Chteau Gaston Fbus Foix 2 pisode Au Clic

Château Gaston Fébus à Foix 2° Épisode Au Clic Les Ch’tis à Mirepoix

Les Nordistes chez les Sudistes Entre Foix et Ax les Thermes

Cap sur FOIX, la capitale de l’Ariège, avec ses 10 000 habitants, son nom vient de l’occitan « Foueich » , la fourche au croisement de l’Ariège et de l’Arget.

Située au confluent de l’Arget et de l’Ariège, Foix sur son fier éperon rocheux, Vit naître vers l’an mille un château qui la protège, Les Comtes l’aménageront plus tard en palais dispendieux. L’Ariège vallonnée, pastorale et sauvage, Rayonnante sous le soleil, procure des joies rafraîchissantes, Avec le rire de ses cascades et ruisseaux en babillage, Et la beauté secrète de ses lacs aux eaux fluorescentes. Mais l’Ariège c’est aussi ciel bas et crachin, Avec ses filoches s’accrochant aux montagnes des Fuxéens, Sous le regard gai des tendres chicorées, Des minuscules mélampyres ou douces angéliques parfumées. Une comptine enfantine parle de la ville en ces termes : Il était une fois, Dans la ville de Foix, Une marchande de foie, Qui vendait du foie. Elle se dit, ma foi, C'est la première fois Et la dernière fois, Que je vends du foie, Dans la ville de Foix.

C’est en compagnie de Mélanie, Conférencière attitrée, que nous partirons à l’assaut du château comtal, en démarrant par la « Halle aux grains » , construite en 1870, de type Baltard, et remaniée en 2009, face aux allées de Villote.

Mélanie nous contera l’histoire de la « Fontaine de l’oie » . C'est au 14 e s. que deux fontaines font leur apparition dans la ville : une rue Labistour et l'autre place Lazéma. Les deux fontaines alimentent le secteur allant de la rue du « Cap de la Bilo » , actuelle rue des Salenques, jusqu'à St-Volusien. La fontaine est déplacée au 18 e s. car elle était située au milieu de la rue et gênait la circulation, notamment le passage du carrosse du gouverneur. Un habitant accepta moyennant finances qu'elle soit accolée à sa maison, son emplacement actuel.

Premier aperçu de la Tour carrée d’Arget abritant le lit d’Henri IV, en visite en 1607. Accolée au rocher du château la rue des Grands Ducs est une des plus vielles de la ville. Ici un « pountil » permettant de passer d’une maison à l’autre sans emprunter le rue.

Du haut de son impressionnant rocher, le Château de Foix domine la ville depuis l’an 1 000. Au Moyen ge il passait pour imprenable : « El castels es tant forz, qu’el mezis se defent. » Le château est si fort qu’il se défend par lui-même. Emblématique de l’Ariège, le Château comtal de Foix devint chef-lieu du Comté dès 1034. Durant 2 siècles le château des Comtes de Foix sera l’âme de la résistance occitane et pendant la Croisade contre les Albigeois le comté deviendra le refuge privilégié des Cathares.

Figure du catharisme, Esclarmonde de Foix, fille de Roger Bernard 1 er, recevra le « consolement » en 1204 pour devenir « Parfaite » . Par la suite le château fut agrandi sous le règne du très puissant Gaston Fébus, le « Lion des Pyrénées » de 1343 à 1391 sous sa devise « Toco y se gaousos » Touches moi si tu oses. La Tour ronde fut entreprise après sa victoire à Launac en 1362 contre son rival, le comte d’Armagnac qu’il enferma au château et libéra contre une forte rançon.

