BELIZE le San Pedro 942021 Guatemala voyage ARIS

BELIZE île San Pedro 9/4/2021 Guatemala voyage ARIS 17 - 27 novembre 2010 221

BELIZE île San Pedro • • • En maillot avec paréo, nous voyons encore quelques miles jusqu’à l’île San Pedro, où nous déjeunons au Fido’s restaurant sous un grand toit de palmes. Le menu est excellent (beignets de crevettes), le patron a un accent américain et distribue les poissons. J’avise une boutique sympa avec un peu de tout : des tableaux des bijoux. J’entraîne MC qui préfèrerait prendre un café, mais qui vient quand même. J’ai repéré un pendentif en nacre et des bijoux d’or. Finalement MC se laisse tenter par un pendentif et moi par des boucles d’oreilles. La vendeuse qui a l’air américaine nous accueille bien. Après nos emplettes nous allons goûter le fameux expresso guatémaltèque, qu’on ne trouve pas là bas, mais au Bélize ! Le garçon, aimable, prend nos photos. Maintenant il nous reste une heure pour visiter la petite ville. Cela ressemble fort à la Guadeloupe, habitée par des Garifunas, mais les rues sont encombrées de voitures électriques. Les boutiques sont avenantes mais au goût américain. Nous traversons l’île pour gagner l’autre rivage où nous trouvons le port local, plus authentique et revenons au jugé juste devant l’embarcadère. Il y a énormément de touristes US, mais la haute saison est janvier à mars, nov-dec. 9/4/2021 Guatemala voyage ARIS 17 - 27 novembre 2010 222

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BELIZE CITY • Le retour en hors bord, est fait à grande vitesse, face au soleil, même pommadée, j’en ai pris un coup ! • Au retour je me fait une frayeur en cherchant mon porte-monnaie, qui finalement est dans mon sac à dos dans la chambre ! Soulagées, nous descendons rejoindre le groupe auquel René a proposé une ballade à pieds dans Belize City. Mais ils sont déjà partis. Maggy les a vus, et nous courrons derrière. Après quatre rues, ils nous remarquent et nous attendent. C’est dangereux de sortir seules un vendredi soir. Nous restons groupés. Le centre ville n’est pas terrible, les boutiques sont grillagées. Des flons s’échappent d’un bar au bord du fleuve. Le vendredi soir, jour de paye, la bière bélizienne coule à flots ! La ville est ‘destroyed’, il faut regarder où on met les pieds, car les plaques d’égout manquent pour la plupart sur les trottoirs. Le centre-ville est animé. Une chienne se met à nous suivre. Monique, apitoyée, lui achète un hot-dog… Nous passons devant le consulat de Pologne, dans les quartiers pauvres. . Au retour, vers les bords de mer, ce sont les beaux quartiers, belles villas illuminées de pères Noël, ambassade de Mexico, il doit y en avoir d’autres dans le quartier. Le Belize est plus pauvre que le Guatemala. Les Chinois ont envahi la place avec leurs tripots !. . décidemment ils sont partout ! Nous commençons à nous habituer à la chambre, elle donne sur la mer et les pontons. Après une bonne douche, nous descendons prendre un cocktail. Nous demandons la carte. Le gars cherche partout…et finit par trouver la fameuse liste aux noms évocateurs « Sex on the beach, BSI…. » , mais qui ne disent pas ce qu’il y a dedans ! Nous lui demandons du rhum et de la noix de coco. Il nous fabrique un « panty report » . : une bonne dose de glace, deux rasades de rhum blanc, un peu de sirop de coco qui a du mal à sortir de la bouteille, car il est gelé, et du jus d’ananas en bouteille, il broie le tout et nous sert…. . une granizada assez insipide ! Ils sont forts ces Béliziens, ils ont inventé le rhum blanc sans alcool et sans goût ! Quelqu’un avait dû remplacer le rhum par de l’eau ! MC demande du rab de rhum, mais ça ne change pas grand-chose. Elle qui avait peur de ne pas être claire pour faire sa valise, elle ne risque pas grand-chose ! René trouve que la bière de Belize est petite, sans trop d’alcool, sans trop de goût, et chère ! 9/4/2021 Guatemala voyage ARIS 17 - 27 novembre 2010 226

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13 – Le retour 9/4/2021 Guatemala voyage ARIS 17 - 27 novembre 2010 231

Le Retour Nous dînons avec René, ce qui permet à MC de lui poser toutes sortes de questions. Il a trois enfants, un garçon de 15 ans, et deux filles de 13 et 8 ans. Il espère pouvoir un jour les emmener en Europe. Il réfléchit trois ans à l’avance à la fête qu’il fera pour les quinze ans de sa fille. Curieusement, ils ne font pas cela pour les garçons, mais René songe à f^ter les dix-huit ans de son aîné. Ce sera sa majorité, mais normalement, ce n’est pas une occasion de festoyer. C’st un homme jovial et sympathique, cultivé, calme , diplomate et attentionné. De type maya bien affirmé, il doit cependant faire partie des ladinos. Il est venu sans papiers en Belgique( après des études d’histoire, puis de tourisme). Il est retourné au Guatemala pour une demande de bourse pour étudier en Belgique et a pût se spécialiser. Il compte faire un voyage en Europe dans deux ans. Il nous a raconté que le problème principal au Guatemala est la malnutrition des enfants. Les indiens n’accordent que peu d’importance à la nourriture, qui est basée sur le maïs et les haricots, très peu de viande (poulet, porc, bœuf et poissons). Les enfants étant mal nourris, ils sont plus petits et chétifs que ceux des ladinos. Un programme alimentaire à l’école avait été entrepris, qui a été abandonné. Par contre les campagnes de vaccinations ont bien pris. Edwin René CASTILLO 1 avenidad 3 -72 Zona 3 GUATEMALA CIUDAD Tel fixe 22 38 20 74 Port 00 (502) 58 023 769 Nous arrivons à dormir sans somnifères, comme d’hab, je me réveille au petit jour. Samedi 27 Novembre 2010 C’est le retour. MC doit payer un supplément de bagages. J’achète du Rhum à l’aéroport, et je suis fort inquiète, car les marchandises ne sont livrées que sur le tarmac ! Ceci pour éviter les trafics. Nous passons par Miami. Le survol de la baie est impressionnant, les marais, les jardins, puis les gratte-ciel. A l’aéroport, j’ai plein d’ennuis, déjà on fait le tour de l’aérogare à pieds, et mon sac cabine qui convenait au Belize, ne convient plus aux US ; Je dois refaire le tour pour mettre mon sac en soute. Heureusement un haïtien très sympa vient à mon secours en un français impeccable. « Vous êtes sortie de l’aéroport ! » « C’est pas possible ! je ne m’en suis pas aperçue ! » J’ai été fouillée deux fois de suite, à cause de mon bracelet ! Heureusement qu’on avait du temps, car l’administration américaine est très pénible. Pas de repas comme d’hab. Il faut éviter American Airlines. 9/4/2021 Guatemala voyage ARIS 17 - 27 novembre 2010 232

Le retour La baie de Miami Fin 9/4/2021 Guatemala voyage ARIS 17 - 27 novembre 2010 233