La vie existetelle ailleurs dans lunivers Je me

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La vie existe-t-elle ailleurs dans l’univers ?

La vie existe-t-elle ailleurs dans l’univers ?

 « Je me vois comme un enfant qui joue sur la plage et

« Je me vois comme un enfant qui joue sur la plage et qui s’amuse à trouver de temps en temps un galet mieux poli ou un coquillage plus joli, tandis que le vaste océan de la vérité s’étend, inviolé, devant mon regard » Isaac Newton

 « Il me semble de plus en plus que le philosophe, qui est

« Il me semble de plus en plus que le philosophe, qui est nécessairement un homme du lendemain et du surlendemain, se soit de tout temps trouvé et devait se trouver en contradiction avec le présent : son ennemi a toujours été l’idéal du jour. Les philosophes se sont assigné une tâche dure, involontaire, inéluctable, mais grandiose : être la mauvaise conscience de leur époque. » Friedrich Nietzsche

Giordano Bruno (1548 -1600) Mouvement des planètes sur ellesmêmes et autour du Soleil. Il

Giordano Bruno (1548 -1600) Mouvement des planètes sur ellesmêmes et autour du Soleil. Il abolit la sphère des étoiles fixes et renonce à l'idée de centre. Le monde est infini, dans toutes les directions, le vide est parsemé d'étoiles : « Il n'y a aucun astre au milieu de l'univers, parce que celui-ci s'étend également dans toutes ses directions. » Chaque étoile étant un soleil semblable au nôtre, autour de chacune d'elles tournent d'autres planètes : « Il est donc d'innombrables soleils et un nombre infini de terres tournant autour de ces soleils » Et sur ces planètes vivent des habitants : : « Ainsi donc, les autres mondes sont habités comme l'est le nôtre ? Il est impossible qu'un être rationnel puisse imaginer que ces mondes innombrables, aussi magnifiques qu'est le nôtre ou encore plus magnifiques, soient dépourvus d'habitants semblables et même supérieurs. »

1°) L’exobiologie : que nous apprend-t-elle ? 2°) Le phénomène OVNI : que nous

1°) L’exobiologie : que nous apprend-t-elle ? 2°) Le phénomène OVNI : que nous apprend-t-il ? (sur le seul terrain des faits observés) 3°) Phénomène OVNI et Science : un couple à problèmes 4°) Quelles hypothèses formuler à partir de ces données ? (des plus prudentes au plus audacieuses) 5°) Conclusion

1°) L’exobiologie : que nous apprend-t-elle ?

1°) L’exobiologie : que nous apprend-t-elle ?

Définition de l’exobiologie L'exobiologie (ou astrobiologie) est un champ pluridisciplinaire associant la physique, la

Définition de l’exobiologie L'exobiologie (ou astrobiologie) est un champ pluridisciplinaire associant la physique, la chimie, la biologie de l’évolution, l’écologie, l’astronomie, la cosmologie, la modélisation informatique, etc. , qui a pour objet l'étude des facteurs et processus permettant l'apparition et l’évolution de la vie. Cela va de l'émergence de la vie sur terre à la possibilité de vie ailleurs dans le système solaire et sur les exoplanètes.

Programme de l’exobiologie - détecter des formes de vie extraterrestre, tout indice de vie

Programme de l’exobiologie - détecter des formes de vie extraterrestre, tout indice de vie actuelle ou passée dans le système solaire et au-delà de celui-ci - comprendre les conditions qui ont permis l'apparition de la vie sur Terre - contribuer à définir des hypothèses de recherche relatives aux conditions qui devraient être réunies sur d'autres planètes pour qu'une forme de vie quelconque, même rudimentaire, puisse y exister - établir des objectifs de recherche et des moyens à mettre en œuvre pour recueillir de plus amples données dans le cadre de programmes d’exploration spatiale.

 • Conditions physico-chimiques : pour que de la vie puisse se développer sur

• Conditions physico-chimiques : pour que de la vie puisse se développer sur une planète, on admet généralement, comme conditions nécessaires, la présence d’eau liquide, d’azote, de carbone et éventuellement de silicium. • Facteur temps : la stabilité de l’orbite de la planète dans la zone habitable et la stabilité de son étoile, pour que la vie ait le temps de se développer.

