AVEC MARIJO LOURDES chteau et muse des Pyrnes

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AVEC MARIJO

AVEC MARIJO

LOURDES

LOURDES

château et musée des Pyrénées 2

château et musée des Pyrénées 2

Lourdes est située au pied de la chaîne des Pyrénées, au sudouest du département

Lourdes est située au pied de la chaîne des Pyrénées, au sudouest du département des Hautes-Pyrénées. « Ecu de gueules à trois tours d'or, maçonnées de sable sur un roc d'argent; au-dessus de la tour médiane, un aigle de sable éployé, membré d’or, tenant au bec une truite d'argent, en pointe d'azur aux six montagnes d'argent baignées d’un gave au naturel »

Les Romains furent sans doute les premiers à occuper le rocher qui constitue une

Les Romains furent sans doute les premiers à occuper le rocher qui constitue une position stratégique. La croyance veut, qu’en 778, Charlemagne assiégea la forteresse occupée par les Sarrasins dirigés par Mirat. Alors que ses troupes étaient affamées, un aigle laissa échapper une truite, au passage. Mirat, rusé, la porta au chef des Francs, laissant croire qu’il était encore bien pourvu de vivres. Celui-ci voulut, alors, lever le siège, mais l’évêque du Puy-en-Velay, qui l’accompagnait, sauva la face en proposant à Mirat de se convertir au Christianisme pour conserver la place… Affamé, ce dernier accepta et se laissa baptiser sous le nom de Lorus. Aux IIe et XIIe siècles, ce fut la résidence des comtes de Bigorre. Sous Henri IV, le château devint prison et au XIXe siècle il se transforma en caserne.

Un ascenseur nous amène au cœur du château fort, grand vaisseau de pierre qui

Un ascenseur nous amène au cœur du château fort, grand vaisseau de pierre qui nous invite à partager son histoire… Il abrite le musée pyrénéen qui fait découvrir l’histoire et la culture de la région. Celui-ci a vu le jour, en 1921, sous l’impulsion de Louis et Margalide Le Bondidier. Il rassemble des collections sur l’histoire et les cultures montagnardes pyrénéennes. Dans le hall, cette peinture de Louis Capdevielle évoque un accident dans une carrière de pierres, en 1884.

L’endroit est idéal pour jouir d’une belle vue sur la ville. Ci-dessous, on découvre

L’endroit est idéal pour jouir d’une belle vue sur la ville. Ci-dessous, on découvre l’église paroissiale qui a remplacé celle détruite par le feu en 1904.

Sur le mur que nous longeons en sortant de l’ascenseur, de multiples inscriptions et

Sur le mur que nous longeons en sortant de l’ascenseur, de multiples inscriptions et des fenêtres bien décorées.

Après le court passage, c’est l’accès au premier bâtiment consacré au musée Pyrénéen.

Après le court passage, c’est l’accès au premier bâtiment consacré au musée Pyrénéen.

D’abord, une cuisine béarnaise. Cidessous, le gâteau à la broche. C’est une recette rapportée

D’abord, une cuisine béarnaise. Cidessous, le gâteau à la broche. C’est une recette rapportée des Balkans au XIXe siècle. Il s’agit d’enrouler plusieurs couches de pâte successives autour d’un cône placé sur un tournebroche et de laisser cuire durant plusieurs heures. Ci-dessus, à gauche, une armoire de mariage. L’année est inscrite en haut, au centre. Elle est apportée dans sa dot, par la future épouse venant d’un milieu aisé.

Quelques animaux des Pyrénées dont les grands rapaces.

Quelques animaux des Pyrénées dont les grands rapaces.

Encore des souvenirs anciens…

Encore des souvenirs anciens…

A gauche, le quillier, jeu favori dans les Pyrénées. Il se jouait à 3,

A gauche, le quillier, jeu favori dans les Pyrénées. Il se jouait à 3, 6 ou 9 quilles. Les parties avaient lieu surtout les dimanches et jours de fêtes. Une chambre de Bigorre, du XVIIIe au XXe siècle. Cet espace de repos peut appartenir à une cuisine où être indépendant. Y sont exposés bassinoire, grands chapelets, reliquaires, bénitier et prie-Dieu.

A gauche, quelques instruments aratoires; cidessous des jougs et, très coloré, un surjoug aux

A gauche, quelques instruments aratoires; cidessous des jougs et, très coloré, un surjoug aux clochettes. En bas, à gauche, des paniers pour le transport à dos de mulet.

Ici, ce sont des seaux à traite creusés dans des troncs d’arbre courbes.

Ici, ce sont des seaux à traite creusés dans des troncs d’arbre courbes.

Les cires de deuil accompagnaient, dans bon nombre de villages pyrénéens, le défunt, le

Les cires de deuil accompagnaient, dans bon nombre de villages pyrénéens, le défunt, le jour de l’enterrement, symbolisant sa présence pendant la cérémonie. Elles protégeaient, aussi, en cas de maladie ou de calamités.

Ces costumes de fêtes identifient différentes vallées des Pyrénées françaises ou espagnoles. Ils étaient

Ces costumes de fêtes identifient différentes vallées des Pyrénées françaises ou espagnoles. Ils étaient réalisés en tissu grossier, généralement très coloré. Au XIXe siècle, dans la vallée d’Ossau, la mariée entrait dans sa nouvelle demeure en apportant à la famille un « présent de mariage » avec divers aliments et un arbre garni de pommes.

