LA COMPAGNIE DE LETRANGE ET LE THEATRE DU

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LA COMPAGNIE DE L’ETRANGE ET LE THEATRE DU CHAT PRÉSENTENT LA COLLECTION de Harold

LA COMPAGNIE DE L’ETRANGE ET LE THEATRE DU CHAT PRÉSENTENT LA COLLECTION de Harold PINTER Mise en scène : Martine AMSILI Costumes : Lisbeth BUONANNO Musique : Mardochée AMSILI Bertrand CARADEC André NERMAN Attilio DI COSTANZO Christine MAÎTRE Martine Amsili : 06 12 38 07 84 martineamsili@yahoo. fr

HAROLD PINTER COMEDIEN AUTEUR METTEUR EN SCENE SCENARISTE Harold Pinter est né le 10

HAROLD PINTER COMEDIEN AUTEUR METTEUR EN SCENE SCENARISTE Harold Pinter est né le 10 octobre 1930 à Londres. Son père était tapissier. Ses parents sont juifs, ils sont confrontés au racisme de la guerre qui gronde. C’est un enfant taciturne à la personnalité singulière. Dès l’âge de 13 ans, il écrit des poèmes et invente son univers. Conscient des atrocités de la guerre, il refuse de faire son service militaire. Il devient comédien sous le nom de David Baron et se confronte à la langue de Shakespeare. Il écrit des poèmes et publie un roman semi-autobiographique (The Dwarfs) : Les Nains où découlent déjà toutes les couleurs de son œuvre. Sa première pièce : La Chambre est représentée en 1957 à Bristol, puis L’Anniversaire en 1958. Le Gardien en 1960, La Collection en 1961, et l’Amant en 1963 sont un véritable succès. Elles représentent aujourd’hui son œuvre clé. Notre grand dramaturge s’intéresse aussi au cinéma, il écrit le scénario : The Servant pour Joseph Losey en 1962. Il adapte Le Retour pour le cinéma. Quelques adaptations suivront en 1967 : Accident et en 1969 : Le Messager. En 1980 La Femme du lieutenant français. Il n’oublie pas pour autant la scène et son métier de comédien, il joue dans ses propres pièces et reprend le rôle de Lenny dans Le Retour en 1969. A la recherche du temps perdu en 1972, il réalise un long-métrage tiré de la pièce de Simon Gray : Butley en 1973. parallèlement il met en scène des pièces créées au National Theater. En 1981, il épouse l’écrivain et historienne Lady Antonia Fraser (spécialiste du XVIIe siècle). Puis c’est encore le théâtre, il s’illustre avec : No Man’Land et The Tea-Party en 1975, Trahisons en 1978, The Hot House en 1980, One For The Road en 1984, New World Order en 1991, Moon Light en 1993, Ashes to Ashes en 1996, Célébrations en 2000. En 1998 1999, Harold Pinter revient avec un recueil de poésies et de textes politiques où il dénonce la guerre et le pouvoir des USA. Sa pièce : Le Retour est entré au répertoire de la Comédie Française en décembre 2000. Il est chargé de l’adaptation pour le cinéma de la célèbre pièce d’Anthony Shaffer : Sleuth, (Le Limier ). Harold Pinter est lu et joué dans le monde entier, il est un des plus grands dramaturges du XXème siècle. Le succès que son œuvre rencontre ne cesse de s’accroître, les directeurs de théâtre font toujours preuve de beaucoup d’enthousiasme pour l’accueillir. Martine Amsili : 06 12 38 07 84 martineamsili@yahoo. fr

