Day Crations rflexives 2015 Bossuet Montesquieu dAlembert Condorcet
Day Créations réflexives 2015
Bossuet, Montesquieu, d’Alembert, Condorcet, Chateaubriand, Schopenhauer, de Vigny, de Tocqueville, Flaubert, Renan, Le Bon, Churchill, Jung, Keyserling, Russell, Gilson, de Gaulle, Malraux, Jacquard, Rushdie, Bruckner, Onfray : ce ne sont là quelquesuns des grands noms qui ont marqué et illuminé l’histoire de la civilisation occidentale. Et on pourrait ajouter bien d’autres noms célèbres. Après avoir lu les citations présentées dans ce diaporama, n’est-il pas troublant de constater que ces grands esprits seraient aujourd’hui accusés de bafouer la rectitude politique, qu’on leur reprocherait de forger des «amalgames» (un mot devenu bien populaire ces temps-ci dans la bouche de nos politiciens) et qu’on les dépeindrait sans doute comme des «islamophobes» ? Après avoir pris connaissance de ces citations, quelqu’un a émis ce commentaire fort pertinent : «Quel philosophe, politicien ou journaliste est aujourd’hui capable de faire la synthèse du passé et de la projeter sur notre futur immédiat? » Réginald Remarque : Prenez note que les personnalités figurant dans ce diaporama apparaissent dans l’ordre de leur année de naissance.
Le Coran, Mahomet, l’islam Citations critiques à travers les âges
Referme ton Coran. Pense et regarde librement le ciel et la terre. Omar Khayyâm (Traduction du persan au français par Jean-Yves Lacroix, Le cure-dent, éd. Allia, 2008). Omar Khayyâm (1048 -1131) Savant et poète persan
L'islam! Cette religion monstrueuse a pour toute raison ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout l’univers. Jacques-Bénigne Bossuet, Panégyrique de saint Pierre Nolasque, prononcé à l’église de la Merci, le 31 janvier 1665. Jacques-Bénigne Bossuet (1627 -1704) Homme d'Église, évêque de Meaux, célèbre prédicateur et écrivain français
C’est un malheur pour la nature humaine, lorsque la religion est donnée par un conquérant. La religion mahométane, qui ne parle que de glaive, agit encore sur les hommes avec cet esprit destructeur qui l’a fondée. Montesquieu, De l’esprit des lois (1748) , éd. Firmin Didot, 1864. Charles Louis de Secondat, baron de La Brède et de Montesquieu (1689 -1755) Philosophe et écrivain français des Lumières
Les imams et les muphtis de toutes les sectes me paraissent plus faits qu’on ne croit pour s’entendre ; leur but commun est de subjuguer, par la superstition, la pauvre espèce humaine. Jean le Rond D’Alembert, Lettre au roi de Prusse , le 14 juin 1771. Jean le Rond D’Alembert (1717 -1783) Mathématicien, philosophe des Lumières et encyclopédiste français
Tous les maux politiques qui affligent les peuples musulmans, dérivent de leurs préjugés, de leurs fausses opinions, des vices du gouvernement, et non des vrais principes de la religion et de la loi. Ignace Mouradja d’Ohsson, Tableau général de l’Empire Othoman (1788), éd. Firmin Didot, 1788. Ignace Mouradja d'Ohsson (1740 -1807) Diplomate et écrivain suédois
J’exposerai comment la religion de Mahomet, la plus simple dans ses dogmes, la moins absurde dans ses pratiques, la plus tolérante dans ses principes, semble condamner à un esclavage éternel, à une incurable stupidité, toute cette vaste portion de la terre où elle a étendu son empire; tandis que nous allons voir briller le génie des sciences et de la liberté sous les superstitions les plus absurdes, au milieu de la plus barbare intolérance. Nicolas de Condorcet, Esquisse d’un tableau historique des progrès de l’esprit humain (1793), éd. Masson, 1822. Marie Jean Antoine Nicolas de Caritat, marquis de Condorcet (1743 -1794) Philosophe des Lumières, mathématicien et homme politique français
Tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet. François-René de Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe , 1828. François-René, vicomte de Chateaubriand (1768 -1848) Écrivain et homme politique français
Le Coran, ce méchant livre, a suffi pour fonder une grande religion, satisfaire pendant 1200 ans le besoin métaphysique de plusieurs millions d’hommes; il a donné un fondement à leur morale, leur a inspiré un singulier mépris de la mort et un enthousiasme capable d’affronter des guerres sanglantes, et d’entreprendre les plus vastes conquêtes. Or nous y trouvons la plus triste et la plus pauvre forme du théisme […] je n’ai pu y découvrir une seule idée un peu profonde. Arthur Schopenhauer, Le monde comme vouloir et représentation (1844) Suppléments XVII. Arthur Schopenhauer (1788 -1860) Philosophe allemand
Si l’on préfère la vie à la mort on doit préférer la civilisation à la barbarie. L’islamisme est le culte le plus immobile et le plus obstiné, il faut bien que les peuples qui le professent périssent s’ils ne changent de culte. Alfred de Vigny, Journal d’un poète (1831) , dans Œuvres complètes, t. 8, éd. Conard, 1935. Alfred Victor Vigny, comte de Vigny (1797 -1863) Écrivain, romancier, dramaturge et poète français
L’islam, c’est la polygamie, la séquestration des femmes, l’absence de toute vie publique, un gouvernement tyrannique et ombrageux qui force de cacher sa vie et rejette toutes les affections du cœur du côté de l’intérieur de la famille. J’ai beaucoup étudié le Coran à cause surtout de notre position vis-à-vis des populations musulmanes en Algérie et dans tout l’Orient. Je vous avoue que je suis sorti de cette étude avec la conviction qu’il y avait eu dans le monde, à tout prendre, peu de religions aussi funestes aux hommes que celle de Mahomet. Elle est, à mon sens, la principale cause de la décadence aujourd’hui si visible du monde musulman et quoique moins absurde que le polythéisme antique, ses tendances sociales et politiques étant, à mon avis, infiniment plus à redouter, je la regarde relativement au paganisme lui-même comme une décadence plutôt que comme un progrès. Alexis de Tocqueville, 22 octobre 1843, dans Jean-Paul Mayer, Œuvres, papiers et correspondance d’Alexis de Tocqueville, t. 2, Gallimard, 1962. Alexis-Henri-Charles Clérel, vicomte de Tocqueville (1805 -1859) Philosophe, homme politique, historien et écrivain français. Il est célèbre pour ses analyses de la Révolution française, de la démocratie américaine et de l'évolution des démocraties occidentales en général.
