langage et vocabulaire au cycle 1 Acqurir le
langage et vocabulaire au cycle 1 Acquérir le langage et le vocabulaire à la maternelle 12 au 14 novembre 2018 Stage diversité linguistique Abidjan 1
introduction • Une didactisation nécessaire pour l’apprentissage du vocabulaire • Une didactique possible : 1. Les mécanismes d’acquisition 2. La pédagogie de la mémoire 3. La structuration du lexique de la langue… 2
1 QUELQUES ANCRAGES THÉORIQUES ET DIDACTIQUES 3
À retenir • L’acquisition du langage, pourtant très complexe est très rapide, avec des paliers marqués par des stades critiques et de fortes variations interindividuelles. Il est essentiel de faire la différence entre la production et la compréhension du langage, entre le vocabulaire actif et passif. • Le tout petit enfant arrive à isoler les mots dans la chaine sonore grâce à l’effort des adultes qui adaptent leur débit, isolent volontairement un mot, diversifient les contextes de leur usage et découpent les groupes syntaxiques. • Un enfant donne du sens aux mots qu’il entend en fonction d’un certain nombre de principes et de contraintes, mis en évidence par la recherche. 4
Comment un jeune enfant acquiert-il le langage ? • Quantativement : • • 12 mois : environ 10 mots 18 mois : environ 50 60 mots 24 mois : environ 300 mots 30 mois : environ 530 mots • À partir de la PS, l’augmentation doit être de 500 à 1000 mots par an. • À 6 ans, à l’entrée au CP, un enfant doit avoir un stock proche des 2500 mots ; il connait les principales règles de formation des phrases, il accorde les adjectifs, les noms, les verbes sans trop d’erreurs, il peut utiliser les adverbe et maîtrise la forme négative et affirmative des phrases. 5
• Qualitativement • L’acquisition du langage est marquée par la structuration du lexique en classe de mots Mots paranoms lexicaux Jusqu’à 18 mois Autour de 24 mois 30 % 40 % Verbes et adjectifs 15 % Mots grammaticaux 10 % Proportions relativement équilibrées entre les 4 catégories 11 % 23% 26 % 40 % 6
Qu’est-ce qui peut aider un tout petit à identifier un mot dans un flux sonore ? • Le langage des mamans • La multiplication des contextes linguistiques • Le découpage de l’énoncé en groupe morphosyntaxique • Au-delà du parler bébé, ralentir le débit, bien articuler, détacher certains mots, les répéter, isoler certaines phrases et même supprimer les déterminants peuvent être des gestes professionnels très simples mais importants d’un enseignant de maternelle, surtout avec les TPS et les PS. 7
Qu’est ce qui peut aider un très jeune enfant à comprendre le sens d’un mot • L’exclusivité mutuelle • Un objet est supposé être désigné par un seul mot • Le fast mapping • Un nouveau mot ne peut s’appliquer qu’à un objet pour lequel l’enfant n’a pas déjà de mot référent • La contrainte de l’objet entier : • Un mot donné s’applique à l’objet entier plutôt qu’à une partie de l’objet. • La contrainte taxinomique : • Un enfant à qui on présente un camion et auquel on demande d’en trouver un autre dans une caisse contenant de multiples objets proposera des véhicules mais pas un autre objet de la mm couleur ou de la mm texture par exemple 8
Quelles différences entre les mots concrets et les mots abstraits ? • Les mots concrets : • Ce sont les mots qui désignent des choses mais qui en fait font appel à un terme générique : toutes les chaises ne se ressemblent pas et pourtant ce sont toutes des chaises. • Les mots concrets ne sont donc pas un simple reflet de la réalité, réductibles à une seule approche référentielle. • Les mots abstraits : • Sont ceux qui ont attrait aux émotions, (la joie, la peur, la colère…. ), aux sentiments (la jalousie, l’envie…. ) aux concepts et idées (la liberté…) ont pour les jeunes enfants un sémantisme difficile à cerner. Pour être précisés, la temporalité d’acquisition est plus longue avec une notion qui s’affine sur la durée et un travail d’élaboration conceptuelle plus compliqué. La littérature peut aider à comprendre certains de ces termes. 9
