Day Crations rflexives 2013 Dfilement manuel La grande

Day Créations réflexives 2013 Défilement manuel

«La grande aventure, c’est de voir surgir quelque chose d’inconnu, chaque jour, dans le même visage. C’est plus grand que tous les voyages autour du monde. » Alberto Giacometti Cette série de diaporamas, que j’ai intitulée «Visages» , ne se veut pas une expérience biographique. Les limites imposées par un diaporama ne permettent pas, d’ailleurs, de présenter des biographies au sens traditionnel. «Visages» montre tantôt des figures publiques bien connues, tantôt des personnalités plus effacées et plus obscures. Mais derrière chacun de ces visages, il peut arriver qu’il se cache quelqu’un d’étonnant. Si «Visages» a bien sûr pour objectif d’informer, il a donc surtout pour but de surprendre. Car, comme l’écrit Yvon Deneault, «L’être humain a deux visages : celui qu’il nous montre et celui qu’il a vraiment. » Ce onzième diaporama de la série pourrait susciter la question suivante : n’est-il pas étrange, après la chute de l’Union soviétique, que ce soit encore un ex-communiste et un ancien membre du KGB qui dirige la Russie? R. Day

Autoritaire. Revanchard. Secret. Ambitieux. Entêté. Empereur. Tsar. Garde-chiourme du Kremlin. Empereur et autocrate de toutes les Russies. Ce ne sont là quelques-uns des attributs et des expressions qu’on retrouve dans les médias lorsqu’il est question de Vladimirovitch Poutine, l’actuel président de la Fédération de Russie.

L’une des plus récentes plaisanteries à son sujet qui circule sur le Web est le surnom dont on l’affuble : Botox. «Ce qui étonne lorsqu’on voit Vladimir Poutine de près, c’est l’épaisseur du maquillage qui recouvre son visage. Et les signes apparents de chirurgie plastique pour lui garantir une jeunesse aussi éternelle que son pouvoir. À 59 ans, le "leader national" russe a pratiquement l’air plus jeune que lorsqu’il a pris les rênes de son pays chancelant il y a 12 ans. Ces cures de jouvence présumées – son entourage les nie – lui ont valu sur l’internet le nom de Botox. D’où l’appel de certains de ses détracteurs à une "débotoxication" du pays qui, selon eux, est dans un même état de stagnation que les pommettes saillantes de son leader. » (Frédérick Lavoie, La Presse, 3 mars 2012)

Vladimir Poutine est né à Leningrad (aujourd’hui Saint-Pétersbourg) le 7 octobre 1952. Ses parents (Vladimir Poutine et Maria Ivanovna), aujourd’hui décédés, avaient survécu aux 872 jours du terrible siège de Leningrad au cours de la Seconde Guerre mondiale (1, 8 millions de victimes). Le couple avait eu deux autres fils (Viktor et Oleg) nés dans les années 1930, mais qui périrent au cours du siège de la ville. Maria Ivanovna avait déjà 41 ans lorsqu’elle donna naissance à son dernier fils.

Vladimir Poutine aurait déclaré que le membre de sa famille qu’il admirait le plus était son grand-père Spiridon; à son sujet, on mentionne qu’il avait été un moment cuisinier de Lénine et de Staline (mais d’autres textes parlent plutôt de garde du corps et goûteur). Turbulent, polisson même, Vladimir faisait les quatre cents coups dans la cour de l'immeuble où vivaient ses parents. Comme beaucoup d'enfants de petite taille (il ne dépassera pas 5 pi 6 po), il se bagarre et ne cède jamais. Il a de mauvaises fréquentations et avouera avoir failli se joindre à la chpana, un milieu de petits criminels organisés. Ce sont les arts martiaux (judo, sambo) auxquels il s’adonne dès l’âge de 11 ans et une éducatrice influente qui le remettront dans le droit chemin. En neuvième année, il entre à l'école 281, celle des meilleurs élèves de la ville. Est-il bon étudiant? Difficile à dire car depuis qu'il a accédé aux hautes sphères du pouvoir son histoire a été pour ainsi dire réécrite et tous ses carnets de notes ont été retirés des archives. Adolescent, il adorait les films à la gloire de la police secrète soviétique. Il poursuivit donc ses études de droit avec l'objectif de se faire engager au sein du KGB.