LA COMPAGNIE DE L’ETRANGE • • • La Compagnie de l’Etrange a été créée

LA COMPAGNIE DE L’ETRANGE • • • La Compagnie de l’Etrange a été créée autour de la personnalité d’Attilio DI COSTANZO, et avec Bertrand ROY, et Xavier-Valéry GAUTHIER. Attilio manifeste le désir de monter sur scène pour incarner des rôles qui lui tiennent à cœur. A cette fin, monter sa compagnie était le moyen le plus approprié. La Compagnie s’intéresse aux pièces de John OSBORNE, en particulier « La Paix du Dimanche » , ainsi qu’à celles de Harold PINTER. Elle souhaite monter « La Collection » , mais à cette époque, les droits grevés d’une exclusivité au profit du metteur en scène Patrice KERBRAT mettent un terme au projet. Attilio Di Costanzo manifestant un goût prononcé pour l’écriture, la Compagnie représente sa première pièce, « Confessions d’un Tueur » , en 2000 durant 5 mois, interprétée par Attilio et Bertrand ROY. Cette pièce relate la rencontre singulière entre un tueur professionnel cynique et iconoclaste ayant érigé le meurtre en art de vie, et son client soumis aux convenances morales et sociales. Le succès de cette pièce pousse la Compagnie à représenter « L’Horloge » , seconde pièce d’Attilio de mai à juin 2001. Cette pièce, reprise en 2003 durant 3 mois avec une mise en scène de Léa LECOEUR, et comprenant Xavier-Valéry GAUTHIER dans la distribution (qui s’est notamment illustré dans le « Feydau Terminus » de Didier BEZACE), est également un huis-clos ou étrangeté, mystère et humour prédominent. La rencontre d’Attilio avec la comédienne-metteur en scène Martine AMSILI s’avère cruciale pour la Compagnie. Leurs efforts cumulés permettent l’obtention des droits de « La Collection » . La Compagnie de l’Etrange s’est illustrée par un penchant pour les textes dans lesquels prédominent le huis-clos, le mystérieux, la confrontation entre protagonistes en quête d’un idéal. Dès lors, « La Collection » ne pouvait pas ne pas être représentée par la Compagnie. Ce sera prochainement chose faite. Martine Amsili : 06 12 38 07 84 martineamsili@yahoo. fr

NOTE DE MISE EN SCENE • • • • Mon engagement irrépressible vis à

NOTE DE MISE EN SCENE • • • • Mon engagement irrépressible vis à vis de cette œuvre est avant tout de suivre le grand dramaturge en respectant son univers, son sentiment hagard, ses silences énigmatiques et la grande détresse humaine qu’il attribue aux personnages. La langue claire de Harold Pinter joue l’ambiguïté. Ici l’intelligence épouse l’esprit, l’esprit se lie avec l’émotion retenue et les fantasmes rivalisent avec la perfidie. Osciller entre le réalisme et l’irréalisme, tenir la balance entre deux couples établis ancrés nulle-part, diriger les comédiens sans jamais leur donner d’appartenance, déranger leurs obsessions humaines et inconfortables en dévoilant le subconscient qui régie tout au long de la pièce les protagonistes : Tout cela fait partie de mes ambitions scéniques. Je m’attacherai à ne pas perdre le rythme ponctué par les silences immortels. C’est dans ces interminables silences criblés de mots que la pensée est la plus effroyable. Il n’y a pas de réponse précise aux questions qui s’évanouissent brutalement. Ici l’auteur laisse la part belle à l’imaginaire imaginé. Stella et Bill Lloyd se sont certes rencontrés mais ont-ils été amants ? Je veux démontrer, le soupçon, la trahison, la jalousie, la solitude, l’instinct, l’incertitude, la perfidie des protagonistes qui ne doivent jamais vaciller, éclater. Ici tout le monde avance dans une force machiavélique où la violence n’est jamais vraiment exhortée. Sur fond d’homosexualité masculine, l’errance de quatre âmes sur le chemin de la vie se croise et s’entrecroise, se tourne et se détourne, s’intéresse et se désintéresse avec un flegme déroutant. C’est cette atmosphère que je veux dépeindre en restituant la pensée suggérée plutôt qu’en imposant l’histoire aux spectateurs. Troubler le public, l’emmener sur une fausse piste. La chute déstabilisante échouée ici n’est pas cadenassée, elle s’impose de manière naturelle avec une dernière réplique qui ne conduit pas à un véritable dénouement mais au point de départ. Cet auteur m’a émue dans sa vie et son œuvre, Je me sens très proche de son histoire car tout comme lui, je suis fille d’immigrés juifs. Mon père trompettiste de Jazz né en 1931 a été confronté pendant la deuxième guerre mondiale à un racisme et à des persécutions qui le marquèrent de manière définitive. Les années trente, voire quarante me paraissent intéressantes pour situer la période et planter le décor des deux intérieurs. Réinventer une atmosphère encore plus troublante, encore plus incertaine face à la guerre qui gronde pourrait enrichir cette œuvre. Mardochée Amsili passionné de musique de jazz se propose d’écrire la musique et de la dédier à l’auteur. Nous serions ravis de rencontrer Harold Pinter pour parler du projet si toutefois son emploi du temps le fait voyager dans notre pays. Ma rtine Amsili Martine Amsili : 06 12 38 07 84 martineamsili@yahoo. fr