Celui qui prétend être le prophète d’Allah, Mahomet, devrait avoir des lettres de créances, c’est-à-dire la prophétie, les miracles et l’intégrité de l’ensemble de sa vie. Rien de tout cela ne se trouve chez Mahomet, cet homme de pillage et de sang qui prêche sa doctrine à coup de cimeterre, en promenant la mort sur un tiers du globe alors connu. *** La morale de l’islam? L’association du sang à la volupté, la guerre à l’infidèle, guerre permanente, guerre qui doit durer jusqu’à leur entière extermination ou soumission au tribut. Monseigneur Louis-Antoine-Augustin Pavy, Sermon prononcé en la cathédrale d’Alger pendant le carême de 1853. Louis-Antoine-Augustin Pavy (1805 -1866) Deuxième évêque d'Alger
Je demande, au nom de l’humanité, à ce qu’on broie la Pierre-Noire, pour en jeter les cendres au vent, à ce qu’on détruise La Mecque, et que l’on souille la tombe de Mahomet. Ce serait le moyen de démoraliser le fanatisme. Gustave Flaubert, Lettre à Madame Roger des Genettes, le 19 janvier 1878. Gustave Flaubert (1821 -1880) Écrivain français
L’islamisme ne peut exister que comme religion officielle; quand on le réduira à l’état de religion libre et individuelle, il périra. L’islamisme n’est pas seulement une religion d’État, comme l’a été le catholicisme en France, sous Louis XIV, comme il l’est encore en Espagne, c’est la religion excluant l’État. . . Là est la guerre éternelle, la guerre qui ne cessera que quand le dernier fils d’Ismaël sera mort de misère ou aura été relégué par la terreur au fond du désert. L’islam est la plus complète négation de l’Europe; l’islam est le fanatisme, comme l’Espagne du temps de Philippe II et l’Italie du temps de Pie V l’ont à peine connu; l’islam est le dédain de la science, la suppression de la société civile; c’est l’épouvantable simplicité de l’esprit sémitique, rétrécissant le cerveau humain, le fermant à toute idée délicate, à tout sentiment fin, à toute recherche rationnelle, pour le mettre en face d’une éternelle tautologie : Dieu est Dieu. . . Joseph Ernest Renan, De la part des peuples sémitiques dans l'histoire de la civilisation - Discours d'ouverture du cours de langues hébraïque, chaldaïque et syriaque au Collège de France, éd. M. Lévy frères, 1862. Joseph Ernest Renan (1823 -1892) Écrivain, philologue, philosophe et historien français
Toute personne un peu instruite des choses de notre temps voit clairement l’infériorité actuelle des pays musulmans, la décadence des États gouvernés par l’islam, la nullité intellectuelle des races qui tiennent uniquement de cette religion leur culture et leur éducation. *** L’islamisme a de belles parties comme religion; je ne suis jamais entré dans une mosquée sans une vive émotion, le dirai-je? sans un certain regret de n’être pas musulman. Mais, pour la raison humaine, l’islamisme n’a été que nuisible. Les esprits qu’il a fermés à la lumière y étaient déjà sans doute fermés par leurs propres bornes intérieures; mais il a persécuté la libre pensée, je ne dirai pas plus violemment que d’autres systèmes religieux, mais plus efficacement. Il a fait des pays qu’il a conquis un champ fermé à la culture rationnelle de l’esprit. *** Quand on part de cette idée que la recherche est une chose attentatoire aux droits de Dieu, on arrive inévitablement à la paresse d’esprit, au manque de précision, à l’incapacité d’être exact. Allah aalam, «Dieu sait mieux ce qui en est» , est le dernier mot de toute discussion musulmane. Joseph Ernest Renan, «L’islamisme et la science» , Conférence prononcée à la Sorbonne le 29 mars 1883. Joseph Ernest Renan (1823 -1892) Écrivain, philologue, philosophe et historien français
L’islam, c’est l’union indiscernable du spirituel et du temporel, c’est le règne d’un dogme, c’est la chaîne la plus lourde que l’humanité ait jamais portée. *** La théologie occidentale n’a pas été moins persécutrice que celle de l’islamisme. Seulement, elle n’a pas réussi, elle n’a pas écrasé l’esprit moderne, comme l’islamisme a écrasé l’esprit des pays qu’il a conquis. *** […] quand l’islam a disposé de masses ardemment croyantes, il a tout étouffé. La terreur religieuse et l’hypocrisie ont été à l’ordre du jour. L’islam a été libéral quand il a été faible, et violent quand il a été fort. Joseph Ernest Renan, «L’islamisme et la science» , Conférence prononcée à la Sorbonne le 29 mars 1883. Joseph Ernest Renan (1823 -1892) Écrivain, philologue, philosophe et historien français
[Le] fol orgueil est le vice radical du musulman. L’apparente simplicité de son culte lui inspire un mépris peu justifié pour les autres religions. Persuadé que Dieu donne la fortune et le pouvoir à qui bon lui semble, sans tenir compte de l’instruction ni du mérite personnel, le musulman a le plus profond mépris pour l’instruction, pour la science, pour tout ce qui constitue l’esprit européen. Ce pli inculqué par la foi musulmane est si fort que toutes les différences de race et de nationalité disparaissent par le fait de la conversion à l’islam. *** La liberté n’est jamais plus profondément blessée que par une organisation sociale où le dogme règne et domine absolument la vie civile. Dans les temps modernes, nous n’avons vu que deux exemples d’un tel régime : d’une part, les États musulmans; de l’autre, l’ancien État pontifical du temps du pouvoir temporel. Et il faut dire que la papauté temporelle n’a pesé que sur un bien petit pays, tandis que l’islamisme écrase de vastes portions de notre globe et y maintient l’idée la plus opposée au progrès : l’État fondé sur une prétendue révélation, le dogme gouvernant la société. Joseph Ernest Renan, «L’islamisme et la science» , Conférence prononcée à la Sorbonne le 29 mars 1883. Joseph Ernest Renan (1823 -1892) Écrivain, philologue, philosophe et historien français
Bien peu de religions ont eu un pareil empire sur les âmes; aucune peut-être n’en a exercé de plus durable. Le Coran est le véritable pivot de la vie en Orient, et nous retrouvons son influence dans les moindres actes de l’existence. L’empire des Arabes ne vit plus que dans l’histoire, mais la religion qui fut mère de cet empire n’a pas cessé de s’étendre. Du fond de son tombeau, l’ombre du prophète règne en souveraine sur ces millions de croyants qui peuplent l’Afrique et l’Asie, du Maroc jusqu’à la Chine, de la Méditerranée à l’Équateur. Gustave Le Bon, La civilisation des Arabes (Livre IV, chapitre V – «Religion et morale» , publié en 1884), éd. La Fontaine au Roy, 1990. Gustave Le Bon (1841 -1931) Médecin, anthropologue, psychologue social et sociologue
Des musulmans peuvent-ils être vraiment Français? Exceptionnellement, oui. D’une manière générale, non. Plusieurs dogmes fondamentaux musulmans s’y opposent; avec certains il y a des accommodements; avec l’un, celui du mehdi, il n’y en a pas; tout musulman, (je ne parle pas des libres penseurs qui ont perdu la foi), croit qu’à l’approche du jugement dernier le mehdi surviendra, déclarera la guerre sainte, et établira l’islam par toute la terre, après avoir exterminé ou subjugué tous les non-musulmans. Dans cette foi, le musulman regarde l’islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants; s’il est soumis à une nation non musulmane, c’est une épreuve passagère; sa foi l’assure qu’il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti; la sagesse l’engage à subir avec calme son épreuve; «l’oiseau pris au piège qui se débat perd ses plumes et se casse les ailes; s’il se tient tranquille, il se retrouve intact le jour de la libération» , disent-ils; ils peuvent préférer telle nation à une autre, aimer mieux être soumis aux Français qu’aux Allemands, parce qu’ils savent les premiers plus doux; ils peuvent être attachés à tel ou tel Français, comme on est attaché à un ami étranger; ils peuvent se battre avec un grand courage pour la France, par sentiment d’honneur, caractère guerrier, esprit de corps, fidélité à la parole, comme les militaires de fortune des XVIe et XVIIe siècle. Mais d’une façon générale, sauf exception, tant qu’ils seront musulmans, ils ne seront pas Français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du mehdi, en lequel ils soumettront la France. Charles de Foucauld, Lettre adressée à René Bazin, président de la Corporation des publicistes chrétiens, Algérie, le 29 juillet 1916. Cette lettre a été publiée le 5 octobre 1917 par son destinataire, dans le no 5 du Bulletin du Bureau catholique de presse. Père Charles Eugène de Foucauld de Pontbriand (1858 -1916) Officier de l’armée française, explorateur, géographe, linguiste puis religieux catholique et ermite. Il a été béatifié le 13 novembre 2005 par le pape Benoît XVI.
