1 ORDRE DU JOUR I IPERGAY II Bilan
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ORDRE DU JOUR I. IPERGAY II. Bilan des commissions et perspectives III. Discussion 2
I. IPERGAY Michel CELSE Rapporteur du Conseil National du Sida 3
Pr. EP : un état des lieux COREVIH Ile-de-France Nord Paris, Hôpital Bichat Claude Bernard, 5 décembre 2012 4
I - Quel contexte ? L’enjeu de réduire l’incidence et le concept de prévention combinée II - Quel socle de connaissances ? Le rationnel de la Pr. EP, les données d’efficacité disponibles et les recommandations provisoires III - Quel intérêt et quels défis ? Un focus sur quelques enjeux-clés d’usage et d’accompagnement des Pr. EP : un état des lieux 5
Estimations de l’incidence 2004 -2007 (Inserm) ► L’incidence du VIH en France ne baisse pas I – Pr. EP : Quel contexte? 6
Estimations des taux d’incidence 2008 (In. VS) ► Réduire l’incidence chez les HSH est un enjeu prioritaire personnes / an 7 D’après données In. VS, Le Vu, S. , et al. , BEH n° 45 -46, 30 novembre 2010.
Combiner l’ensemble des approches en prévention pour infléchir l’épidémie Source : Coates TJ et al. , Behavioural strategies to reduce HIV-transmission : how to make them work better, Lancet 2008 ; 372 , p. 670 8
Une extension de l’usage des ARV en prévention • 3 types d’usages validés des ARV en prévention : – Prévention de la transmission de la mère à l’enfant (PTME), 1994 – Prophylaxie post-exposition (PEP), 1998 – Traitement des personnes infectées comme prévention de la transmission sexuelle secondaire : treatment as prevention (Tas. P) • « Swiss Statement » , 2008 • HPTN 052, 2011: réduction de 96% du risque de transmission au partenaire non infecté (couples stables, hétérosexuels) • Un nouvel usage « en devenir » : – Principe de traiter des personnes non-infectées en amont de l’exposition : Prophylaxie pré-exposition (Pr. EP) • Truvada® oral en prise continue quotidienne validé US • Nombreuses recherches en cours : autres ARV, autres modes d’administration et schémas de prise II – Pr. EP : Quel socle de connaissances? 9
PEP, Pr. EP : quel rationnel ? VIH heures Infection VIH mois années 10
Prophylaxie post-exposition (PEP) VIH Initiation: • entre 0 et 48 h • le + tôt possible durée : 4 semaines heures Infection VIH PEP heures mois années 11
Prophylaxie pré-exposition (Pr. EP) en prise intermittente / “à la demande” 1 prise quelques heures avant + 1 prise dans les heures après l’exposition VIH Infection VIH Pr. EP Efficacité nondémontrée à ce jour, investigations en cours (Ipergay) intermittente heures mois années 12
Prophylaxie pré-exposition (Pr. EP) en prise continue VIH VIH Infection VIH Pr. EP continue heures mois années 13 Validée aux Etats-Unis pour Truvada® (FTC+TDF) en prise orale quotidienne
Treatment as Prevention (Tas. P) Traitement des personnes infectées pour prévenir la transmission secondaire Traitement ARV VIH CV indétectable Infection VIH CV pas de transmission au(x) partenaire(s) mois VIH VIH Partenaire années 14
Pr. EP : état des connaissances (1) Des essais cliniques ont comparé dans différentes populations l’efficacité des schémas suivants : Bras Prévention « classique » renforcée seule Prévention « classique » renforcée + ARV (placebo) VS Par rapport à la prévention classique seule, l’adjonction de l’ARV permet une réduction supplémentaire de l’incidence de : § Iprex 44 % § Partners-Pr. EP Couples hétéro séro / TDF ou FTC-TDF oral quot. 62 -73 % Mais d’autres essais non-conclusifs ou discordants H & F hétéro séro- / FTC-TDF oral quotidien 63 % § TDF 2 39 % § CAPRISA 004 F hétéro séro- / gel vaginal TDF HSH séro- / FTC-TDF oral quotidien 15
Pr. EP : état des connaissances (2) De nombreuses questions se posent : • • Apparition de résistances Tolérance Adhésion Désinhibition Population cible Dispositif de dispensation Coût et prise en charge 16
Pr. EP : état des connaissances (3) Cependant, ne pas perdre de vue : • De nombreuses recherches en cours et à venir sur ces questions • Savoir regarder au-delà du Truvada® oral continu : - Pr. EP orale intermittente « à la demande » - Autres ARV / classes d’ARV (dapivirine, maraviroc, etc. ) - Formes injectables longue durée - Formes topiques : gels, anneaux vaginaux 90 jours, etc. 17
Rapport et recommandations du groupe d’experts : INTRODUCTION • Les recommandations du groupe d’experts ne concernent que le truvada® en administration quotidienne • La Pr. EP ne se conçoit que – Dans le contexte d’un encadrement médical adapté, – Comme une stratégie additionnelle aux mesures existantes ou en développement, – Associée à un dispositif d’éducation thérapeutique 18 (présentation source : P. Yeni – 11/06/2012)