RESUME DE LA PIECE • • • Stella révèle à son époux James, une

RESUME DE LA PIECE • • • Stella révèle à son époux James, une aventure avec Bill Lloyd. Cette aventure se serait produite lors d’un déplacement professionnel. James en fait une obsession et polarise son attention sur cet amant d’une nuit. Il met tout en œuvre pour le rencontrer et le défier. Mais la relation entre ces deux hommes se développe d’une manière menaçante et déroutante. La conversation devient cynique et trompeuse, Bill déstabilise le mari jaloux tantôt en avouant les faits tantôt en niant toute cette histoire. Le conjoint de Bill, Harry obnubilé par toute cette histoire se rend chez Stella. Cette dernière lui certifie ne pas connaître Bill, elle parle d’histoire fantastique inventée par son mari. A son retour Harry surprend les deux hommes, James vient de lancer un couteau à Bill, sa main est blessée, Harry se présente et se mêle à la conversation d’une manière naturelle et hospitalière. Il rapporte sa conversation et brouille les pistes. Il utilise tous les rouages pour faire comprendre à James que cette aventure est la pure invention d’une femme, de sa femme. Il fait le portrait de Bill en lui racontant sa vie, le vilipende et soutient les aveux de Stella. Sur fond d’homosexualité masculine, le chassé croisé subtil annihile le vaudeville trop souvent représenté au théâtre. Harold Pinter traite d’une manière singulière : Le mari, la femme et l’amant et va plus loin dans ce qui est vrai et incertain, dans ce qui est invisible et détectable. Il s’attaque à des personnages hors du commun et tient la corde raide jusqu’à la fin de l’histoire. Martine Amsili

MARTINE AMSILI Sortie du Conservatoire de Marseille, avec un premier prix d’interprétation. Martine Amsili