Winston Leonard Spencer-Churchill (1874 -1965) Premier ministre du Royaume-Uni (1940 -1945 et 1951 -1955) Combien redoutables sont les malédictions que la religion mahométane fait peser sur ses dévots! A côté de la frénésie fanatique, aussi dangereuse chez un homme que l’hydrophobie chez un chien, il y a cette effrayante apathie fataliste. Ses effets sont manifestes dans de nombreux pays. Une imprévoyance coutumière, une agriculture négligente, des méthodes de commerce léthargiques, une insécurité de la propriété existent partout où les fidèles du Prophète gouvernent ou vivent. Une sensualité avilie ôte à cette vie ses grâces et ses raffinements, et à la suivante sa dignité et son caractère sacré [. . . ] Les musulmans peuvent montrer de splendides qualités, mais l’influence de cette religion paralyse le développement social de ses fidèles. Il n’existe pas de plus puissante force rétrograde dans le monde. Loin d’être moribonde, la religion mahométane est une foi militante et prosélyte. Elle s’est déjà étendue à travers l’Afrique centrale, dressant à chaque étape des guerriers sans peur; et si la chrétienté n’était protégée par les bras puissants de la science, la science contre laquelle avait lutté en vain, la civilisation de l’Europe moderne pourrait tomber, comme tomba celle de la Rome antique. Winston Churchill, The River War : An Historical Account Of The Reconquest Of The Soudan , éd. Longmans, Green & Co, 1899.
La religion d’Hitler est la plus proche qui soit de l’islamisme, réaliste, terrestre, promettant le maximum de récompenses dans cette vie, mais avec ce Walhalla façon musulmane avec lequel les Allemands méritoires peuvent entrer et continuer à goûter le plaisir. Comme l’islamisme, elle prêche la vertu de l’épée. Carl Gustav Jung, «C. G. Jung parle : Rencontres et interviews (1936)» , Carl Gustav Jung, éd. Buchet-Chastel, 1985. Carl Gustav Jung (1875 -1961) Médecin, psychiatre, psychologue et essayiste suisse. Penseur influent, il est l'auteur de nombreux ouvrages de psychologie et de psychosociologie.
Dès le commencement de la révolution allemande, je fus impressionné par la parenté du national-socialisme avec l’islam et cette impression n’a fait que se préciser et s’affermir depuis. L’islam, qui à l'origine était la foi d’une obscure tribu nomade, conquit avec une rapidité vertigineuse la plus grande partie de l’Orient qui comptait alors, historiquement parlant, et cela parce qu’il constituait un mouvement puriste et purificateur au milieu d’un monde civilisé à l’extrême et moralement pourri. Sans la corruption monstrueuse de l'époque précédente, corruption plus contraire que tout au monde au tréfonds du caractère allemand, Adolf Hitler n’eut jamais pu, en un temps si court réunir autour de lui l’écrasante majorité du peuple. Mais la lutte contre la corruption entraine la suprême estime accordée aux valeurs de caractères; et par là, le critère auparavant valable de la culture et de l’esprit tombe en désuétude. Les vertus les plus simples et les plus élémentaires deviennent déterminantes, et ainsi nait du jour au lendemain, qu’il s’agisse du national-socialisme ou de l’islam, une nouvelle unité, dont la force et la tension sont immenses; et en face de cette unité on voit s’écrouler et se réduire à néant la plupart des différences précédemment importantes (dans le cas de l’islam, les différences entre les peuples et les cultures; en Allemagne, les classes et les partis). En outre les deux mouvements sont essentiellement religieux, et non pas politiques. Si l’on observe les points essentiels, ils se distinguent surtout en ceci : l’esprit de l’islam était originellement nomade et partant conquérant et il le resta durant des siècles; le national-socialisme, par contre, représente une rupture avec le déracinement provoqué par l’ère intellectualiste et un retour aux racines du Sang et de la Terre. Hermann von Keyserling, La révolution mondiale et la responsabilité de l’Esprit, éd. Librairie Stock, 1934. Comte Hermann von Keyserling (1880 -1946) Philosophe allemand
Parmi les religions, le bolchevisme doit être comparé à l’islam plutôt qu’au christianisme ou au bouddhisme. Le christianisme et le bouddhisme sont avant tout des religions personnelles, avec des doctrines mystiques et un amour de la contemplation. L’islam et le bolchevisme ont une finalité pratique, sociale, matérielle dont le but est d’étendre leur domination sur le monde. Bertrand Russell, The Practice and Theory of Bolshevism , éd. Allen and Unwin, 1920. Bertrand Arthur William Russell, 3ᵉ comte Russell (1872 -1970) Mathématicien, philosophe, épistémologue, homme politique et moraliste britannique
Depuis plus de 500 ans, les règles et les théories d’un vieux sheikh arabe, et les interprétations abusives de générations de prêtres crasseux et ignares ont fixé, en Turquie, tous les détails de la loi civile et criminelle. Elles ont réglé la forme de la constitution, les moindres faits et gestes de la vie de chaque citoyen, sa nourriture, ses heures de veille et de sommeil, la coupe de ses vêtements, ce qu’il apprend à l’école, ses coutumes, ses habitudes et jusqu’à ses pensées les plus intimes. L’islam, cette théologie absurde d’un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies. *** Mais pourquoi nos femmes s’affublent-elles encore d’un voile pour se masquer le visage, et se détournent-elles à la vue d'un homme? Cela est-il digne d’un peuple civilisé? Camarades, nos femmes ne sont-elles pas des êtres humains, doués de raison comme nous? Qu’elles montrent leur face sans crainte, et que leurs yeux n’aient pas peur de regarder le monde! Une nation avide de progrès ne saurait ignorer la moitié de son peuple! *** Vous venez me parler des avantages que nous a valu notre conversion à l’islam, et moi je vous dis : regardez ce qu'elle nous a coutée! Mustapha Kemal Atatürk (1920), cité dans Guy Fargette, Méhémet Ali, le fondateur de l’Égypte moderne, éd. L’Harmatan, 1996. Mustafa Kemal Atatürk (1881 -1938) Fondateur et premier président de la République de Turquie
Par un extraordinaire renversement de l’histoire, le monde de l’islam, dont les savants avaient favorisé de façon décisive la naissance et l’essor de la philosophie scolastique, se ferma lui-même à la philosophie au moment où le monde chrétien lui faisait largement accueil. Les résultats sont là […] Une éducation exclusivement consacrée à inculquer aux enfants la foi coranique a produit des générations dont, jusqu’à la fin du XIXe siècle, l’esprit est resté imperméable à toute influence venue d’ailleurs. On ne connait pas d’exemple comparable d’une stérilisation intellectuelle de peuples entiers par la foi religieuse. Si l’on doute de l’effet produit sur les intelligences, il suffit de comparer ce que fut le peuple berbère et, généralement parlant, les peuples habitant l’Afrique du Nord, avant leur conquête par l’islam et ce qu’ils sont devenus depuis. Étienne Gilson, La philosophe et la théologie, éd Fayard (1960) et éd. Vrin (2005). Étienne Gilson (1884 -1978) Philosophe et historien français, qui fut notamment professeur à la Sorbonne, à Harvard, à Toronto, au Collège de France et membre de l’Académie française.