Rapport et recommandations du groupe d’experts : CONSIDERATIONS GENERALES • Sur le plan de la santé publique, – l’insuffisance actuelle de données ne permet pas d’encourager actuellement le recours à cette méthode de prévention – Le niveau très incomplet des connaissances sur la Pr. EP justifie la poursuite d’évaluations scientifiques de cette stratégie • Sur le plan de la santé individuelle, – les données aujourd’hui disponibles ne sont pas incompatibles avec son utilisation par les personnes les plus exposées au risque de transmission du VIH et désireuses d’y recourir en dehors d’essais cliniques ; les recommandations visent à éviter le mésusage de la Pr. EP 19 (présentation source : P. Yeni – 11/06/2012)
Rapport et recommandations du groupe d’experts : SITUATIONS DE PRESCRIPTION Le groupe d’experts recommande • que la Pr. EP puisse être prescrite aux HSH qui souhaitent recourir à cette stratégie en raison de conduites à risque élevé d’acquisition du VIH • Que la Pr. EP ne soit pas prescrite aux partenaires séronégatifs des couples hétérosexuels sérodifférents (→Tas. P) • Que ne puisse être envisagé le recours à la Pr. EP chez des femmes et hommes non HSH très exposés au risque d’infection VIH que dans des situations particulières justifiant une approche au cas par cas 20 (présentation source : P. Yeni – 11/06/2012)
L’intérêt potentiel du concept de Pr. EP : quel apport aux moyens de prévention existants ? • Un outil additionnel très spécifique : – n’est pas un outil universel à destination de la population générale non infectée, – ne concerne que des personnes : • très fortement exposées au risque (critères épidémiologiques et/ou comportementaux) • ET en difficulté de prévention avec les moyens standards Un enjeu de ciblage important III – Pr. EP : Quel intérêt et quels défis? 21
L’intérêt potentiel du concept de Pr. EP : quel apport aux moyens de prévention existants ? • Un outil qui offre : – Dans des circonstances (accidentelles, assumées ou encore subies) où une protection conventionnelle n’est pas ou ne peut pas être mise en œuvre, un moyen de réduire le risque, préférable à l’absence de toute protection – Une mise en œuvre en amont de l’engagement dans l’activité sexuelle, hors contexte pouvant conduire à une prise de risque – Un renforcement de l’autonomie : ne dépend pas du partenaire. III – Pr. EP : Quel intérêt et quels défis? 22
La question de l’impact sur les comportements sexuels et préventifs • On ne peut exclure des effets contre-productifs : – La Pr. EP pourrait encourager au plan individuel l’augmentation des prises de risque – Avec pour effet, au plan collectif, de réduire, annuler voire inverser l’impact attendu sur l’incidence • Mais un impact massif est peu probable : – L’augmentation des prises de risque est observée depuis la fin des années 90 – Le public cible de la Pr. EP est déjà dans la forte prise de risque – La Pr. EP renforce en outre le recours au dépistage régulier III – Pr. EP : Quel intérêt et quels défis? 23
Diversifier les outils pour mieux répondre aux besoins • Faire le pari de l’autonomie et de l’intelligence des usagers : – La Pr. EP élargit les options disponibles pour réduire le risque – Dans une perspective de prévention combinée, la diversification des outils disponibles permet aux individus d’ajuster leurs pratiques préventives aux circonstances, à leurs désirs, à leurs contraintes III – Pr. EP : Quel intérêt et quels défis? 24
Diversifier les outils pour mieux répondre aux besoins • A condition de donner aux personnes les moyens d’un usage maîtrisé et raisonné de l’ensemble des outils disponibles : – Enjeu d’inscrire la Pr. EP dans l’offre globale de prévention Nécessité d’adapter le dispositif et le discours de prévention III – Pr. EP : Quel intérêt et quels défis? 25
Une nouvelle étape dans la mutation du paradigme préventif • L’impératif d’une communication cohérente : adapter le discours à l’approche de prévention combinée – Articuler plus fortement les liens entre moyens de prévention, intérêt du dépistage, et bénéfices du traitement – Développer des messages valorisant la diversité et la complémentarité d’outils répondant à des usages, des conditions d’utilisation et des circonstances différentes – Développer des messages invitant les individus à construire et ajuster leur prévention à leurs besoins et contraintes III – Pr. EP : Quel intérêt et quels défis? 26