- Il existe de bactéries extrêmophiles dans des milieux : très acides ou basiques,

- Il existe de bactéries extrêmophiles dans des milieux : très acides ou basiques, sans oxygène, sous forte pression, dans les roches, dans les hydrocarbures, soumis à des radiations gamma. .

Si des bactéries peuvent vivre sur Terre dans des conditions aussi extrêmes, alors on

Si des bactéries peuvent vivre sur Terre dans des conditions aussi extrêmes, alors on peut supposer que la vie peut se développer sur toute planète où des conditions analogues sont présentes.

 • « Big-bang » : 13, 7. 109 années • ge de notre

• « Big-bang » : 13, 7. 109 années • ge de notre système solaire : 4, 6. 109 années Notre planète serait apparue 30 millions d’années après, il y aurait donc 4, 57. 109 années

 • les processus principaux conduisant à l'apparition de la vie n'ont pu disposer

• les processus principaux conduisant à l'apparition de la vie n'ont pu disposer que de 400 millions d'années au maximum (Joyce, 1991), voire de moins de 100 millions d'années (Moore, 1993) • Cette rapidité du développement de la vie montre bien que cette dernière doit posséder une forte probabilité de développement. • Cette probabilité de déroulement d'une biogenèse a même été calculée : elle est supérieure à 13 % pour toute planète tellurique similaire à la Terre (Lineweaver & Davis, 2002).

 • Titan, un satellite de Saturne : son atmosphère (1, 5 fois la

• Titan, un satellite de Saturne : son atmosphère (1, 5 fois la pression terrestre) contient de l'azote, du méthane et d'autres corps composés. Elle ressemble à celle de la Terre avant l'apparition de la vie. La sonde européenne Huygens, larguée par la sonde américaine Cassini, est le premier engin qui s'y soit posé, en 2005. Pendant quatre heures, elle a renvoyé une masse de données inédites sur l'atmosphère et le sol.

 • Europe est recouvert d'un océan gelé à sa surface. On estime à

• Europe est recouvert d'un océan gelé à sa surface. On estime à 10 kilomètres, voire plus, l'épaisseur de la couche de glace sous lequel il serait possible de trouver de l'eau à l'état liquide où auraient pu se développer des bactéries piézophiles, en l'absence de toute lumière solaire.

 • Une galaxie rassemble des nuages de gaz, de poussières et des centaines

• Une galaxie rassemble des nuages de gaz, de poussières et des centaines de milliards d’étoiles de diverses catégories (100 000 années-lumière) • Les galaxies sont regroupées en amas (un million d’années-lumière) • Les amas sont rassemblés en superamas (quelques millions à dizaines de millions d’années-lumière)

L'estimation actuelle du nombre d'étoiles dans l’univers observable est de 7. 1022 étoiles regroupées

L'estimation actuelle du nombre d'étoiles dans l’univers observable est de 7. 1022 étoiles regroupées dans environ 100 milliards de galaxies ! Notre soleil est l’une des étoiles de notre galaxie, la voie lactée, qui rassemble environ 300 milliards d'étoiles. C’est une « naine jaune » et il en existe environ 100 millions dans notre galaxie…

La voie lactée : nous sommes à 20 000 annéeslumière du centre de notre

La voie lactée : nous sommes à 20 000 annéeslumière du centre de notre galaxie, dont le diamètre est de 100 000 années lumière et l’épaisseur de 1000 années lumière !

Une exoplanète habitable ? Découverte le 4 avril 2007, Gliese 581 c est une

Une exoplanète habitable ? Découverte le 4 avril 2007, Gliese 581 c est une exoplanète en orbite autour de l’étoile Gliese 581, de type naine rouge, située à une vingtaine d‘années-lumière de notre système solaire. Il s'agirait de la première planète extra-solaire découverte dans la zone habitable de son étoile, et qui devrait donc présenter de grandes similitudes avec la Terre du point de vue de sa température de surface. Gliese 581 étant une étoile considérablement moins lumineuse que notre Soleil, la température reste peu élevée malgré le petit rayon de son orbite (environ 11 millions de kilomètres). Sa température moyenne estimée entre -3°C (pour un albédo comparable à celui de Vénus) et 40°C (pour un albédo comparable à celui de la Terre), ce qui permettrait la présence d'eau liquide à sa surface.