C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu’on ne se raconte pas d’histoire. Les musulmans, vous êtes allés les voir? Vous les avez regardés avec turbans et djellabas? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français. Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante? Si nous faisions l’intégration [dans les départements français d’Algérie], si tous les Arabes et les Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcheraiton de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombeyles-Deux-Mosquées!» Charles André Joseph Marie de Gaulle (1890 -1970) 18 e président de la République française (1959 -1969) Propos attribués au général de Gaule lors d’un entretien du 5 mars 1959 et rapportés par Alain Peyrefitte dans son livre C’était de Gaulle, t. 1, Paris, éd. de Fallois/Fayard, 1994.
L’intégration, c’est une entourloupe pour permettre que les musulmans qui sont majoritaires en Algérie à dix contre un, se retrouvent minoritaires dans la République française à un contre cinq. C’est un tour de passe-passe puéril! On s’imagine qu’on pourra prendre les Algériens avec cet attrape-couillons? Avez-vous songé que les Arabes se multiplieront par cinq, puis par dix, pendant que la population française restera presque stationnaire? Il y aurait deux cents, puis quatre cents députés arabes à Paris? Vous voyez un président arabe à l’Élysée ? Propos attribués au général de Gaule lors d’un entretien du 5 mars 1959 et rapportés par Alain Peyrefitte dans son livre C’était de Gaulle, t. 1, Paris, éd. de Fallois/Fayard, 1994. Remarque importante Charles André Joseph Marie de Gaulle (1890 -1970) 18 e président de la République française (1959 -1969) Les deux commentaires précédents, que seul Alain Peyrefitte a mis dans la bouche du général à la suite des évènements d’Algérie (donc 35 ans plus tard) et dont on ne retrouve nulle trace ailleurs, ont suscité doute et scepticisme. Plusieurs remettent en question l’authenticité de tels propos et allèguent que Peyrefitte les a réinventés après coup, pour les besoins de sa propagande politique : «Méfionsnous toujours des mémoires rédigées par des hommes politiques qui ne parlent pas pour l’histoire mais pour leur chapelle» , ont-ils dit. D’autres considèrent que ce «discours sans subtilité» emprunte davantage aux problèmes actuels qu’aux soucis d’alors. Mais il y en a qui reconnaissent là «parfaitement le ton du général» . La controverse subsiste donc toujours.
Les principes de l’islam et ceux du nazisme présentent de remarquables ressemblances, en particulier dans l’affirmation de la valeur du combat et de la fraternité des armes, dans la prééminence du chef, dans l’idéal de l’ordre. *** Les nazis sont les meilleurs amis de l'islam. Mohammed Amin al-Husseini, grand Mufti de Jérusalem Propos tenus en 1943. Mohammed Amin al-Husseini (également connu en tant qu'Hadj Amin al-Husseini ou encore comme grand Mufti de Jérusalem ) (1895 -1974) Chef religieux et nationaliste en Palestine mandataire
Himmler, à l’occasion de la création pendant la guerre d’une division de volontaires musulmans pour la Waffen-SS, salua en l’islam une «religion sympathique et pratique pour les soldats» , car il attire «ses fidèles à [lui] dans cette division et qu’il leur promet le paradis s’ils se sont bien battus et sont tombés au combat. » BAB, NS 19/4013, 26 novembre 1944, cité par Peter Longerich, Himmler – L’éclosion quotidienne d’un monstre ordinaire , éd. Héloïse d’Ormesson, 2010, p. 262 -263. Heinrich Luitpold Himmler (1900 -1945) L’un des plus hauts dignitaires du Troisième Reichsführer-SS et ordonnateur de la Shoa
C’est le grand phénomène de notre époque la violence de la poussée islamique. Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l’islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine. Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles [. . . ] le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème de l’islam. En théorie, la solution paraît d’ailleurs extrêmement difficile. Peut-être serait-elle possible en pratique si, pour nous borner à l’aspect français de la question, celle-ci était pensée et appliquée par un véritable homme d’État. Les données actuelles du problème portent à croire que des formes variées de dictature musulmane vont s’établir successivement à travers le monde arabe. Quand je dis «musulmane» , je pense moins aux structures religieuses qu’aux structures temporelles découlant de la doctrine de Mahomet [. . . ] Peut-être des solutions partielles auraient -elles suffi à endiguer le courant de l’islam, si elles avaient été appliquées à temps. Actuellement, il est trop tard! [. . . ] Tout ce que nous pouvons faire, c’est prendre conscience de la gravité du phénomène et tenter d’en retarder l’évolution. André Malraux, Enregistrement du 3 juin 1956, dans Dossier : Un siècle religieux, reproduit dans Valeurs actuelles, no 3395 (21 décembre 2001). Georges André Malraux (1901 -1976) Écrivain, aventurier, homme politique et intellectuel français Ministre d'État et ministre de la Culture de 1959 à 1969
Beaucoup d’explications ont été, et sont encore, avancées pour élucider le peu de succès de la modernisation dans ces régions et les performances relativement limitées du monde arabe comparées à celles de l’Occident chrétien. La différence la plus frappante entre les deux, relevée par la quasi-totalité des voyageurs, est la différence de statut des femmes. En 1867, Namik Kemal, comparant le monde musulman et l’Occident, écrivait que le premier était comme «un corps humain paralysé d’un côté» . Parce qu’elle affecte la moitié de la population, et l’éducation de l’autre moitié, cette différence est évidemment de la plus haute importance. Bernard Lewis, Entrevue avec Marie-Françoise Leclère et Pierre Beylau, Le Point, no 1564, le 6 septembre 2002. Bernard Lewis (1916) Historien, professeur émérite des études sur le Moyen-Orient à l’université de Princeton, spécialiste de la Turquie, du monde musulman et des interactions entre l’Occident et l’islam. Auteur de nombreux ouvrages de référence sur le sujet.