Chanson « Aqueras Mountanhas » , écrite par Gaston Fébus pour sa dulcinée Agnès de Navarre épousée en 1349 et répudiée en 1362. Aqueras montanhas Que tan hautas son M'empéchan de véder Mas amors on son Répic Se canti, que canti Canti pas per jo Canti per ma mia Qu'ey auprès de jo. Si sabi las véder O las rencontrar Passeri l'aïgueta Shens paur d'em negar. Aqueras montanhas Be s'abaishéran E mas amouretas Que pareisheran. Ces montagnes Qui sont très hautes M'empêchent de voir, Où sont mes amours. Refrain S'il chante ce qu'il chante, Ce n'est pas pour moi, Chante pour ma mie, Qui est près de moi ! Saurais-je où les voir ? Où les rencontrer ? Je passerais l'eau, Sans peur de me noyer ! Ces montagnes, S'abaisseront Et mes chers amours, Apparaîtront.

En 1124, Roger II Comte de Foix , fait rénover l’église romane pour abriter les reliques de St Volusien, 7ème évêque de Tours, mort vers 495 aux portes de Foix alors que les Wisigoths l'exilaient vers l'Espagne. Incendiée en 1582, l’Abbatiale St Volusien fut reconstruite en 1609.

Le Grand orgue date de 1868, il possède 3 claviers et 39 registres. Classé monument historique depuis 1997 il est le seul qui subsiste du facteur François Sylvain Fermis, dans ses dispositions d’origine. De chaque côté du choeur sont disposées treize stalles acquises en 1804 à l'église St -Sernin et construites en 1670 pour le chapitre de Toulouse. Les accoudoirs présentent de belles sculptures de têtes humaines et de chèvres qui ne manquent pas d'humour, les miséricordes sont ornées d’angelots et de serpents.

Labouiche vient du mot occitan « bouich » , signifiant le buis. Proche de Foix, sur la commune de Baulou, le groupe va naviguer sur la « Rivière souterraine de La Bouiche » parcourant le massif du Plantaurel à 60 m sous terre, sur 1, 5 km.

La visite en barque s’arrête devant la « cascade Salette » , du nom de celui qui en compagnie de Norbert Casteret découvrit 3 800 m de réseau actif en 1933. Ici c’est le domaine des stalactites, stalagmites et fistuleuses.

Sur le site de l’ancienne forge de Montgailhard, proche de Foix, transformée en taillanderie au 19 e s. où l’on domptait l’eau pour forger le fer, les Forges de Pyrène utilisent encore cette forge à martinet, gros marteau de forge actionné par une roue hydraulique, classée monument historique en 1983. C’est la dernière encore en activité tous les jours en France.

Les 5 hectares de ce hameau hors du temps mettent en scène 120 métiers, pour la plupart disparus, une collection de 6 500 outils, plusieurs ateliers animés par des artisans et un spectacle original sur la vie quotidienne au début du siècle dernier: les âges de la vie. Grâce à ce voyage émouvant dans le temps, Baptistou, papi de 85 ans, retrace le cours de sa vie en Ariège à Marion, son arrière-petite-fille, au temps des charrettes et de l’alambic parcourant les villages pour distiller l’eau de vie.

Point fort du circuit la découverte du « Pog de Montségur » le « Vatican de l’église Cathare » .

Sur ce « pog » , mot occitan signifiant pic, vers 1204 les communautés cathares devenant très nombreuses, les « Parfaits » du clergé demandèrent au seigneur des lieux, Raimon de Péreille, de relever les ruines du château primitif. Montségur, le « Mont sûr » , renaîtra. Vue d’avion du château trônant à 1207 m. Il domine le village où dans le musée sont exposés les découvertes des fouilles sur le site historique du château : boulets, ciseaux, armes, et objets de la vie quotidienne du 13 e s. C'est aussi une exposition permanente sur le catharisme en Ariège.

Pendant plus de 10 ans, de 1232 à 1243, près de 600 personnes dont 300 « parfaits » vécurent dans « l’ostal » , les maisons communes et les cabanes réparties sur le plateau sommital sous la protection de Pierre Roger de Mirepoix. Malheureusement en ce jour de pluie, les Nordistes durent se contenter de l’histoire racontée avec passion, à l’abri dans le car, par le maître des lieux : Fabrice Chambon, lui qui arpente régulièrement la sente médiévale en compagnie des touristes venus du monde entier.

