modalités que pourrait prendre une gestion durable des ressources en eau. � En effet, certaines régions du monde connaissent d’ores et déjà une pénurie d’eau, parfois grave. Ce phénomène risque de devenir plus fréquent à l’avenir avec l’augmentation des besoins en eau, particulièrement dans les pays qui connaissent une croissance démographique élevée. De plus, des menaces pèsent sur l'avenir de la ressource. Même dans les espaces où l’eau est abondante, les ressources en eau peuvent être mises en danger, notamment par des problèmes de pollution. � Les risques de pénurie et de multiplication des conflits d'usage locaux et internationaux liés à l'eau sont donc de plus en plus réels dans de nombreuses régions du monde. Face à ces défis, les réponses sont très diverses et doivent être adaptées au contexte du lieu où elles sont mises en œuvre : il n'y a pas de solution unique au problème de l'eau.
�Situation d’apprentissage : une tâche complexe �Organisation : travail collaboratif, en îlots, par groupe de 5 (les groupes sont formés de manière hétérogène par l’enseignant) �Durée : 3 heures �Problématique : Pourquoi la construction du barrage Renaissance génère-elle des tensions entre l’Egypte et l’Ethiopie?
Le dispositif mis en place: 1/2 Les élèves disposent d’un dossier d’une dizaine de documents comprenant: � -La consigne de la tache complexe � -Des documents de natures diverses (texte, cartes, photos…) dans un ordre aléatoire. � -Deux vidéos dont un membre du groupe peut aller prendre connaissance à l’ordinateur du bureau de l’enseignant. Les élèves n’ont pas obligation d’utiliser tous les documents. � La grille permettant l’autoévaluation Les élèves travaillent par groupe, en autonomie. Les élèves doivent se répartir les rôles (débatteur, responsable vidéo, rapporteur, prise de note, lecture des documents) L’enseignant circule, observe et peut apporter de l’aide en cas de blocage Ils doivent produire un document utilisable par l’élève chargé de débattre l’accord entre l’Egypte et l’Ethiopie.
Le dispositif mis en place: 2/2 �Les groupes produisent leur tâche finale en un peu plus de deux heures et remplissent leur autoévaluation. �Cette tâche finale est donc un document utilisable par l’élève désigné par son groupe pour le représenter lors d’un débat opposant l’Egypte et l’Ethiopie au sujet de la construction du barrage Renaissance. �Le débat qui suit dure une vingtaine de minutes et les trois élèves absentes lors de la tâche complexe sont chargées de rédiger l’acte final et de prendre une décision à l’issu du débat. �L’enseignant relève autoévaluations. ensuite les tâches finales et les
Les compétences mobilisées: �-Cerner le sens général d’un document �-Prélever, hiérarchiser et confronter des informations selon des approches spécifiques en fonction du document �-Exposer oralement et à l’écrit des arguments, les confronter à d’autres points de vue �L’objectif essentiel de cette séquence est d’amener les élèves à plus d’autonomie sur des compétences déjà travaillées à plusieurs reprises et notamment l’argumentation.
Consigne de la tâche complexe: � � � Elèves de 2 de 8 du lycée Saint-Exupéry à Marseille, Le 23 mars 2015, l’Egypte, le Soudan et l’Ethiopie ont signé un accord sur le barrage « Renaissance » construit par l’Ethiopie sur le Nil. Cet accord doit servir de base de travail à l’élaboration d’un autre accord plus détaillé sur la construction de ce barrage. Les ministres de l’Eau de chaque pays, réunis à Addis-Abeba (capitale de l’Ethiopie), ont choisi les deux cabinets de consultants devant fournir des études concernant la construction du barrage éthiopien et ses conséquences. Votre classe a été choisie pour participer à chacun de ces deux groupes d’experts (un groupe pour l’Egypte et un pour l’Ethiopie). La commande est la suivante : Vous devez préparer un dossier avec les arguments que pourra utiliser votre ministre lors des négociations. Vous serez également présents lors des négociations pour l’épauler et défendre votre position. Il faudra trouver les bons arguments pour convaincre l’autre pays de signer l’accord. Pour vous aider, le cabinet d’experts met à votre disposition un ensemble de documents qui vous permettra de bâtir votre dossier.