Si le foulard n’était qu’une façon de s’habiller, il ne poserait pas problème. Mais le foulard islamique est une façon d’affirmer qu’une jeune musulmane, pour être fidèle à sa religion, doit le porter. Il s’agit donc d’une pression sur celles qui jugent bon de n’en pas porter. À ce titre, il ne peut être toléré. Albert Jacquard, Petite philosophie à l’usage des non-philosophes , 1997. *** Le fait que Mahomet ait écrit le Coran sous la dictée de l’ange Gabriel est non seulement absurde, mais dangereux : du fait de leur caractère sacré, on ne peut plus rien changer à ces écrits, et l’islam risque de se retrouver de plus en plus décalé par rapport au monde contemporain. Albert Jacquard (1925 -2013) Chercheur et essayiste français, spécialiste de génétique des populations Conférencier et auteur de nombreux ouvrages de vulgarisation scientifique Albert Jacquard, «Anatomie du credo» , Revue Topo , avril 2004.
Nous avons le droit de combattre le racisme, d’accepter une pratique paisible de l’islam. Et j’ai le droit, je ne suis pas le seul dans ce pays à penser que l’islam – je dis bien l’islam, je ne parle même pas des islamistes – en tant que religion apporte une débilité d’archaïsmes divers, apporte une manière de considérer la femme, de déclasser régulièrement la femme et en plus un souci de supplanter la loi des États par la loi du Coran, qui en effet me rend islamophobe. Claude Imbert, Débat sur la chaîne de LCI, le 24 octobre 2003. Claude Imbert (1929) Journaliste, écrivain, fondateur de l’hebdomadaire Le Point, éditorialiste sur Europe 1 Islamophobe déclaré
- L’Islam ici, le vrai? C’est bien fini. . . plus que du fanatisme, de l’hystérie, de la souffrance qui ressort. Ils sont toujours là pour vociférer en suivant leurs bannières noires, mettre à sac une ou deux boutiques, ou se mutiler dans des transports sacrés, le jour anniversaire de la mort des imam. . . Plus beaucoup d’éthique dans tout cela; quant à la doctrine, n’en parlons pas! J'ai connu quelques véritables musulmans ici, des gens bien remarquables. . . mais ils sont tous morts, ou partis. À présent. . . Le fanatisme, voyez-vous, reprit-il, c’est la dernière révolte du pauvre, la seule qu’on n’ose lui refuser. Elle le fait brailler le dimanche mais baster la semaine, et il y a ici des gens qui s’en arrangent. Bien des choses iraient mieux s’il y avait moins de ventres creux. Nicolas Bouvier, Œuvres (partie «L’usage du monde» ), éd. Gallimard, 2004. Nicolas Bouvier (1929 -1998) Écrivain, photographe, iconographe et voyageur suisse
On dit : «L’islam est une religion. » Je veux bien. C’est certainement une religion. Incontestablement. Mais à partir du moment où Muhammad a quitté La Mecque pour émigrer vers Médine, qui est devenue la cité sainte, à ce moment-là l’islam a toujours lié le religieux au politique, le religieux au social. Religion et société sont devenues inséparables. Et ceci dure depuis 14 siècles. Toutes les sociétés musulmanes ont été des sociétés intégratives, globalisantes, totalisantes, pour ne pas dire totalitaires. *** Quand un musulman me dit «L’islam est la religion de la tolérance» , je lui réponds : «Parmi les 57 États musulmans de la planète, cite m’en un seul où la liberté religieuse existe… Le non-musulman n’a pas sa place, il est toléré tout juste. La liberté religieuse est un mythe, elle n’existe pas dans les sociétés musulmanes… Même la Turquie qui se prétend laïque : un musulman qui s’était fait chrétien s’est vu envoyer une marmite d’eau bouillante à la figure. » *** L’Occident se laisse prendre dans le piège du «politiquement correct» . Il est de bon ton d’être ouvert à tout le monde, à tous les courants. Et alors avec ça on avale des couleuvres […] Les radicaux qui sont en train de vouloir conquérir la planète de façon systématique – il y a un plan de conquête de l’Occident qui est déclaré par eux. Par le triple jeu de l’immigration, de la démographie et des conversions, dans cent ans l’Occident est musulman! Et vous réveillerez quand il sera trop tard. Henri Boulad Émission dominicale Second Regard, réalisée par la société Radio-Canada Père Henri Boulad (1931) Prêtre jésuite égyptien, écrivain et conférencier
Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Ils n’iront pas en tant qu’amis. Ils iront pour le conquérir, et ils le feront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre fécond de nos femmes qui nous donnera la victoire. Houari Boumédiène, Discours prononcé lors de la Conférence islamique, 1974. Mohamed ben Brahim Boukharouba, dit Houari Boumédiène (1932 -1978) Militaire, 2 e chef de l'État algérien de 1965 à 1976, puis président de la République algérienne démocratique et populaire de 1976 à 1978.
Les femmes du monde arabe savent bien que leur combat pour l’émancipation implique à la fois la fin du pouvoir patriarcal, dont la plupart des hommes se font les complices, et l’éradication d’une religion qui en justifie la prépondérance. Raoul Vaneigem, De l’inhumanité de la religion, 2000. Raoul Vaneigem (1934) Écrivain et philosophe belge
Fatwa : Sorte de mini-encyclique peut concocter n’importe quel curé musulman venu. Jean-François Kahn, Dictionnaire incorrect , 2005. Jean-François Kahn (1938) Historien, journaliste et écrivain français. Fondateur de l’hebdomadaire Marianne
La maison de servitude, c’est en fait l’islam lui-même. Il en est une reconstitution à l’époque moderne, en plus dur encore d’ailleurs. Il ne faut donc pas s’étonner de l’écho qu’il suscite à notre époque. Beaucoup de gens, en effet, ne rêvent qu’à une chose, en revenir à la maison de servitude. Ils sont fatigués de la liberté, n’aspirent qu’à en être débarrassés. Qu’à cela ne tienne, l’islam les en débarrasse. Il leur offre tout ce qu’ils désirent, des lois strictes et des peines sévères à ceux qui les enfreignent. Les gouvernants eux aussi sont séduits. L’islam leur facilite la tâche, c’est une idéologie qui leur convient. Éric Werner, 26 mai 2006, dans Éric Werner s’explique sur «La maison de servitude» . Éric Werner (1940) Philosophe et essayiste suisse et ancien professeur de philosophie politique à l'Université de Genève.