2 QUELQUES PRINCIPES DIDACTIQUES 10
À retenir 1. Travailler prioritairement sur les mots les plus fréquents qui sont aussi les plus polysémiques, sans négliger les apports de la littérature qui fournit des mots plus rares mais importants. 2. Travailler aussi sur les mots des disciplines : le vocabulaire spécifique a une grande importance à l’école. 3. Ne pas se limiter aux noms et faire toute la place aux verbes, pivots des phrases, aux adjectifs et aux mots grammaticaux. Vocabulaire et syntaxe sont inséparables. 4. Travailler les mots en contexte et de façon groupée. 5. Construire des outils pour structurer l’apprentissage et soutenir la mémoire. 6. Récupérer les mots appris de façon incidente pour qu’ils ne soient pas perdus. 7. Privilégier l’enseignement explicite et structuré, avec des objectifs définis ! 11
Travailler les mots les plus fréquents et les plus polysémiques • À la maternelle, il faut commencer par travailler les mots les plus fréquents de la langue : • Eduscol en donne la liste des 1500 mots les plus fréquents http: //eduscol. education. fr/cid 47916/liste-des-mots-classeepar-frequence-decroissante. html • Ces mots sont souvent polysémiques, ont des sens propres et des sens figurés. La polysémie est une propriété essentielle de la langue. Or si souvent le sens premier est connu, les autres peuvent rester opaques et provoquer des incompréhensions. • Ces mots entre dans des réseaux très denses (champs lexicaux, synonymes, antonymes dérivés…et ont généré des expressions très usuelles qu’il faut donner à connaitre (avoir la tête en l’air, garder la tête froide, avoir qqchose en tête, tête à claques…) 12
Ne pas se limiter aux noms • Dans les 100 premiers mots les plus fréquents 25 verbes ! • Priorité à donner aux verbes car c’est lui qui structure la phrase ! • Les mots les plus employés sont les mots outils • Après les activités de dénomination, retravailler les mots en contexte, à l’intérieur d’une phrase pour mettre en mouvement les structures syntaxiques; • VOCABULAIRE ET SYNTAXE SONT INDISSOCIABLES : on travaille en même temps les mots lexicaux et grammaticaux. 13
Ne pas travailler sur des mots isolés • Le sens d’un mot apparait dans un contexte lexical et syntaxique. • Le lexique n’est pas une suite de mots isolés, en vrac. Les mots sont reliés les uns aux autres par toutes sortes de relation d’ordre sémantique, morphologique, historique. • La mémoire enregistre les mots sous forme de réseau. • Il est plus intéressant de faire apprendre plusieurs mots, en même temps, groupés autour d’un principe lexical (champ lexical, catégorisation…) que des mots isolés. 14
Construire des outils • Il faut organiser l’apprentissage du vocabulaire : les outils qui accompagnent et favorisent cet effort doivent être structurants (en évitant le vrac) et permettre la récapitulation des mots appris ainsi que leur mémorisation. • Les outils peuvent avoir toutes sortes de formes, adaptés aux différentes notions. Ils sont absolument indispensables et constituent un des fondements de la didactique du vocabulaire. • Imagiers, mur de mots en photos, boite à mots, images…. 15
Rendre plus explicite l’apprentissage incident • Le langage qui est au cœur des apprentissages à l’école maternelle, nourrit toutes les activités qui y sont programmées car, peindre, faire une expérience, construire une tour, comprendre un album…. suscitent des mots, mais aussi tous les moments de la classe : l’accueil, les rituels, la sortie de la sieste, l’habillage et d’autres instants plus ou moins formels… • La langue parlée par l’enseignant est à considérer comme une cible. Elle doit être exemplaire à tous les sens du terme : elle constitue un exemple pour les élèves surtout pour ceux qui ne bénéficient pas d’un langage normé à la maison, et elle est exempte d’erreurs. 16