Après l’attentat d’Avignonnet, le 28 mai 1242 dans le Lauragais, où des hommes dirigés par Pierre Roger de Mirepoix tuèrent à coups de hache 11 membres du Tribunal de l’Inquisition, le concile de Béziers en Avril 1243 et le Pape Innocent IV décident de « trancher la tête du dragon » dans « la synagogue de Satan » à Montségur. Sous la conduite de Hugues d’Arcis, sénéchal de Carcassonne et Pierre Amiel, archevêque de Narbonne, l’armée s’installe au pied du « pog » . Près d’un an plus tard, le 2 Mars 1244 les assiégés se rendirent et le 16 Mars 1244, 205 cathares résolus périrent dans le bûcher du « Prat dels Cramats » . La stèle commémorative où est incrist : « Als catars, als martirs del pur amor crestian » . Aux cathares, aux martyrs du pur amour chrétien.

Montségur restera le symbole de ceux qui ont lutté pour défendre leur liberté spirituelle contre l’intolérance de Rome et l’Indépendance politique et culturelle du Pays d’Oc. Tombeau et réceptacle d’un mythe éternel. Napoléon Peyrat, pasteur et poète ariégeois de mon village natal de Les Bordes sur Arize, publiera en 5 volumes en 1860, « l’Histoire des Albigeois » dans une version moderne du mythe de Montségur, son « Temple du St Esprit » Il fallut des sièges, des batailles sanglantes, des bûchers de l’Inquisition, Pour que Rome vint à bout du Catharisme après un bon siècle de punitions, Pendant lequel les Occitans attachés à leur liberté de conscience, S’acharnèrent à défendre le « bien commun » avec une virile défiance.

Au cœur du Pays Cathare Mirepoix dont l’origine semble basée pour certains sur l'occitan Mira Peis c’est-à-dire « qui regarde les poissons » , ce qui ferait référence au fait que la ville est bâtie à proximité d'un gué sur l'Hers. Tout autour de la place centrale de la cité médiévale, les « couverts » forment une galerie en bois occupée par des commerces. La Maison des Consuls de Mirepoix, ses couverts, ses colombages et les sculptures humoristiques des sommiers et piliers de soutènement datent de 1573. D’autres pensent que l'origine du nom vient de « Mirum Podium » , ce qui signifie : « qui regarde la montagne » . En effet, la ville fait directement face aux cimes du massif de Tabes.

La petite église St Maurice, souhaitée par Jean de Lévis et sa femme Constance de Foix en 1298, s’est transformée au fil du temps en une cathédrale imposante. Son clocher et son élégante flèche de 60 m, sa nef de 48 m de long, de 24 m de haut et de 22 m de large, en ont fait la 2° d’Europe après celle de Géronne en Espagne. Au 19 e s. , Viollet le Duc dirigea les travaux de transformation et rajoutera les ouvertures circulaires ornées de vitraux.

Proche de Mirepoix et du village LES PUJOLS, l’église semi-rupestre de VALS date du début du 12 e s. avec son clocher en forme de tour élevé au 14 e s. Au débouché de l’unique rue du village, cet étonnant sanctuaire jaillit du rocher dont il épouse les contours. L’église St André et St Pierre est creusée dans la roche du Poudingue de Palassou.

Les 2 vitraux de l’église représentent St Loup, évêque de Troyes martyrisé par les Huns d’Attila en 426, et St Georges, patron des Chevaliers L’entrée de l’église se fait par une terrassant le dragon, soit la victoire diaclase, fracture naturelle de la roche. de la Foi sur le Mal.

Les visiteurs nordistes emprunteront la Nationale 20 conduisant en Andorre et feront halte à TARASCON sur ARIÉGE pour retrouver le monde préhistorique des Magdaléniens. Le Parc de la Préhistoire s'étend sur 13 hectares et propose différentes animations et ateliers. Le circuit amène le visiteur dans différents lieux en rapport avec l'environnement et les activités des magdaléniens ayant vécu 13 000 ans avant notre ère.

