La terre est actuellement au centre de la

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La terre est actuellement au centre de la plus grande poubelle qui existe, celle

La terre est actuellement au centre de la plus grande poubelle qui existe, celle de l’espace. Plus de 9 000 débris, d’engins abandonnés, de sondes, de satellites, de pièces de ferraille et de carburants flottent actuellement en orbite autour de la terre, représentant un réel danger non seulement pour les activités de l’espace, mais aussi pour l’équilibre à court et à long terme de l’environnement spatial.

L’agence spatiale américaine - NASA estime que la situation ne peut que s'aggraver dans

L’agence spatiale américaine - NASA estime que la situation ne peut que s'aggraver dans les années à venir. A l’heure actuelle il n'existe aucune méthode efficace et qui ne soit pas hors de prix pour faire le ménage dans ce fatras de déchets de source humaine. Ces débris spatiaux mesurant 100 millimètres ou plus représentent un poids total de 5 000 tonnes. Et ça tourne comme un manège en folie autour de la terre.

Même s'il n'y avait plus de nouveaux lancements spatiaux, la quantité de déchets continuerait

Même s'il n'y avait plus de nouveaux lancements spatiaux, la quantité de déchets continuerait à augmenter. En effet, les débris déjà en orbite se fragmentent en morceaux plus petits, à la faveur de collisions. L’auteur d’un récent rapport pour le compte de la NASA, M. J. C. Liou, estime que la situation est inquiétante. «Nous ne disons pas que le ciel va nous tomber sur la tête, mais nous devons comprendre quels en sont actuellement les risques» , précise-t-il.

La zone contenant le plus de débris est située entre 885 et 1005 kilomètres

La zone contenant le plus de débris est située entre 885 et 1005 kilomètres d'altitude, ce qui signifie que le risque est moindre pour les vols habités. La station spatiale internationale orbite actuellement à 400 kilomètres au-dessus de la terre et les navettes américaines ont tendance à voler dans une région comprise entre 400 et 600 kilomètres d'altitude.

Cependant, l'accumulation de tous ces débris représente quand même un danger pour les activités

Cependant, l'accumulation de tous ces débris représente quand même un danger pour les activités spatiales. Plusieurs de ces débris sont en pleine projection dans l’espace. Ils proviennent de l'explosion de satellites, notamment de vieux étages supérieurs de fusées, abandonnés en orbite, avec des restes de carburant et des liquides à haute pression qui flottent littéralement dans le vide interplanétaire.

Un rapport de la NASA publié en 2005 identifiait la Russie comme étant la

Un rapport de la NASA publié en 2005 identifiait la Russie comme étant la première source de déchets spatiaux, suivie de très par les États-Unis. Les autres grands pollueurs de l'espace sont la France, la Chine, l'Inde, le Japon et l'Agence spatiale européenne.

A elle seule la production de nouveaux débris résultant de la collision des rebuts

A elle seule la production de nouveaux débris résultant de la collision des rebuts existants dépassera la quantité de matières qui finissent par retomber sur terre, estiment les chercheurs. Seul le retrait des grands objets en orbite pourrait empêcher de futurs problèmes pour la recherche et les vols commerciaux dans l'espace, selon les auteurs du rapport, Messieurs Liou et Johnson.

Actuellement, il n'y a pas de solution viable, techniquement et économiquement, pour retirer les

Actuellement, il n'y a pas de solution viable, techniquement et économiquement, pour retirer les débris de l'espace. Une méthode consisterait à fixer des liens aux débris pour les ralentir et les faire retomber plus vite et surtout de manière contrôlée sur la terre, mais cette technique serait excessivement onéreuse au regard des résultats obtenus, selon les chercheurs.

Des satellites et fusées pourraient également être munis de moteurs destinés à les diriger

Des satellites et fusées pourraient également être munis de moteurs destinés à les diriger vers la terre, mais cette méthode supposerait des systèmes complexes. Quant à l'utilisation de lasers basés au sol pour modifier l'orbite des satellites, elle n'est pas vraiment réaliste en raison de la masse des engins et de la quantité d'énergie qui serait nécessaire.

Dans l'état actuel des choses, il semble donc que l’homme soit actuellement condamné à

Dans l'état actuel des choses, il semble donc que l’homme soit actuellement condamné à vivre longtemps avec cette poubelle géante au-dessus de sa tête. . .

Si les hommes continuent d'utiliser ainsi les espaces intergalactiques comme poubelle de leurs déchets

Si les hommes continuent d'utiliser ainsi les espaces intergalactiques comme poubelle de leurs déchets et de leur ferraille spatiale, la prochaine étape pourrait-elle devenir. . .

LE CHAOS?

LE CHAOS?

AU SECOURS!

AU SECOURS!

NOTE Ce diaporama a été préparé à partir d'un dossier publié dans Associated Press

NOTE Ce diaporama a été préparé à partir d'un dossier publié dans Associated Press (AP), sous le titre "Les débris spatiaux s'accumulent autour de la terre", par le journaliste Randolph Schmidt, le 20 janvier 2006.

Intergalactic Winds - Narada Ensemble Création Florian Bernard Tous droits réservés – 2006 jfxb@videotron.

Intergalactic Winds - Narada Ensemble Création Florian Bernard Tous droits réservés – 2006 jfxb@videotron. ca

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AVERTISSEMENT Ce diaporama est strictement privé. Il est à usage non commercial. Il n'est pas destiné à un site internet, ni au grand public. Il est envoyé gratuitement, par courrier électronique privé, aux personnes qui souscrivent aux conditions de réception. Il n'est pas disponible en téléchargement depuis un site internet. Il est interdit de le modifier, y compris de le traduire dans une autre langue, sans autorisation. Pour se renseigner sur les conditions d'abonnement, prière d'écrire à l'adresse ci-dessous. jfxb@videotron. ca Pour des raisons de sécurité, prière de ne pas envoyer de pièces jointes à cette adresse car elles seront automatiquement refusées. Cette adresse n'accepte que des messages en texte seulement, de moins de 100 Ko, sans fichier annexé ni pièces jointes.