L’équation de Drake : estimer combien de civilisations peuvent exister dans la galaxie ?

L’équation de Drake : estimer combien de civilisations peuvent exister dans la galaxie ?

 • On donne généralement comme fourchette pour le nombre de civilisations existant probablement

• On donne généralement comme fourchette pour le nombre de civilisations existant probablement dans notre galaxie : entre un et 20 millions ! • 100 milliards de galaxies ! • 100 millions de milliards de civilisations ?

Plus de 10 000 galaxies sur une seule photo, la plus lointaine jamais prise

Plus de 10 000 galaxies sur une seule photo, la plus lointaine jamais prise par Hubble A ces échelles de distance, ce ne sont plus des étoiles qu'on aperçoit, mais des galaxies. Dans chaque galaxies, des centaines de milliards d'étoiles et très probablement un million de systèmes semblables à notre propre système solaire autour desquels gravitent des planètes habitées. Vous avez sous les yeux, d'un seul regard, plus de dix milliards de planètes porteuses d'une vie intelligente et dix milliards de milliards d’êtres pensants !

 • L’exobiologie nous a ouvert un champ immense de potentialités, mais n’a encore

• L’exobiologie nous a ouvert un champ immense de potentialités, mais n’a encore jamais détecté la moindre forme de vie extraterrestre

2°) le phénomène OVNI : que nous apprend-t-il ? (sur le seul terrain des

2°) le phénomène OVNI : que nous apprend-t-il ? (sur le seul terrain des faits observés)

L'acronyme OVNI (Objet Volant Non Identifié) est la traduction du terme anglais UFO (Unidentified

L'acronyme OVNI (Objet Volant Non Identifié) est la traduction du terme anglais UFO (Unidentified Flying Object). L'examen des témoignages et les résultats des enquêtes montrent que ce terme est le plus souvent impropre : dans la plupart des cas, les observations décrivent un phénomène connu ou inconnu, généralement lumineux mais sans preuve de la présence d'un objet matérialisé, d’où le terme plus général de PAN (Phénomène Aérospatial Non identifié)

 • Le GEPAN est créé au sein du CNES en 1977 • Il

• Le GEPAN est créé au sein du CNES en 1977 • Il devient le SEPRA en 1981 • Le GEIPAN (Groupe d’Etudes et d’Information sur les Phénomènes Aérospatiaux non Identifiés) succède au SEPRA en 2005, et annonce qu’il va diffuser toutes les archives accumulées depuis 1977

 • PAN classé A si l'observation peut être parfaitement expliquée avec preuves à

• PAN classé A si l'observation peut être parfaitement expliquée avec preuves à l’appui. • PAN classé B si l'observation peut être expliquée par la conviction des enquêteurs sans que l'on puisse apporter la preuve formelle de l'hypothèse privilégiée. • PAN classé C si les données de l'observation sont trop pauvres pour en tirer une analyse crédible. • PAN classé D si l'observation ne peut être expliquée malgré la qualité des données recueillies et l’exhaustivité de l’enquête.

Système de classification proposée en 1972 par l'astronome américain Hynek, modifié, du cas le

Système de classification proposée en 1972 par l'astronome américain Hynek, modifié, du cas le plus banal au plus exceptionnel : - lumières nocturnes : OVNI lumineux dans le ciel nocturne à plus de 150 mètres de distance - objets diurnes : OVNI à plus de 150 mètres de distance - radar-optique : OVNI vu à la fois en visuel et sur un ou plusieurs écrans radars - rencontre rapprochée du 1 er type : OVNI vu à moins de 150 mètres - rencontre rapprochée du 2 e type : l'OVNI laisse des preuves matérielles, comme des traces au sol - rencontre rapprochée du 3 e type : le(s) témoin(s) voi(en)t un OVNI et ses occupants - rencontre rapprochée du 4 e type : le(s) témoin(s) prétend(ent) être entré(s) en communication avec les occupants d'un OVNI. - rencontre rapprochée du 5 e type : le(s) témoin(s) prétend(ent) avoir été enlevé(s) puis libéré(s) par les occupants d'un OVNI • témoin non consentant, expérience traumatisante • témoin consentant, expérience positive - rencontre rapprochée du 6 e type : le(s) témoin(s) prétend(ent) avoir été emmené(s) sur la planète des occupants d'un OVNI.