Quelques exemples de documents du corpus : Source: manuel de seconde Magnard
Source: manuel de seconde Magnard
� Les négociations techniques sur la hauteur du barrage et le temps de remplissage : � (…) au stade où en sont les travaux, les trois gouvernements peuvent uniquement négocier sur le temps de remplissage du barrage. Dans le scénario le plus optimiste, le remplissage se ferait en sept ans mais réduirait tout de même l’approvisionnement de l’Egypte de 25%. Cependant, le premier ministre égyptien, déclarait que l’Egypte négociait pour un remplissage du réservoir qui se ferait sur une période de neuf à douze ans. � L’une de ces études soulignait que l’érection du barrage Renaissance allait contribuer à faire baisser la production hydroélectrique du barrage d’Assouan. Toujours selon Al Monitor, l’Egypte serait également inquiète des quantités d’eau que pourrait perdre le pays durant la phase de remplissage du barrage Renaissance. La quantité d’eau absorbée par cette phase de remplissage pourrait, en effet, provoquer la perte de 3 millions d’acres de terres et le déplacement de 5 à 6 millions de paysans. � Certains estiment que la question du remplissage du barrage est moins importante que celle de sa hauteur. En effet, l’Ethiopie subit depuis neuf ans une sécheresse, qui a mis à l’arrêt plusieurs barrages soudanais, et devrait donc attendre une meilleure saison pour commencer à la remplir. � Dans un premier temps, les deux auteurs détaillent les quantités d’eaux en question et soulignent que le débit de cet affluent est aussi irrégulier que le sont les précipitations en Ethiopie. Pour cette raison, le barrage Renaissance devrait bénéficier au Soudan, car, rappellent-ils, ce pays est toujours soumis aux aléas des crues, parfois dévastatrices, du Nil bleu. D’un autre côté, ils entrevoient pour l’Egypte la possibilité d’acheter l’énergie produite par le barrage en compensation des pertes en eau induites par sa construction. Mais, plus important à leurs yeux, cet évènement doit être l’occasion de repenser le système de gestion du bassin à l’échelle globale. L’Initiative pour le Bassin du Nil, une organisation régionale, pourrait être le moyen par lequel les Etats riverains coordonnent leur action grâce à des procédures communes � Source: Article du site RFI Publié le 24 -03 -2015 Modifié le 13 -08 -2015 à 14: 41
L’accord entre l’Ethiopie et l’Egypte : un accord historique : On l'appelle le barrage Grande renaissance. C'est un immense chantier dont l'accord de principe vient d'être signé à Khartoum. L'Egypte et le Soudan ont donné leur feu vert à la construction par l'Ethiopie d'un immense barrage sur le Nil bleu. Un projet pharaonique. Une déclaration de principe concernant l'édification du barrage Grande renaissance, en Ethiopie, a été signé ce lundi par le président soudanais Omar el-Béchir, le pays hôte, son homologue égyptien, Abdel Fattah al-Sissi, et le Premier ministre éthiopien Hailemariam Desalegn, qui doit lancer cet ouvrage sur les rives du Nil bleu. L'Egypte, qui était opposée à ce projet, a eu des garanties que le barrage ne modifierait pas sa part des eaux du Nil, soit 55 milliards de mètres cubes, et que l'eau ne servirait pas à l'irrigation de terres agricoles et serait informée de toutes les conclusions du bureau d'études. Quant au Soudan, il a toujours soutenu le projet, l'Ethiopie s'était engagée à lui fournir l'énergie électrique à des prix préférentiels. De l’électricité pour toute la région: Le barrage Grande renaissance sera le plus imposant de tous les barrages hydroélectriques d'Afrique. Avec une puissance de 6 000 mégawatts d'électricité, soit trois fois la puissance du barrage d'Assouan, ou encore huit fois la production totale d'électricité du Sénégal, sept fois celle de la Guinée. Le barrage Grande renaissance, encore appelé Barrage du millénaire, va permettre à l'Ethiopie d'exporter de l'électricité chez ses voisins. Les deux Soudan, Djibouti, le Kenya, le Yémen, tous sont intéressés par cette électricité à bas coût et dont l'exportation rapportera à l'Ethiopie 700 millions d'euros par an. Le barrage coûtera au total 4, 5 milliards d'euros. Une somme financée à la fois par l'Etat et les Ethiopiens via un emprunt obligataire lancé par le gouvernement. Outre l'électricité, le