(1961) (1969)

En 1975, il obtient son diplôme de droit de l’Université de Leningrad après avoir présenté un mémoire portant sur la politique des États-Unis en Afrique. Puis, après une formation dont on ne sait pas grand chose, il entre au KGB de Leningrad. Affecté au service du contre-espionnage local, il est chargé de la lutte de la police politique contre les dissidents et autres éléments antisoviétiques. En 1984, après avoir obtenu le grade militaire de commandant, il est envoyé à l’Institut Andropov de Moscou où il reçoit vraisemblablement une formation d’espion. On lui attribue le nom de code «Platov» . En 1985, il est envoyé en République démocratique allemande (RDA). Pendant cinq ans, sous la couverture de directeur de la «Maison de l’amitié germanosoviétique» , le lieutenant-colonel Poutine œuvre pour le KGB. Il est ramené à Leningrad à la suite de la réunification de l’Allemagne et du démantèlement des installations du KGB en RDA.

En 1982, il rencontre Lioudmila Alexandrovna Chkrebneva, une jeune hôtesse de l’air qu’il épouse un an plus tard. De cette union naissent deux filles : Maria en 1985 et Yekaterina en 1986. Mais on en sait très peu sur la vie privée de Vladimir Poutine.

À son retour au pays, il s’implique dans la politique municipale de Leningrad (qui a repris son ancien nom de Saint-Pétersbourg). Pendant quatre ans (de 1992 à 1996), il sera l’éminence grise du maire de la ville et l’une des personnalités les plus influentes de la politique municipale. Mais au plan national, il reste un inconnu. En 1996, sans qu’on sache trop qui l’a pistonné, il arrive à Moscou où il gravite auprès du président Boris Eltsine et accroît rapidement son influence dans les cercles du pouvoir. Graduellement, l’autorité et la santé de Boris Eltsine s’effritent par suite de luttes politiques intenses et d’accusations de népotisme. En août 1999, Poutine est nommé président du gouvernement (c’est-à-dire premier ministre) par Eltsine, devenant de ce fait le second personnage en importance de l’État. Dès lors, plus rien n’arrêtera son ascension fulgurante. Avec l’appui du président, il déclenche la seconde guerre de Tchétchénie visant à contrer les aspirations des indépendantistes tchétchènes désireux d’instaurer une république islamique dans la Caucase. L’opinion russe se range derrière lui.

Le 31 décembre 1999, à la surprise générale, Boris Eltsine démissionne de son poste de président de la Fédération de Russie. En sa qualité de premier ministre, Poutine devient président par intérim.

Le premier acte officiel de Vladimir Poutine, en tant que président par intérim, sera de signer un décret assurant à son prédécesseur et à tous les membres de sa famille une immunité totale relativement à toute poursuite judiciaire dont ils pourraient faire l’objet.

Lors des élections présidentielles du 26 mars 2000, Poutine recueille 52% des suffrages exprimés (son plus proche adversaire en recueillant 29%) et devient le nouveau président de la Fédération de Russie. Aux élections présidentielles de mars 2004, il obtient 71% des votes. Au cours de ses deux mandats, il ne cesse de renforcer le poids des services de renseignements dont il est issu, ainsi que ceux de la police et de l’armée. Il renforce aussi le contrôle de l’État et la censure sur l’information de masse. Ceux qu’on désigne en russe comme des siloviki (les hommes de force) supplantent donc les siviliki (les libéraux) qui avaient pris de l’importance à l’époque de Boris Eltsine. Poutine s’est en revanche attaqué aux oligarques qui, sous l’ancien régime, s’étaient outrageusement enrichis en s’accaparant les ressources et le patrimoine industriel du pays. Si Mikhaïl Khodorkovski, ex-patron du groupe pétrolier Ioukos, a été envoyé en Sibérie, d’autres ont échappé à la justice en s’enfuyant à l’étranger, tandis que certains se sont rapprochés du pouvoir poutinien en mettant leur immense fortune à son service.