Ce fac-similé de la Grotte de Niaux présente le « Salon noir » , avec un ensemble de figurations pariétales zoomorphes impressionnantes : chevaux, bisons, cerfs et bouquetins. L’espace de 500 m², « Les Géants de l’âge de Glace » , retrace de manière réaliste les milieux dans lesquels évoluaient la faune à l’époque et notamment le mammouth laineux, caractéristique des Pyrénées. Une référence historique à la découverte faite par des ouvriers qui construisaient une voie de chemin de fer entre Foix et Saint Girons en 1901.

Sur les bords de l’ Ariège, la Nationale 20 en direction d’Ax les Thermes, traverse Ussat les Bains possédant avec Lombrives la plus vaste grotte d’Europe. L'homme préhistorique du Néolithique, des brigands, des ermites, des lépreux, de simples bergers ainsi que des faux monnayeurs s'y sont abrités. Des légendes entourent cette grotte. L'une d'elle se rapporte à Pyrène, dont on peut admirer la tombe mythique formée d'une stalactite géante. Henry IV visita Lombrives vers 1578, on prétendait qu'il voulait s'y rendre car il connaissait la « légende de Pyrène » et qu'il aurait voulu en vérifier l'exactitude. La tradition, inventée par Napoléon Peyrat poète ariégeois du 19 e s. , résidant de mon village natal des Bordes sur Arize, veut également que des cathares aient été enterrés vivants dans la grotte et que le bon roi Henry IV en aurait fait extraire les ossements pour leur donner une sépulture digne !

Sur la montagne du Quié, dont les pentes abruptes et calcaires dominent le rive droite de la vallée de l’Ariège, les spoulgas ou « caougno paredado » , grottes murées, datent du 12 e et 13 e s. Ici la « spoulga » de Bouan après Tarascon sur Ariège. Après avoir servi de refuges aux persécutés cathares, guidés par la croix à double traverse gravée dans la roche, elles complétaient le système défensif du Comté de Foix sous Fébus. Ici celle de Verdun au dessus de la rivière Aston à la confluence avec l’Ariège vers Les Cabanes.

Traversée par la N 20 menant à Ax les Thermes, le terme du circuit des Ch’tis, la petite commune de 350 h de Les Cabanes, en haute vallée de l’Ariège, est connue pour son activité de ski de fond sur le Plateau de Beille avec des pistes de 1 800 à 2 000 m. Mais depuis 1998 c’est le Tour de France qui lui a donné une renommée mondiale avec le franchissement de son col hors-catégorie de 13 km.

Après 45 mn en lacets au départ de Luzenac, surplombant la vallée de l’Ariège face à la chaîne des Pyrénées déroulant ses cimes, un immense cirque dévoile la Carrière de talc de Trimouns, la plus grande au monde.

Fondée en 1905 cette carrière à ciel ouvert est située à 1800 m d’altitude. Sur des gradins géants, des hommes travaillent avec d’énormes machines, ils découvrent, extraient, trient et transportent le talc, la roche la plus douce et la plus tendre de notre terre. La production s’élève autour de 400 000 t de talc par an, sachant qu’il faut environ 8 t de roche pour extraire 1 t de talc.

Le transport du talc vers l’usine située au fond de la vallée s’effectue au moyen d’un téléphérique de 5 km, équipé de godets transportant 1, 5 t de minerai de talc.

« Ax les Thermes, petite bourgade des Pyrénées, est connue pour son domaine skiable ou ses eaux chaudes, mais la ville, dans ses temps anciens, à l’époque des comtes de Foix et des vastes terres parcourues à pied ou accompagné d’une brave mule, avait un tout autre visage… » C’est ainsi que Mélanie Saves déjà écoutée à Foix introduit sa visite de la cité thermale.

Ax a pour étymologie aquae, en latin eau, qui donnera Acqs en Occitan. Les eaux sulfurées d’Ax étaient connues des Romains, mais c’est au 13 e s. que le comte de Foix, Roger IV, fait construire le Bassin des Ladres et la léproserie. Nous sommes sous Saint-Louis et l'on soigne ici les soldats revenus des croisades en Terre Sainte atteints par la lèpre. Le véritable début du thermalisme se situe au 18 e s. , l'établissement du Teich ouvre en 1798. La Société des Thermes est crée en 1879 et avec l'arrivée du train en 1888, Ax-les-Thermes connaît un nouvel essor.