En figeant l’islam au VIIe siècle, les islamistes refusent que l’islam fasse partie de l’histoire de la pensée et qu’il puisse être soumis à l’évolution de la pensée. L’histoire finit là où commence l’islam. Vassyla Tamzali Wassyla Tamzali (1941) Écrivaine et militante féministe algérienne Ancienne avocate à la cour d’Alger (1966 -1977) Co-auteure de l’ «Appel des femmes arabes pour la dignité et l’égalité» (2012)
Au risque de choquer, il faut avoir le courage de dire que l’intégrisme n’est pas la maladie de l’islam. Il est l’intégralité de l’islam. Il en est la lecture littérale, globale et totale de ses textes fondateurs. L’islam des intégristes, des islamistes, c’est tout simplement l’islam juridique qui colle à la norme. Anne-Marie Delcambre, L’islam des interdits, éd. Desclée de Brouwer, 2003. Anne-Marie Delcambre (1943) Docteur en études islamiques et islamologue française Auteure de nombreux livres et articles sur Mahomet et l'islam
La critique du christianisme est critique; celle de l’islam, provocation. Pour l’islam, il n’y a que les croyants et les infidèles. Infidèles, nous le sommes, certes. Marc Bonnant, Hommage à Charlie Hebdo, Le matin (Suisse), le 6 novembre 2011. Marc Bonnant (1944) Avocat genevois, connu pour son art oratoire
«Attention aux amalgames!» entend-on ressasser sur tous les tons dans les milieux bien pensants de toute origine et de toute confession. . . À écouter ces belles âmes, l’islamisme ne serait qu’une dérive qui n’aurait «rien à voir» , mais alors, on vous l’assure, rien de rien, avec «le véritable islam» , lequel serait, en son tréfonds, une idyllique religion de paix, de fraternité et de tolérance. . . Pourtant, n’est-il pas curieux que ce ne soit qu’à propos de cette religion que l’on juge bon d’ajouter l’adjectif «modéré» pour tenter d’accréditer l’idée qu’à côté «d’une petite minorité» de quelques excités fanatiques, «assurément non représentatifs» , «l’immense majorité» du milliard de musulmans dans le monde «d’ailleurs divisés en rites divers et variés» , serait composée de «paisibles citoyens» qui penseraient «leur spiritualité» et pratiqueraient «leur foi» avec la même sérénité que «tous les autres croyants» ? La vérité, braves gens, est quelque peu différente : s’il existe, bel et bien, et Allah merci! des «musulmans modérés» , nos frères en humanité, l’islam en tant que tel n’est pas une religion modérée : il suffit de lire le Coran, truffé de menaces et d’imprécations en tout genre, pour s’en convaincre! Ibn Warraq (le 1 er octobre 2001), Le vrai visage de l’islam, éd. Kyrollos, 2004. Ibn Warraq est le pseudonyme d’un écrivain américain qui serait né en 1946 en Inde dans une famille musulmane et aurait été éduqué au Pakistan.
Le plus nocif des legs de Muhammad est peut-être d’avoir soutenu que le Coran est la parole même de Dieu, vraie à jamais, faisant ainsi obstacle à tout progrès intellectuel et oblitérant tout espoir de liberté de pensée qui seuls permettraient à l’islam d’entrer dans le 21 e siècle. *** L’islam a conquis par l’épée, et ce faisant il a détruit la chrétienté en Orient et la culture persane séculaire, pillant et brûlant les églises et les temples; il a dévasté l’Inde et a littéralement mis à sac des milliers de temples hindous. *** Les militants islamistes n’ignorent pas que l’islam est incompatible avec les principes de la «Déclaration universelle des droits de l’homme» qui occulte toutes libertés qui contredisent la loi islamique. Plus préoccupant encore est le fait que sous la pression des États musulmans, l’article 18 de la «Déclaration des Nations unies» a été révisé en novembre 1981. La liberté de religion et le droit de changer de religion ont été supprimés et seul le droit d’avoir une religion fut conservé. Ibn Warraq, Pourquoi je ne suis pas musulman , éd. L’âge d’Homme, 1999. Ibn Warraq est le pseudonyme d’un écrivain américain qui serait né en 1946 en Inde dans une famille musulmane et aurait été éduqué au Pakistan.
Il est difficile pour l’Occident d’imaginer le pouvoir qu’exercent les mollahs sur les masses, les poussant à perpétrer les actes les plus vils, au nom de Dieu. Un groupe de musulmans hystériques, manipulés par un mollah, a lapidé un enfant abandonné, au motif qu’il était probablement le fruit d’une union illégitime et donc qu’il ne pouvait pas être toléré. Une autre foule a coupé la main d’un homme parce que le mollah qui la menait avait prétendu que cet homme était un voleur, sans preuve, sans procès, juste sur la parole du mollah. *** Alors qu’on culpabilise tous les Européens avec le colonialisme et l’impérialisme occidentaux […], l’impérialisme arabe est au contraire présenté comme un objet de fierté pour les musulmans […] Personne ne s’avise de faire remarquer que l’islam a colonisé des territoires qui appartenaient à des civilisations anciennes, et que ce faisant, il a écrasé et réduit à néant de nombreuses cultures. *** L’essor du fascisme et du racisme en Occident est la preuve que tout le monde n’est pas amoureux de la démocratie. Par conséquent, la bataille finale ne sera pas nécessairement entre l’islam et l’Occident mais entre ceux qui attachent du prix à la liberté et ceux qui n’en attachent aucun. Ibn Warraq, Pourquoi je ne suis pas musulman , éd. L’âge d’Homme, 1999. Ibn Warraq est le pseudonyme d’un écrivain américain qui serait né en 1946 en Inde dans une famille musulmane et aurait été éduqué au Pakistan.
Tous les musulmans devraient s'interroger pour comprendre pourquoi la foi qu'ils aiment a produit autant de mutants. Salman Rushdie, Commentaire formulé le 1 er octobre 2001. Ahmed Salman Rushdie (1947) Essayiste et romancier britannique d’origine indienne. Objet d'une fatwa de l’ayatollah Khomeiny à la suite de la publication de l’ouvrage Les Versets sataniques, il est devenu un symbole de la lutte pour la liberté d’expression et contre l’obscurantisme religieux.
Ils en ont assez enduré pour savoir que l’écart entre islam et islamisme n’est pas si grand, que la différence entre les deux entités n’est pas question de nature mais d’intensité. L’islamisme est de l’islam à un autre degré, sa variante meurtrière. L’islamisme est la métastase de ce mal, l’islam. Jack-Alain Léger, Tartuffe fait ramadan, éd. Denoël, 2003. Jack-Alain Léger (de son vrai nom Daniel Théron) (1947 -2013) Romancier et chanteur français. Islamophobe déclaré.