Premier cas Témoignage du peintre P. P. - dans le Morvan, chez des amis

Premier cas Témoignage du peintre P. P. - dans le Morvan, chez des amis - dans les années 1970 - la nuit - lent survol par un immense « cigare » lumineux - le lendemain, les gendarmes ont enquêté dans tout le voisinage

Second cas Témoignage de X - à Chusclan dans le Gard - vers la

Second cas Témoignage de X - à Chusclan dans le Gard - vers la fin des années 1960, le témoin a alors une douzaine d’années et il est avec son cousin germain - le jour - atterrissage dans les vignes d’un cylindre vertical bleuté haut d’environ 2 m - il en sort un « humanoïde filiforme » haut d’environ 1, 80 qui fait quelques « pas » , puis remonte dans son engin - Le cylindre décolle et disparaît à une vitesse foudroyante - Les deux enfants rent à la maison très effrayés et racontent ce qu’ils ont vu

Troisième cas Témoignage du commandant de bord Jean-Charles Duboc et de la copilote -

Troisième cas Témoignage du commandant de bord Jean-Charles Duboc et de la copilote - Vol AF Nice-Londres, Airbus A 320, en région parisienne, le 28 janvier 1994, le jour, vers 11 h, par très beau temps - Enquête à Taverny pour superposer les témoignages avec des données radar. Les pistes de l'avion et de l'écho non identifié sont examinées. Ce dernier a été détecté par le radar d'azimut, mais pas celui d'altitude. Alors que l'avion évoluait à 330 noeuds, l’objet était à 200 km/h, puis à 150 km/h puis à 0 km/h, et d'une taille estimée entre 200 et 300 m (inférieure donc aux estimations de l'équipage). Seule l'altitude ne peut être confirmée (non détectée) par le radar, qui a également détecté la "disparition" de l'objet (non détecté au "tour" de 10 s suivant) au bout de 50 s. Les investigations menées au CCOA permettent d'exclure l'hypothèse du ballon météorologique. la trace radar montre un traffic arrivant de la droite de l'appareil, alors que l'objet a été observé à gauche par les témoins.

On ne connaît que peu d’observations d’Ovnis audessus d’une capitale 1°) en juillet et

On ne connaît que peu d’observations d’Ovnis audessus d’une capitale 1°) en juillet et août 1952, une vague d’Ovnis au-dessus de WASHINGTON. 2°) le 16 août 1954, un Ovni a été observé par des dizaines de milliers de témoins à TANANARIVE, Madagascar. 3°) le 19 septembre 1976, à TÉHÉRAN, où eurent lieu deux tentatives successives d'intercepter un Ovni détecté par les radars au sol et largement signalé par des civils qui le voyaient, de nuit, au-dessus de la ville 4°) janvier 1994, au-dessus de PARIS

Quatrième cas • Trans-en-Provence, le 8 février 1981, vers 17 heures. Un homme dans

Quatrième cas • Trans-en-Provence, le 8 février 1981, vers 17 heures. Un homme dans son jardin voit un reflet du soleil sur quelque chose qui évolue dans le ciel. Il observe la descente, puis l'atterrissage brutal, en contrebas de sa maison, d'un objet métallique silencieux, de forme ovoïde. Cet objet restera quelques brefs instants sur la plate -forme, puis il décollera et disparaîtra à une vitesse très élevée dans le ciel.