Une nouvelle étape dans la mutation du paradigme préventif • Adapter le dispositif d’offre de prévention – Nécessité de ne pas cloisonner l’offre d’outils biomédicaux (Pr. EP, Tas. P) dans la sphère médicale vs l’offre conventionnelle, le counseling et l’accompagnement dans les structures dédiées à la prévention Rôle des Corevih : identification et coordination des acteurs – Intérêt des structures de type centre de santé sexuelle III – Pr. EP : Quel intérêt et quels défis? 27
Rapport et recommandations du groupe d’experts : DISPOSITIF ET ACCOMPAGNEMENT DE LA PRESCRIPTION Le groupe d’experts recommande • que soient identifiées dans chaque région (Corevih) des structures appropriées permettant – une prescription de la Pr. EP par des médecins expérimentés dans la prise en charge de l’infection VIH – le suivi des personnes poursuivant cette stratégie – une aide à l’observance – un accompagnement préventif global et pluridisciplinaire, en lien éventuel avec le milieu associatif 28 (présentation source : P. Yeni – 11/06/2012)
Une nouvelle étape dans la mutation du paradigme préventif • Favoriser l’adaptation des acteurs aux mutations de la prévention – Evolution vers une prévention plus complexe, plus individualisée : il s’agit de donner aux gens les moyens de construire leur propre prévention « sur mesure » (et évolutive au cours de la vie) Rôle des Corevih en tant que têtes de réseaux des acteurs régionaux : information, sensibilisation et formation des acteurs III – Pr. EP : Quel intérêt et quels défis? 29
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[diapos additionnelles] Pr. EP : un état des lieux 31
Focus sur les enjeux de ciblage de la Pr. EP • A qui pourrait/devrait bénéficier la Pr. EP ? – nécessité de cibler la Pr. EP sur les personnes très exposées au risque d’acquisition du VIH : • approche par groupes de populations selon des critères épidémiologiques : prévalence / incidence très fortes • approche par le risque individuel selon une évaluation des facteurs d’exposition d’une personne – distinguer objectifs de santé publique et de santé individuelle : • intervention de santé publique visant à mieux contrôler l’épidémie : réduire l’incidence/la prévalence • usage en tant que moyen de de prévention individuel : offrir aux personnes un moyen supplémentaire d’améliorer leur protection Pr. EP : enjeux de ciblage 32
Focus sur les enjeux de ciblage de la Pr. EP les données de recherche disponibles (essais, modèles) suggèrent un effet en population à condition que l’incidence dans le groupe cible soit > 1% Population considérée Taux d’incidence (nb de nouvelles contaminations pour 100 000 personnes par an) Population totale 17 /100 000/an HSH 1000 /100 000/an Migrants d’origine sub-saharienne 240 /100 000/an UDI 91 /100 000/an – en France, seuls les HSH ayant des pratiques très à risque sont « éligibles » selon ce critère : seul groupe dans lequel un impact collectif sur l’incidence peut être attendu. – les autres groupes les plus fortement exposés sont très en deçà des critères. Pr. EP : enjeux de ciblage 33
Focus sur les enjeux de ciblage de la Pr. EP mais en tant que moyen de prévention individuel, la Pr. EP doit être accessible, au-delà du groupe des HSH : – à toute personne en situation personnelle de forte exposition au VIH et de difficultés à se protéger par les autres moyens – sur la base d’une analyse individuelle de la situation de la personne face au risque et de la pertinence du recours à la Pr. EP pour améliorer sa protection Pr. EP : enjeux de ciblage 34
II. Bilan des commissions et perspectives 35
II. Bilan des commissions et perspectives 1. Épidémiologie – Yazdan YAZDANPANAH 2. Dépistage – Elisabeth BOUVET 3. Accident d’exposition au sang - Elisabeth BOUVET 4. Éducation thérapeutique du patient – Agnès CERTAIN 5. Substances psycho-actives – Monique GOBERT ; Annie LEPRETRE 6. Prévention et santé sexuelle - Danielle BERES 7. Transgenre – Kouka GARCIA 8. Indicateurs d’activités en 2012 9. Synthèse des perspectives 2013 36
II. Bilan des commissions et perspectives 1. EPIDEMIOLOGIE Le Pr. Yazdan YAZDANPANAH Professeur des universités, Praticien hospitalier Hôpital Bichat Claude-Bernard Atip/Avenir INSERM U 738 Université Paris Diderot Sorbonne Paris Cité 37
II. Bilan des commissions et perspectives 1. EPIDEMIOLOGIE (1) § Composition de la Commission Epidémiologie : D. BERES, L. BLUM, E. BOUVET, C. BURDET, C. CHARPENTIER, G. HAMET, V. JOLY, MA. KHUONG, R. LANDMAN, C. LAOUENAN, S. LE GAC, A. LEPALEC, C. MOUCAZAMBO, G. PAHLAVAN, P. YENI, Y. YAZDANPANAH. 38
II. Bilan des commissions et perspectives 1. EPIDEMIOLOGIE (2) § Objectifs : - Analyser les données épidémiologiques du COREVIH relatives au dépistage, à la prise en charge et au suivi des patients vivant avec le VIH - Mettre en place des travaux de recherche 39