Ax les Thermes possède 63 sources les plus chaudes Pyrénées de 23° à 77°. La station est agréée pour le traitement des rhumatismes, des traumatismes et des affections des voies respiratoires.

Idéalement situé sur la N 20 entre Toulouse et Andorre, le Casino propose à sa clientèle, machines à sous, boules, jeux traditionnels, black jack, roulettes anglaises ainsi qu'à proximité, le cinéma, un restaurant, une brasserie et une discothèque. Un téléphérique permet de monter à la station de ski, Ax 3 Domaines.

De décembre à Avril, le télécabine relie le centre de la ville au front de neige de la station de ski Ax 3 Domaines, sur les pistes de Bonascre, du Saquet et de Campels entre 1 400 et 2 400 m d’altitude.

Fin du circuit en Ariège, il ne reste plus à nos amis nordistes que d’envoyer une carte postale à 1 000 km, vers leurs amis du plat pays.

Avant de quitter les Pyrénées Ariégeoises voici la « Légende de Pyrène » Le souverain, Bebryx, avait établi sa cour dans la grotte de Lombrives. Pyrène, sa fille, rêvait comme toutes les jeunes filles de son âge à un beau et fort jeune homme. Tout à coup, elle poussa un cri, un jeune homme était là devant elle. « Qui es-tu ? » murmura-t-elle. « Je suis Hercule » Tout l'été, ils se rencontrèrent dans la forêt. L'automne arriva, Hercule entendit dans le ciel l'appel des oies sauvages qui retournaient vers son pays. « C'est un présage, il faut que je parte » se dit-il. Il partit aussitôt vers l'est, s'éloignant de la forêt et Pyrène alla près des rochers pour retrouver Hercule et lui annoncer qu'elle attendait un enfant. Arrivée, elle comprit : Hercule était parti. Elle courut aussitôt vers l'est, traversant les fourrés de ronces, grimpant aux flancs des collines, pataugeant dans les étangs. Elle comprit qu'elle ne rattraperait jamais Hercule et se coucha sur l'herbe en poussant des cris de tristesse. Les loups affamés arrivèrent, Pyrène lutta quelque temps en espérant que Hercule viendrait la sauver mais les loups se jetèrent sur elle, un ours brun la griffa, la terrassa, déchira son visage et son corps, Pyrène hurla de douleur. Au loin, Hercule entendit le cri de Pyrène. Il revint en courant, mais lorsqu'il arriva, il n'y avait plus sur le sol quelques os blanchis. Fou de rage, il s'attaqua aux rochers, les remua et les jeta sur les loups. Ensuite il déposa les restes de la jeune fille sur des fleurs et des feuilles. Puis il empila de gros blocs de pierre en guise de tombeau créant une haute montagne. Dans la grandiose grotte de Lombrives, dans une salle ornée de roches dorées, eut lieu une grande cérémonie en présence des plus hautes dignités du royaume des Bekrydes. Hercule prononça ces quelques mots d'adieu: « Afin que ton nom, ma chère Pyrène, soit conservé à jamais par les hommes qui peupleront cette terre, ces montagnes dans lesquelles tu dors pour l'éternité s'appelleront « Les Pyrénées »

Le Sudiste ARIÉ…. JOIE remercie les Nordistes pour avoir aimé son Ariège natale.

Conception et Quatrains de l’ ARIÉ…. JOIE Photos personnelles et du Net Merci à Brigitte pour les photos du circuit guypujol@orange. fr Musique : Générique des Racines et des Ailes Quien Serra à la guitare espagnole et Plaisir d’Amour par André Rieu Se Canti et Montagnes Pyrénées Réalisation Novembre 2015 Venez faire un petit tour sur mon nouveau site : http: //www. bienvenuechez-ariejoie. fr/ 13 Novembre 2015