Journal intime UNE JEUNE FILLE DANS UNE PLANTATION

Journal intime UNE JEUNE FILLE DANS UNE PLANTATION. ÉCRIS UN JOURNAL INTIME D’UNE JEUNE FILLE QUI HABITE DANS UNE PLANTATION DANS LE SUD DES ÉTATS-UNIS.

Le 1 mars 1859 La pluie à commencer à tomber du ciel aujourd'hui. C'est très fort. Le maitre est allée parler à trois esclaves. Je ne sais pas, ce qu'il a dit, mais ce n'était pas des bons nouvelles, car la prochaine fois que j'ai vu les esclaves, ils ont été en train de tout pleurer.

Le 2 mars 1859 Aujourd'hui le maitre est aussi partie au vent d'enchère. Il est amené trois autres esclaves qui était plus âgée avec lui. J'ai entendu des autres adultes qui parlent. Ils ont dit que le maitre aller les vendre. Je ne pense pas que je vais en voir ces personnes encore.

Le 3 mars 1859 J'étais correcte, je n'ai pas vu les trois esclaves aujourd'hui. Je ne les connais pas personnellement, mais il y avait des autres personnes ici, à la plantation, qui étaient tristes. . À l'autre main, il y a trois nouveaux esclaves. Ils ressemblent d'être tout environ mon âge. J'espère qu'on peut être amis.

Le 4 mars 1859 Je crois que la pluie commence à arrêter. C'est très difficile de travailler la terre ici, à la plantation, quand le sol est en train de devenir de la boue.

Le 5 mars 1859 Ce matin, je suis allé parler au nouveau esclaves. Ils ressemblent d'être gentille. Ensuite, cet après-midi, le maitre est venu et demander pour moi. Il m'a pris pour me dire que je devais parler au nouveau esclaves et leur montré à quoi ils doivent faire chaque jour.

Le 6 mars 1859 Hier soir, quand je suis allée parler aux nouveaux personnes , ils ont eu très peurs. Quand je leur ai demandé pourquoi, ils m'ont raconté des histoires de leur maitre avant qu'ils ont était vendu. Ils ont dit que tout le monde à était fouettés plusieurs fois et que s'ils ne fessaient pas ce que leur maitre voulez, les punitions pouvaient être très sévères, de recevoir rien à manger jusqu'au être brulé.

Le 7 mars 1859 Après beaucoup de pensés, je suis aller remercier mon maitre. Je suis très chanceuse d’avoir eu un maitre gentil. J’ai entendu plus en plus d’histoires des maitres qui ont blesser leurs esclaves. Mon maitre ne jamais nous blesse, et je suis extrêmement reconnaissent pour cela.