 • L'analyse des plantes prélevées sur le site d'atterrissage, une luzerne sauvage, montrent

• L'analyse des plantes prélevées sur le site d'atterrissage, une luzerne sauvage, montrent que leur système photosynthétique a été fortement perturbé : les chlorophylles et certains acides aminés présentaient des variations de taux importantes en relation avec la distance au point d’impact. Deux années après, ces mêmes effets disparurent complètement, révélant ainsi un type spécifique et particulier de traumatisme. • Selon le Pr M. Bounias, du laboratoire d'écologie et de toxicologie végétale de l'INRA, qui effectua les analyses, la cause des profondes perturbations enregistrées sur la végétation pourrait être due à un puissant champ électromagnétique situé dans la gamme des hautes fréquences (micro-ondes)

Cinquième cas 1973 : le pilote Daniel Michau effectue un vol de routine entre

Cinquième cas 1973 : le pilote Daniel Michau effectue un vol de routine entre Rennes et Caen à bord d'un hélicoptère. À un quart d'heure de l'arrivée, alors qu'il vole à 330 mètres d'altitude, il est doublé par un cylindre gris métallisé d’environ 500 mètres de long et 60 mètres de diamètre évoluant à plus de 4000 km/h. L'observation ne dure qu'une seconde et demi. L'objet est également aperçu par son copilote Jean-Luc Bideau et confirmé par un écho radar au sol, sans autre forme de perturbation radiologique ou aérologique.

Le « phénomène naturel inconnu » est exclu : aucun météorologue n'oserait soutenir une

Le « phénomène naturel inconnu » est exclu : aucun météorologue n'oserait soutenir une thèse de ce genre. Et à une telle vitesse, une machine aurait sur son passage engendré une onde de choc pulvérisant le petit hélicoptère et effondré les toitures au sol. Ou c'est non-terrestre, ou Michau, son copilote et les radaristes sont des mystificateurs, des mythomanes.

Sixième cas Jean-Pierre Petit, dans son enfance, en 1947 Hauteur des « humanoïdes »

Sixième cas Jean-Pierre Petit, dans son enfance, en 1947 Hauteur des « humanoïdes » = à peu près 1, 20 m

 • Lettres Ummites : 50 pages années 90 « Machine à penser »

• Lettres Ummites : 50 pages années 90 « Machine à penser » plus riche de questions que de réponses • Sakharov 1967, univers jumeaux >>> première mention d’une vitesse de la lumière variable >>> théorie cosmologique de l’univers jumeau

Pour en savoir plus Voir les Pdf sur le site de Jean-Pierre Petit :

Pour en savoir plus Voir les Pdf sur le site de Jean-Pierre Petit : « L’Univers gémellaire » « Plus rapide que la lumière »

Les types d’ « objets » observés • • • - forme sphérique forme

Les types d’ « objets » observés • • • - forme sphérique forme elliptique cigare disque Cylindre horizontal ou vertical etc surface unie ou « hublots » , « lumières » … Dimensions de quelques dizaines de centimètres à plusieurs centaines de mètres

Les types de mouvements - immobile en l’air (de quelques centimètres du sol à

Les types de mouvements - immobile en l’air (de quelques centimètres du sol à quelques kilomètres d’altitude) - atterrisage-décollage - objet stationnaire qui engendre d'autres objets (les « objets satellites » ) - « combat aérien » , poursuite d'autres objets - interruption d'un vol continu, puis reprise du mouvement - changement d'apparence - vol en formation

 • • Certains des « objets » observés : présentent une apparence variable

• • Certains des « objets » observés : présentent une apparence variable tant dans leur volume que dans leur forme, peuvent apparaître ou disparaître quasi instantanément, tant en visuel qu’au radar sont d’une incroyable maniabilité, sont susceptibles de fantastiques accélérations, comme s’ils échappaient à toute inertie sont silencieux et peuvent évoluer à vitesse supersonique sans onde de choc

Conclusion : que nous apprend le phénomène OVNI ? 1°) OVNIS : il existe

Conclusion : que nous apprend le phénomène OVNI ? 1°) OVNIS : il existe des milliers d’observations dans le monde attestant de la réalité objective de phénomènes irréductibles : - aux lois connues de la physique - à des phénomènes naturels connus - à nos technologies 2°) Certains OVNIS sont de toute évidence : - des artefacts - les manifestations d’une forme d’intelligence

3°) Phénomène OVNI et Science : un couple à problèmes

3°) Phénomène OVNI et Science : un couple à problèmes

 • Le directeur de la revue "La Recherche", au cours d’une émission sur

• Le directeur de la revue "La Recherche", au cours d’une émission sur les OVNI en mars 1996, reflétait l'opinion du milieu scientifique en affirmant que le sujet des OVNI n’est qu'un aimable divertissement de salon et non une question touchant au domaine scientifique. . .

