George Sand Comte dune grandmre Aurore Gustave CaillebottePetit
George Sand Comte d’une grand-mère-À Aurore Gustave Caillebotte-Petit bras de seine 1884 Par Nanou et Stan
La nature est tout ce qu’on voit, Tout ce qu’on veut, tout ce qu’on aime. Gustave Caillebotte-bord de rivière 1885
Tout ce qu’on sait, tout ce qu’on croit, Tout ce que l’on sent en soi-même. Gustave Caillebotte-Plaine de Gennevilliers 1888
Elle est belle pour qui la voit, Elle est bonne à celui qui l’aime, Gustave Caillebotte-Nasturces 1892
Elle est juste quand on y croit Et qu’on la respecte en soi-même. Gustave Caillebotte-Paysage normand 1884
Regarde le ciel, il te voit, Embrasse la terre, elle t’aime Gustave Caillebotte-vergers, arbres en fleurs 1885
La vérité c’est ce qu’on croit En la nature c’est toi-même. Gustave Caillebotte-La seine à Argenteuil 1885
George Sand Contes d’une grand’mère (1873). George Sand est le pseudonyme d'Amantine Aurore Lucile Dupin, romancière et femme de lettres française, plus tard baronne Dudevant, née à Paris le 1 er juillet 1804 et morte au domaine de George Sand de Nohant le 8 juin 1876. À soixante-huit ans, George Sand invente, pour amuser et instruire ses petitesfilles, une dizaine de contes merveilleux. Au dire de la grand-mère, la nature est un monde peuplé d'esprits, dans lequel, secrètement, les montagnes s'animent (Le Géant Yêous), les nuages chantent (Le Nuage rose), les grenouilles et les fleurs conversent (La Reine Coax, Ce que disent les fleurs). . . Même les statues et les tableaux, dans Le Château de Pictordu, prennent vie. . . Autant de voix que seuls les enfants, véritables héros de ces contes d'apprentissage, peuvent entendre : Emmi, le petit gardeur de cochon qui un jour disparaît après s'être approché d'un arbre réputé maléfique (Le Chêne parlant) ; ou encore le craintif Clopinet qui, fuyant son ogre de patron, finit par prendre son envol en se changeant en oiseau (Les Ailes de courage). . . Nanou et Stan le 9/2/2021
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