Meubles à « fonds de bouteilles » .

Meubles à « fonds de bouteilles » .

Ces meubles à deux-corps et armoires, des XVIIIe et XIXe siècles, sont caractéristiques de

Ces meubles à deux-corps et armoires, des XVIIIe et XIXe siècles, sont caractéristiques de l’ameublement du Pays Basque et du Béarn.

Vue sur la cour intérieure : de gauche à droite, la chapelle, le magasin

Vue sur la cour intérieure : de gauche à droite, la chapelle, le magasin et le premier bâtiment d’expositions.

Le magasin

Le magasin

A droite, photo d’un espace qui se trouve en arrière de la chapelle. On

A droite, photo d’un espace qui se trouve en arrière de la chapelle. On le rejoint par le premier bâtiment visité. Notre-Dame du château, l’ancienne chapelle des comtes de Bigorre, abrite maintenant un mobilier de style baroque, des XVIIe et XVIIIe siècles, qui se trouvait dans l’église paroissiale de Lourdes au temps de Bernadette Soubirous.

D’origine plus récente, ces vitraux retracent la légende de Mirat.

D’origine plus récente, ces vitraux retracent la légende de Mirat.

A gauche, le corps de caserne abrite une exposition qui raconte l’histoire du château

A gauche, le corps de caserne abrite une exposition qui raconte l’histoire du château fort. Le donjon, quant à lui, pièce maîtresse du système défensif, haut de 26 m, date de 1314 mais fut relevé après le siège de 1406. Un escalier à vis de 104 marches mène au sommet et à la terrasse d’observation.

En contrebas, des jardins magnifiques et derrière cette fastueuse glycine, la salle Louis Le

En contrebas, des jardins magnifiques et derrière cette fastueuse glycine, la salle Louis Le Bondidier offre une série de peintures et dessins (donation Pendaries).

Sur l’esplanade des Chevaliers, au milieu des plates-bandes, des maquettes d’architecture pyrénéennes (fermes, églises,

Sur l’esplanade des Chevaliers, au milieu des plates-bandes, des maquettes d’architecture pyrénéennes (fermes, églises, villages) furent réalisées à l’échelle de 1/10 par Margalide Le Bondidier entre 1921 et 1960.

Encadrant les maquettes, on trouve plusieurs bonsaïs dont un magnifique érable rouge du Japon.

Encadrant les maquettes, on trouve plusieurs bonsaïs dont un magnifique érable rouge du Japon.

En hommage aux fondateurs du musée, ces portraits en bronze ont été apposés. L’objectif

En hommage aux fondateurs du musée, ces portraits en bronze ont été apposés. L’objectif de ces fondateurs était de réaliser un vaste musée régional de toute la chaîne pyrénéenne francoespagnole et leur devise était : « Rien de ce qui est pyrénéen ne doit nous être étranger »

Le circuit de la Rampe des Anglais, très pentu, passe devant la poudrière et

Le circuit de la Rampe des Anglais, très pentu, passe devant la poudrière et nous mène au cimetière pyrénéen qui fait découvrir les pierres tombales réunies par Margalide Le Bondidier.

Ceci est la reproduction d’une tombe de famille, telle qu’observée grâce aux fouilles archéologiques,

Ceci est la reproduction d’une tombe de famille, telle qu’observée grâce aux fouilles archéologiques, notamment dans les fondations de l’ancienne église de Lourdes. Le mort était placé, sans cercueil, la tête reposant sur la plaque ronde et le corps sur les barres de fer. Le caveau était refermé et lorsque survenait un nouveau décès, le corps était déposé, à son tour, sur la grille. Peu à peu, tous les ossements se mêlaient en-dessous. Certaines tombes découvertes remontaient au XIIe siècle.

Remontée après la visite du cimetière.

Remontée après la visite du cimetière.

Renonçant aux ascenseurs, nous empruntons le pont-levis qui bascule grâce au contrepoids réalisé par

Renonçant aux ascenseurs, nous empruntons le pont-levis qui bascule grâce au contrepoids réalisé par une grosse pierre.

Des plates-bandes bordent les murailles avant d’emprunter l’escalier dit « des Sarrasins » .

Des plates-bandes bordent les murailles avant d’emprunter l’escalier dit « des Sarrasins » .

Pour terminer, cette photo du château illuminé, prise de la terrasse devant la crypte

Pour terminer, cette photo du château illuminé, prise de la terrasse devant la crypte de la basilique.

Musique : Frédéric Laurent – Musique médiévale Photos, conception et réalisation : Marie-Josèphe Farizy-Chaussé

Musique : Frédéric Laurent – Musique médiévale Photos, conception et réalisation : Marie-Josèphe Farizy-Chaussé Sources d’informations : documentation de l’Office du tourisme et prise sur place. Avril 2014 marijo 855@gmail. com D’autres diaporamas sur : http: //famille. morhain. net/lapagedemarijo/ http: //www. pps-images-photos. com/createurs/marijo. html http: //www. imagileonation. com/diaporamistes__2_. ws

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