MARTINE AMSILI Sortie du Conservatoire de Marseille, avec un premier prix d’interprétation. Martine Amsili arrive à Paris en 1981 et se confronte au métier difficile de comédienne. Elle travaille avec Jean Debré, Marc Vallès, Eva Barbuscia etc. . . et choisit ses rôles avec un grand intérêt. Elle joue : Armande dans les Femmes Savantes, Célimène dans le Misanthrope, La Duchesse dans Louison d’Alfred de Musset, Marianne dans les Caprices, Ania dans la Cerisaie de Tchekhov, l’Exploratrice dans des Histoires comme ça de R. Kipling, etc. . . Passionnée par la littérature et les grands textes du répertoire, elle veut parfaire son jeu et se cultiver. Elle entre au cours René Simon et commence à aborder le jeu théâtral. De Périmony à l’Actor’Studio, elle s’enrichit de toutes les formes de théâtre tout en continuant à jouer. Elle suit également les cours de l’Institut d’Etudes Théâtrales de Censier. Elle fait quelques petites apparitions à la télévision et au cinéma avec Rémy Duchemin ou encore Patrick Jamain. Insatisfaite, elle retourne très vite à ses amours : Le Théâtre et s’y consacre entièrement. Alexandre Grecq de la Comédie Française croise son chemin : Ils entreprennent un long travail de recherches de textes, les explorent et s’attèlent à la technique théâtrale : respiration et mécanisme de la diction. Le Maître n’en finit pas d’enseigner à son disciple la grande étendue du Théâtre. Puis c’est la rencontre avec Yves Furet, elle entre dans sa classe et continue un travail auquel elle croit plus que tout : La Technique du jeu verbal. Riche d’une grande connaissance de l’Art Dramatique, elle ouvre son cours et transmet sa passion et son savoir à d’autres passionnés de la langue française. Dans un Théâtre parisien, elle crée un univers qu’elle nomme « Laboratoire de la pensée » où chacun peut venir la rencontrer. Ses cours sont axés sur la technique : Le mécanisme de la diction et la respiration indispensables pour interpréter un texte et le restituer dans la pensée de l’auteur. Elle aborde le problème de la confiance en soi et travaille sur la personnalité du comédien. Une méthode singulière pour la mémoire à travers des exercices pour l’assimilation d’un grand nombre de textes est abordée. Les biographies d’auteurs qu’elle écrit permettent à ses élèves de découvrir la vie et l’œuvre des grands littérateurs. Toutes ces expériences conduisent inévitablement Martine Amsili vers l’écriture de pièces de théâtre. Sa première pièce : Chez Ninon de Lenclos a trouvé un éditeur et va être montée à Paris. Martine Amsili : 06 12 38 07 84 martineamsili@yahoo. fr

ATTILIO DI COSTANZO • • D'origine napolitaine, Attilio Di Costanzo a été tour à

ATTILIO DI COSTANZO • • D'origine napolitaine, Attilio Di Costanzo a été tour à tour guitariste de jazz-fusion, étudiant en droit, animateur radio, puis s’est dirigé vers l'Art dramatique et a intégré l'Ecole Florent en 2000. Il participe à divers stages : Cyber-Act en 2000, un atelier sur le travail d'acteur devant la caméra dirigé par Yvon MARCIANO en 2001, un atelier de travail de scènes du répertoire avec Martine AMSILI en 2002/2003. • Mais son désir d'apprendre le théâtre se conjugue très rapidement avec sa volonté de monter sur scène et de se confronter au public. Aussi, décide-t -il de passer à l'acte en écrivant ses propres textes qu'il joue. Sa première pièce, "Confessions d'un Tueur", huis-clos sur fond d'humour noir, a été jouée en 2000 durant 5 mois : "L'Horloge", un autre huis-clos qu'il joue durant 2 mois en 2001, et qu'il reprendra 3 mois durant, en 2003. Passionné par l'écriture et la réalisation, il a également écrit et réalisé trois court-métrages dans lesquels il joue également : "Le Blues du Démon" (2001), "C'est comme Ça" (2002), et "Le Hasard fait (parfois) bien les choses" en 2003. • Au cinéma, il a joué dans de nombreux courtmétrages dont : "Bois !" de Mathieu Naert, "Dogma 0" et "22 m plus bas" de Philippe Tran, "Drôle de Noël" de F. Louch, "Thriller" de Pierre Tanguy, "Le Vieil homme au coin de la rue" de David Frécinaux, "Tueurs de temps" de D. Aimedieu, "Le Casting" d’Yvon Marciano, "Ad Partres" de B. Gouzien, et s'apprête à tourner en juin 2003 dans "Bull" de Sébastien Mermoz. Il a par ailleurs joué dans le premier long-métrage de Nadia El Fani, "Bedwin Hacker" et dont la sortie en salles est prévue pour l'été 2003. • Au théâtre, en plus de ses oeuvres, il a interprété Bill Lloyd dans "La Collection" de Harold Pinter (m. e. s : Jean Lassale), et le fils préféré du Créateur dans "Maître Néphos", conte philosophique de et mis en scène par Jacques Danton au Théâtre des Enfants terribles. Il a participé à la réécriture de "Aurélien Beval, tueur en série", premier long-métrage de David Frécinaux, et travaille actuellement sur sa prochaine pièce intitulée "La Cellule • Martine Amsili : 06 12 38 07 84 martineamsili@yahoo. fr