La Constitution ne permettant pas à un président d’exercer plus de deux mandats consécutifs, Vladimir Poutine ne pouvait donc solliciter un troisième mandat lors des élections de 2008. Il lui fallait contourner ce problème auquel il avait sûrement songé depuis longtemps. Depuis 2003, Dmitri Medvedev, ancien président du groupe énergétique russe Gazprom, était devenu l’un de ses plus proches collaborateurs. Sans grande surprise, il fut désigné en décembre 2007 comme le candidat du Parti Russie unie (le parti le Poutine) aux élections de 2008.

Au premier tour de l’élection présidentielle du 2 mars 2008, Medvedev recueillait 70% des suffrages et devenait, à 42 ans, le troisième et plus jeune président de la Russie postsoviétique. Assermenté le 7 mai, il nommait dès le lendemain Vladimir Poutine président du gouvernement (donc premier ministre). En Russie comme en Occident, le stratagème n’a échappé à personne. Le docile Dmitri Medvedev, même s’il était perçu comme plus libéral que son prédécesseur, n’était en fait rien d’autre que le «chargé de pouvoir» de Vladimir Poutine, celui qui avait reçu le mandat de «garder son siège au chaud» pour les quatre prochaines années.

De fait, la suite des événements allait confirmer que Poutine n’avait cédé son pouvoir que sur papier et qu’il avait conservé le contrôle informel sur la vie politique, en dépit de la Constitution qui confère les plus importantes prérogatives au président. Selon plusieurs observateurs, les discours de Medvedev sur la «libéralisation» et la «modernisation» sont restés lettre morte.

Le 24 septembre 2011, lors du congrès du Parti Russie unie, Dmitri Medvedev annonçait qu’il ne briguerait pas un second mandat et il proposait la candidature de Vladimir Poutine à l’élection présidentielle. Medvedev avait préalablement fait voter une modification à la Constitution qui faisait passer la durée du mandat présidentiel de quatre à six ans. Se pourrait-il que ce «tour de passe-passe» ait influé sur le résultat des élections législatives et présidentielles? En tout cas, aux élections législatives de décembre 2011, Russie unie obtenait 49% des voix (un recul de 15 points par rapport aux élections de 2007). Quant à Vladimir Poutine, il récoltait au premier tour 63% des suffrages lors des présidentielles du 4 mars 2012 (un recul de 7% par rapport aux élections précédentes). Le jour même de son assermentation, Poutine renvoyait l’ascenseur à Medvedev et le désignait premier ministre. On a ainsi pu décrire l’opération comme un «troc de fonctions» , comme une «pièce électorale digne de figurer au catalogue du théâtre de l’ombre» .

Vladimir Poutine votant lors des élections législatives du 4 décembre 2011.

Vladimir Poutine votant lors des élections présidentielles du 4 mars 2012.

Comme «larrons en foire» , Poutine et Medvedev célèbrent «leur» victoire le soir du 4 mars 2012.

Assermentation du président Vladimir Poutine le 7 mai 2012. À sa droite, l’une des très rares présences en public de son épouse Lioudmila.

La veille de son assermentation devant le Kremlin, une violente manifestation anti-Poutine avait mis en présence la police et les opposants au président. La Douma (le parlement russe) a adopté depuis une loi limitant les rassemblements qui étaient déjà fortement encadrés en Russie. De lourdes amendes seront désormais imposées aux organisateurs et participants de toute manifestation que le pouvoir aura déclarée illégale.

La veille de son assermentation devant le Kremlin, une violente manifestation anti-Poutine avait opposé la police et les opposants au président. La Douma (le parlement russe) a adopté depuis une loi limitant les rassemblements qui étaient déjà fortement encadrés en Russie. De lourdes amendes seront désormais imposées aux organisateurs et participants de toute manifestation que le pouvoir aura déclarée illégale.

La veille de son assermentation devant le Kremlin, une violente manifestation anti-Poutine avait opposé la police et les opposants au président. La Douma (le parlement russe) a adopté depuis une loi limitant les rassemblements qui étaient déjà fortement encadrés en Russie. De lourdes amendes seront désormais imposées aux organisateurs et participants de toute manifestation que le pouvoir aura déclarée illégale.

