Journes annuelles de sant mentale Tout un monde

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Journées annuelles de santé mentale Tout un monde en action Montréal 15 mai 2012

Journées annuelles de santé mentale Tout un monde en action Montréal 15 mai 2012

Savoir reconnaître les facteurs de risque et les signes avantcoureurs de psychose Marie Villeneuve,

Savoir reconnaître les facteurs de risque et les signes avantcoureurs de psychose Marie Villeneuve, MD, FRCP© Programme des Premiers Épisodes Psychotiques Louis-H. Lafontaine Francine Dubé Directrice générale SQS

Psychoses et schizophrénie § Maladie du cerveau § Rupture ou altération du contact avec

Psychoses et schizophrénie § Maladie du cerveau § Rupture ou altération du contact avec la réalité § Touche environ 3% de la population (1% pour la schizophrénie) § Débute surtout chez les jeunes entre 15 et 35 ans § Proportion égale Ho- Fe

La psychose, une maladie neurobiologique qui… l l Altère le contact avec la réalité

La psychose, une maladie neurobiologique qui… l l Altère le contact avec la réalité Touche : • Les perceptions • Les pensées, les croyances • Les émotions • Les comportements

La psychose… l …et les perceptions : • Hallucinations auditives, visuelles, • l cénesthésiques

La psychose… l …et les perceptions : • Hallucinations auditives, visuelles, • l cénesthésiques Impression de recevoir des messages (TV, radio ou autres) … et les pensées, les croyances : • Confusion, perte de sens du discours • Troubles de concentration • Ralentissement ou accélération • Croyances bizarres (délire : convictions inébranlables)

La psychose… l …et les émotions : • Peuvent changer sans raison apparente (labilité)

La psychose… l …et les émotions : • Peuvent changer sans raison apparente (labilité) • Perte de plaisir, sentiment d’être détaché • Trop de plaisir • Peur, irritabilité • Affect inapproprié l … et les comportements : • Étrangeté • Agitation • Retrait

Étiologie de la psychose Causes neuropsychologiques Génétique : rôle irréfutable • Plusieurs gènes sont

Étiologie de la psychose Causes neuropsychologiques Génétique : rôle irréfutable • Plusieurs gènes sont impliqués (prédisposition héréditaire) • Prévalence de la schizophrénie 1% population générale 5% parents deuxième degré (oncles, cousins) 10% parents 1 er degré (père, frère, jumeaux dizygotes) 40% enfant de 2 parents schizophrènes F 50% jumeaux monozygotes (identiques)

Étiologie de la psychose Causes neurobiologiques Anomalies du cerveau § lobes frontaux : hypofrontalité

Étiologie de la psychose Causes neurobiologiques Anomalies du cerveau § lobes frontaux : hypofrontalité (centre de commandes habiletés sociales et des fonctions exécutives) § limbique : réduction du volume de l’hippocampe (permet de moduler les émotions, d’emmagasiner l’information) § lobes temporaux / centre de l’audition : hallucinations auditives Dysfonctionnement au niveau des neurotransmetteurs § dopamine § sérotonine § glutamate connexion entre les cellules défectueuse

Étiologie de la psychose Stresseurs socioenvironnementaux Ü Complications grossesse: affecte le développement cérébral §

Étiologie de la psychose Stresseurs socioenvironnementaux Ü Complications grossesse: affecte le développement cérébral § infections virales, drogues, etc. § naissances hivernales § complications à la naissance Ü Stresseurs environnementaux § consommation de drogue § événements de la vie quotidienne § stress de performance § insuffisance du soutien social ≠aucun soutien à la théorie de la mère schizophrénigène

Modèle vulnérabilité-stress Stress x x Vulnérabilité

Modèle vulnérabilité-stress Stress x x Vulnérabilité

Pour poser un diagnostic de schizophrénie… l Combinaison de : • Idées délirantes •

Pour poser un diagnostic de schizophrénie… l Combinaison de : • Idées délirantes • Hallucinations • Discours désorganisé • Comportement désorganisé ou catatonique • Symptômes négatifs