II. Bilan des commissions et perspectives 1. EPIDEMIOLOGIE (3) § Recherche épidémiologique : Dépistage et Liaison dépistage – soins - Etude HIDES : promouvoir le dépistage chez les patients symptomatiques hospitalisés - Enquête rétrospective (2004 -2011) sur les dossiers du CDAG: définir les facteurs de risque de non retour des personnes dépistées VIH+ • Harmoniser le recueil des variables sur l’ensemble des CDAG du COREVIH 40
II. Bilan des commissions et perspectives 1. EPIDEMIOLOGIE (4) § Hides 2 : - Intervention et population Proposition systématique d’un test VIH à tous les patients (âge ≥ 18 ans) se présentant consécutivement dans un service de soin avec une maladie indicatrice et non connus séropositif pour le VIH - Estimer la séroprévalence du VIH non diagnostiqué pour une maladie indicatrice 41
II. Bilan des commissions et perspectives 1. EPIDEMIOLOGIE (5) § Hides 2 : Maladies indicatrices étudiées 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. lymphome malin, quel qu’en soit le type dysplasie cervicale ou anale ou d’un cancer (CIN II et plus) hépatite B et/ou C (aiguë ou chronique) syndrome mononucléosique leucocytopénie inexpliquée ou thrombocytopénie >4 semaines dermatite séborrhéique / exanthème pneumonie requérant une hospitalisation d’au moins 24 h lymphadénopathie inexpliquée neuropathie périphérique de cause inconnue primo cancer du poumon psoriasis grave ou récalcitrant (nouvellement diagnostiqué) 42
II. Bilan des commissions et perspectives 1. EPIDEMIOLOGIE (6) § Hides 2 en France : - 12 centres • Paris : Bichat, Pitié-Salpêtrière • Région parisienne : Beaujon, Saint-Denis, Pontoise • Province : Bordeaux, Clermont-Ferrand, Nancy, Nice, Rennes, Rouen, Tourcoing - Avis favorable CPP - demande d’autorisations CCTIRS et CNIL en cours - Début des inclusions 1 er trimestre 2013 - Période d’étude maximale : 18 mois 43
II. Bilan des commissions et perspectives 1. EPIDEMIOLOGIE (7) § Recherche épidémiologique : Dépistage et Liaison dépistage – soins - Etude HIDES : promouvoir le dépistage chez les patients symptomatiques hospitalisés - Enquête rétrospective (2004 -2011) sur les dossiers du CDAG: définir les facteurs de risque de non retour des personnes dépistées VIH+ • Harmoniser le recueil des variables sur l’ensemble des CDAG du COREVIH 44
II. Bilan des commissions et perspectives 1. EPIDEMIOLOGIE (8) § Patients perdus de vue (PDV) avant l’annonce du positivité d’un test VIH : Patients dépistés VIH à la CDAG de l’hôpital Bichat entre 2004 -2010 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 Patients VIH + 101 86 61 58 48 55 55 Patients PDV avant l’annonce 7 (7%) 15 (17%) 6 (10%) 13 (22%) 6 (13%) 9 (16%) 12 (22%) G Pahlavan et al. 45
II. Bilan des commissions et perspectives 1. EPIDEMIOLOGIE (9) § Evaluer les pratiques : - Co-infection VIH-VHC Utiliser les bases informatiques pour évaluer les pratiques mais avant cela il faut que les bases soient exhaustifs Harmoniser le recueil des données des patients co-infectés 46
II. Bilan des commissions et perspectives 2. DEPISTAGE Le Pr. Elisabeth BOUVET Professeur des universités, Praticien hospitalier Hôpital Bichat Claude-Bernard 47
II. Bilan des commissions et perspectives 2. DEPISTAGE (1) § Rôle du COREVIH IDF Nord dans le dépistage du VIH : - Favoriser le dépistage : certains lieux, certaines occasions , - Favoriser les TRODs - Aide matérielle en attendant statut - Accompagner le dépistage, faciliter la filière de soins - Proposer une évolution des CDAG - Positionner les TRODs en médecine de ville 48
II. Bilan des commissions et perspectives 2. DEPISTAGE (2) § Commission Dépistage : - CDAG - Urgences hospitalières - Médecine libérale 49
II. Bilan des commissions et perspectives 2. DEPISTAGE (3) § Commission Dépistage CDAG : - Les CDAG de la COREVIH : Cergy-Pontoise, Eaubonne, Bichat, Clichy, Ego goutte d’Or, Saint Denis - Activité très disparate - Conseils généraux (75, 92, 93) - Recueil de données sur les consultants ? - Remontées INVS standard mais limitées 50
II. Bilan des commissions et perspectives 2. DEPISTAGE (4) § Dépistage CDAG du COREVIH Nord : comparaison des modes de fonctionnement et type d’activité : - Quelles données ? - Quelle population : nombre et caractéristiques - Tests rapides ? - Taux de perdus de vue parmi VIH + et - - Autres IST ( Ciddist, chlamydia, …) - Hépatites ? - Vaccinations ? Lesquelles ? - Traitement post exposition ? 51