La veille de son assermentation devant le Kremlin, une violente manifestation anti-Poutine avait opposé la police et les opposants au président. La Douma (le parlement russe) a adopté depuis une loi limitant les rassemblements qui étaient déjà fortement encadrés en Russie. De lourdes amendes seront désormais imposées aux organisateurs et participants de toute manifestation que le pouvoir aura déclarée illégale.

La veille de son assermentation devant le Kremlin, une violente manifestation anti-Poutine avait opposé la police et les opposants au président. La Douma (le parlement russe) a adopté depuis une loi limitant les rassemblements qui étaient déjà fortement encadrés en Russie. De lourdes amendes seront désormais imposées aux organisateurs et participants de toute manifestation que le pouvoir aura déclarée illégale.

La veille de son assermentation devant le Kremlin, une violente manifestation anti-Poutine avait opposé la police et les opposants au président. La Douma (le parlement russe) a adopté depuis une loi limitant les rassemblements qui étaient déjà fortement encadrés en Russie. De lourdes amendes seront désormais imposées aux organisateurs et participants de toute manifestation que le pouvoir aura déclarée illégale.

La veille de son assermentation devant le Kremlin, une violente manifestation anti-Poutine avait opposé la police et les opposants au président. La Douma (le parlement russe) a adopté depuis une loi limitant les rassemblements qui étaient déjà fortement encadrés en Russie. De lourdes amendes seront désormais imposées aux organisateurs et participants de toute manifestation que le pouvoir aura déclarée illégale.

On se souvient que dans l’ancienne Union soviétique, les dirigeants communistes n’étaient pas insensibles au «culte de la personnalité» . À cet égard, il subsiste un fond communiste chez Vladimir Poutine, qui apparaît très soucieux de l’image qu’il projette en public. De toute évidence, il contrôle minutieusement les photos qui sont prises de lui en Russie, ne dédaignant pas faire étalage de sa bonne forme physique et de son corps musclé, essayant même de projeter une image «sexy» de sa personne.

Les médias allemands rapportent que cet «étalage de masculinité» indispose la chancelière allemande Angela Merkel. Ce qui ne facilite guère les relations entre cette dirigeante que le magazine Forbes considère depuis plusieurs années comme la femme la plus puissante de la planète tandis que la revue Foreign Policy a classé le président russe comme étant l’homme le plus influent de la planète en 2012. Selon le magazine allemand Der Spiegel, Angela Merkel aurait souhaité que Medvedev se présente de nouveau à la présidence de la Russie, les relations entre les deux dirigeants étant plus faciles.

Se pourrait-il que ce que nous montre cette photo soit en partie la cause des sentiments mitigés que la chancelière allemande entretient envers le président russe? Cette photo fut prise en janvier 2007 dans la résidence de Poutine à Sotchi, sur la Mer Noire. Les journalistes ont précisé qu’Angela Merkel avait peur des chiens depuis son enfance, après avoir été mordue par un. Or Poutine a laissé sa chienne Koni, un labrador noir, s’approcher de son invitée pour la sentir. Et il se serait contenté d’en sourire…

Depuis la réélection de Vladimir Poutine, en mars 2012, la Russie a perdu six points dans le classement de la liberté de presse publié par Reporters sans frontières; elle se trouve aujourd’hui en 148 e position. L’ère Poutine, c’est aussi la période des assassinats de journalistes dont les prises de position heurtaient le pouvoir. Depuis 2000, plus de 150 d’entre eux ont été tués et plusieurs de ces meurtres n’ont jamais été élucidés. Il peut s’avérer risqué de traiter dans les médias des scandales politiques ou mafieux, des violations des droits de l’homme, de la corruption, des fraudes électorales, des groupuscules d’extrême-droite, de la Tchétchénie. Les journalistes du bihebdomadaire Novaïa Gazeta affirment qu’il est devenu moins dangereux de partir en reportage dans le Caucase que d’enquêter sur la corruption dans la banlieue de Moscou. L’une des plus récentes mesures prises par Poutine est d’obliger les ONG russes (organisations non gouvernementales) qui surveillent l’état des droits de la personne en Russie de s’inscrire dans un registre des «agents de l’étranger» si elles reçoivent des fonds de l’extérieur. Comme en Russie l’expression «agents de l’étranger» est assimilée à de l’espionnage, cette mesure est perçue comme une tentative de museler ces organisations.