Pour poser un diagnostic de schizophrénie… l l l Dysfonction sociale et dans les

Pour poser un diagnostic de schizophrénie… l l l Dysfonction sociale et dans les activités Durée au moins 6 mois Non secondaire à une condition médicale ou à une substance

Schizophrénie : symptômes positifs § Délires (convictions erronées) Délire paranoïde (idées de référence, sentiment

Schizophrénie : symptômes positifs § Délires (convictions erronées) Délire paranoïde (idées de référence, sentiment de persécution) _ Délire de contrôle (sentiment d’être contrôlé par l’extérieur) § Hallucinations (perceptions altérées des sens) Auditives (80 à 85%) Visuelles (20%) Olfactives, cénesthésique § Troubles de la pensée Pensée illogique, pauvre, idées relâchées… Néologismes Jargonaphasie (salade de mots)

Schizophrénie : symptômes négatifs § § § Alogie ou difficulté de conversation Apathie ou

Schizophrénie : symptômes négatifs § § § Alogie ou difficulté de conversation Apathie ou perte d’énergie Anhédonie ou perte de plaisir Asocialité ou isolement / retrait social Affect émoussé ou moins d’expression d’émotions Déficits cognitifs

SCHIZOPHRÉNIE SYMPT. POSITIFS SYMPTOMES NÉGATIFS - Délire - Alogie -Anhédonie - Hallucinations - Avolition

SCHIZOPHRÉNIE SYMPT. POSITIFS SYMPTOMES NÉGATIFS - Délire - Alogie -Anhédonie - Hallucinations - Avolition - Désorg. Discours - Retrait social - Désorg. Comport. - Affect émoussé EFFETS SECONDAIRES DYSFONCTIONNEMENT SOCIAL - Travail - Relations - Soins personnels DÉFICITS COGNITIFS - Attention - Mémoire - Fonct. exécutives - Autocritique SYMPTOMES AFFECTIFS - Dysphorie - Idéation suicidaire - Désespoir 16 - Dépression 16

La psychose aussi possible dans : l l l Trouble schizoaffectif (uni et bipolaire)

La psychose aussi possible dans : l l l Trouble schizoaffectif (uni et bipolaire) Trouble délirant Trouble psychotique bref Psychose secondaire à une condition médicale ou abus de substance Autres (dépression majeure, MAB, démence, parkinson)

Phases évolutives de la schizophrénie (cité dans Dellamillieure et al, 2009: 80) Comité Dépistage

Phases évolutives de la schizophrénie (cité dans Dellamillieure et al, 2009: 80) Comité Dépistage Stip 2011

Prodrome FPremière phase de la maladie caractérisée par des signes vagues, difficiles à détecter,

Prodrome FPremière phase de la maladie caractérisée par des signes vagues, difficiles à détecter, des changements dans les pensées, les émotions, les perceptions. AQPPEP : « Association Québécoise des Programmes des Premiers Épisodes de Psychose »

Prodrome FLes facteurs de risque, confèrent un risque de maladie en tout temps. Par

Prodrome FLes facteurs de risque, confèrent un risque de maladie en tout temps. Par exemples : ATCD familiaux, les marqueurs biologiques… FLes signes avant-coureurs, sont des signes qui annoncent ou permettent de déceler un trouble avant qu’il ne se déclare ou s’installe. Yung & Mc. Gorry, 1996

Facteurs de risque § Facteurs périnataux § Diagnostic de maladie mentale dans la famille

Facteurs de risque § Facteurs périnataux § Diagnostic de maladie mentale dans la famille § Consommation de drogue et d’alcool § Traumatismes (abus, abandons, immigration…)

Signes avant-coureurs (1) § Retrait social, isolement § Bris dans le fonctionnement (difficulté à

Signes avant-coureurs (1) § Retrait social, isolement § Bris dans le fonctionnement (difficulté à fonctionner dans des rôles sociaux habituels (scolaire, travail) § Négligence de l’hygiène, de l’apparence § Manque de motivation, d’intérêt, § Troubles cognitifs (attention, mémoire, fonctions exécutives…) § Trouble du sommeil