Forgé par les intégristes iraniens à la fin des années 70 […], le terme d’ «islamophobie» , calqué sur celui de xénophobie, a pour but de faire de l’islam un objet intouchable sous peine d’être accusé de racisme. Cette création, digne des propagandes totalitaires, entretient une confusion délibérée entre une religion, système de piété spécifique, et les fidèles de toutes origines qui y adhèrent. Or une confession n’est pas une race, pas plus que ne l’est une idéologie séculière : l’islam, comme le christianisme, est révéré par des Arabes, des Africains, des Asiatiques, des Européens, de même que des hommes de tous pays sont ou ont été marxistes, libéraux, anarchistes. Jusqu’à preuve du contraire, on a le droit, dans un régime démocratique, de juger les religions mensongères et rétrogrades et de ne pas les aimer. Se méfier de l’islam comme on a pu en d’autres temps se méfier du catholicisme, juger inquiétant son prosélytisme agressif, sa prétention à la vérité unique, son penchant sacrificiel, c’est manifester un sentiment qu’on estimera légitime ou absurde, ce n’est pas faire preuve de racisme. *** Il est des mots qui contribuent à infecter la langue, à en obscurcir le sens. «Islamophobie» fait partie de ces termes à bannir d’urgence du vocabulaire. Pascal Bruckner, «L’invention de l’islamophobie» , Libération, le 23 novembre 2010. Pascal Bruckner (1948) Romancier et essayiste français.
On s’en veut de le rappeler : de tous les monothéismes, c’est le christianisme qui est aujourd’hui le plus persécuté dans le monde, surtout dans les pays musulmans, Algérie, Irak, Égypte entre autres. Il est plus facile d’être musulman à Londres, New York ou Paris que protestant, catholique au Moyen-Orient ou en Afrique du Nord. Mais le vocable de «christianophobie» ne prend pas et c’est heureux. Imagine-t-on la Saint-Barthélemy condamnée par nos ancêtres sous l’angle de la discrimination plutôt que du fanatisme religieux? Pascal Bruckner, «L’invention de l’islamophobie» , Libération, le 23 novembre 2010. Pascal Bruckner (1948) Romancier et essayiste français.
Les mosquées sont nos casernes, les coupoles nos casques, les minarets nos baïonnettes et les croyants nos soldats. Poème du nationaliste turc Ziya Gökalp, récité publiquement en 1997 par Recep Tayyip Erdogan, alors maire d’Istanbul. Cela lui avait valu quatre mois de prison et la perte de ses droits politiques. Recep Tayyip Erdogan (1954) Homme d'État turc, fondateur de l'AKP et président de la République de Turquie depuis 2014.
Il est impossible pour une nation qui éduque ses enfants sur la mort et le martyre, pour plaire à son créateur, d’enseigner en même temps l’amour de la vie. La vie a-t-elle une valeur pour une société qui inculque à ses enfants qu’ils doivent tuer ou être tués pour aller au paradis ? *** […] les musulmans sont des combattants, des conquérants, et leur histoire ne manque pas d’exemples et de récits de conquêtes, de morts, de tueries, de razzias… Pour les musulmans, tuer est un loisir. Et s’ils ne trouvent pas un ennemi à tuer, ils s’entretuent entre eux. *** Les musulmans doivent commencer par se changer pour prétendre changer la vie. Ils doivent rejeter la culture de la mort enseignée et véhiculée par leurs livres. C’est seulement quand ils y parviendront qu’ils n’auront plus d’ennemis. Car celui qui apprend à son fils à aimer plus qu’à haïr son ennemi appréciera mieux la vie. Wafa Sultan (1958) Psychiatre américaine d’origine syrienne Conférencière et écrivaine Wafa Sultan, Ces commentaires écrits et verbaux sont disponibles sur le Web.
L’islam est structurellement archaïque : point par point, il contredit tout ce que la philosophie des Lumières a obtenu depuis le XVIIIe siècle en Europe et qui suppose la condamnation de la superstition, le refus de l’intolérance, l’abolition de la censure, le rejet de la tyrannie, l’opposition à l’absolutisme politique, la fin de toute religion d’État, la proscription de la pensée magique, l’élargissement de toute liberté de pensée et d’expression, la promulgation de l’égalité des droits, la considération que toute loi relève de l’immanence contractuelle, la volonté d’un bonheur social ici et maintenant, l’aspiration à l’universalité du règne de la raison. Autant de refus clairement signifiés à longueur de sourate. . . Michel Onfray, Traité d’athéologie, éd. Livre de Poche, 2006. Michel Onfray (1959) Philosophe français
L’islam est-il soluble dans la démocratie? Pauvres dindons bien plumés! Que vous faut-il encore pour comprendre que votre démocratie se dissout irrésistiblement dans l’islam? *** Les musulmans, et pire encore les musulmanes, sont les premières victimes de l’islam. *** Il n’y a pas d’islam militant et d’islam modéré. Il n’y a que des variations d’intensité. Les lois coraniques ne peuvent être adoucies que très provisoirement. *** L’islam, ce communisme du désert. Maurice Georges Dantec, dit Maurice G. Dantec (1959) Écrivain français naturalisé canadien Maurice G. Dantec, American Black Box (2006), éd. Albin Michel, coll. Livre de Poche, 2009.
Dans une démocratie, quand on pervertit les mots c’est la pire des choses, parce que c’est là qu’on passe en «démocrature» . La perversion du langage, c’est le début de la fin de la liberté. Et cette perversion du langage, elle existe dans notre pays [la France] depuis des décennies. On ne peut plus nommer les choses telles qu’elles sont. Cette perversion du langage, cette incapacité à nommer les choses telles qu’elles sont, c’est vrai de l’islamisme […] Derrière ce qui se passe aujourd’hui, il y a une religion. Et ça, il faut accepter de le dire. Ce n’est pas le terrorisme le problème, mais bien l’islamisme. Nicolas Baverez, Transcription d’une entrevue-vidéo au magazine Le Point, le 28 janvier 2015 Nicolas Baverez (1961) Avocat français, économiste , historien des idées et éditorialiste au Point
Le monde arabo-musulman est enfermé dans le XVIIe siècle, plongé dans le djihad interne avec la guerre à mort entre sunnites et chiites, et externe avec la volonté des islamistes d’imposer leur religion au monde par la peur et la force. *** […] la dérive violente qui fait du terrorisme religieux une menace stratégique est le propre de l’islam. L’islam ne peut être réduit à l’islamisme, mais il n’y a pas de djihad en dehors de l’islam. Nicolas Baverez, «Baverez-Zemmour : le duel des deux France» , Le Point, n o 2212, 29 janvier 2015, p. 94 et 95. Nicolas Baverez (1961) Avocat français, économiste , historien des idées et éditorialiste au Point
L’islam prive les musulmans de leur liberté. C’est malheureux, parce que les gens libres sont capables de réaliser de grandes choses, comme l’histoire l’a montrée. Les Arabes, Turcs, Iraniens, Indiens, les peuples indonésiens ont un énorme potentiel. S’ils n'étaient pas captifs de l’islam, s’ils pouvaient se libérer du joug de l’islam, s’ils cessaient de prendre Mahomet comme modèle et s’ils se débarrassaient du Coran, ils seraient en mesure de réaliser de grandes choses qui bénéficieraient non seulement à eux mais au monde entier. En tant qu’Hollandais, Européen et homme politique occidental, ma responsabilité est d’abord d’aider le peuple néerlandais, les Européens et les Occidentaux. Toutefois, puisque la libération des musulmans bénéficierait à chacun d’entre nous, je soutiens sans réserve les musulmans qui aiment la liberté. Mon message pour eux est clair : le fatalisme n’est pas une solution; [l’expression] «Inch Allah» est une malédiction, la soumission est une honte. Libérez-vous, il n’en tient qu’à vous. Geert Wilders, paru dans www. muslimsdebate. com Geert Wilders (1963) Parlementaire néerlandais controversé, fondateur du PVV (Parti pour la Liberté) – un parti politique néerlandais nationaliste. Depuis l’assassinat du réalisateur Théo Van Gogh par un islamiste, il s’est distingué par ses prises de position contre l’islam, qu’il assimile à une «idéologie fasciste» .
