Fiche Histoire des Arts Les autoportraits de Frida

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Fiche Histoire des Arts : Les autoportraits de Frida Kahlo. • • • •

Fiche Histoire des Arts : Les autoportraits de Frida Kahlo. • • • • • 1) Recherche biographique : 
 Site utilisé: . . . . ………………………. Nom : . . . . Prénom : . . Dates : . . . . Nationalité : . . . . Métier(s). . . . . 
 Notez ce qui vous paraît le plus important dans la vie de Frida Kahlo : . . . . . . . . . . . . . . …………………………… 2) Qu'est-ce qu'un autoportrait ? …………………………………. Trouvez-vous que les autoportraits de Frida Kahlo soient ressemblants ? …………. Sur quel(s) aspect(s) physique(s) a-t-elle insisté ? ………………………………………………. . ………………………… Grâce à quel procédé se peignait-elle ? ……………………………. . Pourquoi fait-on son autoportrait? Qu’en est-il de Frida Kahlo?

Fiche Histoire des Arts : Les autoportraits de Frida Kahlo. • • • •

Fiche Histoire des Arts : Les autoportraits de Frida Kahlo. • • • • • • • 1) Recherche biographique : 
 Site utilisé: . . . . ………………………. Nom : . Kahlo Calderon. . . . Prénom : Frida. . . . . Dates : . 6 juillet 1907 – 13 juillet 1954. . . . Nationalité : mexicaine. . . . Métier(s) : artiste peintre 
 Notez ce qui vous paraît le plus important dans la vie de Frida Kahlo : . poliomyélite à 8 ans. accident en 1925 (graves séquelles et opérations multiples) épouse Diego Rivera en 1929 1930 -1932: fausses couches divorce en 1938 et remariage avec Diego en 1940. 2) Qu'est-ce qu'un autoportrait ? un…portrait quelqu’un fait de lui-même. Trouvez-vous que les autoportraits de Frida Kahlo soient ressemblants ? …oui………. Sur quel(s) aspect(s) physique(s) a-t-elle insisté ? Son visage………………………. Ses sourcils………………………. . Son regard………………………… Grâce à quel procédé se peignait-elle ? Un miroir était suspendu au-dessus de son lit……………………………. . Pourquoi fait-on son autoportrait? Qu’en est-il de Frida Kahlo? Pour exprimer ce qu’on ressent ( pour F. Kahlo, c’est la souffrance), pour trouver un exutoire, pour se soulager. « Je peins des autoportraits parce que je me sens si souvent seule et parce que je suis la personne que je connais le mieux » (Frida Kahlo).

Frida Kahlo, Mes grands-parents, mes parents et moi, Arbre généalogique, 1936

Frida Kahlo, Mes grands-parents, mes parents et moi, Arbre généalogique, 1936

Frida Kahlo, Mes grands-parents, mes parents et moi, Arbre généalogique, 1936 (peinture à l’huile

Frida Kahlo, Mes grands-parents, mes parents et moi, Arbre généalogique, 1936 (peinture à l’huile et à la tempera* sur métal (30, 7 x 34, 5 cm), 1936. Museum of Modern Art, New. York) * A la tempera : se dit d’une couleur délayée dans de l’eau additionnée d’un agglutinant (gomme, colle, œuf) description commentaires Autoportrait façon « arbre généalogique » . Un ruban rouge relie tous les membres de la famille, formant un nœud que Frida-fille tient dans sa main droite. Frida Kahlo s’est placée au premier plan et au centre de la toile (la petite fille), puis au second plan, ses parents et enfin ses grands- parents à l’arrière-plan. Elle a séparé ses grands-parents paternels (allemands) et ses grands-parents maternels (mexicains). Elle est, sur le tableau, nettement plus proche de son père. La branche mexicaine est placée du côté d’un paysage mexicain (cactus, désert) ; la branche allemande est du côté de l’océan qui évoque, au loin, le continent européen. Symbolise son attachement à sa famille Les relations de Frida avec sa mère ont toujours été distantes et froides. La famille symbolise l’union du nouveau monde et de l’ancien.

description commentaires Différents épisodes de la vie de famille sont représentés : d’abord le

description commentaires Différents épisodes de la vie de famille sont représentés : d’abord le mariage des parents de Frida Kahlo, puis la rencontre d’un spermatozoïde et d’un ovule (en terre mexicaine) et la grossesse de la mère de Frida, enfin la vie heureuse dans la maison de famille. On voit Frida Kahlo à 3 moments de sa vie : d’abord Frida au moment où le spermatozoïde féconde l’ovule (en bas à gauche), puis à l’état de fœtus dans le ventre de sa mère, et enfin Frida enfant, nue. Un arbre, couvert de fruits (un oranger ? ), cache en partie sa jambe gauche. La maison natale occupe la place centrale, au 1 er plan. Sa couleur bleue, ses murs protecteurs, la gaieté de sa végétation (fleurs et fruits) rappellent les moments heureux vécus en ce lieu. Pourquoi la gauche ? Peut-être est-ce un « portrait en miroir » et dans ce cas, le réel est inversé et la jambe droite devient la jambe gauche ; l’oranger cache donc les ravages de la poliomyélite qui a frappé Frida alors âgée de 8 ans, puisque c’est sa jambe droite qui fut réellement atteinte (Frida Kahlo a peint ses autoportraits dans son lit, corsetée à la suite d’un grave accident, avec au-dessus du lit le grand miroir qu’elle avait fait installer). C’est dans cette maison, la « Maison Bleue » , que Frida Kahlo achèvera prématurément sa vie, en 1954, à l’âge de 47 ans. Avec cet autoportrait, Frida Kahlo s’inscrit dans l’histoire de sa famille et en même temps elle se raconte : elle éclaire son passé, les années de son enfance, qui, à leur tour, éclairent son présent. Tout comme la vie de l’auteur d’une autobiographie littéraire est au centre de son livre, la vie de Frida Kahlo est au centre de sa peinture. « On me prenait pour une surréaliste. Ce n’est pas juste. Je n’ai jamais peint de rêves. Ce que j’ai représenté était ma réalité. »