II. Bilan des commissions et perspectives 2. DEPISTAGE (5) § Objectifs de la Commission CDAG : - Homogénéiser le recueil des données ( logiciel commun ? ) - Recueillir les mêmes variables chez les consultants pour étudier la population, son attitude, ses caractéristiques, ses risques: - Conduire des actions communes = information , prévention, dépistage, diminuer les PDV - Élargir l’utilisation des TRODs et en définir les indications - Proposer des vaccinations - Mettre en œuvre des actions hors les murs - Rapprochement avec le planning familial. 52
II. Bilan des commissions et perspectives 2. DEPISTAGE (6) § Dépistage SAU = actions du COREVIH : - Suite de l’étude URDEP : taux de + > pop générale - Proposition du dépistage par TROD - Formation des personnels - Stratégie commune - Mise à disposition gratuites des TRODs (500 tests gratuits) - Évaluation : logiciel Urqual et autre (Pontoise) - Retour d’expérience vers les équipes 53
II. Bilan des commissions et perspectives 2. DEPISTAGE (7) § Dépistage dans les services d’urgences hospitaliers : SAU par TRODs : - Hôpitaux concernés = Bichat, Delafontaine (Saint Denis), Beaujon, Pontoise, Eaubonne - Montmorency, (Robert Debré) - Mise à disposition des TRODs pour tous les consultants (en pratique surtout les hommes, et les migrants) 54
II. Bilan des commissions et perspectives 2. DEPISTAGE (8) § SAU réunion du 18/10/2012 : - Chaque service doit identifier la filière d’aval des patients dépistés positifs et les modalités d’orientation, - Formations à l’utilisation des TROD des personnels soignants à Bichat courant novembre /décembre 2012 par l’équipe de Nephrotek, - Proposition que le programme « URDEP » installé par le Pr Casalino dans URQUAL le soit à Eaubonne, Beaujon et St Denis, - Quand les chefs de service (des autres services que Bichat) se sentiront prêts, formation par l’équipe de Nephrotek de leur personnel soignant à l’utilisation des TROD, fourniture des TROD au décours, - Mise en place des TROD dans les 3 mois pour une phase pilote de 6 mois. 55
II. Bilan des commissions et perspectives 2. DEPISTAGE (9) § Dépistage en Médecine de ville : 1. Étudier les prescriptions de sérologie VIH par les médecins généraliste et dermato, gyneco ( un jour donné = Depidays) avec COREVIH Est 2. Étudier la faisabilité de la proposition de TROD en médecine libérale ( étude pilote sur une zone limitée = Levallois, Clichy et peut-être une partie du 18° Art) - Fera l’objet d’une ou plus thèse de MG - Premier trimestre 2013 56
GROUPE AES INTERCOREVIH/DFO/IDF/GERES le point en décembre 2012 E. Rouveix E. Bouvet 57
Suite Propositions faites en juin 2012 (1) Création d’un Groupe AES Intercorevih IDF O/N/GERES Évaluer les TROD dans la prise en charge des AES : OK 1 ere formation réalisée le 22/11: 20 participants TROD(AES et CDAG) A Faire formations des intervenants de structures de soins dépourvues de dispositif de prise en charge des AES ( cf projet GERES/DGS 2) Utilisation des TROD après AES au lit du malade dans les hôpitaux? 58
Suite aux Propositions en juin 2012 (2) Participer au Projet GERES/DGS sur l’ évaluation des prises en charges des AES professionnels et non professionnels à l’échelon national dans les divers COREVIH recueil de données AES dans un échantillon des COREVIH avec un focus sur la mise en route d'un TPE (délivrance, nombre de sites de prise en charge, nombre de traitements délivrés, suivi des patients traités, effets secondaires. . . ) 59 En cours : analyse préliminaire des données relatives aux AES disponibles RA des COREVIH À faire en fonction des résultats de l’analyse préliminaire
Suite aux Propositions en juin 2012 (3) réalisation de documents sur la prise en charge des expositions professionnelles procédures types de CAT et prise en charge notes d'information pour les personnes consultant aux urgences après un AES, ou une exposition sexuelle note d'information aux personnes à qui une trithérapie aura été prescrite lettre d'information après consultation pour AES sans TPE. . . réalisation d'une affichette "Que faire en cas d'AES? " à destination des professionnels de santé libéraux 60 à faire à partir des documents déjà réalisés dans les 2 COREVIH et ceux du GERES Pour une utilisation sur des territoires éténdus À faire
Suite aux Propositions en juin 2012 (4) Evaluer la tolérance du truvada-rilpivirine en traitement post exposition : En cours 61
II. Bilan des commissions et perspectives 4. EDUCATION THERAPEUTIQUE DU PATIENT Agnès CERTAIN Pharmacienne, Hôpital Bichat Claude-Bernard 62