ANDRE NERMAN • • André NERMAN a suivi les cours Raymond Girard et Jean

ANDRE NERMAN • • André NERMAN a suivi les cours Raymond Girard et Jean Darnel à Paris , puis a complété sa formation avec Rick Sevy (Actor’s Studio à Los Angeles) et Georges Shdanoff. Très vite il interprète les jeunes premiers du répertoire (Rodrigue du Cid, le Comte Almaviva du Barbier de séville, Clitandre des Femmes Savantes, Cléante de l’Avare, Roméo (avec Muriel Mayette ) au Festival d’Angers 83 etc. . ). Puis il enchaine plusieurs séries à la télévision (notamment « Coulisses » aux côtés d’Anouk Ferjac). André travaille aussi sous la direction de Jean-Louis Thamin au CDN de Nice ( notamment dans « Le chevalier à la Rose » avec Francine Bergé) ; il joue également aux côtés de Catherine Salviat, Jean Davy, Sylvia Bergé (Antigone, Thérèse Desqueyroux. . ), il est dirigé par Rudolph Noureev dans « Manfred » à l’Opéra de Paris, puis il joue Neipperg de Madame Sans Gènes avec Annie Cordy. On le retrouve avec Jean-Claude Durand et Maud Raier (Le Livre de Christophe Colomb de Claudel « Avignon » 92)… Depuis une dizaine d’années, André partage sa vie professionnelle entre la France et les Etats-Unis où il a créé, entre autre, l’adaptation théâtrale de « Tender is the Night » de Fitzgerald mis en scène par Simon Levy. Avec sa compagnie Continent II, André Nerman met en scène à Hollywood « The Book of Christopher Columbus » - la version anglaise de la pièce de Claudel. Il participe à des tournées internationales où il interprète Sartre, Tardieu, Prévert…. puis organise lui-même des tournées en Amérique du Nord : il met en scène des spectacles musicaux, des adaptations et des auteurs contemporains comme récemment Marguerite Duras ( « La Musica Deuxième » ). En France il continue à jouer des classiques tels que « Andromaque » (Oreste) et plus récemment « Lucrece Borgia » (Don Alphonse). Parallèlement à sa carrière d’acteur et de metteur en scène, André Nerman est également auteur compositeur interprète (trophée Piaf 2002), il écrit aussi des adaptations et des scénarios. Martine Amsili : 06 12 38 07 84 martineamsili@yahoo. fr

CHRISTINE MAITRE • • • Après deux ans de théâtre à l’Ecole Municipale d’Art

CHRISTINE MAITRE • • • Après deux ans de théâtre à l’Ecole Municipale d’Art Dramatique de Bruges (33) où elle travaille des auteurs contemporains tels Anton Tchekhov, R. W. Fassbinder, Tennessee Williams ou encore Jean -Claude Danaud, Christine Maitre arrive à Paris en septembre 2000 poursuivre ses études et devenir institutrice. Son plus grand souhait est de reprendre des cours de théâtre. En 2001, elle change de voie et abandonne le professorat des écoles pour cette passion qui brûle au fond d’elle depuis plusieurs années : Le Théâtre. Elle rencontre Martine Amsili cette même année et intègre son atelier. La passion qui émane de cette comédienne la conforte dans son désir de camper des personnages. Elle travaille avec ardeur sur la technique, la respiration sur les plus grands textes du répertoire : les lettres de la Religieuse portugaise, Anna dans Cet étrange animal de Gabriel Arout, Junie dans Britannicus, Célimène dans le Misanthrope, Hermione dans Andromaque et se confronte au métier difficile de comédienne. Martine Amsili la remarque et lui offre le rôle de Madame de La Sablière dans sa première pièce de théâtre intitulée : Chez Ninon de Lenclos. • Martine Amsili : 06 12 38 07 84 martineamsili@yahoo. fr