Très peu d’information circule sur la vie privée du couple Poutine. «Pour les journalistes russes, écrit le journal New York Times, il est plus facile d’écrire sur les questions de sécurité nationale que sur la famille Poutine. » À plusieurs reprises dans le passé, des rumeurs ont circulé selon lesquelles le couple «battait de l’aile» et qu’il vivait séparé depuis plusieurs années, Lioudmila occupant une résidence officielle près de Sotchi. En janvier 2013, le site Web de Paris Match signalait qu’on n’avait pas vu la première dame de Russie en public depuis huit mois et qu’on voyait très rarement leurs deux filles.

Très peu d’information circule sur la vie privée du couple Poutine. «Pour les journalistes russes, écrit le journal New York Times, il est plus facile d’écrire sur les questions de sécurité nationale que sur la famille Poutine. » À plusieurs reprises dans le passé, des rumeurs ont circulé selon lesquelles le couple «battait de l’aile» et qu’il vivait séparé depuis plusieurs années, Lioudmila occupant une résidence officielle près de Sotchi. En janvier 2013, le site Web de Paris Match signalait qu’on n’avait pas vu la première dame de Russie en public depuis huit mois et qu’on voyait très rarement leurs deux filles.

Un rumeur persistante en Russie veut que la belle et jeune Alina Kabaeva, une ancienne championne olympique de gymnastique aux Jeux d’Athènes, serait la conjointe (maîtresse? ) de Vladimir Poutine depuis plusieurs années. En 2011, sur la page couverture d’une édition russe de Vogue, elle portait une robe Balmain évaluée à plus de 20 000€ (27 000$ US). Et la rumeur ne s’arrête pas là. On dit en effet que Vladimir Poutine serait le père de son fils né en 2008 et qu’elle aurait accouché d’une petite fille née de cette liaison en novembre 2012. Alina Kabaeva a toujours refusé de révéler l’identité du père de ses enfants. En tout cas, elle est membre du Parti Russie unie et elle siège au parlement russe depuis 2007.

Pour Vladimir Poutine, «la plus grande catastrophe géopolitique du 20 e siècle fut la dissolution de l’Union soviétique» . Il veut donc redonner à la Russie le prestige et l’influence que l’ancienne URSS avait sur l’échiquier mondial. Il voit la Russie comme une puissance incontournable, une puissance avec laquelle il faudra compter. D’autant plus que la Russie possède de grandes richesses en pétrole, gaz et minerais. Tout indique qu’il sera au pouvoir jusqu’en 2024. Il aura alors 72 ans et aura dirigé son pays, comme premier ministre et président, pendant un total de 24 ans.

Documentation ▪ Wikipédia, «Vladimir Poutine» . ▪ Frédérick Lavoie, «Vladimir Poutine à toutes les sauces» , La Presse, 3 mars 2012. ▪ Frédérick Lavoie, «Président à double tranchant» , La Presse, 3 mars 2012. ▪ Mario Roy, «Le système Poutine» , La Presse, 5 mars 2012. ▪ Frédérick Lavoie, «Poutine rentre au Kremlin» , La Presse, 5 mars 2012. ▪ Jocelyn Coulon, «Un acteur incontournable» , La Presse, 6 mars 2012. ▪ Serge Truffaut, «Présidentielle en Russie – Pris en tenailles» , Le Devoir, 6 mars 2012. ▪ Benjamin Bidder, «Outrage over Houla Massacre – Merkel and Hollande to challenge Russia over Syria» , Der Spiegel, 31 mai 2012. ▪ Frédérick Lavoie, «Poutine serre la vis aux manifestants» , La Presse, 1 er juin 2012. ▪ Claire Stephan (Arte Journal), «Russie-médias – Poutine et les ennemis du peuple» , 2 avril 2013. ▪ Kahina Sekkai, «Alina Kabaeva, la seconde dame de Russie? » , Parismatch. com, 29 janvier 2013. Photographies Internet Musique Pot-pourri de musique russe (You. Tube) Conception R. Day Avril 2013

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