II. Bilan des commissions et perspectives 4. EDUCATION THERAPEUTIQUE DU PATIENT (1) § Composition de la Commission ETP : Bichat : Z. Berki-Benhaddad, A. Capillon, Ali Taddlaoui Beaujon : A. Villemant-Uludag, M. Rouvrais, N. Pons-Kerjean Eaubonne : A. Leprêtre, C. Bernard Fondation Chaptal : F. Langlois Jean Jaurès : F. Guiroy, H. Ouerda Pontoise : L. Blum, P. Jourdain Robert Debré : A. de Lauzanne St Denis : S. Edrief Actions-Traitements : JM Bithoun, M. Lerault AIME : M. Repellin Aurore : C. Devillon-Huin Comité des Familles : J. Gala-Lantz COPACI : E. Dagher Dessine moi un mouton : AM Gosse Ikambere : Rose Nguekeng 63
II. Bilan des commissions et perspectives 4. EDUCATION THERAPEUTIQUE DU PATIENT (2) § Réalisation 2012 : 3 réunions de la Commission ETP ; 11 à 20 participants - 25 juin : accord sur les grandes lignes des 4 ans à venir - 24 septembre : échanges sur les pratiques et la mutualisation des outils - 19 novembre : • relance de la phase 2 de CAS VIH • point sur les suivis d’activités et les auto-évaluations annuelles • formations 64
II. Bilan des commissions et perspectives 4. EDUCATION THERAPEUTIQUE DU PATIENT (3) § PROJETS EN COURS ET PERSPECTIVES 2012 -2015 : Augmenter l’offre en ETP sur la COREVIH IDF Nord 1 - Soutien des sites à la rédaction du cahier des charges ETP/ARS 2 - Contribuer à une formation validante des éducateurs : promotion de formation avec un organisme formateur (ex Crips, SFLS. . ) 3 - Rédiger et faire valider un programme VIH/hépatites C/B 4 - Promouvoir les actions d’ETP par les associations de patients 65
II. Bilan des commissions et perspectives 4. EDUCATION THERAPEUTIQUE DU PATIENT (4) § PROJETS EN COURS ET PERSPECTIVES 2012 -2015 : Harmoniser les pratiques : 1 - Intégration de l'ETP dans la synthèse annuelle 2 - Evaluation en ETP : s’accorder sur les indicateurs : activité, impact, programme ; s'approprier et remplir le cahier d'auto-évaluation annuelle (réunion du 19/11) ; Faire le point sur les financements 3 - Recensement les outils d'ETP utilisés ; modalités de mise à disposition (réunion du 24/09) 4 - Recherche : PHRC infirmier ? Appel d'offre DGS … 66
II. Bilan des commissions et perspectives 4. EDUCATION THERAPEUTIQUE DU PATIENT (5) § PROJETS EN COURS ET PERSPECTIVES 2012 -2015 : Outil CAS VIH, phase 2 (réunion 19/11/2012) finalisation des ajustements, protocole d’évaluation, mise à disposition plus large du programme, article sur la phase pilote ; programme de recherche (thésarde Paris VII) Promotion pour la santé ETP /EPS: prise en charge globale Travailler en collaboration sur les thématiques liées à l'ETP : - Addictions et substances dont Tabac - ETP et santé sexuelle : rôle des éducateurs (thèse MG JB) - prévention cardio-vasculaire, effets indésirables à long terme, qualité de vie 67
II. Bilan des commissions et perspectives 5. USAGERS SUBSTANCES PSYCHO-ACTIVES 5. PROTOCOLE D’AIDE AU SEVRAGE TABAGIQUE DES PATIENTS VIH+ Pilote : Le Dr Monique GOBERT Praticien hospitalier, Centre hospitalier René Dubos USAGE DE SUBSTANCES PSYCHO-ACTIVES 2éme Groupe Pilote : Le Dr Annie LEPRETRE Praticien hospitalier, ESCALE/Simone Veil 68
II. Bilan des commissions et perspectives 5. USAGERS SUBSTANCES PSYCHO-ACTIVES (1) PROTOCOLE D’AIDE AU SEVRAGE TABAGIQUE DES PATIENTS VIH+ § Première étape : - Evaluation du nombre de patients à traiter par l’intermédiaire d’un questionnaire : 100 questionnaires par centre, pour les 100 premiers consultants, fumeurs ou non, colligés sur 2 jours à 2 mois. Analyse statistique des réponses pour extrapoler le nombre de patients potentiellement concernés. 69
1. Etes vous fumeur /se actif Cachet de l’hôpital Oui Non 2. Si non, avez-vous été fumeur ? Oui Non Date de l’arrêt : …. /…… 3. Si vous êtes fumeur actif, souhaitez vous être accompagné/e pour votre sevrage ? Oui Non Indiquez votre motivation sur une échelle de 1 à 10 : …………. 4. L’argent est-il une barrière ? Oui Non 5. Souhaitez-vous une aide spécialisée pour vous arrêter, avec possibilité de délivrance de substituts nicotiniques gratuits pendant 6 mois et prise en charge par un tabacologue ? Oui Non 70
II. Bilan des commissions et perspectives 5. USAGERS SUBSTANCES PSYCHO-ACTIVES (2) PROTOCOLE D’AIDE AU SEVRAGE TABAGIQUE DES PATIENTS VIH+ § Première étape : - Établissement en parallèle par les consultants VIH, d’une liste des premiers patients souhaitant une aide à l’arrêt du tabac 71
II. Bilan des commissions et perspectives 5. USAGERS SUBSTANCES PSYCHO-ACTIVES (3) PROTOCOLE D’AIDE AU SEVRAGE TABAGIQUE DES PATIENTS VIH+ § Première étape : - Recensement des besoins en tabacologues, site par site, afin d’offrir des consultations gratuites aux patients élus, sans délai majeur (6 consultations/patient) 72