BERTRAND CARADEC Passionné de théâtre depuis toujours, Bertrand Caradec arrive à Paris en 2001,

BERTRAND CARADEC Passionné de théâtre depuis toujours, Bertrand Caradec arrive à Paris en 2001, après avoir travaillé durant trois ans avec la troupe du « Théâtre de l’Être » de Vannes sous la direction d’Hervé Richardot et de Fabrice Grébert. Il y interprète des rôles qui lui tiennent à cœur comme celui d’Alexandre dans « Les bons bourgeois » de René de Obaldia, Philippe dans « Un air de famille » de Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri ou encore Hémon dans « Antigone » de Jean Anouilh. Passionnée par les mots et le verbe, il cherche à parfaire son jeu tant sur le plan de la technique sur celui des émotions. Il rencontre Martine Amsili et intègre son atelier. Il se découvre alors une passion pour le répertoire classique et les grands auteurs. Il a la chance pendant ces années d’enseignement de pouvoir interpréter les plus beaux rôles du répertoire tel que Alceste dans le Misanthrope, Oreste dans Adromaque ou encore Néron dans Britannicus. Il croise également en 2001 le chemin de Hamma Méliani et travaillera pendant une année avec la troupe du « Théâtre Aspic-Hamélia » sur le spectacle de création « L’Enfer des anges » . Martine Amsili : 06 12 38 07 84 martineamsili@yahoo. fr

LISBETH BUONANNO Dès son plus jeune âge, Lisbeth Buonanno eut la passion des étoffes,

LISBETH BUONANNO Dès son plus jeune âge, Lisbeth Buonanno eut la passion des étoffes, des matières, des couleurs. Elève de Malcolm de Chazal, peintre et «écrivain de l’Ile Maurice » elle suivit pendant des années son enseignement spirituel et artistique. Elle s’imprègne de cette atmosphère et subit l’influence de sa mère modéliste chez Dior. Cette éducation artistique ancrée en elle pense être détournée pour un temps de ses objectifs, il n’en est rien, Lisbeth obtient une bourse d’études pour la République Populaire de Chine, elle s’immerge au fin fond de celle-ci pour mieux se rapprocher de ce qu’elle aime passionnément : les tissus et les couleurs. Elle crée ainsi au royaume des broderies et des soieries ses propres créations. Sur son chemin, une rencontre avec un responsable de chez Yves-Saint-Laurent la conforte dans ce qu’elle veut entreprendre : la création de modèles sous toutes ses formes. Hanaë-Mori la remarque, s’intéresse à son coup de crayon, à la magie de ses couleurs et l’engage en tant que styliste. Puis c’est le monde du spectacle qui fait appel à elle, son enthousiasme, sa passion la révèlent à l’Opéra Lyrique de Singapour avec des créations comme : La Traviata, Carmen, Die Fledermaus et Sneeze dans le théâtre. Monsieur Cartier tombe sous le charme de sa collection et la sponsorise pour une exposition de ses créations de mode lors de l’évènement : The French Fashion Furor 2000. De retour en France, elle est engagée à Opéra. Bastille comme responsable de spectacle pour les productions : Don Giovanni, Lucia di Lammermoor. Martine Amsili la rencontre, une confiance s’installe. Elle lui demande de réaliser sept costumes du XVIIème siècle pour sa pièce de théâtre intitulée : Chez Ninon de Lenclos. La pièce de théâtre est en cours de production. Martine Amsili : 06 12 38 07 84 martineamsili@yahoo. fr

JAMES Martine Amsili : 06 12 38 07 84 martineamsili@yahoo. fr

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HARRY Martine Amsili : 06 12 38 07 84 martineamsili@yahoo. fr

HARRY Martine Amsili : 06 12 38 07 84 martineamsili@yahoo. fr

STELLA Martine Amsili : 06 12 38 07 84 martineamsili@yahoo. fr

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BILL Martine Amsili : 06 12 38 07 84 martineamsili@yahoo. fr

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