 « Projetez-vous simplement en 1900 et essayez de faire admettre à un homme

« Projetez-vous simplement en 1900 et essayez de faire admettre à un homme de cette époque qu'on pourra un jour aller de Paris à Marseille, en roulant, en trois heures trente, ou de Paris à New-York dans le même temps, en volant. Ou bien qu'un jour on mettrait un pied sur la Lune. Il vous rirait au nez. » Jean-Pierre Petit

 • D’après la physique actuelle, nul objet matériel ne peut se déplacer plus

• D’après la physique actuelle, nul objet matériel ne peut se déplacer plus vite que la vitesse de la lumière (à peu près 300 000 km/s dans le « vide » ) • À 100 000 km/s, il faudrait 12 ans pour rallier alpha du Centaure, l’étoile la plus proche ! • Les voyages de la terre aux étoiles, même les plus proches, devraient durer des siècles, des millénaires, des millions d’années, ou plus…

 • Il semble donc logique d’affirmer que les lois de la physique interdisent

• Il semble donc logique d’affirmer que les lois de la physique interdisent de tels voyages • Oui, MAIS… …il est hasardeux d’affirmer que la physique soit achevée, bien au contraire

À la fin du XIXe siècle, c’est ce que croyait la communauté des physiciens

À la fin du XIXe siècle, c’est ce que croyait la communauté des physiciens ! Puis sont advenues au début du XXe siècle la relativité et la mécanique quantique… 100 ans plus tard, d’autres révolutions scientifiques sont hautement probables, peut-être imminentes ? Si nous lisons les captivants ouvrages du physicien (archi -orthodoxe) Etienne Klein, le caractère bouillonnant, inachevé et plein d’incertitudes fondements mêmes de la physique actuelle est évident Il n’est pas déraisonnable d’avancer l’hypothèse qu’une connaissance plus profonde des lois de la nature nous montrera que cette fameuse vitesse de la lumière n’est pas infranchissable, et qu’il est possible de voyager entre les étoiles et les galaxies

 « Si c’était vrai, ça se saurait ! » En sociologie, le concept

« Si c’était vrai, ça se saurait ! » En sociologie, le concept d’ « habitus » désigne : • Le système de contrôle qui régule la vie des idées (quelles qu’elles soient) dans une collectivité, en un lieu et en un temps donnés ; • L’habitus décide de ce qui est pensable et ce qui ne l’est pas, il rejette certains pans du réel au profit de certains autres ;

 • L’habitus est intériorisé par chacun, il affecte la subjectivité la plus intime,

• L’habitus est intériorisé par chacun, il affecte la subjectivité la plus intime, il influence même la perception de ce que nous éprouvons comme « réel » . Tous nos processus mentaux, notre affectivité, notre vécu en sont conditionnés. • L’habitus définit le « sens commun » , cet ensemble d’évidences partagées, cette « réalité » admise qui est largement construite et arbitraire, mais qui se donne pour la nature même des choses ; • L’habitus va évidemment rejeter avec violence tous les faits, pratiques et idées qui remettent frontalement en cause l’image du monde accréditée…

Les scientifiques éprouvent une violente aversion, consciente ou inconsciente, pour ce sujet. La base

Les scientifiques éprouvent une violente aversion, consciente ou inconsciente, pour ce sujet. La base de cette attitude est de nature psycho-socio-immunologique. La prise en compte d'une éventuellement réalité de visites d'extraterrestres représenterait pour eux une déstabilisation trop grande de leur personnalité. • La Science ne fonctionne pas comme une religion, c'est une religion. De telles structures de pensée sont solidement charpentées par de puissants mécanismes homéostatiques. Il est totalement vain d'espérer que les scientifiques réagissent !