barrage va permettre à l'agriculture irriguée de faire un bond en avant. Aujourd'hui, seuls 3 % des terres agricoles sont irriguées. Dans deux ans, les agriculteurs auront à disposition une partie des 63 milliards de mètres cubes d'eau retenues par le barrage. Le Caire et Addis-Abeba réconciliés: L’accord de Khartoum scelle ainsi la réconciliation entre l’Egypte et l’Ethiopie (…)Le président égyptien Abdel Fattah al. Sissi a en effet déclaré à Khartoum que « grâce au dialogue nous sommes parvenus à conclure un accord préservant les intérêts de toutes les parties » . Le Nil bleu venant d’Ethiopie fournit 85 % des 56 milliards de mètres cubes d’eau dont dispose annuellement l’Egypte. (Une Egypte qui aura dépassé les 100 millions d’habitants avant 2020). Nul n’a oublié, en Egypte et en Ethiopie, cette réunion à la présidence égyptienne où toutes sortes de menaces, y compris la guerre, avaient été tenues. Source: Article du site RFI Publié le 24 -03 -2015 Modifié le 13 -08 -2015 à 14: 41
Vidéos à disposition: �Vidéo extraite du site France 24: « Ethiopie: le barrage de la discorde » : http: //www. france 24. com/fr/20150312 -reportersethiopie-egypte-soudan-barrage-renaissance-discorde-eau-electricite �Vidéo du Dessous des cartes: « l’Egypte sans le Nil? »
L’autoévaluation de la tâche complexe par les élèves
L’évaluation de la tâche complexe par l’enseignant:
6/ Les productions des élèves
Un groupe qui se contente de prélever dans les documents des éléments sans les hiérarchiser ni les articuler. Ils ont cependant proposé un document « pratique » pour le débat. L’autoévaluation montre qu’ils en ont par ailleurs conscience.
Un groupe qui dont on observe clairement la démarche intellectuelle: -D’abord du prélèvement simple d’information -Puis, une volonté d’extraire des arguments à partir des phrases extraites documents et de hiérarchiser les arguments
Les élèves ont bien conscience d’être parvenu à extraire des arguments
Des arguments pertinents sont extraits mais pas hiérarchisés
La aussi les élèves ont pris conscience des lacunes de leur démarche
Une tâche finale qui réinvestit le principe du schema fléché vu au cours de la séquence, qui classe les arguments et envisage la position des deux Etats. Forme originale, une volonté de proposer un document lisible pendant le débat. Les enjeux sont compris.
A l’issu du travail collaboratif: �Un débat de 20 min a lieu. Il oppose les Egyptiens et les Ethiopiens. Il s’agit de répondre à la question suivante: �A quelles conditions ce barrage pourra-t-il être construit? �Trois élèves étaient absentes. Elles sont chargées de rédiger le document final et de trancher entre les propositions de l’Egypte et de l’Ethiopie?
Bilan de la séquence: Les éléments positifs Ce qu’il va falloir améliorer Des pistes pour la suite -La classe s’est mise réellement et rapidement au travail -Ambiance de classe studieuse et apaisée -Tous les élèves ont produit quelque chose et ont beaucoup plus écrit que d’habitude -Certains documents difficiles ont été travaillés par les élèves -Classe très motivée -Autoévaluation particulièrement pertinente de la plus part des groupes -Production finale assez normée (texte) -Production finale parfois peu convaincante malgré les efforts des élèves -un groupe n’a pas fonctionné - Difficulté des élèves à ne pas utiliser et lire tous les docs (même des docs un peu « techniques » ) -Expliciter de manière claire la possibilité de proposer une tache finale de forme libre -Documents parfois trop complexes: expliciter plus clairement la possibilité de ne pas tout utiliser -Grille d’évaluation à simplifier
Et après?
La fin de la séquence: la mise en perspective: II/ La répartition de la ressource en eau dans le monde : III/ L’impact des aménagements liés à l’eau sur l’organisation de l’espace : IV/ Les enjeux de la gestion durable de la ressource en eau :
A l’issu de la mise en perspective, la question des conflits liés à l’eau est évaluée en transposant l’espace en Grèce. Chaque élève dispose d’un corpus imposé de trois documents (texte et carte). Ils vont travailler la compétence suivante: �Prélever, hiérarchiser et confronter des informations selon des approches spécifiques en fonction du document
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