Privilégier l’enseignement explicite, systématique et programmé La programmation doit être cohérente, avec repérage des champs lexicaux proches du quotidien des enfants mais de plus en plus ambitieux de la PS à la GS • Ce type d’apprentissage pourrait renvoyer à des temps de classe explicitement dévolus au vocabulaire, notamment les ateliers de langage, mais pas seulement ! • TOUTE SEQUENCE DOIT AVOIR DES OBJECTIFS LEXICAUX 17
Comment organiser l’apprentissage explicite ? 1. Déterminer clairement les objectifs (le champ lexical, les termes génériques, l’antonymie…) 2. Déterminer les mots à travailler : ils doivent être listés sur votre fiche de préparation 3. Choisir l’entrée la plus adéquate en fonction de l’objectif, contrairement à l’apprentissage incident où la rencontre avec les mots n’est pas programmée. 4. Mettre en œuvre des dispositifs permettant l’appropriation des mots, le rebrassage, leur réactivation et l’évaluation. 5. Inclure éventuellement des petites analyses sur la langue. Même si les mots ont été brassés et contextualisés, ne pas se dispense de phase de manimulations. 18
QUE DIT LE PROGRAMME DE 2015 ? Il ne s’étend pas sur des principes didactiques concernant le vocabulaire en particulier mais donne des « modalités spécifiques d’apprentissage » qui s’appliquent très bien à ce domaine : • « Apprendre en jouant » : les jeux, non seulement permettent de développer l’imaginaire et de favoriser la communication, mais ils peuvent également, quand ils sont structurés, viser explicitement des apprentissages explicites. C’est le cas pour tous les jeux proposés dans les séquences de l’ouvrage (jeux de kim, de mémory, des familles, des devinettes, les dominos…) qui permettent d’acquérir et de réactiver les mots appris. 19
• « Apprendre en réfléchissant et en résolvant des problèmes » : les enfants réagissent aux questions ouvertes en faisant appel à leurs connaissances et en échafaudant des hypothèses, avec des essais, des tâtonnements. . • « Apprendre en s’exerçant » : car les apprentissages s’inscrivent dans une temporalité longue, nécessaire à leur appropriation. • « Apprendre en se remémorant et en mémorisant » : les enseignants doivent aider les enfants à mémoriser les informations parce qu’ils ne savent pas le faire eux-mêmes de façon consciente, et s’attacher à stabiliser les apprentissages, notamment lexicaux, avec des dispositifs particuliers. 20
3 LA MÉMORISATION 21
À RETENIR… • Deux sortes de mémoire sont en lien l’une avec l’autre : à court terme et à long terme. Dans cette dernière deux modules sont importants pour l’apprentissage des mots ; la mémoire épisodique liée au contexte (affectif, cognitif ou social) et la mémoire sémantique qui les stocke. • Une information passe par 3 traitements : • L’encodage • Le stockage • La récupération en mémoire (information indicée) • Un mot apparait dans un contexte précis mais on doit l’en extraire (décontextualisation) pour permettre la « recontextualisation » . • On retient tout ce qui fait sens et qui est utile. 22
• Acquérir du vocabulaire, c’est mémoriser une forme mais aussi attribuer à l’objet ou au concept des propriétés ; la question du sens est toujours présente. 23
Qu’est-ce que la mémoire ? C’est un « multisystème » : • La mémoire à court terme : mémoire de travail • Impliquée dans les processus relevant du raisonnement, comme de la lecture, écrire, compter. Elle sert au maintien provisoire et au traitement de l’information. • La mémoire à long terme : à durée de rétention d’informations illimitée…mais pas infaillible ! • Mémoire procédurale : tâches automatiques • Mémoire épisodique : relative aux évènements personnels, verbalisable • Mémoire sémantique : stocke les mots et les connaissances factuelles, générales, abstraites ou concrètes. Plus le contexte est sécurisant et structurant, meilleure est la mémorisation. L’enseignant doit donc veiller à créer des situations motivantes et organisées. 24