Signes avant-coureurs (2) § Croyances bizarres ou pensées magiques § Plaintes somatiques variées §

Signes avant-coureurs (2) § Croyances bizarres ou pensées magiques § Plaintes somatiques variées § Suspicion § Langage vague, circonstanciel et pauvre § Comportements étranges, excentriques § État dépressif, gestes suicidaires § Problèmes du comportement (actes de délinquance, violence) § Changements brusques d’intérêts

Prodrome et schizophrénie (problèmes rapportés par les patients) Nicole 2006 Total (%) (n= 232)

Prodrome et schizophrénie (problèmes rapportés par les patients) Nicole 2006 Total (%) (n= 232) Agitation Dépression Anxiété Problème de concentration 16 Inquiétude Manque de confiance en soi 13 Manque d’énergie Performance pauvre Retrait social – méfiance Retrait social – communication 19 19 18 15 12 11 10 10

L’adolescence est une phase de transition et d’adaptation qu’il ne faut pas confondre avec

L’adolescence est une phase de transition et d’adaptation qu’il ne faut pas confondre avec une maladie. Sous-prétexte de l’adolescence, il ne faudrait pas négliger les problèmes de santé mentale de nos jeunes et ignorer leur état de détresse.

La santé mentale de nos jeunes Gingras 2006 Entre 15 et 19 ans 29%

La santé mentale de nos jeunes Gingras 2006 Entre 15 et 19 ans 29% garçons 46% filles niveau détresse psychologique élevé Entre 12 et 14 ans 11% garçons 24% filles trouble mental non spécifique: anxiété, tr. de conduite, hyperactivité 6% garçons 11 % filles trouble de l’adaptation

Problèmes liés au dépistage des prodromes de la schizophrénie • Non spécifique • Concept

Problèmes liés au dépistage des prodromes de la schizophrénie • Non spécifique • Concept rétrospectif • Pas de traitement reconnu

Pourquoi insister malgré tout ? ? ? La psychose est une maladie qui se

Pourquoi insister malgré tout ? ? ? La psychose est une maladie qui se traite § Plusieurs personnes présentant des symptômes prodromaux ne développeront pas la maladie § 20 à 25 %: 1 épisode, rémission spontanée § 10 à 15 %: évolution morbide, pauvre réponse à la médication, encadrement intensif dans le milieu de vie, itinérance ou hospitalisation à long terme § 50 à 65 %: quelques hospitalisations surtout en début de parcours, réponse plus lente à la médication et aux traitements de réadaptation. Reprise progressive des différents rôles.

Émergence de groupe de symptômes 5 ans avant la première hospitalisation PRODROME Premiers signes

Émergence de groupe de symptômes 5 ans avant la première hospitalisation PRODROME Premiers signes Symptômes positifs (softs signs) Symptômes négatifs 5 ans 4 ans 2 ans 1 an Nicole 2006 Hospitalisation

Durée de la psychose non traitée: données internationales Étude Pays 1. Mc. Gorry PD

Durée de la psychose non traitée: données internationales Étude Pays 1. Mc. Gorry PD et al. 1996 Australie 2. Beiser M et al. 1993 Canada 3. Loebel AD et al. 1992 USA 4. Häfner H et al. 1993 Allemagne 5. Perkins DO et al. 2000 USA 6. Haas GL and Pittsburg Sweeney JA. 1992 USA Nicole 2006

Qu’arrive-t-il si le traitement est retardé? FLa psychose est une expérience traumatisante et angoissante

Qu’arrive-t-il si le traitement est retardé? FLa psychose est une expérience traumatisante et angoissante pour la personne. « Plus les délais sont longs, plus la guérison risque d’être tardive et incomplète » Loebel 1992. § Abus de substance (Hambrecht and Häfner 1995) § Risque accru de suicide, dépression (Bromet et al 1998) § Interruption du cheminement scolaire ou report du projet vocationnel § Appauvrissement du réseau social et augmentation des difficultés de réinsertion socioprofessionnelle, itinérance (Häfner et al 1995)