II. Bilan des commissions et perspectives 5. USAGERS SUBSTANCES PSYCHO-ACTIVES (4) PROTOCOLE D’AIDE AU SEVRAGE TABAGIQUE DES PATIENTS VIH+ § Première étape : - Pour offrir la gratuité des traitements de sevrage (2 fois 3 mois) : Négociation avec les laboratoires pharmaceutiques pour l’achat des substituts nicotiniques : patchs, pastilles, inhaleur et de traitements du sevrage : zyban*, champix* 73
II. Bilan des commissions et perspectives 5. USAGERS SUBSTANCES PSYCHO-ACTIVES (5) PROTOCOLE D’AIDE AU SEVRAGE TABAGIQUE DES PATIENTS VIH+ § Deuxième étape : - Réalisation des consultations de tabacologie courant 2013 : Avril à Septembre ? - Etablissement d’une grille d’évaluation de l’action - Analyse statistique des résultats - Publication 2014 74
II. Bilan des commissions et perspectives USAGE DE SUBSTANCES PSYCHO-ACTIVES 2éme Groupe Le Dr Annie LEPRETRE 75
II. Bilan des commissions et perspectives 5. USAGE DE SUBSTANCES PSYCHO-ACTIVES 2éme Groupe (1) § Les constats : - Territoire COREVIH idfn : lien fort avec l’histoire de la RDR liée à l’usage de drogues en France. - Thématique usage de drogues/VIH et RDR quasi absente dans la précédente COREVIH. - Demandes PVVIH. - Émergence usage IV ( « Slam » ) chez gays « festifs » , sur fond d’usage à risque de psychostimulants depuis +sieurs années. 76
II. Bilan des commissions et perspectives 5. USAGE DE SUBSTANCES PSYCHO-ACTIVES 2éme Groupe (2) § L’ensemble intégré des interventions de RDR : - Programmes d’échanges de seringues. - Traitements de substitution aux opiacés (TSO) et autres traitements de la dépendance - Dépistage du VIH et Conseil. - Traitement anti-rétroviral. - Prévention et traitement des infections sexuellement transmissibles (IST) - Programmes de distribution de préservatifs pour les UDI et leurs partenaires sexuels - Information, Education et Communication (IEC) ciblées sur les UDI et leurs partenaires sexuels - Vaccination, diagnostic et traitement des hépatites virales - Prévention, diagnostic et traitement de la tuberculose. 77
II. Bilan des commissions et perspectives 5. USAGE DE SUBSTANCES PSYCHO-ACTIVES 2éme Groupe (3) § Les actions proposées : - Recensement de l’offre de soins pour les consommateurs de S. P. A. sur territoire COREVIH. Répertoire + présentation (sous quelle forme? ) - Soirées thématiques (demandes PVVIH prioritaires) Soirée « gays, sex ‘n drugs » juillet 2012. Soirée « cannabis thérapeutique » fin 2013. 78
II. Bilan des commissions et perspectives 6. PREVENTION ET SANTE SEXUELLE Danielle BERES Conseillère du Territoire d'Action Nord-Ouest Île-de-France, Aides 79
II. Bilan des commissions et perspectives 6. PREVENTION ET SANTE SEXUELLE (1) § Composition de la Commission : - Malika Amaouche - Danièle Berès - Elisabeth Bouvet - Pierre Droumaguet - Laurence Labarraque - Bruno Perrine 80
II. Bilan des commissions et perspectives 6. PREVENTION ET SANTE SEXUELLE (2) § Naissance du projet : - Présentation des résultats de l’enquête AIDES « VIH, Hépatites et Vous ? » 2010 - Deux résultats ont particulièrement attiré l’attention : • La méconnaissance du Traitement comme Prévention (TASP) parmi les PVVIH • Les médecins ne sont pas une source d’information privilégiée 81
II. Bilan des commissions et perspectives 6. PREVENTION ET SANTE SEXUELLE (3) § Questionnaire Patients : - Refaire un questionnaire patients dans la file active du Corevih Nord pour réactualiser les données 2 ans après • Point des connaissances à ce jour sur TASP (Traitement comme prévention) • et PREP (Prophylaxie pré-exposition VIH) - Prévoir une version en espagnol pour les patients latino-américains 82
II. Bilan des commissions et perspectives 6. PREVENTION ET SANTE SEXUELLE (4) § Questionnaire Médecins : - Questionnaire (questions ouvertes) permettant : • L’évaluation du niveau de connaissance du TASP (avis suisse Hirschel) et de la PREP • Identifier les freins et leviers pour aborder cette thématique chez les médecins hospitaliers et de ville référencés à l’hôpital • Voir la possibilité de profiter d’une occasion privilégiée d’aborder des sujets sensibles auprès des médecins : la consommation de drogues (slam), la sexualité, la dispensation de PREP, le vieillissement 83
II. Bilan des commissions et perspectives 6. PREVENTION ET SANTE SEXUELLE (5) § Objectifs : - Assurer une meilleure prise en charge des personnes vivant avec le VIH à l’hôpital - Assurer une amélioration du volet communication chez les médecins hospitaliers et de ville référencés à Bichat 84
II. Bilan des commissions et perspectives 6. PREVENTION ET SANTE SEXUELLE (6) § Avancement du projet : - Revue de la littérature par des étudiants en Master 2 à AIDES pour trouver des outils existants pouvant répondre à nos objectifs - Mise en place d’un groupe restreint (5 -6 personnes) pour travailler sur le questionnaire patients - La réflexion sur le questionnaire médecins aura lieu dans un 2ème temps - Chiffrage du coût de la réalisation graphique et de l’impression du questionnaire 85