Comment enregistrer les informations ? • 3 traitements : L’encodage, le stockage, la récupération • ENCODAGE : stimulation d’ordre visuel, auditif, moteur, sensoriel, sémantique…. qui transforme ce stimulus en une trace mnésique. • STOCKAGE : se fait de façon hiérarchisée et non sous forme de liste…l’image qui le représente le mieux est la toile d’araignée, où tout est lié. • RECUPERATION : consiste à retrouver l’accès à l’information dont on a besoin, ce qui peut être un vrai problème car il y a des milliers d’informations dans la mémoire à long terme. • Peut se faire en évocation libre : spontané • Par association : recher un indice qui mène à l’information • Par reconnaissance : dans une série de termes, on sélectionne celui recherché 25
Un processus en trois temps : • Contextualiser • Décontextualiser • Recontextualiser Ce n’est qu’à cette condition que l’enfant pourra en transférer le sens dans d’autres situations de rencontre du terme. Ces opérations de multi-recontextualisations en stabiliseront le sens et rendront le mot disponible dans le vocabulaire actif. Le processus de décontextualisation est important : c’est grâce à lui que l’information bascule de la mémoire épisodique à la mémoire sémantique, celle des connaissances. 26
Que peut on faire pour aider ce processus ? • Créer des outils récapitulatifs et structurants pour faciliter cette extraction. Il est conseillé d’y mettre les verbes à l’infinitif, les noms, les adjectifs et les noms au masculin singulier. • Reprendre les mots nouveaux dans des contextes d’emplois différents et les appliquer à des personnes et situations variées. • Mettre ces nouveaux mots en lien avec d’autres qui sont déjà dans la mémoire sémantique. • Procéder à des temps de pause, de récapitulation, de reformulation, accompagnés de moments d’évocation mentale propres à chacun. 27
Que retient la mémoire ? Ce qui fait sens et est utile Ce qui sollicite l’affect Ce que l’on répète Ce sur quoi on fixe son attention Ce qui est mis en connexion avec des connaissances déjà établies • Ce que l’on catégorise • Ce que l’on consolide. • • • Pour un temps global équivalent, il faut préférer la réitération en petites séances (4 x 15 mn plutôt que 2 x 20 mn par ex). 28
Les programmes 2015 sur la mémorisation ? La quatrième modalité d’apprentissage s’intitule « apprendre en se remémorant et en mémorisant » . La mémorisation (enregistrer) et la remémoration (faculté à retrouver des informations en mémoire et de les réactiver) ne vont pas de soi. Les enseignants ont un grand rôle à jouer : • ils savent que la mémoire des enfants s’appuie essentiellement sur les aspects visuels et ce n’est qu’à partir de 5 -6 ans que le langage devient prééminent ; • Ils stabilisent les informations en les rendant les plus claires possibles et en organisant « des retours réguliers sur les découvertes et les acquis antérieurs » ainsi que « les mises en relation avec des situations déjà rencontrées » … • Ils valorisent les efforts de mémorisation en les concrétisant • Ils aident les enfants à prendre conscience qu’apprendre à l’école, c’est remobiliser en permanence des acquis antérieurs ! 29
5 APPRENTISSAGE DU VOCABULAIRE ET LITTÉRATURE 30
À Retenir • Lire des albums de littérature de jeunesse est un excellent moyen d’acquérir du vocabulaire. • Cette activité permet : • De nourrir les champs lexicaux • Facilite la mémorisation des mots par leur répétition et leur contextualisation • Permet d’accéder à des mots plus rares et à la fonction poétique du langage • Cependant ATTENTION ! Les mots sont utilisés dans un sens parfois inhabituel et cet apprentissage doit être étayé par des phases d’appropriation. 31
Les aspects positifs • • • Les notions lexicales La répétition Le contexte Les mots rares Et enfin… la littérature est un véritable laboratoire de la langue ! 32
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Les points de vigilance • Attention, les albums sont des lieux où se déploient toute la richesse des sens. Ils activent parfois des acceptations un peu inhabituelles. • Le travail du vocabulaire dans les albums se traduit par une complexification de la tâche de l’enseignant : • L’objectif lexical est présent mais jamais complètement premier et exclusif. • Les mots surgissent sans être programmés et l’enseignant les explique de manière rapide et parfois incomplète ou imprécise. • Un mot expliqué de façon hâtive, non travaillé spécifiquement ne sera pas mémorisé ni utilisé. 34