Ce ne sont donc pas des raisons rationnelles, objectives et scientifiques qui sont à

Ce ne sont donc pas des raisons rationnelles, objectives et scientifiques qui sont à l’origine de ce quasi divorce Science-Ovnis, mais des raisons socio-psychologiques ! (qui sont ensuite déguisées par des justifications d’apparence rationnelle)

Inspirés par ou consacré au phénomène Ovnis, des milliers de travaux scientifiques de bon

Inspirés par ou consacré au phénomène Ovnis, des milliers de travaux scientifiques de bon niveau ont été publiés dans le monde entier, souvent par des chercheurs isolés, dans de nombreuses disciplines comme la psychologie, la MHD, la physique théorique, la cosmologie, etc.

Ovnis et science : quelques pistes ? • • Étude des témoignages Quelques travaux/publis

Ovnis et science : quelques pistes ? • • Étude des témoignages Quelques travaux/publis isolées Prélèvements biologiques MHD Spectres d’Ovnis Travaux théoriques en physique et en cosmologie

Obtention du spectre d’une source lumineuse avec un réseau :

Obtention du spectre d’une source lumineuse avec un réseau :

4°) Quelles hypothèses formuler à partir de ces données ? (des plus prudentes au

4°) Quelles hypothèses formuler à partir de ces données ? (des plus prudentes au plus audacieuses)

 • L’Hypothèse extraterrestre (HET) a) Certains OVNIS sont la manifestation d'une (ou plusieurs)

• L’Hypothèse extraterrestre (HET) a) Certains OVNIS sont la manifestation d'une (ou plusieurs) civilisation(s) extraterrestre(s) b) Des extraterrestres humanoïdes, possédant des vaisseaux spatiaux et maîtrisant une technologie très supérieure à la nôtre, visitent et ont visité la Terre.

Si certains témoignages font bien penser à des machines volantes, d’autres sont plus troublants,

Si certains témoignages font bien penser à des machines volantes, d’autres sont plus troublants, d’où une autre hypothèse, audacieuse mais pour l’instant indémontrable : Certains peuples du cosmos auraient dépassé la notion de technologie, leurs vaisseaux étant en quelque sorte des pensées et de la lumière « condensées » , « matérialisées » , … et dématérialisables, qui évolueraient autant dans la conscience que dans l’espace-temps… et qui pourraient venir aussi bien de très loin dans l’espace que de très loin dans la passé ou le futur, où mêmes d’univers parallèles au nôtre…

Objection logique et classique : mais s’ils sont là pourquoi ne se montrent-ils pas

Objection logique et classique : mais s’ils sont là pourquoi ne se montrent-ils pas ouvertement ? S’ils existent, ils ont une prodigieuse avance en matière de voyage et de rencontre. Cela implique un écart inconcevable pour nous des niveaux de connaissances dans les domaines scientifique, technologique, culturel et spirituel. Ils pourraient donc se contenter de nous observer de loin, sans essayer d'interagir avec nous, ou très discrètement, de la même façon que tout contact nous est interdit avec certaines tribus d’Amazonie pour ne pas les perturber et, à terme, les détruire. C'est ce qui risquerait probablement de se produire pour nos civilisations en cas de contact brutal avec des extraterrestres.

 • La menace est d’ordre socio-culturel. Le contre amiral Gilles Pinon et Christel

• La menace est d’ordre socio-culturel. Le contre amiral Gilles Pinon et Christel Seval ont très bien mis en lumière le risque d'ethnocide, d'effondrement de notre civilisation, confrontée à une autre, infiniment plus avancée qu'elle. Notre civilisation pourrait s’effondrer au point d’être incapable de se relever. Seule une civilisation jouissant d’un solide équilibre pourrait faire face à un tel choc culturel, mais nous sommes loin du compte…

5°) Conclusion

5°) Conclusion

Tant dans notre galaxie que dans d’innombrables autres, et tant dans notre type d’univers

Tant dans notre galaxie que dans d’innombrables autres, et tant dans notre type d’univers que dans des univers que je qualifierai de « parallèles » faute d’un concept plus approprié : 1°) La vie n’est pas une « exception terrestre » : elle a fleuri sur d’innombrables planètes, dans d’innombrables mondes 2°) L’évolution de la vie a maintes fois abouti à des êtres intelligents. La civilisation n’est pas le monopole de l’humanité terrestre. D’innombrables planètes abritent des civilisations.