La notion de jihad elle-même se trouve aux confins de la religion et de la politique. Prendre les armes pour défendre une terre musulmane ou conquérir une terre qui ne l’est pas encore, afin qu’elle le devienne, est un acte politique de guerre dans un but ultime de nature religieuse, assurer l’application de l’islam sur un territoire donné. La passion religieuse est donc présente chez le jihadiste. Elle le sera encore plus chez le terroriste. Marc Trévidic, Terroristes – Les 7 piliers de la déraison , éd. JC Lattès, 2013. Marc Trévidic (1965) Juge d’instruction au Tribunal de grande instance de Paris au pôle antiterroriste
En tant que croyance et doctrine, l’islam est politique, culturel, social et militaire. Tout cela est inclus dans le livre saint : le Coran, révélé par le prophète Mohamed dont la vie doit être un modèle pour tous les musulmans. En cela l’islam veut nier toute distinction entre les personnes et toute différence de comportement. Nier le concept d’individu. *** L'islam actuel n'est pas compatible avec les présupposés de l’État de droit occidental. Ayaan Hirsi Ali (1969) Femme politique somalienne et néerlandaise, connue pour ses prises de position contre la religion musulmane.
[…] on ne vient pas au monde avec une kalachnikov, une barbe et un «Allaou akbar» en bouche. On devient djihadiste avec le temps. Par des livres noirs, des idées, des fatwas ou des frustrations. C’est-à-dire par une culture. L’enjeu est là : continuer à créer pour offrir au nouveau-né une autre culture que celle du désastre, de l’islamisme et de la terreur. L’enjeu est culturel et la bataille est celle des idées. C’est simple : ils tuent au nom d’un livre, je me défends au nom des autres livres. Kamel Daoud, «Le syndrome Jonas» , Le Point, no 2212, le 29 janvier 2015, p. 98. Kamel Daoud (1970) Écrivain et journaliste algérien d’expression française
Lorsque le religieux revêt l’accoutrement du politique et lorsque la justice est rendue au nom d’Allah, les dérives les plus barbares deviennent possibles. On assassine, on égorge, on lapide, on pend, on coupe des mains, on tranche des têtes. Lorsqu’on égorge rageusement des femmes et des hommes en hurlant «Allah Akbar, Allah Akbar» , lorsque des islamistes arc-boutés sur la démocratie s’en servent pour lui tordre le cou, nous avons le devoir de nous interroger sur la nature de ces dérives et sur le sens même de cette religion. *** Même si l’on admet que [Theo] van Gogh [réalisateur néerlandais assassiné par un islamiste en 2004] ait délibérément insulté l’islam, pourquoi les musulmans s’offusqueraient-ils de ces insultes? Le Coran n’est-il pas lui-même truffé d’injures à l’égard des chrétiens et des juifs et de condamnations à mort des non -croyants? *** […] en islam, les musulmans sont considérés comme supérieurs aux autres êtres humains […] on accuse de raciste et d’islamophobe toute personne qui ose critiquer l’islam ou les musulmans. *** Avant que l’intégrisme ne gangrène une société, il y a «métastases» des années durant. Il y a donc l’intégrisme et avant cela les prémisses de l’intégrisme. Avant de se révéler dans toute son horreur, l’intégrisme est un état d’esprit. Djemila Benhabib, Ma vie à contre-Coran – Une femme témoigne sur les islamistes, VLB éditeur, 2009. Djemila Benhabib (1972) Journaliste, essayiste et femme politique québécoise d’origine algérienne
L’islamisme est une idéologie de destruction de masse. Elle propage le chaos […] elle abolit ce qui différencie l’homme de l’animal : la liberté de pensée, d’expression , de vivre [. . . ] Là où d’autres idéologies - le nazisme, le fascisme, le communisme - ont échoué, l’islamisme peut réussir. Amir Jahanchahi (date de naissance non précisée) Opposant iranien exilé en Europe
Voir dans la dérive djihadiste de certains individus une causalité purement sociale revient à sous-estimer les ressorts idéologiques de l’islamisme radical. Christian Makarian, «L’“apartheid” en France : l’insupportable dérive rhétorique de Manuel Valls» , L’Express, le 27 janvier 2015. Christian Makarian (date de naissance non précisée) Journaliste, écrivain, spécialiste du fait religieux, directeur délégué de la rédaction de L’Express
Dans les pays musulmans, les groupes islamistes représentés par les Frères musulmans et les mouvements dérivés critiquent Daesh [groupe État islamique] sans avouer que ce dernier ne fait qu’appliquer, à sa façon, leur théorie de l’État islamique à construire. Nous avons du mal à croire à la sincérité de l’Arabie saoudite lorsque le grand mufti de la Mecque […] déclare dans la foulée que «l’extrémisme et l’idéologie de groupes tels que l’État islamique sont contraires à l’islam, sont le plus grand ennemi de l’islam et les musulmans en sont les premières victimes» , pendant qu’un tribunal saoudien vient de condamner un jeune libéral, Raef Badawi, à 10 ans d’emprisonnement, à 1000 coups de fouet et à une amende équivalant à 300 000 $ CAN pour avoir défendu la liberté religieuse. Hassan Jamali, «L’État islamique et l’islam dans tous ses états» , Le Devoir, le 13 septembre 2014. Hassan Jamali (date de naissance non précisée) Canadien d’origine syrienne, professeur, auteur et conférencier
[…] ce n’est pas en répétant que l’islam est une religion de paix, même en s’appuyant sur des versets coraniques, que l’on concilie l’islam avec la modernité et le respect des droits de la personne. Les musulmans qui veulent vivre un islam pacifique et moderne (et non pas «modéré» ) doivent rompre définitivement avec la pensée islamique dominante et se débarrasser d’un héritage lourd qui les plonge dans la violence et les guerres civiles. Hassan Jamali, «L’État islamique et l’islam dans tous ses états» , Le Devoir, le 13 septembre 2014. Hassan Jamali (date de naissance non précisée) Canadien d’origine syrienne, professeur, auteur et conférencier
Conception R. Day Janvier 2015 Mes diaporamas sont hébergés sur le site : http: //www. imagileonation. com
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