Autoportrait La colonne brisée (1944) - Huile sur toile 42 X 33 cm Fondation

Autoportrait La colonne brisée (1944) - Huile sur toile 42 X 33 cm Fondation D. Olmedo Patino, Mexico Description : décor, couleurs, manière de se représenter Lien avec la biographie Commentaire et analyse des symboles A l'arrie re-plan, c'est un paysage désertique et infertile avec des failles. La ligne d’horizon marque la séparation avec le ciel bleu sombre. Au 1 er plan, l'artiste est debout au milieu du tableau face au spectateur, nue de la tête aux hanches. Le bas de son corps est enveloppé d'un drap blanc. Le tissu et sa peau sont transpercés par une multitudes de clous. Le corps de l'artiste est ouvert en deux dans son milieu et laisse apparaître à la place de sa colonne vertébrale une colonne verticale de pierre antique de style ionique, brisée en multiples parties. Un corset de métal, avec 4 lanières blanches horizontales et 2 verticales, retient les deux parties du corps qu’il emprisonne. Le haut de la colonne soutient le menton de l'artiste, dont le visage statique et digne n'exprime aucun sentiment. Des larmes sortent de ses yeux. Depuis l'accident de bus dans lequel elle fut très gravement blessée en 1925, Frida souffre de nombreuses séquelles. Son bassin, ses côtes et sa colonne vertébrale on été cassés. Ni ses longues périodes d'alitement, ni ses différentes interventions chirurgicales qu'elle a subies ne la soulage durablement de Elle dévoile les blessures de son corps et de son âme. La peau de Frida est transpercée par de multiples clous, autant de blessures d’un amour bafoué. Elle apparaît crucifiée, tout comme le Christ de Grünewald au 15 eme siècle. Ses larmes coulent silencieusement. Malgré sa douleur, Frida, sacrifiée, reste digne, la tête droite, le regard fier. Soutenue par son corset, elle traverse dignement cet immense moment de solitude et d'abandon, imagé par le désert à l'arrière plan, dont les failles expriment lui aussi les blessures de son cœur. On peut voir aussi dans ce paysage le symbole de l'infertilité de l'artiste. Frida, qui a eu le vagin transpercé lors de l'accident, ne peut pas avoir d'enfant. Son corps nu, dévoilant toute sa féminité et la maternité par ses seins, reste dramatiquement vide. ses douleurs. A 37 ans elle a dorénavant besoin de porter à nouveau un corset orthopédique pour soulager sa colonne et ce pendant 5 mois. C'est son énième corset. . . cette fois il est en métal et non en plâtre. Elle souffre aussi des infidélités de son mari qui l’a même trompée avec sa sœur.

Description : décor, couleurs, manière de se représenter Lien avec la biographie Autoportrait La

Description : décor, couleurs, manière de se représenter Lien avec la biographie Autoportrait La colonne brisée (1944) - Huile sur toile Grünewald, La crucifixion Commentaire et analyse des symboles

Description : décor, couleurs, manière de se représenter Autoportrait au collier d'épines et au

Description : décor, couleurs, manière de se représenter Autoportrait au collier d'épines et au colibri (1940) – Huile sur toile 61 cm X 47 cm Harry Ransom Center, Austin, Texas Autoportrait à la natte ou avec tresse (1941) - Huile sur toile
 51 X 38 cm Metropolitan Museum of Art, New York Lien avec la biographie Commentaire et analyse des symboles

Description : décor, couleurs, manière de se représenter Lien avec la biographie Commentaire et

Description : décor, couleurs, manière de se représenter Lien avec la biographie Commentaire et analyse des symboles En arrie replan, ve ge tation/jun gle + singe, chat, colibri (en noir). FK s'est peint les cheveux attache s, la robe blanche, avec un collier d'e pines. FK vient de divorcer. Chat = malchance, singe a e te offert par son mari, le colibri rappelle ses sourcils donc la repre sente, symbole de liberte mais ici attache. Les e pines rappellent Je sus et e voquent la souffrance. Elle a des tresses qui semblent pose es sur sa te te. L'arrie re-plan est marron, gris. Il n'y a rien. Elle est ve tue d'une robe de feuillage et d'un collier (une chai ne ? Des os? ). Elle a rase ses cheveux lorsqu'elle a divorce. Elle va se remarier avec Diego. Le collier indique qu'elle est prisonnie re. La tresse pour symboliser son remariage. Il y a un lien avec la fe minite. Il n'y a aucune expression sur son visage. Autoportrait au collier d'épines et au colibri (1940) – Huile sur toile 61 cm X 47 cm Harry Ransom Center, Austin, Texas Autoportrait à la natte ou avec tresse (1941) - Huile sur toile
 51 X 38 cm Metropolitan Museum of Art, New York