II. Bilan des commissions et perspectives 7. TRANSGENRE Kouka GARCIA Médiatrice de santé publique, PARI-T 86
II. Bilan des commissions et perspectives 7. TRANSGENRE (1) § Composition : Dr Michard, Dr Rouveix, Dr Bouvet, Dr Pommier, Mme Garcia, Mr Garzo, Mme Legac Dr Maresca, Mme Vernat, Mme Torres, Mme Anjoz-Cruz, Mme Rincon § Objectifs : - Faire reconnaître la spécificité des transgenres dans le parcours de soins - Lutter contre les discriminations § Réalisations : - La soirée transgenre pour le public (45 participants) - 2 réunions de concertations en intercorevih 87
II. § Actions proposées : Bilan des commissions et perspectives 7. TRANSGENRE (2) - Actualisation d’une plaquette d’information sur les transgenres à destination des professionnels (plaquette ARCAT) - Etablir une liste (carnet d’adresse) des professionnels ressources (dans le domaine de la santé public et privé et du secteur médicosocial) - Recueil des documents existants sur la prise en charge des transgenres - Réaliser un dépliant synthétique sur les enjeux et les modalités du TPE ( cfr résultat de l’enquête sur les récidives d’Expositions à risques de transmission virale (EAV) sexuelles dans cette population réalisée par A. Maresca et E. Reimann à A. Paré - Evaluation de la prévalence de la syphilis récente chez les transgenres - Améliorer le circuit des patients afin qu’un dépistage positif soit suivi d’un recours au soin - Sensibilisation du personnel hospitalier pour améliorer l’accueil des transgenres - Distinction des données épidémiologiques qui concernent les personnes transgenres ≠ 88 HSH
II. Bilan des commissions et perspectives 8. Indicateurs de l’activité du COREVIH en 2012 89
II. Bilan des commissions et perspectives 8. Indicateurs de l’activité du COREVIH en 2012 (1) § Fonctionnement des Instances : - Bureau : 7 réunions - Plénière : 3 réunions § Fonctionnement des commissions : - Dépistage : 7 réunions sur les thèmes des urgences , médecine de ville et CDAG, 20 participants au total - Epidémiologie : 3 réunions, 15 participants - Usagers substances psycho-actives : 3 réunions, 8 participants - Education thérapeutique du patient : 3 réunions, 15 participants - Accident d’exposition au sang : 1 réunion intercorevih - Transgenre : 2 réunions intercorevih 90
II. Bilan des commissions et perspectives 8. Indicateurs de l’activité du COREVIH en 2012 (2) § Commission en formation : - Prévention et Santé Sexuelle - Enjeux Médico-sociaux § Commission en suspens : - Femmes Enfants Ados § Information du public et des professionnels : - Recherche Clinique - 26 juin 2012 - 40 participants - Gays, Sex and Drugs - 4 juillet 2012 - 40 participants - Transgenre – 3 octobre 2012 - 49 participants 91
II. Bilan des commissions et perspectives 8. Indicateurs de l’activité du COREVIH en 2012 (3) § Formations organisées ou financées par le COREVIH aux bénéfices des membres et des acteurs du COREVIH : - 2 formations TROD liées au projet dépistage rapide pour les migrants - 1 formation TROD en partenariat avec le GERES - Formation ETP du CRIPS 92
II. Bilan des commissions et perspectives 9. Synthèse des perspectives 2013 93
II. Bilan des commissions et perspectives 9. Synthèse des perspectives 2013 (1) § Expérimentations pour améliorer la mise en œuvre des objectifs du plan national de lutte contre le VIH dans le cadre d’une coordination territoriale : - Faisabilité des trods en ville - Faisabilité des trods aux urgences - Protocole sevrage tabagique § Enquêtes : - Sur le parcours de soins : • Perdus de vue • Hides - Sur le sevrage tabagique - Sur le degré de connaissance du TASP chez les patients - Sur la prévalence de la syphilis chez les transgenres 94
II. Bilan des commissions et perspectives 9. Synthèse des perspectives 2013 (2) § Amélioration des pratiques : - Création d’un livret de protocole AES pour les établissements non référents VIH - Livret de personnes ressources pour prise en charge des transgenres - Actualisation de CAS VIH - Formation (TROD en partenariat avec le GERES, ETP) - Harmonisation du recueil des données CDAG - Evaluation des programmes ETP - Thèse sur Trod en médecine de ville - Thèse ETP § Information grand public : - Soirées thématiques (addiction, PREP, cannabis thérapeutique) - Journées d’information COREVIH auprès des acteurs locaux - Bases documentaire ( ETP, Transgenre, PREP) 95
III. Discussion 96
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