3°) Certaines de ces « humanités du ciel » ont sur nous des siècles,

3°) Certaines de ces « humanités du ciel » ont sur nous des siècles, des millénaires, voire des millions d’années d’avance évolutive 4°) Mieux encore : certains de ces peuples du cosmos visitent notre planète depuis très longtemps et jusqu’à aujourd’hui. Comparés à eux, nous sommes ce que furent les Australopithèques comparés à nous…

5°) Si on se fonde sur l’expérience coloniale terrestre, on peut avancer l’hypothèse :

5°) Si on se fonde sur l’expérience coloniale terrestre, on peut avancer l’hypothèse : - que les uns seraient amicaux et fraternels (ils voudraient nous aider) - que d’autres seraient neutres (ils nous étudieraient) - que d’autres encore voudraient nous dominer, nous exploiter et/ou exploiter la terre à leur seul profit, selon leurs seuls intérêts, (ils seraient donc plutôt « hostiles » ) - et que la terre serait par conséquent l’enjeu d’âpres oppositions « cosmopolitiques » (comme sur terre il y a une « géopolitique » et comme au Brésil, il y a ceux qui veulent liquider les Indiens d’Amazonie et ceux qui les protègent) 6°) Que des êtres nécessairement très en avance sur nous ne nous fassent aucun mal et nous épargnent un choc culturel dévastateur est un signe très encourageant et suggère l’hypothèse que nous aurions des alliés cosmiques aussi puissants que discrets…

7°) Si les mentalités évoluaient assez chez une proportion suffisante de nos concitoyens, nos

7°) Si les mentalités évoluaient assez chez une proportion suffisante de nos concitoyens, nos visiteurs de l’espace pourraient se dévoiler « officiellement » à nous sans risquer de nous infliger ce fameux choc culturel. On ose à peine imaginer les perspectives fabuleuses qu’un tel contact pourrait ouvrir… 8°) Mais je doute que nous ayons acquis la maturité collective pour que cela soit possible ! Nous, humains de cette Terre, avons tant de peine à nous comprendre entre proches. Et nos scientifiques, si brillants soientils, ont encore tant de barrières mentales de nature psychologique ! Comment comprendrions-nous des êtres plus évolués que nous venus du cosmos ?

La caractéristique la plus importante de notre condition humaine pourrait être que nous croyons

La caractéristique la plus importante de notre condition humaine pourrait être que nous croyons isolés alors que nous sommes entourés d’un ensemble de civilisations hautement évoluées, organisées au niveau interplanétaire et intergalactique et se développant au sein d'un univers multidimensionnel, qui n’attendent de nous qu’un peu plus de maturité collective pour que nous puissions les rejoindre

 « Les civilisations extraterrestres qui nous entourent, sans doute depuis plusieurs millénaires –

« Les civilisations extraterrestres qui nous entourent, sans doute depuis plusieurs millénaires – et interagissent sans cesse avec l’espèce humaine – tiennent leur inaccessible puissance technologique, si supérieure à la nôtre, d’une alliance remarquable entre deux familles scientifiques : les sciences de la matière et les sciences de la conscience » . Steven Greer médecin urgentiste américain

L’univers est foisonnant de vie et de civilisations sur des milliards de planètes… …et,

L’univers est foisonnant de vie et de civilisations sur des milliards de planètes… …et, sans renier nos racines locales ni délaisser nos devoirs quotidiens, il nous faut repenser notre place non seulement comme citoyens de la terre, mais encore comme citoyens du cosmos !

Il ne s’agit pas de « croire » à de telles hypothèses, mais seulement

Il ne s’agit pas de « croire » à de telles hypothèses, mais seulement d’en évoquer la possibilité. Les faits, et les faits seuls, trancheront…