2 S’APPUYER SUR LES NOTIONS LEXICALES POUR ENSEIGNER LE VOCABULAIRE 35
Notions lexicales • Elles peuvent être réparties en trois grands groupes : • Sémantique : les mots sont reliés par des relations de sens • Morphologie : les mots sont reliés avec des procédés de dérivation par préfixes ou par suffixes • Historique : ils sont reliés par l’étymologie et aux emprunts aux langues anciennes et actuelles. Ce dernier domaine ne concerne pas du tout le cycle 1. 36
S E M A N T I Q U E 37
CHAMP LEXICAL • Définition : • On appelle champ lexical un ensemble de mots correspondant à un thème. • Ils devraient tous appartenir à la même classe grammaticale, mais depuis les programmes 2016, on admet toutes les classes grammaticales. • La notion de « champ lexical » permet : • De structurer l’enseignement du vocabulaire en opérant des groupements thématiques qui permettent de privilégier le sens et d’éviter les mots isolés. • La notion est souple et vaste, donc facile à appréhender et promène son importance à travers tous les niveaux, de la PS au CM 2. • Les rapports de sens entre les mots est simple à saisir : ils sont fédérés par une notion. 38
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Comment travailler le champ lexical ? 42
Partir du mot • Oblige à explorer l’univers de ce mot • Faire des liens avec des termes qui lui sont proches par la forme ou le sens • Partir de la chose représentée amène à proposer des situations dans « explorer le monde » • Renvoie souvent à des savoirs encyclopédiques à présenter succinctement • Attention ! Garder des dimensions raisonnables et adaptées à l’âge des enfants. • En pensant aux mots synonymes • Tous les apprentissages langagiers se jouent dans la vraie vie ! 43
Représentation des mots « grignoter » et « hurler » ; Narramus, la sieste de Moussa, 2016 44
Le développement de l’enfant http: //cache. media. eduscol. education. fr/file/ecole/15/2/Tableaux_syno ptiques_developpement_enfant_210152. pdf
Tableaux du développement de l’enfant D’après Florin, A. (2003). Introduction à la psychologie du développement. Enfance et adolescence. âge Langagier Cognitif Social et affectif Moteur 3 -4 ans Extension du vocabulaire et phrases courtes. Peut suivre une conversation, comprend des promesses, s’amuse des jeux de langage. Acquisition de concepts d’espace, de temps, de quantité. Utilise les principes du comptage. Identifie plusieurs parties du corps. Attend son tour. Aime aider les autres. Critique autrui. Court avec aisance, tape du pied dans un ballon. Fait du tricycle. 4 -5 ans Produit des demandes Est attentif à sa performance, indirectes et des justifications. capable de classification et Comprend le comparatif, de sériation. l’identité et la différence. Comprend l’état mental d’autrui. Joue à des jeux de compétition. Stabilité du genre( se reconnaît garçon ou fille). Monte à une échelle, marche en arrière. Tient un papier tout en écrivant de l’autre. 5 -6 ans Produit des énoncés de 5 -6 mots, répond au téléphone. Début de lecture logographique. Identifie des rimes, comprend environ 2500 mots. Sait se contrôler. Choisit ses amis. Négocie avec l’adulte. Fait du vélo sans roulettes, lace ses chaussures. Début de la conversation (comprend que la grandeur d’une d’élément collection d’éléments reste la même quelle que soit la manière dont elle est présentée). Dessine un bonhomme, écrit son prénom.
sources • Guide pour enseigner le vocabulaire, Micheline Cellier, Retz 2017 • Narramus, La sieste de Moussa, RETZ 2017 • Jacqueline Picoche, http: //www. vocanet. fr • Le développement du langage, Agnès Florin, 2002 • Langage et école maternelle, Mireille Brigaudiot, Hatier 2015 47
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