Qu’arrive-t-il si le traitement est retardé? (suite) § Relations familiales explosives (épuisement de la

Qu’arrive-t-il si le traitement est retardé? (suite) § Relations familiales explosives (épuisement de la famille) § Problèmes de judiciarisation § Entrée plus traumatique dans la maladie (policiers, ambulanciers, etc. ) § Dose plus importante d’antipsychotique et réponse plus lente au traitement et hospitalisation plus longue § Rémission incomplète des symptômes et pronostic appauvri

Traiter précocement permet : § D’éviter la chronicité et l’auto-stigmatisation (Birchewood 1992) § De

Traiter précocement permet : § D’éviter la chronicité et l’auto-stigmatisation (Birchewood 1992) § De soutenir le processus de maturation et le développement identitaire § De maintenir l’espoir et l’acquisition des tâches développementales: socialisation, scolarisation, insertion dans un milieu de travail… § D’éviter les ruptures trop longues au plan vocationnel et social § De miser sur la relation de confiance et de réduire les traitements coercitifs

Ce qui empêche de traiter précocement… § La prévention primaire est inexistante § Le

Ce qui empêche de traiter précocement… § La prévention primaire est inexistante § Le manque de connaissances de la psychose, la stigmatisation § Attitudes du clinicien: pessimisme, crainte à intervenir, peur de sur diagnostiquer stigmatiser § Attitude de déni du jeune, des proches et des intervenants § Le manque de ressources et de professionnels formés et habilités à intervenir § Le manque de concertation entre les différents programmes et ressources

Médicaments: Antipsychotiques Prodrome Aucun Recherche: faible dose antipsychotique Traiter les autres pathologies associées: anxiété,

Médicaments: Antipsychotiques Prodrome Aucun Recherche: faible dose antipsychotique Traiter les autres pathologies associées: anxiété, dépression, etc. Psychose débutante Dosage minimale Famille des atypiques Évite la multi-thérapie Guide de pratique: 1ère hosp. 3 hosp et + : 1 à 2 ans 5 ans

Principales cibles de la psychoéducation: 1. Le stress 2. L’alcool et les drogues 3.

Principales cibles de la psychoéducation: 1. Le stress 2. L’alcool et les drogues 3. La gestion des symptômes et des rechutes

Ü § 2. Psychoéducation: alcool et drogues 50 à 80 % des jeunes qui

Ü § 2. Psychoéducation: alcool et drogues 50 à 80 % des jeunes qui font une psychose ont un problème d’abus de substances La vulnérabilité à la psychose prédispose à la consommation: auto-traitement ou mise à distance La consommation de cannabis accroît la vulnérabilité (déclencheur) et précipite la psychose § Le trouble de comorbidité est associé à une évolution plus pauvre

Consommation de cannabis et psychose § Aggravation du cours naturel de la maladie §

Consommation de cannabis et psychose § Aggravation du cours naturel de la maladie § Une moindre observance thérapeutique § Désinsertion sociale (pro. de logement et d’emploi)

Schizophrénie et abus de substances Cloutier 2006 § § § Plus grande fluctuation des

Schizophrénie et abus de substances Cloutier 2006 § § § Plus grande fluctuation des symptômes Anxiété, dépression, paranoïa sont augmentés Risque de violence accru Taux de suicide plus élevé Rechutes plus fréquentes Surutilisation des services Soulage l’anhédonie Accroît la sociabilité Hausse des troubles de dyskinésie tardive Baisse du fonctionnement cognitif Diminution de l’efficacité des médicaments Apaise l’anxiété

Définition d’un outil de dépistage « Ensemble de tests ou d’examens permettant de trouver

Définition d’un outil de dépistage « Ensemble de tests ou d’examens permettant de trouver la trace des premiers indices d’une affection latente avant l’apparition des signes fonctionnels ou cliniques » . Larousse

Pour le prodrome de psychose • Premier outil 1985 • Manque d’homogénéité dans la

Pour le prodrome de psychose • Premier outil 1985 • Manque d’homogénéité dans la clientèle ciblée. On parle de + en + des « schizophrénies » et non plus d’une entité unique • Outils développés dans un cadre de recherche • Une partie seulement des outils ont permis d’identifier de façon valide les sujets à risque de développer la maladie F Manque d’unanimité sur les éléments à intégrer pour évaluer un prodrome

 Un projet québécois sur un outil de dépistage de la psychose Piloté par

Un projet québécois sur un outil de dépistage de la psychose Piloté par la Société québécoise de la schizophrénie (SQS) et financé dans le cadre du programme Prends soin de toi… Formation d’une équipe de chercheurs et de professionnels rattachés à la SQS travaillant depuis plus de deux ans au développement de l’outil

COMITÉ SCIENTIFIQUE l l l l Me Odette Beaudoin — Représentante des parents et

COMITÉ SCIENTIFIQUE l l l l Me Odette Beaudoin — Représentante des parents et présidente du C. A. de la SQS Ginette Comtois — Psychologue en réadaptation vocationnelle, Hôpital Louis-H. Lafontaine Francine Dubé — Directrice générale de la SQS et gestionnaire du projet Jean-François Pelletier — Chercheur, Centre de recherche Fernand-Seguin Dr Jean-Pierre Rodriguez — Psychiatre, Hôpital du Sacré-Cœur Dr Emmanuel Stip — Psychiatre, CHUM – Hôpital Notre. Dame Dre Marie Villeneuve — Psychiatre, Hôpital Louis-H. Lafontaine

PROFESSIONNELS l l l l Nicky Aumond — Présidente, P. A. I. R. Inc.

PROFESSIONNELS l l l l Nicky Aumond — Présidente, P. A. I. R. Inc. , Animation de groupes de discussion et traduction de l’outil Danièle Blais — Assistante de recherche Amy Butcher — Révision anglaise de l’outil Jean-Gabriel Daneault — Résident stagiaire, psychiatrie Hélène Jolin — Vice-présidente, P. A. I. R. Inc. , Animation de groupes de discussion et conception de l’outil Andrée Quiviger — Révision française de l’outil Karina Sieres — Conseillère gestion et projets spéciaux

Projet dépistage de la SQS : but § Concevoir, tester et promouvoir un outil

Projet dépistage de la SQS : but § Concevoir, tester et promouvoir un outil de détection précoce de la psychose, et le diffuser partout au Québec. § Aider les professionnels spécialisés en éducation, les parents et les employés des services sociaux et de santé du Québec à apprendre à reconnaître les signes précoces d’un épisode psychotique, et à adopter une approche proactive en matière de consultation et d’intervention.

 Un projet québécois sur un outil de dépistage de la psychose Les étapes:

Un projet québécois sur un outil de dépistage de la psychose Les étapes: • • Revue de la littérature Constitution d’un comité scientifique Focus groupe patients, familles et professionnels Production d’un travail de synthèse Consultation d’un comité d’experts Élaboration de l’outil Programmation Mise en ligne

www. refer-o-scope. com

www. refer-o-scope. com

Un outil en ligne et facilement accessible ! § Qui servira à mieux reconnaître

Un outil en ligne et facilement accessible ! § Qui servira à mieux reconnaître les signes avant-coureurs et les facteurs de risque de la psychose § Qui permettra d’aller cher de la documentation et de l’information sur la psychose § Qui pourra être complété par le jeune, un proche ou un intervenant scolaire ou de la santé

Un outil en ligne et facilement accessible ! (suite) § Qui donnera quelques indices

Un outil en ligne et facilement accessible ! (suite) § Qui donnera quelques indices sur l’état de risque, apportera quelques conseils, mais sans fournir de diagnostic ou se substituer à une aide professionnelle § Un algorithme qui permettra de pister la personne vers des ressources appropriées et selon sa région § Qui permettra de mieux comprendre la psychose, d’en parler, de demander de l’aide plus rapidement et de diminuer la stigmatisation

MERCI DE VOTRE ATTENTION

MERCI DE VOTRE ATTENTION